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Exode 18.12

Jéthro, le beau-pÚre de Moïse, offrit à Dieu un holocauste et des sacrifices. Aaron et tous les anciens d'Israël vinrent participer à ce repas avec le beau-pÚre de Moïse, en présence de Dieu.
Ensuite, JĂ©thro, le beau-pĂšre de MoĂŻse, offre Ă  Dieu un sacrifice complet et des sacrifices de communion. Aaron et tous les anciens d’IsraĂ«l viennent manger le repas devant Dieu, avec le beau-pĂšre de MoĂŻse.
Et Jéthro, beau-pÚre de Moïse, prit un holocauste et des sacrifices pour les offrir à Dieu ; et Aaron et tous les anciens d'Israël vinrent manger le pain avec le beau-pÚre de Moïse, en la présence de Dieu.
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      GenĂšse 4

      GenĂšse 8

      20 NoĂ© est maintenant entrĂ© dans ce monde de dĂ©solation, oĂč chacun aurait pu penser qu'il allait commencer par construire une maison, mais en fait, il a bĂąti un autel pour adorer Dieu. Il a bien fait de commencer par honorer Dieu.

      Bien que le bĂ©tail qu'il avait fait entrer dans l'arche fĂ»t relativement rĂ©duit et qu'il ait dĂ©pensĂ© beaucoup d'Ă©nergie Ă  le garder en vie, il n'a pas rechignĂ© Ă  s'en servir pour adorer l'Éternel. Servir son Dieu avec de petites choses au dĂ©part ouvre la voie pour en faire davantage, plus tard ; ne pensons jamais que ce qui est offert Ă  Dieu, en vue de l'honorer, soit perdu. Le premier acte accompli dans ce nouveau monde a Ă©tĂ© l'adoration. Nous devons aujourd'hui exprimer notre reconnaissance, non pas par des offrandes brĂ»lĂ©es sur un autel, mais par la priĂšre, par une vie pieuse et dĂ©vouĂ©e et par notre conversation. Dieu a rĂ©ellement apprĂ©ciĂ© ce qui a Ă©tĂ© fait par NoĂ©. Mais la chair consumĂ©e ne pourrait davantage plaire Ă  Dieu que le sang des taureaux et des boucs, Ă  l'exception particuliĂšre du sang de Christ et de l'humble foi de NoĂ© accompagnĂ©e de sa consĂ©cration. Si le dĂ©luge a balayĂ© la mĂ©chancetĂ© sur terre, il n'a pas, par contre, ĂŽtĂ© l'iniquitĂ© de la nature humaine, nĂ©e dans le pĂ©ché ; quand on voit les pensĂ©es des hommes, leurs devises, leur amour du mal, dĂšs le plus jeune Ăąge, que ce soit avant ou aprĂšs le jugement divin.

      Mais Dieu, dans Sa grĂące, a dĂ©clarĂ© qu'Il ne frapperait plus jamais la terre par les eaux du dĂ©luge. Tant que la terre subsistera et que l'homme y vivra, l'Ă©tĂ© et l'hiver seront toujours prĂ©sents. Il est Ă©vident que cette terre ne durera pas Ă©ternellement. Elle doit ĂȘtre dĂ©truite par le feu, avec toutes ses Ɠuvres ; et nous, portons notre regard vers de nouveaux cieux et une nouvelle terre, quand toutes ces choses seront dissoutes. Mais, tant que la terre demeure, la Providence divine veillera au bon dĂ©roulement des saisons, afin que chacun puisse le constater. Et c'est sur cette DĂ©claration que nous devons nous appuyer. Et de mĂȘme que nous voyons les promesses divines s'accomplir ici-bas, dans toute la bontĂ© de Dieu, confions-nous dans celles qu'Il a prĂ©parĂ©es pour tous les croyants.

