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10
Ils virent le Dieu d’Israël. Sous ses pieds, il y avait une sorte de plate-forme de saphir, d’un bleu pur comme le ciel.
8
Je lui parle directement, en langage clair ; je me montre à lui, il me voit apparaître devant lui. Alors pourquoi n’avez-vous pas craint de critiquer mon serviteur Moïse ? »
27
Et voici comment il s’adressera à moi : “Tu es mon Père, tu es mon Dieu, le rocher où je trouve le salut”.
29
Il imposa à la mer une limite que les eaux ne doivent pas franchir. Il posa les fondations de la terre.
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Pendant ce temps, j’étais à ses côtés comme architecte. Jour après jour, je faisais sa joie, je jouais sans cesse en sa présence,
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sur le sol du monde créé par lui. Depuis lors, ma joie est d’être au milieu des humains. »
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et l’on y distinguait comme une pierre de saphir qui avait les contours d’un trône. Sur cette sorte de trône, tout en haut, se tenait une forme qui avait une apparence humaine.
27
Je vis que cette forme scintillait comme du métal brillant et qu’elle paraissait entourée de feu. Au-dessus et au-dessous de ce qui semblait être sa taille, je voyais comme du feu l’inondant de clarté.
28
La lumière environnante ressemblait à celle de l’arc-en-ciel qui resplendit en un jour de pluie. C’était le reflet de la glorieuse présence du Seigneur. A cette vue, je tombai la face contre terre. Alors j’entendis quelqu’un me parler.
1
Au commencement de toutes choses, la Parole existait déjà ; celui qui est la Parole était avec Dieu, et il était Dieu.
14
Celui qui est la Parole est devenu un homme et il a vécu parmi nous, plein de grâce et de vérité. Nous avons vu sa gloire, la gloire que le Fils unique reçoit du Père.
18
Personne n’a jamais vu Dieu. Mais le Fils unique, qui est Dieu et demeure auprès du Père, lui seul l’a fait connaître.
16
Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne soit pas perdu mais qu’il ait la vie éternelle.
9
Jésus lui répondit : « Il y a si longtemps que je suis avec vous et tu ne me connais pas encore, Philippe ? Celui qui m’a vu a vu le Père. Pourquoi donc dis-tu : “Montre-nous le Père” ?
24
Ils n’auraient pas été coupables de péché si je n’avais pas fait parmi eux des œuvres que personne d’autre n’a jamais faites. Or, maintenant, ils ont vu mes œuvres et ils me haïssent, ainsi que mon Père.
29
Car Dieu les a choisis d’avance ; il a aussi décidé d’avance de les rendre semblables à son Fils, afin que celui-ci soit l’aîné d’un grand nombre de frères.
4
Ils ne croient pas parce que Satan, le dieu de ce monde, a aveuglé leur intelligence. Ce dieu les empêche de voir la lumière diffusée par la Bonne Nouvelle de la gloire du Christ, lequel est l’image même de Dieu.
6
Dieu a dit autrefois : « Que la lumière brille du milieu de l’obscurité ! » Eh bien, c’est lui aussi qui a fait briller sa lumière dans nos cœurs, pour nous donner la connaissance lumineuse de sa gloire divine qui resplendit sur le visage du Christ.
6
Il possédait depuis toujours la condition divine, mais il n’a pas voulu demeurer de force l’égal de Dieu.
13
Il nous a en effet arrachés à la puissance de la nuit et nous a fait passer dans le royaume de son Fils bien-aimé.
15
Le Christ est l’image visible du Dieu invisible. Il est le Fils premier-né, supérieur à tout ce qui a été créé.
16
Car c’est par lui que Dieu a tout créé dans les cieux et sur la terre, ce qui est visible et ce qui est invisible, puissances spirituelles, dominations, autorités et pouvoirs. Dieu a tout créé par lui et pour lui.
17
Il existait avant toutes choses, et c’est par lui qu’elles sont toutes maintenues à leur place.
17
Au Roi éternel, immortel, invisible et seul Dieu, soient honneur et gloire pour toujours ! Amen.
16
Lui seul est immortel ; il habite une lumière dont personne ne peut s’approcher. Aucun être humain ne l’a jamais vu ni ne peut le voir. A lui soient l’honneur et la puissance éternelle ! Amen.
3
Le Fils reflète la splendeur de la gloire divine, il est la représentation exacte de ce que Dieu est, il soutient l’univers par sa parole puissante. Après avoir purifié les êtres humains de leurs péchés, il s’est assis dans les cieux à la droite de Dieu, la puissance suprême.
