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2 Timothée 2.14

Rappelle ces choses, en conjurant devant Dieu qu'on évite les disputes de mots, qui ne servent qu'à la ruine de ceux qui écoutent.

Ceux qui sont disposés à lutter, le font bien souvent pour des sujets de piètre importance. Par contre, les querelles verbales ne peuvent que nuire à tout ce qui concerne Dieu.

Dans ce texte, l'apôtre mentionne certaines personnes qui ont fait fausse route. Ces dernières n'ont pas nié la résurrection, mais ont corrompu cette vraie doctrine. Leurs folles paroles erronées pouvaient déstabiliser la foi naissante chez certains...

Le fondement de l’enseignement de Paul repose sur deux textes des Écritures. L’un parle de notre réconfort : nul ne peut détruire la foi de celui que Dieu a choisi. L'autre mentionne notre devoir : ceux qui sont conscients du privilège qu’ils ont, d’être EN Christ, doivent s’en réjouir et prendre conscience de leur devoir.

Christ s'est donné Lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, \\# Tite 2:14\\. Son Église est comparable à une demeure : certains de ses « meubles » sont de grande valeur, d'autres de moindre intérêt, destinés à un usage vil. Certains mauvais professeurs de la piété sont comme ces « vases » de bois et de terre. Quand ces derniers sont jetés au dehors et détruits, les autres sont alors remplis de toute la plénitude de Dieu !

Nous devons par cette métaphore, nous demander : quel type de « vase » sommes-nous ? Chaque personne, approuvée par Dieu au sein de l'Église, sera consacrée au service de son Maître, et sera ainsi apte à être utilisée !

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      1 Samuel 12

      Jérémie 2

      Jérémie 7

      Jérémie 16

      Jérémie 23

      Habacuc 2

      Matthieu 16

      Actes 13

      Actes 15

      Romains 14

      1

      Les Juifs convertis sont mis en garde contre le jugement, et les païens croyants, (les gentils), contre le mépris mutuel. (Romains 14:1-13)
      Les païens sont exhortés à ne pas offenser leur prochain, avec des éléments sans importance. (Romains 14:14-23)

      Au temps où a été rédigé ce texte, différentes opinions ont prédominé, même parmi les partisans immédiats de Christ et de leurs disciples. Paul n’entreprit pas de mettre fin à ces divergences.

      Un assentiment par la contrainte, à une doctrine, ou une recherche de conformité à différentes tendances, sans réelle conviction, serait hypocrite et n’aurait guère de crédibilité. Toute tentative de recherche d’unité d'esprit absolue, parmi les chrétiens est assez illusoire. Que la fraternité chrétienne ne soit pas remise en question, par de simples querelles verbales.

      Il serait bon de nous demander, quand nous sommes tentés de dédaigner et de blâmer nos frères : « appartiennent-ils réellement au Seigneur ? Dans l’affirmative, puis-je oser les désavouer » ?

      Que le chrétien qui se sent entièrement libre, ne méprise pas son frère, pour sa faiblesse, le considérant comme ignorant ou superstitieux. Que le croyant scrupuleux ne trouve pas de faute chez son frère, car Dieu l'a accepté en tant que tel, sans considération spéciale, ni distinction, quant au choix de sa nourriture.

      Quand nous jugeons ainsi les pensées et les intentions de ceux qui n’ont pas les mêmes points de vue que les nôtres, nous usurpons pour ainsi dire, la place de Dieu. Il en est de même pour ceux qui préfèrent certains jours à d’autres. Ceux qui savaient que tous les rites inhérents à la loi étaient caduques, par la venue de Christ, ne tenaient même pas compte des fêtes des Juifs.

      Il n'est pas suffisant que notre conscience soit en accord avec nos actes ; il est essentiel qu’ils soient aussi conformes à ce que prescrit la Parole de Dieu. Veillons à ce que toute action ne s'oppose pas à ce que notre conscience nous dicte. Nous avons rapidement tendance à faire de nos propres opinions, le standard de la vérité, en jugeant négativement les actes de notre prochain. Souvent les chrétiens méprisent ou condamnent les autres sur des sujets douteux, sans réelle importance.

