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Actes 2.9

Parthes et Mèdes et Élamites, et nous qui habitons la Mésopotamie, la Judée et la Cappadoce, le Pont et l'Asie,

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      Genèse 10

      Genèse 14

      1

      La guerre des rois, Lot est fait prisonnier. (Genèse 14:1-12)
      Abram sauve Lot. (Genèse 14:13-16)
      Melchisédek bénit Abram. (Genèse 14:17-20)
      Abram restaure la paix. (Genèse 14:21-24)

      Les guerres entre les différentes nations constituent l'histoire, mais nous n'aurions eu aucun écho des faits relatés dans ce chapitre si Abram et Lot n'avaient été concernés. Le cœur plein de convoitise, Lot s'est établi dans un riche pays, gâté cependant par la méchanceté de Sodome. Ses habitants avaient le cœur rempli du désir de vengeance, comparé aux descendants de Canaan. Ces envahisseurs venaient de Chaldée et de Perse et n'avaient possédé que des royaumes relativement modestes. Ils ont vite identifié tous les biens de Lot. Bien que ce dernier soit vertueux et fils du frère d'Abram, il vivait avec les problèmes dus à ceux qu'il côtoyait. Ni notre piété, ni le fait d'être en communion avec le Ciel, ne peuvent garantir notre sécurité, si les jugements divins ne sont pas en notre faveur. Le prix à payer lorsqu'un un honnête homme se trouve parmi les méchants, peut être énorme : il est sage de se séparer, où au moins, de se distinguer de telles personnes, 2Corinthiens 6:17.

      Il eut mieux valu que ce parent d'Abram soit plutôt en sa compagnie ou à son service. Si Lot a choisi de demeurer à Sodome, il a dû en assumer tous les problèmes résultants.

      Quand nous nous écartons du chemin dicté par notre devoir, nous nous plaçons délibérément loin de la protection divine, et nous ne devons pas nous attendre à prospérer ou à être bénis. Les vainqueurs prirent tous les biens de Lot ; il est normal de recevoir la juste rétribution de notre conduite, à savoir être privé de la communion divine, quand nous nous éloignons du Seigneur.

      Genèse 24

      10 Le serviteur d'Abraham remercie Dieu avec une fervente piété. Nous avons un intérêt certain à recommander nos affaires à la providence divine. Le serviteur a suggéré à l'Éternel de recevoir un signe de Sa part, de façon à ne pas continuer sa mission plus loin, en cas de non réponse ; il s'agit en fait d'une prière pour que Dieu fournisse une bonne épouse pour son jeune maître ; c'était une bonne prière. Cette future épouse devait être simple, travailleuse, humble, gaie, utile, et hospitalière. Quels que soient les critères exigés par la mode, les habitudes, aussi bien que la piété, cela nous indique que ce sont les qualifications appropriées pour une épouse et une mère ; elle se doit d'être une compagne pour son mari, de gérer les soins domestiques, et d'être apte à former le caractère de ses enfants.

      Quand le serviteur est venu chercher une épouse pour son maître, il ne s'est pas rendu dans les endroits d'amusement et de plaisir du monde, il a prié pour qu'il puisse rencontrer une jeune fille sérieuse, près du puits. Il a prié pour que Dieu soit satisfait de sa façon de procéder et qu'Il aplanisse son chemin.

      Notre temps est dans la main de Dieu, non seulement en ce qui concerne les événements eux-mêmes, mais également leur accomplissement, au temps convenable. Nous devons être zélés dans la recherche de la volonté divine, de peur que le déroulement des événements ébranle notre foi, au lieu de l'affermir.

      Mais Dieu a clairement répondu au serviteur, en facilitant sa mission. Rébecca a répondu en tous points aux attributs qu'il a recherchés pour la femme qui devait être l'épouse de son maître. Quand elle est venue au puits, elle est descendue et a rempli sa cruche, puis elle est remontée pour rentrer chez elle. Elle ne s'est pas arrêtée pour regarder l'homme étrange entouré de ses chameaux, mais elle s'est occupée de ses affaires sans s'en détourner, sauf dans le but de faire une bonne action. Elle n'a pas entamé de discussion avec cet homme, par curiosité, mais elle lui a répondu avec modestie. Le serviteur étant satisfait de ce que le Seigneur ait entendu sa prière, a donné à cette jeune fille quelques ornements qu'on avait coutume de porter dans les pays de l'Est ; il a demandé en même temps à quelle famille elle appartenait. En constatant qu'elle était de la même parenté que son maître, il a incliné sa tête et adoré l'Éternel. Ces mots ont été adressés au Seigneur, mais il les a fait entendre à Rébecca, pour qu'elle puisse percevoir qui il était, et d'où il était venu.

