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2 Samuel 24.2

The king said to Joab the captain of the army, who was with him, "Now go back and forth through all the tribes of Israel, from Dan even to Beersheba, and number the people, that I may know the sum of the people."

Le roi dit à Joab, le chef de l’armée, qui est avec lui : « Va dans tout le pays d’Israël, depuis Dan, au nord, jusqu’à Berchéba, au sud. Fais compter tous les habitants, car je veux savoir combien ils sont. »
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      Deutéronome 8

      Juges 20

      1

      La tribu de Benjamin presque totalement détruite.

      - L'aversion des Israélites vis-à-vis du crime odieux perpétré à Guibea, et leur volonté de tuer les criminels étaient tout à fait normales ; mais ils prirent cette décision avec un cœur rempli de haine, sans vraiment maîtriser leurs actes.

      Dans l'au-delà, la ruine éternelle des âmes sera pire, sans commune mesure avec cette désolation qui régnait alors, au sein des tribus d'Israël !

      2 Samuel 2

      2 Samuel 3

      2 Samuel 8

      2 Samuel 17

      2 Samuel 20

      23 Voici la constitution de la cour de David, après la restauration de ce dernier, sur le trône. Il est bien de voir des hommes capables, chargés d'assurer les fonctions publiques ; ils doivent s'efforcer de remplir fidèlement ces fonctions, comme de fidèles serviteurs de Christ, le « Fils de David ».

      2 Samuel 23

      2 Samuel 24

      1 Chroniques 21

      2 Chroniques 32

      Proverbes 29

      Jérémie 17

      5 Celui qui place sa confiance en l'homme, sera comme la bruyère dedans le désert, comme un arbre nu, un triste arbuste, le produit d'une terre stérile, inutile et sans valeur. Ceux qui se confient en leur propre droiture et en leurs forces, pensant qu'ils peuvent agir sans le secours de Christ, ne s'appuient que sur la « chair », et leur âme ne peut prospérer, loin de toute Grâce ou de tout réconfort.

      Ceux, par contre, qui fondent leur espérance en Dieu, s'épanouiront tels des arbres florissants, dont la feuille ne se flétrit point. Ils vivront l'esprit en paix, pleinement satisfaits ; ils ne seront pas anxieux au temps de la sécheresse. Ceux qui font de Dieu leur « Assurance », trouveront en Lui tout ce dont ils ont besoin. Ils ne cesseront pas de porter le fruit de la sainteté et des bonnes œuvres.

      Le cœur, (« la conscience de l'homme »), dans son état de chute et de corruption, est trompeur par-dessus tout. Il appelle le mal, bien et le bien, mal ; il change l'amertume en douceur. Le cœur est désespérément mauvais ; il est destiné à mourir, inéluctablement. Il est en effet très néfaste, de voir la conscience, dont le rôle est de révéler nos erreurs, nous bercer par de vaines illusions. Nous ne pouvons pas connaître l'état réel de notre cœur, ni savoir quelle sera notre conduite, à l'heure de la tentation. Qui peut comprendre ses propres erreurs ? Combien est-il encore plus difficile de sonder le cœur des autres, ou pire, pouvoir compter sur eux !

      Celui qui, à ce sujet, s'appuie sur les directives divines, et apprend à observer son propre cœur, en constatera le triste état, et en tirera les leçons destinées à diriger sa conduite en conséquence.

      Mais il reste encore dans notre cœur, comme d'ailleurs dans celui des autres, beaucoup d'inconnu : que de méchanceté y réside, Dieu la discerne très bien ! Les hommes peuvent se tromper eux-mêmes, mais on ne peut leurrer Dieu. Celui qui acquiert des richesses par des procédés peu recommandables, ne pourra jamais en tirer une joie paisible, alors qu'il croit pouvoir fonder tout son espoir en elles.

      Tout ceci montre bien les déceptions qu'un tel homme du monde ressentira à la veille de sa mort, sachant qu'il doit laisser ses richesses derrière lui ! Bien que ces dernières ne puissent pas quitter cette terre, il en sera autrement pour la culpabilité d'un homme : elle sera pour lui un tourment éternel.

      L'homme riche se met en peine pour obtenir des biens ; une fois acquis, il les « couve » et devrait pouvoir se reposer ; mais en fait, il n'est jamais satisfait : les voies du péché de la convoitise ont finalement été vaines.

      Soyons sages, réagissons à temps ! Que ce que nous acquérons puisse l'être en toute honnêteté ; sachons être charitables avec ce que nous possédons, nous en tirerons alors une sagesse éternelle !

      2 Corinthiens 12

      7 Dans ce texte, l'apôtre, compte tenu des visions et des révélations qu'il avait reçues précédemment, fait état de la méthode entreprise par Dieu, pour le garder en toute humilité, et le prévenir de toute tentation de s’enorgueillir.

      Il ne nous est pas dit en quoi consistait cette « épine dans la chair » ; il s’agissait peut-être d’un grave problème, ou d’une grande tentation... Mais Dieu accorde souvent le bien par le biais de la souffrance : les reproches que peuvent nous adresser nos adversaires nous aident à nous garder de toute fierté. Si Dieu nous aime, Il nous évitera d'être exalté au-delà de toute mesure ; les fardeaux de toute nature sont ordonnés pour combattre la fierté spirituelle.

      Le texte nous déclare que cette « épine dans la chair » a été envoyée, à titre maléfique, par un ange de Satan ; mais Dieu, Celui qui a permis d’éprouver l’apôtre, l'a « remaniée », pour devenir finalement le bien de Paul.

      La prière est un « onguent » pour chaque plaie, un remède pour chaque maladie ; quand nous sommes affligés par des « épines » dans la chair, nous devons nous consacrer à la prière. Si une réponse n'est pas accordée dans l’immédiat, ou peu après, continuons à prier !

      Les épreuves nous sont envoyées par la Providence pour nous apprendre à prier ; si elles persistent, c’est dans le but de nous apprendre à poursuivre cette prière. Quoique Dieu accepte la prière de la foi, Il n'accorde pas toujours ce qui est demandé : alors qu'Il exauce parfois dans le courroux, Il refuse aussi dans Son Amour. Quand le Seigneur n’éloigne pas de nous les problèmes, ni les tentations, Il nous accorde cependant Sa grâce toute suffisante, de sorte que nous n'avons aucune raison de nous plaindre ! La Grâce manifeste la clémence de Dieu à notre égard ; c'est suffisant pour nous éclairer, nous animer, nous fortifier et nous réconforter dans les détresses et les afflictions.

      La force du Seigneur est parfaitement adaptée à notre faiblesse. Sa Grâce est ainsi manifestée et magnifiée ! Quand nous nous sentons faibles, c'est alors que nous sommes forts, dans la Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ ; quand nous ressentons vraiment cette faiblesse, allons à Christ, pour recevoir Sa force et découvrir cette abondance divine, de Puissance et de Grâce !

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