      Un regard reconnaissant vers Dieu, l'Auteur et le Donateur de toutes grâces, les sanctifie et nous pousse à reconnaître qu’elles sont merveilleuses !

      Galates 1

      Ephésiens 4

      17 L'apôtre exhorte les chrétiens d’Éphèse, au Nom et par l'autorité du Seigneur, à ne pas continuer à vivre comme les impies, qui marchent dans de vaines convoitises et diverses affections charnelles.

      Les Païens, de tous côtés, ne marchent-ils pas dans la vanité de leur esprit ? Ne devons-nous pas faire la distinction entre les véritables chrétiens et ceux qui ne le sont « que de nom » ?

      Ceux qui se livrent au péché ne possèdent aucune connaissance du salut ; ils sont assis dans les ténèbres, les préférant à la lumière. Ils ont une aversion et de la haine pour la sainteté : elle ne représente par pour eux le chemin de vie que Dieu exige et approuve, et par lequel nous vivons pour Lui ; cette sainteté est aussi la ressemblance à Dieu Lui-même, dans Sa pureté, Sa justice, Sa vérité et Sa bonté.

      La Vérité de Jésus-Christ se manifeste dans Sa magnificence et Sa puissance.

      L’homme, par nature, est corrompu ; sa nature est composée de divers éléments, se soutenant et s’activant tous ensemble : les désirs coupables ne sont que des convoitises trompeuses ; ils promettent le bonheur, mais en fait, rendent plus misérable ; ils conduisent à la destruction, s'ils ne sont pas combattus ni mortifiés. Ces mauvais penchants doivent être abandonnés, tels de vieux vêtements souillés ; ils doivent être éradiqués.

      Il n'est pas suffisant d’abandonner la corruption ; nous devons également posséder les principes de la Grâce. Par « l'homme nouveau » il faut comprendre la « nouvelle nature », la « nouvelle créature », dirigée par un nouveau principe : la Grâce qui régénère, incitant le racheté à mener une nouvelle vie, de justice et de sainteté. Toute cette « marche spirituelle » est générée par le pouvoir tout-puissant de Dieu !

      1 Thessaloniciens 4

      1

      Exhortations à la pureté et la sainteté. (1 Thessaloniciens 4:1-8)
      À l'amour fraternel, à une conduite pacifique et à la diligence dans la piété. (1 Thessaloniciens 4:9-12)
      Ne pas être affligé par la disparition des frères dans la foi, compte tenu de la résurrection glorieuse de leurs corps, lors de la seconde venue de Christ. (1 Thessaloniciens 4:13-18)

      Le fait de suivre la doctrine de l'Évangile n'est pas suffisant, nous devons en plus, progresser dans la foi. C’est pour chacun une règle, qui consiste à marcher et agir selon les commandements donnés par le Seigneur Jésus-Christ.

      La sanctification dans le renouvellement spirituel des Thessaloniciens, sous l’influence du Saint-Esprit, et dans le respect de leurs devoirs attitrés, représentait vraiment la Volonté divine, à leur égard. En aspirant à ce renouvellement de l'âme, dans la sainteté, une stricte retenue doit être appliquée envers nos mauvais penchants charnels et nos vaines pensées, qui ne peuvent nous conduire qu’à mal utiliser nos dons.

      Le Seigneur n'appelle personne dans « Sa famille », pour vivre une vie profane ; Il désire au contraire voir les Siens garder Son enseignement, afin qu’ils marchent dans la sainteté.

      Certains ne perçoivent que les « lueurs » des préceptes de cette sainteté, parce qu'ils n’entendent que l’enseignement des hommes ; mais ils doivent en fait suivre les commandements de Dieu ; les contourner, c'est mépriser Dieu...

