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Jacques 1.12

Heureux est l’homme qui demeure ferme dans l’épreuve ; car après avoir prouvé sa fermeté, il recevra la couronne de victoire, la vie éternelle que Dieu a promise à ceux qui l’aiment.
Heureux est l'homme qui endure la tentation ; car après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie que le Seigneur a promise à ceux qui l'aiment.
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    • Exode 20

      Deutéronome 7

      Deutéronome 8

      Deutéronome 13

      Néhémie 1

      Job 5

      17 Éliphaz adresse à Job une exhortation à la prudence : il ne faut pas dédaigner le châtiment du Tout-Puissant. Le vrai châtiment est celui qui vient de l'Amour du Père, et qui s'avère bienfaisant pour l'enfant ; il faut le considérer comme étant un « message » du ciel. Éliphaz encourage également Job à accepter son état. Un homme pieux est heureux, même dans l'affliction, parce qu'il n'a pas perdu son contact avec Dieu, ni la promesse de son salut ; il est heureux d'être affligé. La correction mortifie ses corruptions, éloigne son cœur du monde, le rapproche de Dieu, de la Bible, le place aux genoux du Père. Bien que Dieu meurtrisse parfois ses enfants, Il les soutient néanmoins, lors des les afflictions, et les délivre en temps voulu.

      Occasionner une blessure fait parfois partie d'un traitement. Éliphaz promet à Job que Dieu le bénirait, s'il consentait à s'humilier devant Lui.

      Quelles que soient les épreuves que les hommes pieux puissent subir, elles ne peuvent en fait leur faire réellement du mal. Étant enclins à fuir le péché, ils sont préservés des attaques du mal. Et si les serviteurs de Christ ne sont pas délivrés dans l'immédiat, des épreuves qui les assaillent de tous côtés, ils sont aptes à les surmonter et à les vaincre en totalité. Quelles que soient les médisances qui pourront être contre eux, aucune ne pourra les blesser. Ils auront alors la sagesse et la grâce requises pour dominer leurs difficultés. La plus grande bénédiction, dans nos travaux et dans nos joies ici-bas, consiste à être préservé du péché. Nous finirons alors notre périple terrestre dans la joie et l'honneur. L'homme qui finit sa vie, qui a terminé son travail, est prêt à se diriger vers un autre monde. C'est une grâce de mourir rassasié de jours, cela fait un peu penser au maïs bien mûr et gorgé de soleil, qui est coupé et engrangé soigneusement ; c'est encore une grâce de quitter ce monde, avant que les souffrances interminables ne nous atteignent.

      Notre temps est dans des mains de Dieu ; c'est bien ainsi. Les croyants ne doivent pas s'attendre à avoir de grandes richesses, une longue vie ou être épargnés de toute épreuve. Mais tout concourt au bien-être de leur âme. Il faut remarquer, dans l'histoire de Job, son intégrité d'esprit et de cœur, lors de l'épreuve : c'est un des accomplissements les plus manifestes de la foi. Quand toutes choses vont pour le mieux, il y a peu d'épreuve de la foi. Quand Dieu soulève une tempête, en se tenant apparemment à distance pour écouter nos prières, et qu'Il permet à l'ennemi d'envoyer l'épreuve vague après vague, le fait de « s'agripper » à Lui, en Lui faisant confiance, malgré Son apparente indifférence, dénote la véritable patience des saints. Béni soit le Sauveur ! Comme il est doux, en de tels moments, de regarder à Toi, l'auteur et le consommateur de la foi !

      Psaumes 5

      Psaumes 94

      12 L'homme mentionné dans ce texte est béni ; il se trouve placé sous le regard du Seigneur, au bénéfice de Sa Volonté, Sa vérité, de Sa Sainte Parole et de l'Esprit-Saint. Il devrait percevoir la Miséricorde au travers de ses souffrances. Les jours d'adversité ont toujours une fin et Dieu a prévu à chaque fois un temps de repos pour Son peuple. Celui qui a envoyé l'épreuve, enverra de même le repos. Le psalmiste n'a trouvé le secours et la sécurité que dans le Seigneur, au moment même où tous ses amis ici-bas l'ont délaissé. Nous sommes au bénéfice, non seulement de la puissance divine, mais aussi de Sa pitié, et ce, pour le réconfort de notre vie spirituelle ; et si nous avons été préservés de chuter dans le péché ou de faillir à notre devoir, nous devons Lui rendre gloire et témoigner dans notre entourage fraternel.