      Deutéronome 23

      Juges 3

      8 Le premier juge s'appelait Othniel : même au temps de Josué, il était déjà connu. Peu après l'établissement d'Israël en Canaan, le peuple commença à se corrompre et la paix ne régnait plus dans le pays. Mais les afflictions qui tombaient sur le peuple, poussèrent ce dernier à crier vers Dieu, alors que jusqu'à présent il L'invoquait rarement. L'Éternel, dans Sa miséricorde, les délivra. L'Esprit de Dieu fut sur Othniel : Esprit de Sagesse et de Courage, qui le qualifia pour exercer son service envers les enfants d'Israël, et Esprit de Puissance, pour les inciter à réagir contre l'oppresseur.

      Othniel commença par juger Israël en lui adressant des reproches et en réformant certaines pratiques pour que la nation puisse partir en guerre.

      Que le péché qui règne éventuellement dans notre maison soit d'abord maîtrisé et anéanti, les ennemis qui rodent autour de nous ne pourront alors plus résister ! Que Christ soit notre « Juge » et notre « Sagesse », Lui, saura efficacement nous Sauver !

      2 Rois 17

      1 Chroniques 19

      Esdras 6

      Esaïe 11

      Esaïe 21

      Daniel 8

      Actes 6

      Actes 7

      Actes 16

      6 Les déplacements des serviteurs de Dieu, et leurs capacités à dispenser la Grâce, sont particulièrement placés sous la conduite et la direction divines.

      Nous devons suivre la Providence : si les devoirs qui nous attendent ne nous conviennent pas, nous devons nous soumettre au Seigneur et croire que par Sa Volonté, de meilleures perspectives nous attendent.

      Beaucoup de personnes ont grandement besoin d'aide pour leur âme ; elles doivent veiller sur ce sujet, et ne pas hésiter à inviter des serviteurs de Dieu, aptes à les aider en ce domaine. Les appels du Seigneur doivent être écoutés sans hésitation.

      Le rassemblement solennel des adorateurs de Dieu doit avoir lieu, si possible, le jour du sabbat. Si nous ne disposons pas de lieu de culte officiel, nous devons néanmoins être reconnaissants de pouvoir nous rassembler en des endroits privés ; n’abandonnons pas nos assemblées pour de vais raisonnements.

      Il y avait parmi les auditeurs de Paul, une femme nommée Lydie. Elle exerçait une profession honnête, remarquée par l'historien, ce qui est à son honneur. Cependant, bien qu'elle soit relativement occupée, elle trouva du temps pour enrichir spirituellement son âme.

      Nous ne serons jamais excusables de ne pas accomplir nos devoirs religieux, en disant par exemple : « j'ai un commerce dont je dois m'occuper ». N'avons-nous pas aussi un Dieu à servir et des âmes sur lesquelles nous devons veiller ? La piété ne nous appelle pas à nous retirer des affaires de ce monde, mais en revanche, elle nous dicte notre conduite et nos priorités à respecter.

      L’orgueil, les préjugés et le péché nous éloignent des vérités divines, jusqu'à ce que la Grâce nous ouvre la voie de leur compréhension et nous incite à les aimer ; seul le Seigneur peut ouvrir le cœur, pour que ce dernier reçoive et croie Sa Parole. Nous devons croire en Jésus-Christ ; on ne peut venir à Dieu, notre Père, que par le Fils, notre Médiateur.

      Actes 18

      Actes 19

      Actes 20

      Romains 16

      1 Corinthiens 16

      19 Le christianisme n’est en aucune façon hostile aux bons usages de ce monde. La piété devrait d’ailleurs inciter à la courtoisie et à l’obligeance envers tous !

      Ceux qui ont une fausse opinion de la piété, basée seulement sur des reproches, deviennent peu à peu, moroses, voire amers. Les véritables salutations chrétiennes ne sont pas de simples politesses, vides de tout sentiment : elles sont l’expression réelle de l’amour fraternel et des recommandations mutuelles, à la bénédiction divine et à la Grâce.

      Chaque famille chrétienne devrait ressembler à une église : là où deux ou trois sont assemblés au Nom de Christ, ce Dernier est parmi eux ; il y a donc là, une véritable assemblée !

      Ce texte nous donne un avertissement solennel : de nombreuses personnes professent le Nom de Christ, sans manifester toutefois de véritable amour envers Lui. Nul ne L'aime dans la Vérité, s'il n'aime pas Ses lois, ni ne garde Ses commandements. Hélas, beaucoup ne sont chrétiens que de nom, en particulier ceux qui n'aiment pas le Seigneur en toute sincérité. De telles personnes sont en fait séparées du peuple de Dieu, et de la faveur du Très-Haut.

      Ceux qui n'aiment pas le Seigneur Jésus-Christ, périront irrémédiablement. Ne nous reposons pas sur des « professions religieuses », où il n'y a aucun amour réel pour Christ, aucun désir ardent de bénéficier du salut qu’Il offre, aucune gratitude pour Sa Miséricorde, aucune obéissance à Ses commandements.