      2 Thessaloniciens 3

      6 Ceux qui ont reçu l'Évangile dans leur cœur, doivent vivre selon Ses préceptes.

      Ceux qui sont aptes à travailler et qui refusent de le faire, ne doivent pas cependant rester inactifs. Le christianisme n'approuve pas la paresse, car cela découragerait toute bonne volonté, tout soutien aux malades et aux affligés. Le travail est un devoir, exigé par notre vocation de chrétiens.

      Certains, parmi les Thessaloniciens, prétendaient pouvoir rester inactifs, ce qui révélait leur tempérament vaniteux et leurs vaines recherches philosophiques. Ils se mêlaient des divers problèmes des autres, générant ainsi beaucoup de mal.

      Quelle erreur que de se servir de la piété pour couvrir différents abus, inactions ou tout autre péché ! Le serviteur qui, le cœur en paix, attend la venue de son maître, doit travailler comme le Seigneur le recommande. Si nous restons oisifs, le diable et notre cœur corrompu trouveront bien vite de quoi nous occuper ! L'esprit de l'homme ne reste pas inactif ; s'il n'est pas consacré à la pratique du bien, il se tournera vers le mal. Il est excellent de rester actif dans notre travail, tout en restant en paix avec ceux notre entourage !

      Si, parmi les Thessaloniciens, quelqu'un refusait de travailler, il devait être censuré et se séparer de son groupe, après avoir cependant subi différents avertissements (amicaux.)

      Le Seigneur vous soutient lorsque vous êtes en communion avec Lui. Il veille sur vos voies, et ce, jusqu'à la fin de votre périple ici-bas. Ne nous lassons jamais d’effectuer notre travail, nous aurons assez de temps pour nous reposer, lorsque nous serons dans les cieux !

      1 Timothée 1

      1 Timothée 4

      1 Timothée 5

      1 Timothée 6

      2 Timothée 1

      6 Dieu ne nous a pas donné un esprit de crainte, mais un esprit de puissance, de courage et de détermination, à l’encontre des difficultés et des dangers ; un esprit d'amour envers Lui, qui nous fortifiera, lors de toute opposition à l’Évangile ; un esprit sensé, en paix.

      Le Saint-Esprit ne pousse pas à la timidité ni à la lâcheté, ni vers des craintes serviles. Nous sommes tout à fait capables, par la force et la puissance de Dieu, de pouvoir supporter les diverses calamités qui pourraient nous assaillir.

      De manière habituelle, Paul, lorsqu’il mentionne Christ et Sa rédemption, nous en fait discerner le côté merveilleux, car Jésus est notre salut et doit être l’objet de tous nos désirs. L'appel de l'Évangile est un saint appel, qui pousse à la sainteté. Le salut vient de la Grâce, libre et gratuite. Il est dit dans la Parole, que ceci nous a été donné avant que le monde ne fut créé : ce salut était bien le but de Dieu, de toute éternité, salut EN Jésus-Christ ; tous les dons qui proviennent de Dieu, envers l'homme coupable, ne peuvent provenir qu’au travers de Christ.

      Comme nous avons une claire perspective de bonheur éternel, par la foi en Christ, la « Résurrection et la Vie », acceptons de tout cœur Son salut pour notre âme. Ceux qui s'attachent à l'Évangile ne doivent éprouver aucune honte, ce qui ne pourrait que leur nuire gravement ; par contre, ceux qui s'y opposent, connaîtront l’opprobre.

      L'apôtre avait confié sa vie, son âme, et ses intérêts éternels, au Seigneur Jésus. Aucun autre que Lui ne peut délivrer et sécuriser l'âme, malgré les épreuves de la vie et de la mort.