6
Mais au moment où Dieu allait envoyer son Fils premier-né dans le monde, il a dit : « Tous les anges de Dieu doivent l’adorer. »
27
Par la foi, Moïse quitta l’Égypte, sans craindre la colère du roi ; il demeura ferme, comme s’il voyait le Dieu invisible.
14
« Écris à l’ange de l’Église de Laodicée : « Voici ce que déclare l’Amen, le témoin fidèle et véritable, qui est à l’origine de tout ce que Dieu a créé :
Mais ici il insère quelques paroles de la plus haute importance sur la divinité du Sauveur, sans doute pour réfuter les idées erronées que les faux docteurs s'efforçaient de répandre parmi les chrétiens de Colosses et qui tendaient à substituer au seul Médiateur une série d'êtres intermédiaires auxquels Christ était subordonné. (Voir l'Introduction.)
La position unique de Jésus-Christ, son unité d'essence avec Dieu son Père, fut en tout temps et sera toujours la pierre d'achoppement de la sagesse de ce monde. Aussi notre passage lui-même (versets 15-17) a-t-il subi les interprétations les plus diverses, selon que les exégètes admettaient ou non l'ensemble des enseignements de la révélation.
- Il faut remarquer d'abord que l'apôtre envisage ici Jésus-Christ dans ses rapports :
1° avec Dieu ; (verset 15)
2° avec le monde ; (versets 16,17)
3° avec l'Eglise. (verset 18 et suivants)
Ensuite, qu'il est oiseux de discuter, avec les exégètes, la question de savoir si Paul parle du Christ historique, pris dans son apparition sur la terre, ou du Christ glorifié, ou du Christ Parole éternelle, envisagé dans sa préexistence.
Un simple regard sur les versets versets 14,17,18 prouve que tous ces aspects s'unissent dans la pensée de l'apôtre qui dit et répète : Il est, il est toujours, partout, ce qu'il est en lui-même. Ainsi il est l'image du Dieu invisible, parce qu'il est la manifestation réelle, accessible du Dieu qui, hors de lui, ne saurait être ni connu ni contemplé ; car il est évident qu'il ne faut pas prendre dans un sens physique ces termes visible ou invisible, se rapportant à Dieu.
La pensée de l'apôtre trouve son commentaire seul vrai dans les paroles du Sauveur lui-même : Matthieu 11.27 ; Jean 8.19 ; 14.9 ; comparez Jean 1.18 ; 1Jean 4.12 ; Hébreux 1.3. Toute l'Ecriture proclame cette vérité : Dieu est invisible, inaccessible à l'homme, (1Timothée 1.17 ; 6.16) et il s'est manifesté en son Fils bien-aimé.
6 Quant à cet attribut premier-né de toute créature ou de toute création (le mot grec a les deux sens), il est compris par les uns dans le sens de la dignité suprême de Christ au-dessus de tout ce qui est créé, et ce sens répondrait parfaitement aux derniers mots du verset 18 (comparez aussi ce même terme, appliqué à Christ dans son rapport avec ses rachetés, Romains 8.29) ; par les autres dans le sens de sa préexistence avant toute création.
Ainsi l'ont expliqué les Pères de l'Eglise, et cette interprétation trouve aussi un garant dans notre passage : (verset 17) "Il est avant toutes choses." L'ensemble de notre passage doit faire préférer cette interprétation.
L'expression premier-né désigne en tout cas Jésus-Christ comme le Fils engendré de Dieu, et le distingue nettement de la création elle-même. On comprend, toutefois, que les ariens, les sociniens, et tous les adversaires de la divinité de Christ, aient cru pouvoir s'appuyer de ce passage. "Car il faut avouer, dit Olshausen avec la candeur qui le distingue, que ces mots, dans le sens purement grammatical, peuvent signifier que Christ est lui-même mis au rang de la création. La possibilité d'entendre ainsi ce terme ressort du verset 18, où"premier-né d'entre les morts"signifie évidemment que Christ lui-même a été parmi les morts. Mais l'ensemble de notre passage parle d'une manière si décisive contre cette interprétation, qu'on est nécessairement conduit à en adopter une directement opposée."
En effet, à versets 16,17, l'apôtre nous montre en Christ celui par qui et pour qui toutes choses ont été créées, celui par qui elles subsistent, (versets 11,17) celui qui est alors que rien encore n'existait ; comment donc serait-il lui-même simplement un anneau de la chaîne des êtres créés qui lui doivent l'existence ?
"La raison de ces termes : premier-né de la création suit immédiatement après : c'est qu'en lui ont été créées toutes choses ; et c'est de la même manière qu'il est appelé le premier-né d'entre les morts, parce qu'en lui nous ressusciterons tous." Calvin.
En effet, il faut remarquer que la première particule du verset suivant (parce que) indique la raison des termes que l'apôtre vient d'employer.