      Le psalmiste a rencontré beaucoup d'épreuves dans le chemin qu'il devait suivre ; la diversité des machinations et des peurs qui nous entourent peut nous rendre craintifs, défaitistes et nous remplir d'idées noires.

      Les hommes droits, lorsqu'ils traversent des périodes de détresse, sont quelquefois déstabilisés dans leur communion avec Dieu. Ils doivent alors se tourner vers les promesses grandes et merveilleuses de l'évangile. Le réconfort de ce monde n'est que de peu d'utilité pour l'âme mélancolique ; mais le réconfort divin apporte une paix, une joie et une délivrance que le monde ne peut offrir. Dieu est le Refuge de son peuple, vers lequel celui-ci peut se diriger et trouver toute la sécurité. Dieu va considérer les œuvres du méchant. La situation la plus misérable qu'un homme puisse rencontrer est celle de sa propre méchanceté, à moins qu'il ne soit visité par le Seigneur.

      Psaumes 119

      Proverbes 3

      Proverbes 17

      Esaïe 64

      Zacharie 13

      Malachie 3

      Matthieu 10

      Matthieu 19

      Matthieu 25

      Luc 22

      Romains 2

      Romains 8

      28 De nombreux bienfaits encouragent les âmes des saints. Toute la providence divine tend au bien spirituel de ceux qui aiment Dieu ; en les séparant du péché, elle les amène plus près du Père, les « sevrant » du monde, et les rendant aptes à se rendre au ciel. Quand les saints agissent hors de ce principe, des « corrections célestes » sont alors employées pour les y ramener.

      Nous trouvons dans ce texte ce qui a motivé la recherche de notre salut ; c’est un séquentiel immuable : 1. « Ceux qu'Il a connus d'avance, Il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils ». Tous ceux que Dieu a désignés pour Sa Gloire et la félicité éternelle, Il les a destinés à croître dans la Grâce et la sainteté. L'humanité entière, par son péché, mérite la mort ; mais pour des raisons qui nous échappent, Dieu a résolu de sauver les âmes par la régénération et le pouvoir de Sa Grâce. Il a prédestiné, ou décrété par avance, qu'elles doivent être conformes à l'image de Son Fils. Elles sont en partie renouvelées spirituellement ici-bas, marchant dans Ses pas. 2. « Ceux qu'Il a prédestinés, Il les a aussi appelés ». C'est un appel pertinent, destiné à conduire chaque âme à Dieu, par l’intermédiaire de Christ, le ciel étant l’issue finale ; ce cheminement débute par le péché et la vanité, pour se terminer dans la connaissance de la Grâce et de la sainteté. Tel est l'appel de l'Évangile. L'amour de Dieu, régnant dans le cœur de ceux qui jadis étaient Ses ennemis, prouve qu'ils ont été appelés selon Son dessein. 3. « Ceux qu'Il a appelés, Il les a aussi justifiés ». Personne ne peut être justifié s'il n'a été effectivement appelé. Ceux qui résistent à l'appel de l'Évangile sont coupables et demeurent soumis aux sentences de la colère divine. 4. « Ceux qu'Il a justifiés, Il les a aussi glorifiés ». Le pouvoir de corruption du péché étant brisé par la justification divine et la culpabilité de l’homme, effacée, rien ne peut désormais s'interposer entre son âme et la Gloire céleste. C'est un encouragement pour notre foi et notre espérance ; les voies et l’œuvre de Dieu sont parfaites !

      L'apôtre Paul montre son émerveillement, étant confondu d'admiration, devant la hauteur, la profondeur, la longueur et la largeur, de l'Amour de Christ, éléments qui surpassent toute connaissance. Plus nous découvrons les caractéristiques de Son amour, plus nous sommes étonnés ; plus nous sommes conduits dans les mystères de l'Évangile, plus nous en sommes émerveillés.

      Tant que Dieu est « pour nous » et nous garde dans Son amour, nous pouvons, dans une sainte hardiesse, défier tous les pouvoirs des ténèbres !

      1 Corinthiens 2

      1 Corinthiens 8

      1 Corinthiens 9

      2 Timothée 4

      Hébreux 6

      Hébreux 10

      32 Diverses persécutions ont été subies par les premiers chrétiens, ce qui les obligea à soutenir cette grande épreuve.

      L'esprit chrétien n'est pas synonyme d’égoïsme, loin de là ! Il rend les hommes compatissants envers leurs prochains, en les visitant, en les aidant et en intercédant pour eux, auprès du Seigneur. Toutes les vanités de ce monde ne sont que des « ombres ». La félicité des saints, dans le ciel, sera éternelle ; nul ne pourra la leur ravir. Toutes nos pertes ici-bas et toutes nos souffrances, nous seront dédommagées dans le ciel.

