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Exode 23.2

» Tu ne suivras pas la majorité pour faire le mal et tu ne déposeras pas dans un procÚs en te mettant du cÎté du grand nombre pour violer la justice.
"You shall not follow a crowd to do evil; neither shall you testify in court to side with a multitude to pervert justice;

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      GenĂšse 6

      12 Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© Ă  NoĂ© son intention de dĂ©truire par l'eau le monde et sa mĂ©chancetĂ©. Le secret de l'Eternel est pour ceux qui le craignent, Psaume 25:14. Cela s'applique Ă  tous les croyants, ce qui leur permet de comprendre et de mettre en pratique les dĂ©clarations et les avertissements de la Parole de Dieu. Dieu a dĂ©libĂ©rĂ©ment choisi de dĂ©truire le monde par le dĂ©luge. De la mĂȘme maniĂšre qu'Il choisit la verge pour corriger Ses enfants, il a utilisĂ© l'Ă©pĂ©e qui a dĂ©capitĂ© Ses ennemis. Dieu a Ă©tabli une « alliance » avec NoĂ©. C'est le premier passage dans la Bible oĂč l'on rencontre ce mot ; cela semble signifier : 1- Une alliance avec la providence ; le cours de la vie, (la fin de toute chair) est dĂ©fini. 2- Une alliance par la grĂące ; l'Éternel est le Dieu de NoĂ©, en qui il a placĂ© Sa confiance pour perpĂ©trer la race humaine.

      Dieu a donnĂ© Ă  NoĂ© la directive de construire une arche. Cette arche avait les caractĂ©ristiques d'un vĂ©ritable navire, conçue pour flotter sur les eaux. Elle Ă©tait trĂšs grande, Ă  peu prĂšs la moitiĂ© du volume que reprĂ©sente la cathĂ©drale de Saint Paul de Londres, elle aurait pu contenir plus de dix huit de nos plus grands navires actuels. Dieu aurait pu Ă©pargner NoĂ© en le mettant simplement Ă  l'Ă©cart, loin de tout problĂšme et de toute Souffrance ; Il a cependant usĂ© d'une autre solution, Ă  savoir l'Ă©preuve de la foi et de l'obĂ©issance. La grĂące et la providence divine couronnent l'obĂ©issance et l'intĂ©gritĂ©. Dieu a donnĂ© Ă  NoĂ© des consignes particuliĂšres en ce qui concerne la construction de l'arche, ce qui a permis d'exĂ©cuter cette tĂąche Ă  la perfection. Dieu a promis Ă  NoĂ©, que lui-mĂȘme et sa famille seraient prĂ©servĂ©s au moyen de cette arche.

      Quand nous sommes obĂ©issants Ă  Dieu, nous ne pouvons qu'en tirer des bĂ©nĂ©fices, nous et notre famille. La piĂ©tĂ© des parents mĂšne leurs enfants sur le chemin de la sagesse et mĂȘme, vers la vie Ă©ternelle, s'ils la recherchent vraiment.

      GenĂšse 7

      1

      Noé, sa famille et les créatures vivantes, entrent dans l'arche ; début du déluge. (GenÚse 7:1-12)
      Noé enfermé dans l'arche. (GenÚse 7:13-16)
      La croissance des eaux pendant quarante jours. (GenĂšse 7:17-20)
      Toute chair est détruite par les eaux. (GenÚse 7:21-24)

