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2 Corinthiens 3.7

La loi, gravée lettre par lettre sur des pierres, ne pouvait conduire qu’à la mort, et pourtant son ministère fut inauguré avec un tel déploiement de gloire que les enfants d’Israël ne pouvaient regarder Moïse en face, tant son visage était resplendissant. Cette gloire, toutefois, était bien éphémère et elle s’évanouissait vite.
Le ministère de *Moïse, au service de la Loi, dont les lettres ont été gravées sur des pierres, a conduit à la mort. Cependant, ce ministère a été glorieux, au point que les Israélites n’ont pas pu regarder Moïse en face, à cause de la gloire, pourtant passagère, dont rayonnait son visage.
Εἰ δὲ ἡ διακονία τοῦ θανάτου ἐν γράμμασιν ἐντετυπωμένη λίθοις ἐγενήθη ἐν δόξῃ, ὥστε μὴ δύνασθαι ἀτενίσαι τοὺς υἱοὺς Ἰσραὴλ εἰς τὸ πρόσωπον Μωϋσέως διὰ τὴν δόξαν τοῦ προσώπου αὐτοῦ τὴν καταργουμένην,
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    • Genèse 3

      Exode 24

      12 Une nuée couvrit la montagne pendant six jours ; c'était un témoignage spécifique de la présence divine, en ce lieu. Moïse avait l'assurance qu'il serait protégé par Celui qui l'avait appelé en cet endroit. Les attributs glorieux de notre Dieu ont un retentissement terrible auprès des impies ; par contre les saints, face à ces attributs et en toute humilité, ne peuvent que se réjouir.

      Ainsi, par notre foi envers le Sacrifice expiatoire de Jésus, nous avons, dans cette espérance, un plus grand honneur que Moïse ne pouvait avoir à l'époque. Maintenant, nous voyons comme au travers d'un verre dépoli, mais quand Dieu paraîtra, nous Le verrons alors face à face.

      Cette vision de Dieu ne pourrait être que monotone si elle n'était pas agrémentée de la joie céleste ; cette perspective ne sera pas limitée dans le temps, elle sera éternelle !

      Exode 31

      18 La loi était écrite sur des tables de pierre, pour bien montrer qu'elle devait être conservée longtemps ; cela nous rappelle, hélas, à quel point nos cœurs sont durs ; il est plus facile de graver sur une pierre que d'écrire quelque chose de bon dans nos cœurs naturels corrompus. Ces tables étaient écrites par la main de Dieu, selon Sa volonté et Sa puissance. Il n'y a que Dieu qui puisse écrire Sa loi dans nos cœurs : Il donne d'abord, à chacun, un cœur de chair ; puis par Son Esprit, véritable « doigt », Il écrit Sa volonté dans nos cœurs, 2Corinthiens 3:3.

      Exode 32

      15 Quel changement pour Moïse, qui était en communion avec Dieu, lorsqu'il descendit de la montagne, et qui entra en contact avec le monde, alors sous l'emprise du péché !

      Quand nous portons notre regard vers Dieu, nous ne voyons que « pureté » et « merveille » ; si nous regardons le monde, nous sommes en face du péché et de la provocation. Dans ce monde, les idoles n'ont aucune puissance ; Moïse réduisit le veau d'or en poussière. En mélangeant cette poussière au breuvage du peuple d'Israël, Moïse voulait lui montrer que son cœur s'était fourvoyé dans son cheminement.

      Exode 34

      1

      Les tables de la loi sont réécrites. (Exode 34:1-4)
      Le nom de l'Éternel est proclamé, La supplication de Moïse. (Exode 34:5-9)
      L'alliance divine. (Exode 34:10-17)
      Les fêtes. (Exode 34:18-27)
      Le voile de Moïse. (Exode 34:28-35)

      Quand Dieu fit l'homme à Son image, la loi morale était écrite directement dans son cœur, par la main divine, sans l'aide d'aucun autre artifice. Mais depuis que l'alliance faite au début de la Genèse, fut brisée par le péché, Dieu se servit des hommes, à la fois pour leur donner la loi sous forme scripturaire et pour la graver dans les cœurs. Quand Dieu se réconcilia avec les Israélites, Il ordonna que les tables de la loi soient réécrites.