      La majeure partie de la joie des saints réside dans les promesses divines. C'est une épreuve de patience pour les chrétiens, que d'être heureux de vivre, après leur travail accompli, tout en attendant leur « récompense » céleste, au temps marqué par Dieu. Ce temps de félicité débutera après leur mort, mettra fin à toutes leurs souffrances et leur donnera la couronne de vie !

      Le combat journalier du chrétien peut être très dur, mais il aura bientôt une fin. Dieu éprouve un grand déplaisir en constatant la conduite formaliste et hypocrite de celui qui ne persévère pas réellement dans Ses voies.

      Ceux qui sont restés fidèles, lors des grandes persécutions du début de l’ère chrétienne, ont eut raison d'espérer recevoir une mesure de Grâce proportionnelle à leurs souffrances ; cela a affermi leur vie « par la foi », leur patience et la conviction du salut de leur âme !

      Vivant par la foi et mourant dans la foi, notre âme est pour toujours en sécurité !

      Hébreux 11

      Hébreux 12

      Jacques 1

      12 Celui qui souffre n’est pas systématiquement béni : ne le sera que celui qui traverse avec patience et constance toutes les difficultés qui se présentent sur le chemin du devoir.

      Nos afflictions éventuelles ne peuvent pas nous rendre malheureux, si elles ne sont pas le résultat de notre propre faute. Le chrétien éprouvé sera un chrétien couronné ! La couronne de vie est en effet promise à tous ceux qui vivent avec l'Amour de Dieu dans leur cœur. Toute âme qui aime vraiment Dieu, verra ses épreuves ici-bas compensées dans les cieux, là où se trouve l'amour parfait.

      Les commandements de Dieu, et ce que nous accorde Sa providence, éprouvent le cœur des hommes, et révèlent les dispositions qui prédominent en eux. Aucune trace de culpabilité, dans le cœur ou dans la conduite, ne peut être attribuée à Dieu. Il n'est pas à l'origine de toutes nos souillures, bien que Son Jugement les fasse apparaître.

      Ceux qui tentent de se disculper de leurs fautes, par leur nature, ou leur condition ici-bas, ou qui prétendent ne pas pouvoir se garder de commettre le péché, offensent Dieu, comme s'Il en était Lui-même l'auteur. Lorsqu'elles sont envoyées par Dieu, les afflictions rappellent qu’elles sont là pour faire ressortir la Grâce, mais pas nos corruptions.

      L'origine du mal et la tentation résident en notre propre cœur. La décision d’arrêter le péché, ou tous les maux qui en découlent, repose entièrement sur nous. Dieu n'a aucun plaisir à constater la mort des hommes, comme Il n'a aucune part dans leur péché ; mais ce dernier et la misère qui en découle, tirent leur origine de l’homme.

      Le soleil est immuable quant à sa nature et son influence, mais pourtant, les nuages qui le masquent, nous donnent l'impression qu'il change. Il en est de même pour Dieu : Il ne varie pas ; nos errances ou nos chutes ne sont pas le fait du moindre changement ou d'altération en Lui. Ce que le soleil représente dans la nature est identique, mais infiniment moindre, à ce que Dieu manifeste dans la Grâce, la Providence, et Sa Gloire !

      Tout ce qui est bon provient de Dieu : notre nouvelle naissance en est particulièrement le reflet, avec toutes les saintes et heureuses conséquences ! Dès cette nouvelle naissance, le véritable chrétien, par la Grâce divine, devient une personne complètement différente de ce qu'elle était auparavant.

      Nous devons consacrer toutes nos facultés au service de Dieu, afin que nous puissions être une sorte de « prémices » de Ses créatures !

      Jacques 2

      Jacques 5

      1 Pierre 1

      1 Pierre 3

      14 Nous sanctifions Dieu devant les autres, quand notre conduite les invite et les encourage à Le glorifier et à L'honorer.

      Quel était le fondement et la raison de l’espérance des premiers hommes de Dieu ? Nous devons être capables de défendre notre piété avec douceur de caractère, dans la crainte de Dieu. Il n'y a aucune place pour la peur, là où demeure cette crainte ; elle ne nuit à personne.

