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Actes 16.10

Aussitôt après cette vision, nous nous disposâmes à passer en Macédoine, concluant que le Seigneur nous appelait à y annoncer l'Évangile.
À la suite de cette vision de Paul, nous avons aussitôt cherché une occasion de passer en Macédoine, car nous en tirions la conclusion que Dieu lui-même nous appelait à prêcher la Bonne Nouvelle dans cette contrée.
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      Psaumes 119

      Proverbes 3

      27 Notre rôle est d'observer les préceptes de Christ et Son exemple ; nous devons pratiquer la justice, aimer la miséricorde, et nous méfier de la convoitise ; sachons être prêts pour toute œuvre bonne, éviter tout conflit inutile, et supporter les injures, dans la mesure du possible, plutôt que de chercher à les faire réprimer par la loi.

      Ce qui est obtenu par la lutte, n'offre qu'un piètre avantage. N’envions pas ceux qui nous oppressent, qui sont prospères ; en tant que disciples de Christ, n’empruntons aucune de leurs voies...

      Ces vérités peuvent être méprisées par le cupide et l'envieux, mais le rejet éternel sera leur part ; la faveur divine, de son côté, sera révélée à l'humble croyant !

      Actes 10

      Actes 14

      Actes 16

      16 Satan, le père du mensonge, saura parfois déclarer de grandes vérités, afin de pouvoir atteindre ses buts. Certains prédicateurs profanes de l'évangile font beaucoup de mal aux véritables serviteurs de Dieu, et il est parfois difficile de les distinguer.

      Ceux qui pratiquent le bien, en conseillant aux hommes de fuir le péché, peuvent s’attendre à être traités par leur entourage, de fauteurs de troubles. Alors qu'ils inculquent aux hommes de craindre Dieu, de croire en Christ, d’abandonner le péché et à vivre dans la piété, ils seront hélas accusés d'enseigner de mauvaises coutumes...

      Actes 20

      7 Bien qu’à titre personnel, les disciples, lisaient, méditaient, priaient, chantaient, maintenant ainsi leur communion avec Dieu, ils se réunissaient tous ensemble, pour adorer Dieu et pour renforcer leur communion fraternelle. Ils s’assemblaient le premier jour de la semaine, le jour du Seigneur.

      Le respect de ce premier jour doit être vraiment observé par tous les enfants de Dieu. En rompant le pain, nous commémorons d’une part, le corps de Christ, rompu pour nous, en sacrifice pour nos péchés, mais ce pain représente aussi une « nourriture spirituelle » et une fête pour notre âme. Dès les premiers temps de l’église, il était déjà coutumier de célébrer la Sainte Cène, au jour du Seigneur, pour commémorer la mort de Christ.

      Paul prêcha dans l’assemblée de Troade. La prédication de l'évangile doit aller de pair avec les sacrements. Tous étaient disposés à entendre Paul, ce qu’il remarqua avec joie ; il poursuivit donc son discours jusqu'à minuit. Il est vraiment mauvais de dormir quand la Parole de Dieu est prêchée, cela révèle manifestement un manque de respect à Son égard. Nous devons faire notre possible pour prévenir tout risque de somnolence au sein de l’église ; ne nous laissons pas aller, mais disposons notre cœur pour qu’il soit réceptif à la prédication donnée, chassons le sommeil !

      Une infirmité doit attirer de la compassion, mais le mépris d’une exhortation spirituelle exige une certaine sévérité. La chute de ce jeune homme interrompit la prédication de l'apôtre ; en fait, cet incident eut lieu pour confirmer cette dernière. Eutychus a été ramené à la vie. Comme les frères ne savaient pas quand ils pourraient bénéficier de nouveau de la compagnie de Paul, ils lui demandèrent de prêcher le plus possible, estimant qu'une nuit de sommeil perdue n'était rien, face au bénéfice tiré de son enseignement.

      Qu’elles sont rares les heures de repos interrompues dans des buts de dévotion ! Mais que de nuits passées dans de simples amusements ou des réjouissances coupables ! Qu’il est difficile de développer la vie spirituelle dans le cœur de l'homme ! Les pratiques charnelles n’y fleurissent hélas que trop...

      13 Paul se hâtait de rentrer à Jérusalem, mais il essayait, en chemin, de pratiquer le bien de lieu en lieu, accomplissant ainsi son devoir.

      Quand on se consacre à Dieu, les priorités personnelles, comme celles en faveur de nos amis, doivent souvent être placées au second plan ; nous ne devons pas perdre de temps avec nos diverses relations, quand le devoir pour le Seigneur nous appelle ailleurs.