      L'appel qui est fait Ă  NoĂ© est plein d'amour, un peu comme celui d'un pĂšre qui invite ses enfants Ă  rentrer au foyer Ă  la veille de la nuit ou avant la tempĂȘte. NoĂ© n'est pas entrĂ© dans l'arche avant que Dieu ne lui ordonne, bien qu'il sache que ce soit la place prĂ©parĂ©e pour son refuge. Il est trĂšs rĂ©confortant de voir Dieu aplanir les sentiers que nous allons emprunter. NoĂ© s'est donnĂ© beaucoup de mal pour construire l'arche, ce qui, en final, prĂ©servera sa vie. Dans tout ce que nous faisons, si nous obĂ©issons, par la foi, aux ordonnances divines, tĂŽt ou tard nous en tirerons du bĂ©nĂ©fice. Cet appel fait Ă  NoĂ©, n'est pas sans nous rappeler celui que fait l'Ă©vangile aux pauvres pĂ©cheurs. Christ est l'arche, seul moyen de survie contre la mort et le jugement qui approchent. La Parole nous dit : « venez » ; les serviteurs de Dieu aussi ; l'Esprit nous dit : « venez dans l'arche ». NoĂ© a Ă©tĂ© trouvĂ© juste, non par son propre mĂ©rite, mais par son hĂ©ritage de Justice, acquis par la foi Heb 11:7. Il a cru Ă  la rĂ©vĂ©lation que lui a faite l'Éternel, son Sauveur ; il n'a placĂ© son espĂ©rance qu'en Lui seul. Ainsi justifiĂ© par la foi, il a reçu l'Esprit, dont la manifestation se traduit par la bonté ; mais si quelqu'un ne dispose pas de l'Esprit de Christ, il ne peut prĂ©tendre bĂ©nĂ©ficier de tels fruits. AprĂšs les cent vingt ans de patience divine, l'Éternel accorda encore sept jours de plus pour la repentance. Mais ces sept jours furent pris Ă  la lĂ©gĂšre par tous ceux qui sont restĂ©s dans le monde d'alors. Le sursis ne fut que de sept jours. Ces condamnĂ©s n'ont eu qu'une semaine, dont un sabbat, pour considĂ©rer le niveau qu'ils avaient atteint et la paix qu'ils pouvaient entrevoir, dans l'arche.

      Il est commun pour ceux qui n'ont pas pris soin de leur Ăąme au moment le plus propice de leur vie, alors qu'ils ne voyaient la mort que de loin, d'ĂȘtre soudain trĂšs attentifs, au jour de la maladie, alors qu'ils voient la fin de leur vie approcher ; leur cƓur est alors endurci par les pĂ©chĂ©s. AprĂšs que NoĂ© ait prĂ©parĂ© l'arche, par la foi, selon l'avertissement divin du dĂ©luge Ă  venir, il entra dans cette arche, toujours par la foi, assurĂ© que le jugement ne tarderait pas Ă  ĂȘtre exĂ©cutĂ© rapidement. Au jour oĂč NoĂ© fut en sĂ©curitĂ© dans l'arche, les fontaines du grand abĂźme se sont alors libĂ©rĂ©es.

      La terre disposait d'une rĂ©serve d'eau fabuleuse qui s'est libĂ©rĂ©e au moment choisi par l'Eternel ; il en est ainsi pour nos corps mortels, qui, selon le bon plaisir de Dieu, peuvent devenir sujets aux maladies mortelles. Les fenĂȘtres des cieux furent ouvertes et les eaux qui sont au-dessus des cieux se dĂ©versĂšrent sur la terre. La pluie tomba abondamment, une pluie comme il n'en Ă©tait jamais tombĂ©. Il a plu sans interruption quarante jours et quarante nuits, sur la terre entiĂšre. Bien que cela soit une manifestation de la toute-puissance de l'Éternel, il serait vain et prĂ©somptueux de vouloir tenter de l'expliquer avec le raisonnement de notre prĂ©tendue sagesse.

      GenĂšse 19

      Exode 23

      Exode 32

      1

      Le peuple pousse Aaron Ă  faire un veau d'or. (Exode 32:1-6)
      Le mécontentement de Dieu, l'intercession de Moïse. (Exode 32:7-14)
      Moïse détruit les tables de la loi, Il démolit le veau d'or. (Exode 32:15-20)
      Le repentir d'Aaron, les idolùtres sont tués. (Exode 32:21-29)
      MoĂŻse prie pour le peuple. (Exode 32:30-35)

      Tandis que MoĂŻse Ă©tait sur la montagne pour recevoir la loi divine, le peuple, dans le tumulte, s'adressa Ă  Aaron. Les IsraĂ©lites avaient l'esprit complĂštement Ă©garĂ©, se lassant de ne pas revoir MoĂŻse revenir. L'impatience est le rĂ©sultat de tentations diverses. MalgrĂ© la longueur de cette attente, le peuple devait patienter, afin que l'Éternel ait terminĂ© de donner Ses instructions au patriarche. Cette impatience conduisit les hĂ©breux Ă  crĂ©er une idole Ă  partir de leurs anneaux d'or : quelle honte mesquine, au regard de leur devoir d'adoration du vĂ©ritable Dieu ! Ils ne percevaient pas les consĂ©quences d'un tel acte d'idolĂątrie ; de notre cĂŽtĂ©, rechignons-nous Ă  nous plier aux impĂ©ratifs de la piĂ©té ?

