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Exode 3.12

Et Dieu dit : Je serai avec toi. Et voici pour toi le signe que c'est moi qui t'envoie : Quand tu auras fait sortir d'Égypte le peuple, vous servirez Dieu sur cette montagne.
Dieu dit : Je serai avec toi ; et ceci sera pour toi le signe que c'est moi qui t'envoie : quand tu auras fait sortir d'Égypte le peuple, vous servirez Dieu sur cette montagne.
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      Genèse 15

      1

      ieu encourage Abram. (Genèse 15:1)
      La promesse divine, Abram est justifié par la foi. (Genèse 15:2-6)
      Dieu promet de donner Canaan à la descendance d'Abram. (Genèse 15:7-11)
      La promesse confirmée dans une vision. (Genèse 15:12-16)
      La promesse confirmée par un signe. (Genèse 15:17-21)

      Dieu promet pour toujours à Abram la sécurité et le bonheur. « Je suis ton bouclier » ; autrement dit, Je suis un bouclier pour toi, qui t'accompagne réellement. La prise en considération de Dieu, vu en tant que bouclier toujours disponible, place les siens en sécurité, les entoure, les protège de tout mal et de toute crainte, les prédisposant à la méditation.

      Genèse 31

      Exode 4

      1

      Dieu donne à Moïse la puissance d'accomplir des miracles. (Exode 4:1-9)
      Moïse hésite à accepter, Aaron doit le seconder. (Exode 4:10-17)
      Moïse quitte Madian, Le message de Dieu à Pharaon. (Exode 4:18-23)
      Le mécontentement de Dieu envers Moïse ; Aaron rencontre Moïse et Le peuple leur fait confiance. (Exode 4:24-31)

      Moïse objecta que le peuple ne l'écouterait pas, à moins qu'il ne leur montre un signe. Dieu donna alors au patriarche la puissance nécessaire pour accomplir des miracles.

      Ceux qui ne se consacrent pas pleinement à l'annonce de l'évangile, ne possèdent pas cette puissance divine miraculeuse : leur enseignement et leurs doctrines se doivent alors d'être éprouvés par la Parole à laquelle ils font, soit disant, référence. Ces miracles, faits en Égypte, sont du même type que ceux qui ont été opérés par notre Seigneur Jésus Christ, lorsque Il était ici-bas. Il appartenait à Dieu seul d'extraire la puissance du mal des âmes et de guérir ces dernières de la lèpre du péché ; c'est ce que faisait Jésus, quand il guérissait un lépreux : il ôtait premièrement le mal du corps.

      Exode 19

      1

      Le peuple d'Israël arrive au Sinaï, Le message envoyé par Dieu; La réponse des Hébreux. (Exode 19:1-8)
      Le peuple est préparé pour recevoir la loi. (Exode 19:9-15)
      La présence de Dieu au Sinaï. (Exode 19:16-25)

      Moïse est appelé à gravir la montagne, pour être le messager de l'Alliance. Le Créateur et l'Auteur de l'Alliance, n'est autre que Dieu Lui-même. Cette « chartre de bénédiction » a été octroyée par Dieu, selon Sa grâce. L'Alliance, ici mentionnée, l'était à titre « national » : l'ensemble du peuple d'Israël se trouvait sous le gouvernement de l’Éternel. C'était déjà une image de la « nouvelle Alliance », établie avec les croyants en Jésus-Christ ; mais, comme beaucoup d'images utilisées dans la Parole, cette Alliance n'était qu'une « ébauche » des bontés célestes à venir. Israël, en tant que nation, rompit cette alliance ; en conséquence, le Seigneur déclara qu'Il allait être plus tard, l'Auteur d'une nouvelle Alliance avec Son peuple, en écrivant la loi, non sur des tables de pierre, mais dans les cœurs, Jer 31:33, Heb 8:7-10. Cette alliance, mentionnée dans le texte et destinée à disparaître, est une alliance passée avec la nation d'Israël, afin d'effacer les péchés du peuple.