      Actes 21

      1

      Le voyage de Paul vers Jérusalem. (Actes 21:1-7)
      Paul à Césarée. La prophétie d'Agabus. Paul à Jérusalem. (Actes 21:8-18)
      On lui demande de se conformer aux coutumes. (Actes 21:19-26)
      Paul, en danger parmi les Juifs, est secouru par les Romains. (Actes 21:27-40)

      Nous devons reconnaître les effets de la Providence, lorsque nos « affaires » avancent pour le mieux. Quel que soit le lieu où Paul se rendait, il se renseignait sur la présence éventuelle de disciples, ne cherchant qu’à les rencontrer. Pressentant les épreuves que l’apôtre allait devoir subir, ces frères en Christ, par amour pour lui et par souci pour l'église, pensaient à tort qu’il était préférable, pour la Gloire de Dieu, qu'il puisse restreindre sa liberté de déplacement ; mais leurs efforts de dissuasion ne faisaient que renforcer la détermination de Paul, de se rendre à Jérusalem...

      Ce récit nous enseigne qu’il faut prier, prier sans cesse. La tristesse de ce dernier adieu adressé à Paul fut atténuée par la chaleur spirituelle de la prière en commun, avec les disciples.

      8 Paul avait été expressément averti des épreuves qui l'attendaient à Jérusalem, de façon à ce qu’il ne soit pas surpris.

      L’enseignement général qui nous est donné dans ce texte nous montre que ce n'est qu’au travers de beaucoup de tribulations que nous devons entrer dans le Royaume de Dieu, et que nous devons réagir comme le faisait Paul. Les disciples, par leurs larmes, tentèrent en vain de dissuader Paul de se rendre à Jérusalem... Notre Maître ne nous a-t-Il pas dit de porter notre croix ? L’apôtre était vraiment ému de voir à quel point ces disciples tentaient, pour sa sécurité, de le faire changer d’avis.

      Quand nous voyons venir l’épreuve, il nous appartient non seulement de dire : « la volonté du Seigneur doit s’accomplir quelle que soit la conjoncture », mais aussi : « que cette Volonté divine s’accomplisse, car Il est la Sagesse, et Il réalise tout en tant que tel ». Lorsque nous sommes assaillis de problèmes, il est bon de se souvenir que la Volonté du Seigneur EST respectée et qu’elle le SERA toujours ; sachons prononcer en de tels cas « Amen » !

      Qu’il est honorable d'être un « vieux » disciple de Jésus-Christ, d'avoir été autorisé, par la Grâce de Dieu, à pouvoir persévérer dans l’exercice de notre devoir, en restant ferme dans la foi et en croissant de plus en plus dans la piété, jouissant ainsi d’une bonne vieillesse ! Chaque enfant de Dieu aimerait vivre ainsi : le nombre des années ne peut qu'augmenter la sagesse.

      De nombreux frères reçurent Paul avec plaisir, à Jérusalem. Nous pourrions penser qu’il en aurait été de même pour nous, en de telles circonstances, sinon nous devrions avoir des doutes quant à l’authenticité de notre nouvelle naissance en Jésus-Christ !

      Actes 26

      Actes 27

      1

      Le voyage de Paul vers Rome. (Actes 27:1-11)
      Paul et ses compagnons sont en danger, lors d’une tempête. (Actes 27:12-20)
      Paul reçoit l’assurance divine de sa sécurité. (Actes 27:21-29)
      Il encourage ceux qui sont avec lui. (Actes 27:30-38)
      Ils font naufrage. (Actes 27:39-44)

      Il était déterminé par la Providence divine, (avant que cela ne soit décidé par Festus), que Paul devait se rendre à Rome : Dieu avait une tâche à accomplir, par l’intermédiaire de Son serviteur.

      Ce texte nous indique l’itinéraire suivi par Paul et ses compagnons de voyage. Dieu encourage ceux qui souffrent pour Sa cause, à Lui faire confiance : Il a pu en effet disposer favorablement le cœur de ceux qui escortaient Paul. Les marins, pour conduire le navire, devaient exploiter au mieux la direction du vent : nous devons agir de même, lors de notre passage sur « l'océan » de ce monde. Lorsque les vents sont contraires, nous devons nous efforcer d'avancer du mieux que nous pouvons. Beaucoup de personnes ne reculent pas, face aux circonstances défavorables ; cependant, elles n'avancent guère davantage lorsque ces dernières sont meilleures. De nombreux chrétiens véritables se plaignent quand leur âme est confrontée aux inquiétudes, ils éprouvent beaucoup de difficultés à garder leur « base » spirituelle.