      Aaron moula un veau, s'efforçant de lui donner une finition soignĂ©e. Le peuple offrit des sacrifices Ă  cette idole. Dressant ainsi une image devant eux, les IsraĂ©lites changĂšrent la VĂ©ritĂ© divine, en un mensonge, leurs sacrifices Ă©tant une abomination. N'avaient-ils pas, peu de jours avant, au mĂȘme endroit, entendu la voix de l'Éternel, leur disant au milieu de la fournaise : « tu ne te feras aucune image taillĂ©e » ? N'avaient-ils pas annoncĂ© qu'ils obĂ©iraient Ă  la loi de l'Éternel, qu'ils feraient tout ce que ce dernier avait prescrit, en toute obĂ©issance ? Chapitre Exode 24:7.

      Avant mĂȘme qu'ils aient quittĂ© l'endroit oĂč cette ordonnance de Dieu fut donnĂ©e, ils rompirent leur engagement, dĂ©fiant par lĂ  mĂȘme, toute rĂ©primande divine. Cela montre clairement que la loi n'amĂšne pas Ă  la saintetĂ© et qu'elle ne peut justifier personne ; elle amĂšne Ă  la connaissance du pĂ©chĂ© mais elle n'en donne pas le remĂšde. Aaron avait Ă©tĂ© mis Ă  part par Dieu pour exercer le rĂŽle de sacrificateur ; quelle honte pour lui d'avoir construit cet autel pour le veau d'or ! Il ne mĂ©ritait plus l'honneur de sacrifier sur l'autel de Dieu : il n'Ă©tait placĂ© maintenant que sous le bon vouloir de la grĂące divine. Un tel orgueil et une telle vantardise ne mĂ©ritaient qu'ĂȘtre anĂ©antis...

      Lévitique 19

      Nombres 14

      1

      Le peuple murmure contre MoĂŻse et Aaron, suite au rapport des espions. (Nombres 14:1-4)
      Josué et Caleb tentent de calmer le peuple. (Nombres 14:5-10)
      Les menaces divines, l'intercession de MoĂŻse. (Nombres 14:11-19)
      Ceux qui ont contesté, sont interdits d'entrer dans la terre promise. (Nombres 14:20-35)
      La mort des espions qui avaient décrié le pays. (Nombres 14:36-39)
      La défaite du peuple, face aux Amalécites et aux Cananéens ; Israël décide alors d'envahir le pays. (Nombres 14:40-45)

      Ceux qui ne placent pas leur confiance en Dieu, sont en lutte perpĂ©tuelle. Les douleurs de ce monde ne peuvent engendrer que la mort. Les IsraĂ©lites murmurĂšrent contre MoĂŻse et Aaron, et finalement, contre Dieu Lui-mĂȘme. Dans leur mĂ©contentement, ils ont tournĂ© leurs regards vers le passĂ©.

      Notez au passage la colĂšre engendrĂ©e par les passions immodĂ©rĂ©es, qui ne peuvent mener les hommes que lĂ  oĂč leur nature prodigue les conduit ! Ils prĂ©fĂšrent plutĂŽt mourir en tant que « criminels », aux yeux de la Justice divine, alors qu'ils pourraient ĂȘtre de vĂ©ritables conquĂ©rants, grĂące Ă  cette justice. En fait, le peuple dĂ©cida de retourner en Égypte plutĂŽt que de poursuivre sa route vers Canaan.

      Ceux qui ne marchent pas selon les ordonnances divines, courent Ă  leur ruine. Pourraient-ils espĂ©rer, dans cette marche sans issue, que la « « NuĂ©e » de Dieu les conduise, ou que la « Manne » les nourrisse ? Si nous admettons que les difficultĂ©s annoncĂ©es dans le pays de Canaan s'avĂ©raient exactes, combien pires seraient celles qui attendraient ceux qui voulaient retourner en Égypte !