      La Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ est pleine de bonté, pour le temps présent comme pour l'éternité ! Désirer voir nos amis bénéficier personnellement de cette Grâce, c'est leur souhaiter le plus grand bien. Tels doivent être nos désirs envers tous nos amis et frères en Christ ! Nous ne pouvons rien leur souhaiter de meilleur, ils ont tout à y gagner.

      La véritable chrétienté nous pousse à souhaiter toutes sortes de bénédictions envers ceux que nous aimons ; cela se traduit par le désir de les voir bénéficier de la Grâce qu’offre le Seigneur.

      Dans ce texte, l'apôtre parle sans détours aux Corinthiens, soulignant leurs défauts avec une certaine sévérité ; néanmoins, lors de son départ, il leur a manifesté solennellement toute son affection fraternelle, dans le Seigneur.

      Que notre amour puisse être avec tous ceux qui sont en Jésus-Christ. Tentons de percevoir toutes les choses du monde comme vaines, comparées à Christ et à Sa droiture !

      Allons-nous rester sous la coupe d’un péché manifeste, ou de la négligence de notre devoir ? Sachons nous examiner scrupuleusement nous-mêmes, nous pourrons ainsi juger l'état de notre âme !

      2 Corinthiens 1

      2 Timothée 1

      15 Dans ce texte, l'apôtre Paul mentionne la constance d'Onésiphore ; au moyen de différentes lettres et conseils, il l'a consolé maintes fois, sans éprouver la moindre honte à son égard. Un homme bon cherchera inlassablement à pratiquer le bien.

      Le jour de la mort et du jugement est terrible. Si nous désirons bénéficier de la Miséricorde divine en cet instant, nous devons La rechercher dès à présent, auprès du Seigneur. La meilleure requête que nous puissions faire à Dieu, pour nous ou nos amis, est qu’Il nous accorde cette Miséricorde, lors de notre « passage » vers l'éternité et notre comparution devant le trône du jugement dernier.

      1 Pierre 1

      1

      Nous trouvons dans ces épîtres de Pierre les mêmes grandes doctrines que dans celles de l’apôtre Paul ; elles s’appliquent aux mêmes buts pratiques.

      Ces épîtres sont remarquables par la douceur, la gentillesse, et l'humble amour qui s’en dégagent. Elles résument clairement et succinctement les éléments suivants : des consolations et des directives nécessaires à l'encouragement et la conduite d'un chrétien dans son cheminement vers la patrie céleste, élevant ses pensées et ses désirs vers cette félicité qui l’attend, en le fortifiant contre toute opposition, corruption, tentation et affliction qui le guettent.

      * L'apôtre Pierre bénit Dieu pour ses bienfaits, à travers Christ. (1 Pierre 1:1-9) Le salut par Christ a été prédit dès les premières prophéties. (1 Pierre 1:10-12) Tous sont exhortés à suivre une sainte conduite ; (1 Pierre 1:13-16) Que la Sainteté se retrouve dans leur cheminement, leurs privilèges, et leurs obligations. (1 Pierre 1:17-25)

      1 Pierre 1:1-9 Cette épître de Pierre s’adresse en principe aux croyants, étant généralement de véritables « étrangers » en chaque ville ou pays, disséminés dans toutes les nations.

      Ces chrétiens doivent attribuer leur salut à l'Amour du Père envers Ses « élus », à la Rédemption du Fils, et à la Sanctification du Saint-Esprit ; ils peuvent ainsi rendre gloire à un Dieu trinitaire, en lequel ils ont été baptisés.

      L'espoir, selon l’esprit du monde, se réfère seulement à ce qui est incertain : tous les espoirs ici-bas sont en effet chancelants, bâtis sur le sable ; l'espérance céleste, aux yeux du monde, est une conjecture aveugle et sans fondement. Mais l'espérance des enfants de Dieu est vivante ! Non seulement dans son essence, mais également quant à ses effets. Cette espérance anime et console dans toutes les détresses, permettant de franchir toutes les difficultés.

      La Miséricorde divine est à l’origine de toute espérance céleste, une Miséricorde sans limites. La solide conviction du salut est un principe actif et vivant dans l'âme du croyant.

      La joie qui anime tout chrétien, provient de la connaissance de la félicité céleste qui lui est réservée. Cette joie est incorruptible et ne peut disparaître. Ne pouvant être souillée, elle reste pure et parfaite. Elle ne peut se flétrir, elle demeure constante, malgré tous les aléas possibles.

      Tous les biens ici-bas sont entachés de défauts et perfectibles ; les propriétaires de belles demeures sont en perpétuel souci de se faire dérober ce qu’ils possèdent ; le luxe et le confort sont trop souvent à l’origine de troubles de santé. Les riches propriétés sont souvent entachées par le péché, à la fois pour les obtenir, comme pour les habiter.