      Chaque refuge agréable n'est pas forcément dépourvu de danger. Beaucoup manifestent un certain respect devant les serviteurs de Dieu ; ils n’écoutent pas cependant leurs conseils avisés... La suite des événements de ce récit allait bientôt convaincre les navigateurs de la vanité de leurs espoirs, et de la folie de leur conduite.

      12 Ceux qui se lancent sur « l'océan » de ce monde avec un « vent » agréable, ne savent pas quelles tempêtes ils peuvent rencontrer ; ils ne doivent donc pas trop rapidement tenir leur but pour acquis. Ne soyons jamais sûrs d'être hors de danger tant que nous ne serons pas arrivés au ciel.

      Les hommes de ce navire ne virent ni le soleil ni les autres astres durant de nombreux jours. La mélancolie peut quelquefois envahir les enfants de Dieu, dans le domaine spirituel ; ils marchent dans les ténèbres, ne recevant aucune lumière.

      Remarquez dans ce texte ce qu'il advient des richesses de ce monde : bien que convoitées, telles des bénédictions, il peut arriver un moment où elles deviennent de véritables fardeaux : non seulement elles sont alors trop encombrantes à transporter de façon sûre, mais suffisamment lourdes pour entraver celui qui les possède. Les « enfants de ce monde » peuvent être prodigues de leurs biens, pour rester en vie, alors qu'ils en sont avares en ce qui concerne les œuvres de piété et de charité, voire dans la souffrance pour la cause de Christ.

      Tout homme acceptera de perdre ses richesses, plutôt que sa vie ; par contre, beaucoup de personnes accepteront le « naufrage » de leur foi et d'une bonne conscience, plutôt que celui de leurs biens.

      Nous voyons dans ce texte que les moyens utilisés par ces marins n'ont pas réussi à sauver le navire ; quand les impies perdent toute espérance de se sauver par eux-mêmes, ils sont alors prêts à comprendre la Parole de Dieu, et à avoir confiance en Sa Miséricorde, par le biais de Jésus-Christ...

      21 Nous constatons que ces hommes n'ont pas voulu écouter l'apôtre, quand il les avait prévenus du danger encouru ; cependant, en reconnaissant leur folie, et en se repentant de leur erreur, ils allaient être réconfortés et soulagés par Paul, lors de l’imminence du naufrage.

      De nombreuses personnes ne connaissent pas leur bonheur et sombrent dans le défaitisme : elles en arrivent à se nuire et à tout perdre, en voulant améliorer leur condition, malgré les bons conseils qu’elles peuvent recevoir.

      Observons la profession solennelle que Paul fait de sa relation avec le Seigneur : les orages et les tempêtes ne peuvent entraver l’action de la Miséricorde de Dieu à l’égard Son peuple, car Il est une Aide toujours disponible. Il est réconfortant pour les fidèles serviteurs de Dieu qui traversent des difficultés, de se rappeler qu'aussi longtemps que le Seigneur aura un travail à leur confier, leurs vies seront prolongées.

      Si Paul avait été confié à des marins de mauvaise réputation, il aurait pu être jeté par dessus bord avec eux ; mais Dieu l'avait lui-même appelé à se joindre à cet équipage, et tous furent préservés. « Dieu t’a donné tous ceux qui naviguent avec toi » ; il n'y a pas de plus grande satisfaction pour un homme pieux, que de savoir qu'il est une bénédiction pour tous. Il peut réconforter son entourage par les mêmes paroles avec lesquelles il a lui-même été consolé.

      Dieu est toujours fidèle ; tous ceux qui se confient en Ses promesses sont toujours joyeux. Avec Dieu, le « dire » et le « faire » sont indissociables ; il devrait en être de même pour nous, avec les verbes « croire » et « aimer ».

      L'espérance est une « ancre » pour l'âme, sûre et solide, qui la garde à l’abri de tous dangers. Que ceux qui traversent spirituellement les ténèbres, puissent tenir ferme, grâce à cette ancre ; qu’ils sachent qu’ils ne seront pas « rejetés à la mer », mais gardés par Christ ! Qu'ils puissent, comme Paul, attendre jusqu'à l'aube, et les ombres funestes disparaîtront !

      30 Dieu, qui avait déterminé le bon déroulement de la fin du voyage de Paul, fit en sorte, par Sa Puissance, que les soldats qui l’escortaient puissent être également sauvés.