      Si nous tentons soigneusement de respecter cette loi, inhérente à l'Ancien Testament, nous finirons inéluctablement par chuter, avec les fautes que nous commettrons. N'imaginons pas que la nation d'Israël soit sous une dispensation spécifique, ne connaissant ni la repentance, ni la foi dans le Médiateur, ni le pardon des péchés, ni les bénéfices de la Grâce ; en fait, Israël partage aujourd'hui les mêmes privilèges spirituels que les véritables croyants, en bénéficiant de la nouvelle Alliance, de la Grâce.

      À cette époque, Israël était aussi sous le régime de la Grâce ; les Hébreux avaient les privilèges et les avantages du salut ; mais, comme certains chrétiens, ils n'ont pas persévéré dans la piété, ils n'ont pas été « de l’avant ». Dans ce texte, les enfants Israël ont accepté les conditions qui leur étaient présentées par Moïse. Ils donnèrent une réponse unanime : « Nous ferons tout ce que l'Éternel a dit ». Si seulement ils avaient persévéré dans leur décision ! Moïse, en tant que médiateur, rapporta à Dieu, les paroles du peuple.

      Christ, de la même manière, en tant que Prophète et Médiateur, nous révèle la Personne de Dieu, Ses préceptes et Ses promesses ; ensuite, en tant que Prêtre, il présente à Dieu nos sacrifices spirituels, non seulement nos prières et nos louanges, mais aussi nos vœux et nos résolutions de piété : l'œuvre de Son Esprit en nous.

      9 La procédure par laquelle fut présentée la loi, était destinée à donner au peuple la notion de la Majesté divine. Elle avait aussi pour but de convaincre les enfants d'Israël de leurs propres fautes et de leur montrer qu'ils ne pouvaient se présenter directement devant Dieu.

      Dans la loi, le pécheur découvre ce qu'il devrait être, dans quel état il se trouve en réalité et les penchants de son cœur. Il apprend alors la nature, la nécessité et la gloire de la rédemption, la recherche de la sainteté. Ayant été amené à se diriger vers Christ et Son amour, le chrétien constate que la loi est la règle de base qu'il doit suivre dans sa vie spirituelle.

      16 Jamais pareil sermon, tel que celui donné par Dieu dans le désert, ne fut prêché au peuple. On peut supposer que ce dernier était vraiment effrayé, et que cette frayeur entravait toute approche de curiosité ; le cœur le plus endurci d'un pécheur n'offre guère de poids face aux avertissements et aux jugements divins.

      Quand, dans le cheminement de notre vie, nous nous approchons de Dieu, nous ne devons pas oublier, d'une part, Sa Sainteté et Sa grandeur, mais aussi notre méchanceté et notre position, pollués que nous sommes par le péché. Par nature, nous ne pouvons pas nous dresser devant la grandeur des jugements de l'Éternel, ni devant Sa Loi, pleine de droiture.

      Le pécheur convaincu pose cette question : « Que dois-je faire pour être sauvé » ? Une voix lui répond alors : « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé ». Le Saint-Esprit, qui a créé la loi pour nous convaincre de notre péché, nous présente maintenant le salut en Jésus-Christ. Dans l'évangile, nous lisons que Christ nous a racheté de la malédiction annoncée par la loi, Il a été fait malédiction pour nous. Nous avons la rédemption par Son sang et nos péchés sont ainsi pardonnés. En Lui, nous sommes justifiés de tout, même de ce dont nous étions accusés par la loi de Moïse. Mais les ordonnances divines doivent être considérées comme une règle de vie. Le Fils de Dieu est descendu des cieux, il a souffert de la pauvreté, de la honte, de l'agonie et de la mort, non seulement pour nous racheter de la malédiction, mais aussi afin que nous gardions tous Ses commandements.

      Lévitique 1

      1

      Dieu a institué diverses sortes d'offrandes et de sacrifices, afin d'assurer au peuple le pardon des offenses, à condition que le tout soit offert avec obéissance et avec une foi réelle.

      L'Éternel a aussi institué les sacrificateurs et les Lévites, en ayant défini leurs vêtements propres à leurs différents offices ; Il a dicté leur conduite à tenir et a indiqué par qui elle devait leur être octroyée. Les différentes fêtes, avec leur date respective, leur furent également prescrites. Tout cela a été indiqué à Israël pour bien montrer que le salaire du péché c'est la mort et que sans le sang de Christ, l'Agneau de Dieu innocent, il ne pouvait y avoir de pardon des fautes.

