13
Alors qu’un jour les fils et les filles de Job mangeaient et buvaient du vin chez leur frère aîné,
14
un messager arriva vers Job et lui dit : « Les bœufs labouraient et les ânesses broutaient à côté d'eux.
15
Des Sabéens se sont jetés sur eux et les ont enlevés. Ils ont tué les serviteurs à coups d’épée et je suis le seul à avoir pu m’échapper pour t'en apporter la nouvelle. »
16
Il parlait encore lorsqu'un autre messager arriva et dit : « La foudre est tombée du ciel, a embrasé les brebis et les serviteurs et les a dévorés. Je suis le seul à avoir pu m’échapper pour t'en apporter la nouvelle. »
17
Il parlait encore lorsqu'un autre messager arriva et dit : « Des Chaldéens répartis en trois bandes se sont précipités sur les chameaux et les ont enlevés. Ils ont tué les serviteurs à coups d'épée et je suis le seul à avoir pu m’échapper pour t'en apporter la nouvelle. »
18
Il parlait encore lorsqu'un autre messager arriva et dit : « Pendant que tes fils et tes filles mangeaient et buvaient du vin chez leur frère aîné,
19
un grand vent est venu depuis l'autre côté du désert et a frappé contre les quatre coins de la maison. Elle s'est écroulée sur les jeunes gens et ils sont morts. Je suis le seul à avoir pu m’échapper pour t'en apporter la nouvelle. »
7
Satan se retira alors de la présence de l'Eternel. Puis il frappa Job d'un ulcère purulent, depuis la plante des pieds jusqu'au sommet du crâne.
11
» Aurai-je encore la force d’espérer ? Quelle sera ma fin, pour que je veuille persister à vivre ?
6
Plus rapides que la navette d’un tisserand, mes jours s'évanouissent : plus d'espérance !
13
» Voilà ce qui arrive à tous ceux qui oublient Dieu, et l'espérance de l'impie s’évanouira.
14
Ses certitudes sont fragiles, sa sécurité n’est qu’une toile d'araignée.
15
Il s'appuie sur sa maison, mais elle n'est pas solide ; il s'y cramponne, mais elle ne résiste pas.
16
Rempli de sève en plein soleil, il développe ses rameaux sur son jardin,
17
ses racines s’entrelacent dans un tas de cailloux, il scrute le creux des pierres.
18
Si on l’arrache de l'endroit qu'il occupait, celui-ci le renie : ‘Je ne t'ai jamais vu !’
14
Ce qu'il abat ne sera pas reconstruit, l’homme qu'il enferme ne sera pas relâché.
11
Comment ! Mes jours sont passés, mes projets sont anéantis, ces projets qui remplissaient mon cœur,
15
Qu’ai-je donc à espérer ? Mon espérance, qui peut l’entrevoir ?
10
Il m'a brisé à tout point de vue et je m'en vais, il a arraché mon espérance comme un arbre.
20
Le ventre de sa mère oublierait l’homme injuste, les vers feraient leurs délices de lui. On ne se souviendrait plus de lui, il serait brisé comme un arbre,
35
J’ai vu l’homme violent dans toute sa puissance : il s’étendait comme un arbre verdoyant,
36
mais il est passé et il n’existe plus ; je le cherche, et je ne le trouve plus.
13
Tes miracles sont-ils connus dans les ténèbres, et ta justice au pays de l’oubli ?
14
Et moi, c’est toi, Eternel, que j’appelle au secours. Le matin, ma prière s’adresse à toi.
15
Pourquoi, Eternel, me rejettes-tu ? Pourquoi me caches-tu ton visage ?
16
Je suis malheureux et mourant depuis ma jeunesse, je subis tes terreurs et je suis bouleversé.
17
Tes fureurs passent sur moi, tes terreurs me réduisent au silence ;
18
elles m’encerclent tout le jour comme de l’eau, elles me cernent de tous côtés.
11
à cause de ta colère et de ta fureur. Oui, tu t’es emparé de moi et m’as rejeté.
5
Le Seigneur a été comme un ennemi : il a englouti Israël, il a englouti tous ses palais, il a détruit ses forteresses. Il a rempli la fille de Juda de plaintes et de gémissements.
6
Il est passé en force, comme on force la clôture d’un jardin, il a détruit son lieu de rencontre. L'Eternel a fait oublier dans Sion les fêtes et les sabbats et, dans sa violente colère, il a rejeté le roi et le prêtre.
8
Nous sommes pressés de toutes parts, mais non écrasés ; inquiets, mais non désespérés ;
9
persécutés, mais non abandonnés ; abattus, mais non anéantis.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
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