      Notre devoir nous concerne, par contre, le cours des événements est dans la main de Dieu ; si nous disons que nous nous mettons sous Sa protection et que nous n'utilisons pas les moyens sécurisants qu’Il met à notre disposition, nous n'avons pas en fait, une totale confiance en Lui et nous Le tentons. Les hommes sont en général assez égoïstes, ils sont souvent prêts à rechercher leur propre sécurité au détriment des autres...

      Heureux ceux qui disposent pour les aider, d’un homme tel que Paul : celui-ci avait non seulement une relation avec le Ciel, mais il cherchait aussi à sauver ceux qui l’entouraient.

      La sentence du monde, c’est la mort, alors que la joie en Dieu est synonyme de vie et de paix, même au temps des plus grandes détresses et des dangers. Le réconfort des promesses de Dieu ne peut être efficace que si nous croyons à notre dépendance en Lui et à l'accomplissement de Sa Parole ; la délivrance qu'Il a prévue pour nous, au temps de l’épreuve, doit être attendue par le biais des moyens qu'Il a mis en œuvre. Si Dieu a prévu notre salut, Il a aussi déterminé que nous l'obtiendrons par la repentance, la foi, la prière, et une obéissance persévérante ; qu’il est présomptueux de vouloir être sauvé d'une autre manière !

      Il est encourageant, pour ceux qui désirent s'engager envers Christ, notre Sauveur, d’écouter le témoignage personnel de ceux qui ont déjà parcouru ce chemin !

      39 Le bateau où se trouvait Paul, avait résisté jusqu’à présent, à la tempête en pleine mer, mais il se fracassa dès qu’il aborda la côte.

      De manière imagée, si le cœur s’attache aux attraits du monde, il court à la perdition et finit par se briser. Les tentations de Satan le harcèlent sans cesse et il part à la dérive. Mais aussi longtemps que ce cœur tente de rester à l’écart du monde, malgré les attaques de celui-ci, par le biais des soucis et des tumultes, il lui reste de l'espérance spirituelle.

      Les occupants du navire où se trouvait Paul avaient le rivage en vue, ils ont cependant fait naufrage à proximité d’une plage. Cela nous rappelle qu’il ne faut jamais nous croire en sécurité. Bien qu'il y ait de grandes difficultés à parcourir le chemin étroit vers le salut promis, il sera franchi ; il le sera, quels que soient les épreuves et les dangers, au moment où tous les croyants arriveront « en sécurité » au ciel !

      Seigneur Jésus, Tu nous a assurés qu'aucun de ceux qui T'appartiennent ne périra. Tu feras « accoster » chacun d'eux, sain et sauf, sur le « rivage céleste ». Quel accueil merveilleux ce sera ! Tu présenteras Ton peuple à Ton Père, et tous pourront jouir éternellement de la plénitude complète du Saint-Esprit !

      Actes 28

      1

      Paul est reçu avec bienveillance à Malte. (Actes 28:1-10)
      Il arrive à Rome. (Actes 28:11-16)
      Son exposé avec les Juifs. (Actes 28:17-22)
      Paul prêche devant les Juifs ; il demeure prisonnier à Rome. (Actes 28:23-31)

      Dieu peut faire en sorte que des étrangers nous traitent spontanément en amis, même au temps de la détresse. Ceux qui sont parfois méprisés pour leur simplicité, sont souvent plus amicaux que ceux qui se distinguent par leur « raffinement » ; la conduite de certains païens, voire certains exclus, condamne facilement de nombreuses personnes, soi-disant « civilisées », témoignant de leur appartenance au Seigneur.

      Les habitants de cette île pensaient que Paul était un assassin, et que cette vipère était envoyée par la Justice divine, pour venger le sang versé. Ils étaient convaincus qu'il y a un Dieu qui gouverne le monde, et que les évènements n'arrivent jamais par hasard, même les plus bénins : pour eux, tout était mené par la direction divine, et le mal poursuivait immanquablement les pécheurs ; ils savaient aussi que Dieu récompensait les bonnes œuvres, et qu’Il punissait les mauvaises. Ces hommes savaient également que le meurtre est une faute épouvantable, qui ne devait pas rester longtemps impunie. Ils étaient persuadés que tous les méchants de ce monde devaient être punis durant leur vie.

      Bien qu'il y ait ici-bas des exemples qui prouvent qu'il y a un Dieu et une Providence, beaucoup de coupables restent cependant impunis, ce qui montre qu'il y aura un Jugement divin à venir.