      * Les offrandes. (Lévitique 1:1,2) Préceptes à observer pour le bétail, (Lévitique 1:3-9) Pour le menu bétail et les oiseaux. (Lévitique 1:10-17)

      Lévitique 1:1,2 Les offrandes pour les sacrifices ont été une ordonnance propre à la véritable religion, depuis la chute de l'homme jusqu'à la venue de Christ. Mais jusqu'à ce que les Israélites n'arrivent dans le désert, rien de bien particulier n'avait été défini à ce sujet par l'Éternel. Le principe général de toutes ces ordonnances est clair : les sacrifices sont une image de Christ ; ils mettent au jour le devoir des croyants ainsi que le type et la nature de la communion à entretenir avec Dieu. Il n'y a guère de choses se rapportant au Seigneur Jésus, qui ne soient mentionnées par les Écritures, en particulier dans ces instructions données au peuple.

      Le livre du Lévitique débute par les lois relatives aux Sacrifices ; les plus anciens étaient les sacrifices d'offrandes brûlées : Dieu donna en effet à Moïse toutes les instructions à leur sujet. Il était clair que le peuple désirait apporter des offrandes à l'Éternel.

      La lumière naturelle qui illumine le monde, pousse l'homme à se tourner vers son Créateur, vers Dieu. Immédiatement après la chute, dans le livre de la Genèse, les sacrifices furent en effet décrétés.

      3 Dans les ordonnances données par le livre du Lévitique, les mystères du monde spirituel sont représentés par des éléments de la nature : les pratiques qui vont suivre, relatives aux sacrifices et aux offrandes, en sont une représentation. Sans cette idée sous-jacente, ces cérémonies sembleraient n'avoir aucun sens. Dans ces éléments, nous trouvons une représentation des souffrances du Fils de Dieu, sacrifié pour les péchés du monde entier. Le corps brûlé de l'animal, n'était qu'une piètre représentation du châtiment éternel que nous méritions tous ; en fait, c'est notre Seigneur Jésus qui a supporté corps et âme cette malédiction, lorsqu'Il est mort sous le poids de nos iniquités.

      Remarquons bien les éléments suivants : - La bête à sacrifier devait être sans défaut. Cela signifie que Christ était pur et parfait, capable de rendre sain Son peuple racheté. - La personne offrant le sacrifice devait le faire sans contrainte. Tout acte de piété, destiné à plaire à Dieu, doit être accompli avec amour. Christ s'est Lui-même volontairement offert, par amour pour nous. - La bête devait être offerte à la porte du tabernacle, sur l'autel de bronze des sacrifices. Cette offrande était ainsi sanctifiée : c'est une image du pécheur, incapable d'entrer en communion avec Dieu, sans être sanctifié par un sacrifice. - Celui qui offrait le sacrifice devait apposer sa main sur la tête de la victime : cela signifiait qu'il souhaitait que son offrande soit bien acceptée. - Le sacrifice devait être exécuté devant l'Éternel, selon un rite et une manière bien précis, en vue d'honorer Dieu. Cela signifie aussi pour les chrétiens, qu'ils doivent sacrifier tout ce qui vient de la chair : les affections corrompues comme les convoitises. - Les sacrificateurs devaient épandre le sang sur l'autel ; le sang étant la vie, c'est par lui que le péché pouvait être expié. C'est une image de la purification et de l'apaisement de nos consciences par l'aspersion du sang de Jésus-Christ, et ce par le biais de la foi. - La bête sacrifiée devait être divisée en plusieurs morceaux, pour être ensuite brûlée sur l'autel. Ce sacrifice consumé est aussi une image des horribles souffrances de Christ ; c'est également un modèle pour les chrétiens, qui doivent offrir leur être, dans le « feu de la sainteté », donnant ainsi leur esprit, leur âme et leur corps à Dieu. - Il est mentionné que le sacrifice était d'odeur agréable à l'Éternel : il en a été de même pour Christ qui est mort, en toute obéissance à Dieu, en vue de Lui offrir un sacrifice parfait ; les sacrifices spirituels des chrétiens ne peuvent être acceptés par Dieu qu'au travers de Christ, 1Pierre 2:5.