      Le jour vient où notre âme sera « pesée » : « une âme t'a été confiée, comment l'as-tu « employée » ? Au service du péché, ou à celui de Christ ? L'espérance des véritables chrétiens, même les moindres, repose sur le même fondement que celle de l’apôtre Paul. Il a appris, de la même manière que d’autres hommes pieux, la valeur de son âme et le danger qui la guette ; il a lui aussi, cru en Christ ; le changement apporté en son âme est un témoignage pour le croyant, il le convainc que le Seigneur Jésus le gardera pour l'amener dans son Royaume céleste.

      Paul exhorte Timothée à s'appuyer fermement sur les saintes Écritures, car tout le fondement de la Vérité de l'Évangile réside est en Elles. Il n'est pas suffisant de donner notre assentiment à la sainte Parole, nous devons en plus L’aimer. La doctrine chrétienne est une « charge » qui nous est confiée ; elle est d'une ineffable valeur, et sera toujours pour nous un avantage inestimable. Elle nous est confiée pour être conservée pure et entière ; nous ne devons pas cependant penser la garder en notre cœur par notre propre force, mais par le pouvoir du Saint-Esprit, qui demeure en nous ; cela ne pourra pas se réaliser chez ceux qui placent leur confiance qu’en leur propre cœur, et qui ne s'appuient que sur leurs propres raisonnements.

      2 Timothée 2

      14 Ceux qui sont disposés à lutter, le font bien souvent pour des sujets de piètre importance. Par contre, les querelles verbales ne peuvent que nuire à tout ce qui concerne Dieu.

      Dans ce texte, l'apôtre mentionne certaines personnes qui ont fait fausse route. Ces dernières n'ont pas nié la résurrection, mais ont corrompu cette vraie doctrine. Leurs folles paroles erronées pouvaient déstabiliser la foi naissante chez certains...

      Le fondement de l’enseignement de Paul repose sur deux textes des Écritures. L’un parle de notre réconfort : nul ne peut détruire la foi de celui que Dieu a choisi. L'autre mentionne notre devoir : ceux qui sont conscients du privilège qu’ils ont, d’être EN Christ, doivent s’en réjouir et prendre conscience de leur devoir.

      Christ s'est donné Lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, \\# Tite 2:14\\. Son Église est comparable à une demeure : certains de ses « meubles » sont de grande valeur, d'autres de moindre intérêt, destinés à un usage vil. Certains mauvais professeurs de la piété sont comme ces « vases » de bois et de terre. Quand ces derniers sont jetés au dehors et détruits, les autres sont alors remplis de toute la plénitude de Dieu !

      Nous devons par cette métaphore, nous demander : quel type de « vase » sommes-nous ? Chaque personne, approuvée par Dieu au sein de l'Église, sera consacrée au service de son Maître, et sera ainsi apte à être utilisée !

      2 Timothée 4

      1 L'apôtre Paul recommande solennellement à Timothée de s’appliquer, dans l’exercice de son ministère, bien que beaucoup, dit-il, ne supporteront pas la saine doctrine. (2 Timothée 4:1-5) Il renforce cette recommandation, à l’approche de son propre martyre. (2 Timothée 4:6-8) Paul désire que Timothée vienne le voir rapidement. (2 Timothée 4:9-13) Paul avertit ceux qui l'ont abandonné ; il exprime sa foi, quant à son départ vers le royaume céleste. (2 Timothée 4:14-18) Salutations amicales et bénédiction habituelle. (2 Timothée 4:19-22)

      2 Timothée 4:1-5 Il viendra un temps où les hommes se détourneront de la Vérité : ils se lasseront d’entendre l’Évangile de Christ, en se tournant avec plaisir vers les « fables » du monde.

      Ces personnes prendront de telles voies, qu’elles ne supporteront plus toute prédication qui puisse les déranger.

      Ceux qui éprouvent de la compassion pour les âmes doivent toujours rester très vigilants, ils doivent supporter toutes les douloureuses épreuves inhérentes à leur fidélité, et saisir toutes les occasions de faire connaître l’Évangile !

      Tite 3

      Hébreux 13

      2 Pierre 1

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