      Nous nous plaignons souvent de notre situation et de notre sort : nous voulons toujours du changement ; mais se trouve-il un lieu ou une condition dans ce monde qui puisse nous convenir parfaitement ? La seule façon d'améliorer notre situation est de diriger nos esprits vers une voie dictée par Dieu.

      Observez la folie de ceux qui s'éloignent de ces voies divines. Ces hommes s'orientent alors vers les conséquences fatales du péché.

      5 MoĂŻse et Aaron Ă©taient vraiment déçus de voir le peuple mĂ©priser les grĂąces qui lui Ă©taient promises par l'Éternel. Caleb et JosuĂ© insistĂšrent auprĂšs des enfants d'IsraĂ«l pour leur dire combien ce pays de Canaan Ă©tait merveilleux. Ils ne mentionnĂšrent absolument pas les difficultĂ©s qu'IsraĂ«l pourrait rencontrer pour la conquĂȘte de ce beau pays. Si les hommes Ă©taient convaincus d'obtenir par la piĂ©tĂ© beaucoup de choses dĂ©sirables, ils ne persĂ©vĂšreraient pas Ă  s'attacher aux choses vaines de ce monde. Bien que les CananĂ©ens fussent dans des villes fortifiĂ©es, leur dĂ©fense avait des failles. Les autres espions remarquĂšrent, d'une part, la force de ce peuple, mais Ă©galement sa mĂ©chancetĂ©. Aucun peuple n'est en sĂ©curitĂ©, aprĂšs avoir provoquĂ© l'Ă©loignement de Dieu. MalgrĂ© le fait qu'IsraĂ«l demeurait dans des tentes, il Ă©tait assez puissant.

      Tant que nous avons Dieu avec nous, nous nous ne devons pas craindre les puissances adverses, quelle qu'en soit la force. Les pĂ©cheurs courent Ă  leur perte Ă  cause de leur rĂ©bellion. Mais ceux qui, comme Caleb et JosuĂ©, se confient en Dieu, sont sĂ»rs d'ĂȘtre sous Sa protection particuliĂšre : ils seront alors soustraits Ă  la fureur des hommes, qu'ils soient ici-bas ou dans les cieux !

      Deutéronome 1

      Deutéronome 16

      Deutéronome 24

      Josué 24

      15 Il est essentiel que ceux qui veulent servir Dieu, le fassent avec un esprit rĂ©solu. Le vĂ©ritable amour est le principal sentiment qui peut faire naĂźtre en nous la volontĂ© d'ĂȘtre Ă  Son service. Le PĂšre dĂ©sire seulement qu'on L'adore, en esprit et en vĂ©ritĂ©. Le cĂŽtĂ© charnel humain est inimitiĂ© contre Dieu, et de ce fait, nous rend incapable de Lui adresser toute adoration spirituelle, d'oĂč la nĂ©cessitĂ© d'ĂȘtre nĂ©s de nouveau.

      Un grand nombre d'enfants d'IsraĂ«l se contentĂšrent d'accomplir simplement les tĂąches qui leur Ă©taient imposĂ©es. JosuĂ© les plaça face Ă  leur responsabilité : rester indiffĂ©rent, ou servir l'Éternel ; « choisissez qui vous voulez servir, c'est Ă  vous de dĂ©cider ». Avant sa mort, le patriarche dĂ©sirait faire cette dĂ©claration au peuple, quel que soit le choix de ce dernier.

      Ceux qui sont assurés d'aller au ciel, doivent s'attendre à cheminer contre tous les courants contraires. Ils ne doivent pas suivre la majorité, mais au contraire, ceux qui pratiquent le bien. Personne ne peut prétendre avoir une conduite parfaite, en toutes circonstances, à moins qu'il ne se soumette devant Dieu, avant d'entreprendre toute action.

      Les Israélites furent d'accord avec Josué, étant influencés par l'exemple du patriarche, si richement béni.

      Beaucoup veulent servir le Seigneur. Ils doivent alors bien observer la conduite des hommes pieux : quelle est leur influence vis-à-vis des autres, quel zÚle ils manifestent pour accomplir leur tùche.