      Sommes-nous prêts à nous détourner de ce que nous possédons, étant persuadés qu’il s’agit parfois d’objets sans utilité réelle, qui peuvent, par leur emploi, nous priver de certaines libertés ou de joie... Les possessions du monde sont incertaines et éphémères, semblables aux fleurs des champs. Ce qui est conservé dans le ciel a infiniment plus de valeur.

      Bienheureux ceux dont le cœur est assuré, par le Saint-Esprit, de recevoir un « héritage céleste » ! Dieu n’accorde pas seulement la Grâce à Son peuple, mais Il préserve ce dernier, pour qu’il connaisse Sa gloire.

      Chaque croyant a toujours un sujet pour lequel il peut grandement se réjouir ; il doit témoigner de son appartenance spirituelle par sa conduite. Le Seigneur n'afflige pas par plaisir, mais cependant, Son amour et Sa Sagesse permettent que Ses enfants subissent des épreuves « tranchantes », pour leur bien final.

      La qualité de l'or n'augmente pas par l'épreuve du feu, en fait, elle diminue ; la foi, quant à elle, est affermie par l’épreuve, et les afflictions. L'or finira par disparaître, et ne peut permettre d’acquérir que ce qui est périssable, alors que l'épreuve de la foi permettra de louer, d'honorer, et de glorifier le Seigneur !

      Que ces pensées nous aident à supporter les présentes afflictions ! Portons notre regard vers l'excellence de Christ, et vers Son amour pour nous ; cela vivifiera en notre cœur le « feu spirituel », qui s'élèvera dans un sacrifice d'amour envers Lui ! La gloire de Dieu et notre bonheur spirituel sont tellement unis, que la recherche sincère d’un de ces éléments, nous conduira à l’autre, quand notre âme, par notre nature, ne sera plus assujettie au mal. La certitude d’une telle espérance est perçue par les croyants, comme déjà acquise !

      Apocalypse 1

      4 Il ne peut pas y avoir de paix authentique, là où il n'y a pas la Grâce véritable ; et là où la Grâce arrive, la paix ne tarde pas ! Cette bénédiction est inhérente au nom de Dieu, à la Sainte trinité, c'est d’ailleurs un sujet d'adoration !

      Dans ce texte, le Père est nommé en premier lieu ; il est décrit comme Celui qui est, et qui était, et qui vient, qui est éternel, qui ne change pas. Le Saint-Esprit est appelé « les sept esprits », le parfait Esprit de Dieu, en qui il y a une diversité de dons et d'opérations.

      Le Seigneur Jésus-Christ est de toute éternité, un Témoin de tous les conseils divins. Il est le Premier-né d’entre les morts, qui par Son propre pouvoir, ressuscite Son peuple. Il est le Prince des rois de la terre ; c'est par Lui que leurs délibérations sont dirigées, et c'est à Lui qu'ils doivent rendre des comptes.

      Le péché laisse une « tache » de culpabilité et de pollution sur l'âme. Rien ne peut effacer cette tache, si ce n'est le sang de Christ ; et Christ a versé Son propre sang pour satisfaire la justice divine, et acheter le pardon et la pureté pour Son peuple.

      Des croyants, Christ a fait des « rois » et des « sacrificateurs », pour Dieu son Père. En tant que tels, ils sont vainqueurs du monde, mortifient le péché, gouvernent leur propre esprit, résistent à Satan, communient avec Dieu dans la prière, et jugeront le monde. Christ a fait d'eux, des sacrificateurs, leur donnant accès à Dieu, Il leur a permis d'offrir des sacrifices spirituels et acceptables ; ces faveurs destinent Ses enfants à Lui attribuer l'autorité et la gloire qui lui sont dues, pour toujours !

      Christ jugera le monde. L'attention est attirée sur ce grand jour, où tous verront la sagesse et le bonheur des « amis » de Christ, et la folie et la misère de Ses ennemis.

      Puissions-nous penser fréquemment à la seconde venue de Christ ! Il viendra, pour la terreur de ceux qui Le blessent et Le crucifient par leur apostasie : Il viendra, à la surprise de l’ensemble des impies. Il est le Commencement et la Fin ; toutes choses sont de Lui et pour Lui ; Il est le Tout-puissant ; Il est le même, Celui qui est éternel et immuable !

      Si nous voulons être comptés parmi Ses saints, dans Sa gloire éternelle, nous devons maintenant nous soumettre volontairement à Lui, Le recevoir, et L'honorer comme un Sauveur, nous qui croyons qu'Il viendra pour être notre Juge.

      Ils doivent être nombreux hélas, ceux qui souhaiteraient ne jamais mourir, et ne jamais connaître le jour du jugement !

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