      GenĂšse 12

      GenĂšse 26

      GenĂšse 31

      GenĂšse 43

      Exode 2

      Exode 18

      Exode 24

      Lévitique 7

      11 Comme dans le sacrifice d'actions de grĂące, dans un esprit de misĂ©ricorde, Dieu laissa plutĂŽt au peuple une certaine libertĂ© dans la pratique des sacrifices, au vu de la conviction de son pĂ©ché ; en effet, Dieu acceptait davantage ces offrandes faites librement, en toute sincĂ©ritĂ©, plutĂŽt que d'autres, devant rĂ©pondre, par obligation au rituel de l'expiation : l'Éternel montrait ainsi le fait d'une rĂ©elle Propitiation. La principale raison d'interdiction de consommer du sang, dĂšs les temps les plus reculĂ©s, venait du fait qu'il fallait respecter celui qui allait ĂȘtre versĂ© plus tard par notre Seigneur, pour notre expiation. Ce prĂ©cepte figuratif a pris fin lors de la mort de Christ, date Ă  laquelle les sacrifices ont cessĂ©. Cette ordonnance relative au sang, n'a donc plus raison d'ĂȘtre aujourd'hui pour les croyants.

      Deutéronome 12

      Deutéronome 27

      2 Samuel 9

      1 Chroniques 29

      2 Chroniques 30

      Job 1

      Job 42

      Daniel 10

      Luc 14

      1

      Christ guérit un homme, le jour du sabbat. (Luc 14:1-6)
      Il exhorte Ă  nous revĂȘtir d'humilitĂ©. (Luc 14:7-14)
      La parabole du grand dĂźner. (Luc 14:15-24)
      La nécessité de la considération et du désintéressement. (Luc 14:25-35)

      Ce pharisien, en invitant JĂ©sus dans sa maison, semblait ĂȘtre animĂ©, comme tant d'autres, de mauvais desseins. Mais notre Seigneur ne pouvait s’empĂȘcher de guĂ©rir cet homme, mĂȘme en sachant que des reproches lui seraient faits au sujet de cette guĂ©rison, faite un jour de sabbat.

      Il convient de bien comprendre « l’osmose » qu'il y a entre la piĂ©tĂ© et la charitĂ© quand on respecte le jour du sabbat ; il faut aussi savoir distinguer, en ce jour particulier, la limite entre la pratique journaliĂšres des tĂąches de rĂ©elle nĂ©cessitĂ© et nos propres habitudes hebdomadaires.

      La sagesse d'en haut nous enseigne Ă  persĂ©vĂ©rer patiemment dans l’accomplissement des bonnes Ɠuvres.

      15 Observons dans cette parabole la GrĂące et la MisĂ©ricorde de Dieu, toutes deux gratuites ; elles brillent dans l'Évangile de Christ, et seront une vĂ©ritable « nourriture » et un « festin » pour l'Ăąme de celui qui reconnaĂźt ses besoins spirituels et sa misĂšre morale.

      Tous les invitĂ©s mentionnĂ©s dans ce texte trouvĂšrent un prĂ©texte pour refuser l'invitation qui leur Ă©tait proposĂ©e. Cette parabole est un vĂ©ritable blĂąme pour la nation Juive, Ă  cause de sa nĂ©gligence des offres de la GrĂące proposĂ©e par Christ. Cette attitude montre aussi que la non rĂ©ponse Ă  cet appel de l'Évangile, est en fait un vĂ©ritable « retour en arriĂšre ».

      Le manque de gratitude de ceux qui refusent l'offre de l'Évangile, et le mĂ©pris manifeste qu’ils affichent envers le Dieu du ciel, sont une vĂ©ritable provocation envers Lui. Les Juifs ayant refusĂ© l’offre du salut qui leur Ă©tait ainsi faite, les apĂŽtres reçurent alors la consigne de se tourner vers les paĂŻens ; c'est d’ailleurs grĂące ces derniers qu'a Ă©tĂ© remplie l'Ă©glise...

      L’annonce du salut des Ăąmes, proclamĂ©e dans l'Ă©vangile de Christ, n'a pas Ă©tĂ© vaine : si certains, en effet, la refusent, d'autres l’accepteront avec reconnaissance ! Les plus pauvres et les plus misĂ©rables ici-bas, seront accueillis par Christ de la mĂȘme maniĂšre que les riches et ceux de rang Ă©levé ; bien souvent l'Ă©vangile rencontre un plus grand succĂšs parmi ceux qui souffrent en ce monde et qui sont victimes d’infirmitĂ©s.

      La demeure de Christ sera enfin remplie : il en sera ainsi quand le nombre des élus sera atteint !

      1 Corinthiens 10

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