      JosuĂ© exhorta les enfants d'IsraĂ«l Ă  servir l'Éternel de tout leur cƓur. Ils durent d'abord renoncer Ă  accomplir cette tĂąche par eux-mĂȘmes, ce qui aurait Ă©tĂ© une chose vaine. Cette consĂ©cration du peuple pour Dieu Ă©tant le rĂ©sultat d'un choix dĂ©libĂ©rĂ©, JosuĂ© scella ce vƓu par une cĂ©rĂ©monie solennelle : il Ă©rigea un monument. Ce fut pratiquement la derniĂšre manifestation extĂ©rieure du patriarche. Si les enfants d'IsraĂ«l sombraient Ă  nouveau dans le pĂ©chĂ©, leur sang retomberait sur leur tĂȘte. Que ce soit dans la maison de Dieu, Ă  la table du Seigneur, ou mĂȘme dans divers lieux oĂč nous avons promis solennellement de Le servir devant des tĂ©moins, nous pouvons ĂȘtre assurĂ©s que si nous dĂ©faillons, Ă©tant tentĂ©s de L'abandonner, Il saura placer la crainte dans notre cƓur pour nous remettre dans le droit chemin. Dieu seul peut nous accorder la GrĂące de bĂ©nir nos tentatives d'engagement Ă  Son service !

      1 Samuel 15

      1 Rois 19

      Job 31

      Psaumes 72

      2 Ce texte est une prophĂ©tie sur le futur royaume de Christ ; beaucoup de versets ne s'appliquent pas ici qu'au rĂšgne de Salomon. L'administration du royaume de ce dernier n'Ă©tait marquĂ©e, au dĂ©but, que par la droiture et la paix ; mais la fin de son rĂšgne se caractĂ©risa par diffĂ©rents problĂšmes et par plusieurs dĂ©viations. Le royaume ici mentionnĂ© a une durĂ©e semblable Ă  celle du soleil, en contraste avec celui de Salomon qui a connu une fin assez rapide. MĂȘme le peuple juif comprit qu'il s'agissait du royaume messianique. Notez bien les promesses Ă  la fois prĂ©cieuses et grandioses qui sont faites ici ; elles n'auront leur plein accomplissement que lors de l'avĂšnement du royaume de Christ.

      Les discordes et disputes dans les familles, les Ă©glises et les nations, cesseront. La loi de Christ, gravĂ©e dans les cƓurs, prĂ©disposera les hommes Ă  ĂȘtre honnĂȘtes et justes, Ă  honorer leurs engagements ; pareillement, les hommes seront disposĂ©s Ă  vivre dans l'amour et Ă  gĂ©nĂ©rer une abondance de paix. La saintetĂ© et l'amour seront Ă©tablis pendant toute la durĂ©e de ce royaume. Alors que notre monde et la vie actuelle sont sujets aux perpĂ©tuels changements qui, soit disant, les amĂ©liorent, le royaume de Christ sera parfait et autonome. Il couvrira le monde, par la grĂące et le Saint-Esprit, comme le ferait une ondĂ©e bienfaisante sur l'herbe tendre ; non pas sur celle qui est coupĂ©e, mais celle qui vit, qui croĂźt et qui peut encore produire. Son Ă©vangile a Ă©tĂ© ou sera prĂȘchĂ© Ă  toutes les nations. Bien qu'Il n'ait besoin de personne, Christ doit ĂȘtre servi Ă  la perfection. Ceux qui possĂšdent la richesse de ce monde doivent s'en servir pour Christ et l'investir dans la pratique du bien. Les priĂšres Lui seront adressĂ©es ; quelles que soient les demandes que nous adressons au PĂšre, elles doivent ĂȘtre adressĂ©es au nom du Fils. Les louanges Lui seront offertes : nous sommes sous la plus haute obligation de les Lui adresser. Christ, et seulement Lui, sera craint par toutes les gĂ©nĂ©rations. Jusqu'Ă  la fin des temps et pendant toute l'Ă©ternitĂ© son Nom sera adorĂ©. Toutes les nations Le bĂ©niront !