      Même au temps de l'évangile de paix, amené par Christ, la loi continue à faire partie des préceptes des croyants. Bien que Christ nous ait racheté des malédictions de la loi, Il ne nous a pas demandé d'en ignorer l'enseignement. La première et la meilleure évidence de pardon du péché, accompagnée de la paix avec Dieu, est que la loi est gravée dans nos cœurs.

      28 Une bonne communion spirituelle avec Dieu, intensifie la grâce en nous-mêmes, elle revivifie et sanctifie notre âme. Une réelle piété purifie la conduite de l'homme, en augmentant par exemple, l'estime et l'affection mutuelle. Le voile que Moïse mettait sur son visage, était une image de la limitation de la dispensation de l'époque, comparée au rayonnement de la lumière de l'évangile du Nouveau Testament.

      Ce voile était aussi l'emblème de la « retenue » de ceux qui respectent les choses spirituelles. Il était également une image du masque qui était et qui se trouve encore, sur la nation d'Israël ; seul l'Esprit de l'Éternel peut l'ôter, afin de révéler Christ, Celui qui met fin à la dispensation de la loi, pour le bénéfice de chaque croyant. La crainte et l'incrédulité placent un voile devant nos yeux, elles nous éloignent du trône de Miséricorde. Nous devrions pleinement exprimer nos désirs à notre Père céleste, aussi bien matériels que spirituels ; nous devrions Lui confier toutes nos peines et tous nos problèmes de tentation ; nous devrions enfin reconnaître devant Lui, toutes nos offenses.

      Deutéronome 4

      Deutéronome 5

      Deutéronome 9

      Deutéronome 10

      1

      Les grâces divines octroyées à Israël, malgré sa rébellion. (Deutéronome 10:1-11)
      Exhortation à l'obéissance. (Deutéronome 10:12-22)

      Moïse rappelle aux Israélites toutes les grâces que Dieu leur a octroyées, malgré les diverses provocations du peuple.

      Quatre faits distincts révèlent que l'Éternel était réconcilié avec les enfants d'Israël : - Il leur donna la loi. Dieu fit de même pour nous en nous laissant Sa Parole, l'ordonnance de se reposer le septième jour, et les divers sacrements, véritables témoignages de Sa présence et de Sa bonté. - Il conduisit le peuple hébreu vers la terre promise : Canaan. - Il donna toutes les directives concernant le tabernacle et ses ustensiles, pour la sanctification du peuple. De manière analogue, de nos jours, au temps de l'évangile, le Saint-Esprit est répandu en toute plénitude dans le cœur des hommes, avec Puissance, les poussant à servir Dieu. - L'Éternel a placé Moïse parmi les Israélites pour qu'il leur serve d'avocat et d'intercesseur : Le patriarche était pour eux, leur chef. Il était, en quelque sorte, une image de Christ, Celui qui vit éternellement, qui a toute Puissance sur la terre comme au ciel, et qui plaide en notre faveur auprès du Père.

      Néhémie 9

      Psaumes 19

      7 Les Saintes Écritures nous apportent plus que le jour ou la nuit, que l'air que nous respirons ou que la lumière du soleil. Pour que l'homme puisse sortir de sa déchéance, il a besoin de la Parole de Dieu. Le mot original traduit par « loi » peut être assimilé à « doctrine », il peut être compris dans le sens de « tout ce qui nous enseigne au travers de la religion ».

      Cette entité est parfaite ; elle tend à convertir ou à détourner l'âme du péché et du monde, vers Dieu et sa Sainteté. Elle nous montre notre état pécheur et misérable, loin de Dieu, et la nécessité de retourner à Lui. Cette recommandation est sûre : celui qui est dans une certaine recherche et qui croit en ce que Dieu dit, devient sage, et est en vue d'acquérir son salut. C'est une bonne démarche vers le chemin du devoir. C'est une fontaine de réconforts vivifiants et un fondement certain pour nos espérances.