      10 Ceux qui ne pouvaient offrir un taureau, pouvaient apporter un mouton ou une chèvre ; quant à ceux qui ne pouvaient offrir aucun de ces animaux, ils avaient l'agrément divin s'ils amenaient une tourterelle ou un pigeon. Ces créatures n'étaient sélectionnées pour être sacrifiées, que si leur caractère était doux, calme et inoffensif ; cela nous rappelle l'innocence et l'humilité que l'on rencontrait dans la personne de Christ, ici-bas et qui devrait se trouver également chez les chrétiens.

      L'offrande du pauvre était également une image de l'expiation faite par Jésus-Christ, elle avait autant de valeur que la plus coûteuse : elle exprimait une réelle repentance, la foi et le dévouement à Dieu. Nous n'avons aucune excuse si nous négligeons notre devoir dans le service divin. De même qu'un Israélite pouvait offrir un taureau ou une chèvre, nous pouvons offrir à Dieu, qui Le premier, nous a déjà donné, le sacrifice de notre cœur brisé, ou celui de notre louange et de nos remerciements. Plus nous nous consacrons au service divin, plus nous nous engageons pour Lui, cherchant toute occasion pour accomplir de notre mieux, Sa volonté. En toutes choses Dieu pourvoit aux éléments nécessaires pour Son service, que ce soit le temps ou les moyens ; là où la providence divine a donné à l'homme une opulence de richesse, Dieu n'acceptera pas d'offrande qui ne soit faite avec un cœur contrit.

      Consacrons-nous, corps et âme, à Son service, quelle qu'en soit la difficulté requise ; entreprenons, accomplissons et souffrons pour notre Seigneur !

      Nombres 1

      1

      Ce livre s'intitule « Les Nombres », car son contenu relate de nombreux dénombrements du peuple. La période décrite dans ce livre s'étend, en quelque sorte, du moment où loi fut donnée sur le Sinaï, jusqu'à l'arrivée du peuple, dans les plaines du Jourdain. Les Israélites furent punis de leur incrédulité et de leur rébellion : ils errèrent pendant près de quarante ans dans le désert ; nous trouvons également dans les Nombres, quelques ordonnances morales et cérémoniales. L'affliction que subit le peuple, servit à distinguer les pécheurs et les hypocrites, des fidèles et véritables serviteurs de Dieu, animés d'un cœur pur.

      Le dénombrement des Israélites. (Nombres 1:1-43)
      Le dénombrement du peuple. (Nombres 1:44-46)
      Les Lévites sont dénombrés séparément. (Nombres 1:47-54)

      Le peuple fut dénombré afin de souligner la véracité de la promesse divine : la descendance de Jacob devait s'accroître considérablement pour être apte à faire la guerre contre les Cananéens et pour ensuite pouvoir être dispersée sur les terres conquises, famille par famille. Il est dit que dans chaque tribu, ceux qui avaient été dénombrés, étaient aptes au combat ; Israël devait en effet se préparer à faire la guerre, malgré le calme apparent de cette traversée du désert. Il en est de même pour le croyant : malgré une vie apparemment paisible, celui-ci doit se préparer à faire la guerre contre les ennemis de son âme.

      Deutéronome 31

      23 Ce passage décrit comment Moïse donna solennellement le livre de la loi aux Lévites, afin qu'ils le placent à côté de l'arche. Le patriarche donna ensuite au peuple, un cantique qui figure au chapitre suivant. Il le rédigea d'abord, inspiré par le Saint-Esprit, puis le communiqua ensuite au peuple.

      Moïse annonça clairement qu'il savait qu'après sa mort, Israël se corromprait totalement. Cet homme, qui avait tant fait pour le peuple, devait être accablé de tristesse ; mais il pouvait se réconforter en estimant avoir accompli son devoir, sachant que Dieu serait finalement glorifié, à la fin de la dispersion d'Israël : si, dans le futur, ce dernier n'était plus en Canaan, les promesses divines à son égard, n'en seraient pas moins immuables.