      Proverbes 1

      10 Le méchant fait du zÚle pour séduire les autres et les conduire dans les sentiers du « destructeur » : les pécheurs aiment pratiquer le péché « en commun ». Ils utilisent pour cela, de nombreux arguments.

      Combien doivent ĂȘtre prudents les jeunes gens ! « Ne te laisse pas gagner » (verset Proverbes 1:10*). Tu ne dois pas tenir le langage des pĂ©cheurs, ni pratiquer leurs Ɠuvres, ou ce qu’ils voudraient te voir faire ; tu ne dois avoir aucun lien avec eux.

      Qui pourrait penser qu’on puisse Ă©prouver du plaisir Ă  vouloir dĂ©truire un homme ? Quelle idĂ©e objective peuvent avoir les mĂ©chants, de la richesse du monde ? En fait, elle n’offre rien de rĂ©ellement substantiel, ni prĂ©cieux. Des millions de personnes font nĂ©anmoins l'erreur ruineuse de la surestimer.

      Les hommes se convainquent vainement que le pĂ©chĂ© leur procurera des avantages. Le chemin de pĂ©chĂ© mĂšne vers la « mauvaise pente », les hommes ne peuvent la quitter d’eux-mĂȘmes. Si les jeunes gens cherchent Ă  fuir la ruine Ă©ternelle qu’offre l’iniquitĂ©, qu'ils refusent de faire ne serait-ce qu'un pas, sur ces sentiers destructeurs.

      L'aviditĂ© du gain pousse les hommes Ă  des pratiques qui sont rĂ©prĂ©hensibles au plus haut point. OĂč est le profit d'un homme, si pour gagner le monde il doit perdre sa vie, ou pire, s’il doit perdre Ă©galement son Ăąme ?

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Proverbes 4

      14 Le chemin des mĂ©chants peut paraĂźtre agrĂ©able et mĂȘme le plus court pour atteindre un but ; mais il n'est pas le meilleur : il conduit au mal. Si tu aimes ton Dieu et ton Ăąme, Ă©vite de l’emprunter !

      Il n'est pas dit, « prends garde au sentier des mĂ©chants », mais, « n'y entre pas » ; ne pensons jamais ĂȘtre assez Ă©loignĂ©s de ce chemin.

      Le sentier du juste est lumiĂšre ; Christ est leur Chemin, et Il est la LumiĂšre. Les saints ne seront pas parfaits tant qu'ils n’auront pas atteint le ciel ; ils brilleront alors comme le soleil dans sa force. Le chemin du pĂ©chĂ© est semblable aux tĂ©nĂšbres. Le chemin des mĂ©chants est sombre, et par consĂ©quent, dangereux ; les impies tombent dans le pĂ©chĂ©, sans savoir comment l'Ă©viter. Ils tombent sous le coup de l’épreuve, mais ne cherchent jamais Ă  savoir pour quelle raison Dieu les frappe, ni ce qu'il adviendra d'eux, Ă  la fin. Tel est le genre de chemin que nous sommes invitĂ©s Ă  fuir.

      L’écoute attentive de la Parole de Dieu est le signe manifeste de l’Ɠuvre opĂ©rĂ©e par la GrĂące dans le cƓur, et la preuve qu’elle continue Ă  agir. À chaque maladie de l'Ăąme, correspond un remĂšde adĂ©quat, dans la Parole de Dieu. Garde ton cƓur avec diligence. Nous devons vraiment veiller sur nos Ăąmes, nous garder de blesser les autres, afin de ne pas ĂȘtre affligĂ©s en retour. Quel est le but de tous ces prĂ©ceptes ? C'est de leur respect que dĂ©pend l'issue de notre vie !

      Nous devons rechercher avant tout, par le Seigneur Jésus, cette « eau vivifiante », l'Esprit qui sanctifie : nous serons alors conduits à la vie éternelle et capables de garder nos lÚvres, du mensonge et des paroles perverses ; nos yeux se détourneront de la vanité, notre regard ira droit devant nous, et nous marcherons selon les rÚgles établies par Dieu, en suivant les pas de notre Seigneur et Maßtre.

      Seigneur, pardonne nos fautes du passé, et rends-nous capables de Te suivre avec plus d'attention dans les temps à venir !