      Ces habitants de Malte pensaient également que ceux qui étaient particulièrement affligés ici-bas étaient de mauvaises gens. La révélation divine met véritablement ce sujet en lumière : les hommes bons sont souvent grandement affligés, afin que leurs épreuves affermissent leur foi et leur patience.

      Remarquons comment Paul fut délivré du danger ; il en est ainsi pour la Grâce de Christ : les croyants « secouent » les « tentations » de Satan, avec une sainte résolution. Quand nous méprisons les blâmes et les reproches des hommes, les regardant avec un saint mépris, ayant notre conscience en paix, nous devons, comme Paul, « secouer la vipère dans le feu » : nous n'aurons aucun mal, et nous serons gardés, dans l’exercice de notre devoir.

      N’étant pas atteint par la morsure de ce serpent, Paul obtint, par la Puissance divine une certaine célébrité parmi son entourage : il a ainsi ouvert une voie pour la réception de l'Évangile. Le Seigneur procure des amis à Son peuple, en chaque lieu où Il le conduit ; il en découle de nombreuses bénédictions pour ceux qui sont dans la détresse !

      11 Les banalités d'un voyage sont généralement sans grand intérêt ; par contre, le réconfort qui découle de la communion avec les saints, parfois éloignés, et la gentillesse témoignée par des amis, méritent une mention particulière !

      Les chrétiens de Rome étaient vraiment loin d’éprouver de la honte ou une certaine gène envers Paul, en tant que prisonnier, ils étaient assez empressés pour lui témoigner toute leur fraternité et leur respect. Paul en fut grandement réconforté.

      Quand nos amis nous manifestent leur gentillesse, c’est Dieu qui incline leur cœur en ce sens, et nous devons Lui en donner toute la gloire. Quand nous voyons, en quelque endroit que ce soit, des personnes « porter » le Nom de Christ, craindre Dieu et Le servir, nous devons élever notre cœur vers le ciel en actions de grâces. Combien de personnages importants sont entrés dans Rome, en grand triomphe et ont été couronnés ! Certains étaient pourtant de véritables fléaux en ce monde...

      Nous voyons ici l’apôtre Paul, cet homme juste, faire son entrée dans Rome, enchaîné, tel un pauvre coupable, or il représentait, plus que quiconque, une des plus grandes bénédictions pour cette ville.

      Cette situation humiliante de l’apôtre n'est-elle pas suffisante pour nous écarter à jamais de la vanité et des faveurs du monde ? Ce fait peut encourager ceux qui sont prisonniers pour la cause du Seigneur, car Il peut faire en sorte d’accorder à ceux qui les détiennent, une certaine clémence à leur égard.

      Lorsque Dieu semble tarder à délivrer Son peuple de l'oppression, mais qu’Il adoucit cependant son sort en lui donnant toute la patience requise, ce dernier a toutes les raisons d'en être reconnaissant !

      2 Corinthiens 2

      12 Tous les triomphes spirituels d'un croyant résident en Christ. À Lui reviennent la louange et la joie de nous tous ; que le succès de la diffusion de l'Évangile réjouisse chaque chrétien !

      À l’époque de l’apôtre, lors des triomphes et des réjouissances, l'abondance de parfums et d'odeurs doucereuses était courante ; de même, le Nom et le salut offert par Jésus, tels un onguent répandu, répandaient une odeur spirituelle agréable en tout lieu. Pour certains, l'Évangile a une saveur de mort et il conduit au trépas. Ils Le rejettent, pour leur ruine. Pour d'autres, ce même Évangile a comme but, la vie : alors qu’Il touchait leur cœur au début, quand ils étaient « morts » dans leurs péchés, Il les sollicite désormais, en tant que « vivants », pour les conduire vers la vie éternelle.

      Notez le triste impact du dernier verset de ce texte, dans le cœur de l'apôtre : nous devrions avoir la même réaction. Le ministère chrétien est important, nous ne disposons d’aucune force personnelle pour l’accomplir ; toutes nos capacités proviennent de Dieu. Tout ce que nous faisons de notre propre chef, à moins que cela ne soit fait en toute sincérité, sous le regard du Seigneur, ne vient pas de Lui, et n’à aucune portée.

      Puissions-nous veiller attentivement sur nous-mêmes, quant à ce genre d’activité. « Écoutons » le témoignage de notre conscience, sous l'enseignement de l'Esprit Saint, qui sincèrement, est le Seul qui puisse pleinement nous révéler Christ !

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