      Josué 1

      5 Josué compte bien utiliser la Loi, comme règle de vie. Il est chargé par Dieu de la méditer jour et nuit, afin de « prendre garde à faire selon tout ce qui est écrit ». Quelles que soient les affaires que nous avons à traiter en ce monde, nous ne devons pas négliger cette lecture de la Parole, si utile. Tous les ordres et tous les jugements que Josué allait donner, devaient s'appuyer sur la Loi. Même le patriarche y était lui-même soumis ; aucune dignité humaine, aucune domination ne peut se placer au dessus de la Parole de Dieu.

      Josué devait s'encourager par les Promesses et par la Présence divines. Le patriarche ne devait pas être découragé par le constat d'éventuelles faiblesses personnelles ; Dieu est tout suffisant ! C'est Lui-même qui a appelé Josué, pour lui commander d'accomplir cette tâche, étant sûr qu'il était capable d'en supporter les difficultés. Quand nous accomplissons notre devoir, nous avons de bonnes raisons d'être forts et très audacieux. Notre Seigneur Jésus, comme Josué dans le cas présent, est né dans la perspective de subir plus tard la souffrance, par la volonté et l'ordre de Dieu, Son Père.

      Juges 6

      Juges 7

      Psaumes 86

      Esaïe 7

      Esaïe 37

      Esaïe 41

      10 Dieu s'exprime ici avec tendresse : « ne crains rien, car je suis avec toi ». Il s'agit non seulement d'un encouragement, mais aussi d'une promesse de Sa présence : « es-tu faible ? Je te donnerai de la force. Désires-tu être épaulé par un Ami ? Je t'aiderai, quand tu seras dans le besoin. Es-tu sur le point de tomber ? Je te soutiendrai de Ma main droite, Celle de la Justice, Celle qui, à la fois, récompense ou punit ».

      Certains s'acharnent contre les enfants de Dieu, ne recherchant que leur ruine. En de tels cas, ces derniers ne doivent pas vouloir se venger, mais savoir attendre « l'heure » que Dieu a prévue.

      « Ne crains-pas, vermisseau de Jacob », (verset Esaïe 41:14*) ; le peuple d'Israël était alors peu représentatif, bien faible, dédaigné et méprisé par tous. Les véritables enfants de Dieu sont comme ces « vermisseaux », animés d'humbles pensées, constatant le mépris que leur témoignent leurs ennemis ; par cette image, on ne doit pas les assimiler à ces derniers, qui ne sont que des « vipères », de la famille du serpent !

      La Parole de Dieu, dans son ensemble, vise à abaisser l'orgueil de l'homme, elle tend à diminuer ce dernier à ses propres yeux.

      L'Éternel aidera Son peuple, Il est son Rédempteur ! Il incitera Jacob à devenir « l'instrument zélé », qui témoignera de l'existence de Sa Personne. Dieu lui donnera les capacités d'accomplir cette tâche, avec un esprit nouveau, actif. Tout cela sera manifesté par l'accomplissement du triomphe de l'évangile de Christ, avec tous Ses fidèles serviteurs, luttant contre la puissance des ténèbres.

      Dieu a accordé tout Son soutien aux enfants d'Israël, Il a répondu à toutes leurs prières. Notre cheminement vers le ciel passe par le désert de ce monde. L'âme de l'homme est en perpétuelle recherche de satisfaction : en fait elle se lasse de ne rien trouver de valable ici-bas, rien qui ne puisse vraiment la contenter. Il existe pourtant une source sûre, capable de « restaurer » cette âme : « celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein », nous annonce Christ, mentionnant l'Esprit, Jean 7:38,39.

      Quand Dieu établit son église ici-bas, dans le « désert », parmi les « Gentils », il y eut un changement remarquable : les épines et les ronces se transformèrent en cèdres, en sapins, et en myrtes ! Toutes ces bénédictions s'adressent aux « pauvres en esprit », à tous ceux qui désirent humblement et ardemment la Lumière, le pardon et la sainteté célestes.

      Dieu, dans Sa Grâce et par Son Esprit, transforme l'âme stérile : il la rend vivante et fructueuse, afin, qu'en retour, elle puisse Le glorifier !

      *Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Esaïe 43

      Jérémie 43

      Jérémie 51

      Matthieu 28

      Marc 16

      Actes 11

      Romains 8

      Hébreux 13

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