      Jérémie 37

      Jérémie 38

      Ezéchiel 9

      Aggée 1

      Matthieu 27

      26 La crucifixion Ă©tait une mise Ă  mort que seuls les Romains pratiquaient ; il s’agissait d’une mort odieuse et misĂ©rable. Une croix Ă©tait posĂ©e Ă  mĂȘme le sol, sur laquelle on clouait les mains et les pieds du condamné ; on la soulevait ensuite pour la dresser verticalement, de façon Ă  ce que le poids du corps soit soutenu par les clous, jusqu'Ă  ce que le condamnĂ© meure, dans terrible agonie.

      Christ était ainsi une image du serpent d'airain, élevé sur une perche. Christ subit toute la misÚre et la honte qui sont ici décrites, afin de pouvoir acquérir pour nous, la vie éternelle, le bonheur, et la gloire !

      Marc 15

      15 Christ aborda la mort sous son aspect le plus terrifiant. Ce supplice était réservé aux plus grands malfaiteurs. La croix et la honte sont ainsi liées. Dieu ayant été déshonoré par le péché de l'homme, Christ Lui donna satisfaction en se soumettant à la plus grande disgrùce qui pouvait émaner de la nature humaine. Cette mort était maudite, comme le mentionnait la loi juive, dans \\#De 21:23\\.

      Les soldats romains se moquĂšrent de la « royauté » de notre Seigneur JĂ©sus. Les serviteurs, dans le prĂ©toire de la maison du souverain sacrificateur, se moquĂšrent aussi de Lui, le « ProphĂšte et le Sauveur ». Est-ce qu’une robe de pourpre (ou Ă©carlate) peut ĂȘtre un sujet d'orgueil pour un chrĂ©tien, alors qu'elle Ă©tait un opprobre et une honte sur le dos de Christ ? Il porta la couronne d'Ă©pines que nous mĂ©ritions, afin que nous puissions porter la couronne de gloire, que Lui seul mĂ©ritait. Nous Ă©tions, par le pĂ©chĂ©, destinĂ©s Ă  la honte et au mĂ©pris Ă©ternel. Cependant, pour nous dĂ©livrer, notre Seigneur JĂ©sus Lui-mĂȘme fut dĂ©shonorĂ© et mĂ©prisĂ©. Il fut placĂ© au rang des « ouvriers d'iniquité » bien qu'Il n'ait commis aucun pĂ©chĂ©.

      Les souffrances de notre humble et saint Rédempteur sont une source d'instruction permanente pour le croyant, source dont il ne peut jamais se lasser.

      Ais-je le droit de me plaindre ou de murmurer, en tant que vil pĂ©cheur, alors que JĂ©sus a tant souffert ? Dans une situation similaire, cĂ©derais-je Ă  la colĂšre, adresserais-je des reproches et des menaces Ă  ceux qui me feraient subir les mĂȘmes injures que celle infligĂ©es au Seigneur ?

      Luc 23

      Jean 7

      Actes 24

      Actes 25

      Romains 1

      Galates 2

      11 Quand Paul vit Pierre agir, comme s’il tendait Ă  ternir la vĂ©ritĂ© de l'Évangile et la paix de l'Ă©glise, il ne craignit pas de le blĂąmer, malgrĂ© le caractĂšre fougueux de ce dernier.

      Paul vit que Pierre et les autres frĂšres ne rĂ©pondaient pas aux principes de l'Évangile, malgrĂ© la profession de leur tĂ©moignage, Ă  savoir que par la mort de Christ le « mur de sĂ©paration » entre Juifs et Gentils n'existait plus, et que l'observation de la loi de MoĂŻse n'avait plus de raison d'ĂȘtre ; comme l'offense de Pierre Ă©tait publique, Paul le blĂąma publiquement.

      Nous pouvons constater une grande diffĂ©rence, d’une part, entre la prudence de Paul, qui a supportĂ© et pratiquĂ© temporairement les vaines cĂ©rĂ©monies de la loi, et d’autre part, la conduite timide de Pierre, qui, en s'Ă©cartant des Gentils, incita ses auditeurs Ă  penser que ces rites Ă©taient nĂ©cessaires.

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