      Les commandements divins sont droits, comme d'ailleurs ils doivent l'être et en tant que tels ils réjouissent le cœur. Les commandements du Seigneur sont purs, saints, justes et bons. Avec eux nous découvrons notre besoin d'avoir un Sauveur et aussi comment découvrir le merveilleux évangile. C'est par eux que le Saint-Esprit émerveille les yeux ; ils nous conduisent à la perception de notre péché et de notre misère, ils nous conduisent sur le chemin du devoir. La crainte du Seigneur est la vraie religion, elle purifie notre chemin, à jamais. Les lois cérémonielles de ce monde passent mais la loi relative à la crainte de Dieu est toujours la même. Les jugements du Seigneur, ses préceptes, tous cela est vérité ; ils sont la droiture même et ils ne se contredisent pas ; on ne peut les mettre en défaut.

      L'or est dédié uniquement au corps et au temps présent ; mais la grâce est dédiée à l'âme et concerne l'éternité. La Parole de Dieu, reçue par la foi, est plus précieuse que l'or ; Elle est agréable à l'âme, aussi douce que du miel. Les plaisirs des sens sont rapidement ternis, et jamais satisfaits ; mais ceux de la religion sont substantiels et donnent toujours satisfaction ; il n'y a en eux aucun risque d'excès.

      Psaumes 119

      97 Ce que nous aimons occupe nos pensées. Toute vraie sagesse provient de Dieu. Un homme pieux a toujours sa Bible avec lui, si ce n'est pas de manière effective, c'est au moins dans son esprit et dans son cœur. La méditation des témoignages divins nous révèle davantage de choses sur notre propre cœur, que ce que peuvent nous apprendre ceux qui nous enseignent. La Parole est le meilleur guide qui mène aux cieux, bien meilleur que ce que peuvent nous enseigner nos pères, nos professeurs et les anciens de l'église. Nous ne pouvons prétendre suivre Dieu avec zèle et dans la sainteté si nous persévérons à vivre, chargés de nos fautes. Pour le psalmiste, c'est une grâce de savoir qu'il peut recevoir toute l'instruction divine. L'âme a toutes sortes de préférences, tout comme le corps. Se délecter dans l'étude de la Parole de Dieu est de loin la meilleure occupation, même si la chair et notre corps n'y voient aucun intérêt. La voie du péché est mauvaise ; plus nous percevrons le bien fondé des préceptes divins, plus nous serons enracinés dans notre haine du péché ; plus nous nous serons préparés dans l'étude des écritures plus nous serons armés contre la tentation.

      Luc 9

      Actes 6

      Romains 4

      Romains 7

      14 Comparé à la sainte règle de conduite de la loi, inhérente à la Parole de Dieu, l'apôtre constate son propre éloignement de la perfection spirituelle : il lui semblait être complètement charnel ; il pensait n’être qu’un homme, vendu contre son gré à un « maître détesté », duquel il ne pouvait obtenir la liberté.

      Un véritable chrétien sert involontairement ce maître honni ; il ne peut se débarrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de Grâce, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le délivrer. Le mal qui subsiste en son cœur est une réelle et humiliante entrave à son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte témoignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du péché.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de sainteté de l’apôtre, de sa connaissance de la spiritualité de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent résider en notre cœur. De nombreux croyants ont adopté ces principes de l'apôtre, montrant qu'ils conviennent à leur aversion profonde du péché, et à l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'étend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causé par la dépravation de son ancienne nature. Il était confronté fréquemment à de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa véritable identité spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le péché qui demeurait en lui, l'apôtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le côté négatif de leurs iniquités, même celles condamnées par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y règne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      Romains 10

      1 Corinthiens 13

      2 Corinthiens 3

      Hébreux 9

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