      Une conscience est « bonne », quand elle accomplit correctement son office. Quand on rencontre chez une personne le péché et la souffrance, cette âme est en bien triste condition ; le péché rend la souffrance extrême, sans consolation, et destructrice. Il vaut mieux souffrir en pratiquant le bien qu'en faisant le mal, quelle que puisse être notre contrariété.

      L'exemple de Christ est un modèle parfait de patience, dans la souffrance. Celui qui n'a pas connu le péché, a souffert à la place de ceux qui ne pratiquaient pas la Justice. Le but béni et l'objet des souffrances de notre Seigneur étaient de nous réconcilier avec Dieu, et de nous amener à la gloire éternelle ! Il a été mis à mort, dans Sa nature humaine, mais Il a été ramené à la vie, par le pouvoir du Saint-Esprit. Si Christ n'a pu être libéré de Ses souffrances, pourquoi en serait il autrement pour les chrétiens ?

      Dieu connaît les moyens qu'Il a utilisés, et les bénédictions qu'Il a accordées à Son peuple, en toutes époques. Dès les temps anciens, Christ a envoyé son Esprit ; Noé a ainsi pu donner au monde un avertissement, au sujet du déluge. Bien que la patience divine soit infinie, elle cessera un jour... Les âmes des pécheurs désobéissants, aussitôt sorties de leurs corps, seront enfermées en enfer, où sont déjà ceux qui ont méprisé l'avertissement de Noé, là où il n'y a plus de Rédemption possible.

      La préservation de Noé, dans l'arche qui l'a sauvé de l'eau, est une image du salut, pour tous les véritables croyants, par le baptême du Saint-Esprit.

      Pour prévenir de toute erreur, l'apôtre décrit ce qu'il entend par le « baptême qui sauve » : il n’annonce pas que le baptême, qui se déroule devant tous, est une purification par l'eau, ne faisant rien de plus que de laver toute impureté de la chair, mais qu’il s’agit d’un symbole, témoignant d’un véritable engagement envers Dieu. Cet acte témoigne qu'un homme, par la régénération de l'Esprit, a été capable de se repentir et de confesser sa foi, dans le but d’avoir une « nouvelle vie », dans la sainteté et en présence de Dieu.

      Prenons garde de ne pas être trop affecté par l’apparence extérieure de cette cérémonie. Apprenons plutôt à observer spirituellement les ordonnances divines, en nous interrogeant sur leur effet spirituel et leur action sur notre conscience.

      Nous aimerions volontiers baser notre piété sur le « visible ». Beaucoup de baptisés n’ont hélas, qu’observé les ordonnances pratiques mentionnées dans la Parole de Dieu, tout en restant éloignés spirituellement de Christ : en fait, ils sont morts dans leurs péchés et leur état est maintenant désespéré.

      N'ayez aucun repos tant que vous n'avez pas été purifié par l'Esprit et le sang de Christ. Sa résurrection est la base de notre assurance du salut, l’origine de notre purification et de la paix en notre cœur !

      1 Pierre 4

      1 Pierre 5

      10 Pour conclure, l'apôtre prie pour ceux à qui il adresse cette lettre, rappelant que le Seigneur est un Dieu de toute Grâce ; il continue en ces termes : -« Dieu vous perfectionnera » ; cela implique un progrès spirituel, menant à la sanctification. -« Dieu vous affermira » ; cela suppose une guérison de notre faiblesse naturelle et de notre inconstance. -« Dieu vous fortifiera » ; il se réfère à l'accroissement de la Grâce, là où les enfants de Dieu sont les plus vulnérables. -« Dieu vous rendra inébranlables » ; cela souligne un fondement spirituel parfaitement sûr : Christ est le Fondement et la Force des croyants.

      Ces différentes expressions montrent que la persévérance et le progrès dans la Grâce doivent être les premiers éléments que chaque chrétien doit rechercher. La puissance de cette doctrine dans le cœur, et les fruits spirituels qui en découlent, montrent que les enfants de Dieu sont les participants de Sa Grâce.

      « La croissance de l'amour des chrétiens, et de leur affection mutuelle », n'est en aucune manière une phrase vide de sens : c’est le « sceau et l'insigne » de Jésus-Christ sur ceux qui L’aiment.

      Les impies peuvent bénéficier pour un temps d’une paix fictive, et souhaiter avoir certains agréments pour eux-mêmes, comme pour d'autres ; mais leur espoir est vain, et se réduira à néant... Toute paix durable est fondée sur Christ, elle ne peut provenir que de Lui !

      1 Jean 4

      Apocalypse 2

      Apocalypse 3

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