Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Matthieu 11.28

Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos.


  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Genèse 3

      Job 5

      Job 14

      1

      Job parle de la vie de l'homme. (Job 14:1-6)
      Il médite sur la mort de l'homme. (Job 14:7-15)
      Par le péché, l'homme est corrompu. (Job 14:16-22)

      Job s'étend sur la condition de l'homme, il s'adresse également à Dieu. Chaque homme, de la lignée d'Adam, a une vie de bien courte durée. Toute manifestation de sa beauté, de son bonheur, et de sa splendeur, est réduite à néant par la maladie ou la mort, comme la fleur qui est fauchée ; l'homme ne fait que passer, comme l'ombre. Comment peut-il être possible que la conduite d'un homme puisse être pure, quand son cœur est par nature, souillé ? Ce texte prouve que Job a compris la doctrine du péché original et y a cru. Il semble que le patriarche ait exprimé une prière : pourquoi le Seigneur ne devrait-il pas le traiter selon ses propres œuvres, au lieu de le considérer selon Sa miséricorde et Sa grâce. La durée de notre vie est déterminée par les plans et les décrets divins. Notre temps est dans Ses mains, les puissances de la nature sont sous Sa domination ; par Lui nous vivons et nous nous déplaçons. Il est très utile de méditer sérieusement sur la brièveté et l'incertitude de la vie humaine et sur la nature bien fade de tous les plaisirs terrestres. Il est encore plus important d'observer la cause et le remède du mal. Avant d'être né de nouveau, aucune pensée religieuse ne demeure en nous, rien ne peut émaner de nous-mêmes. Même le peu de bonté qui pourrait nous animer est détourné par le péché. Nous devrions donc nous humilier devant Dieu, et nous reposer entièrement sur Sa miséricorde, sur la sécurité qu'Il nous offre. Nous devrions rechercher chaque jour le renouveau de l'Esprit Saint, et regarder au ciel, seul endroit où l'on trouve la perfection dans la sainteté et le bonheur.

      Psaumes 32

      Psaumes 38

      Psaumes 90

      7 Les afflictions des saints proviennent quelquefois de l'amour de Dieu ; mais les réprimandes des pécheurs et des croyants au sujet de leurs péchés doivent être perçues comme étant directement produites par le déplaisir de Dieu. Les péchés secrets sont connus de Dieu et seront considérés comme tels.

      Remarquez la folie de ceux qui veulent essayer de masquer leurs péchés en vain. Les années qui se sont écoulées ne peuvent être revécues ; il en est de même avec les paroles qui, une fois émises, sont irrémédiablement lancées. Notre vie n'est que labeur et difficultés, nos années sont comptées. Nous voyons que tout cela doit être considéré avec respect. Les anges qui ont péché connaissent la puissance de la colère de Dieu ; les pécheurs en enfer la connaissent aussi ; mais qui d'entre nous peut réellement la décrire ? Seuls quelques-uns uns la considèrent réellement à sa juste mesure. Ceux qui considèrent leur péché et regardent à la lumière de Christ ne connaîtront pas la colère de Dieu. Qui parmi nous peut oser demeurer devant ce feu dévorant ?

      Psaumes 94

      Psaumes 116

      Ecclésiaste 1

      Ecclésiaste 2

      Ecclésiaste 4

      Esaïe 1

      Esaïe 11

      10 Quand l'évangile sera librement prêché, sans aucune limitation, les Gentils chercheront alors Jésus-Christ, en tant que Seigneur et Sauveur, afin de trouver du repos pour leur âme.

      Quand le temps marqué par l'Éternel, pour affranchir Son peuple, sera arrivé, les « montagnes de l'opposition » deviendront alors devant Lui, de simples plaines ! Dieu peut rapidement transformer des jours sombres en jours glorieux. Et tandis que nous attendons que le Seigneur rassemble le « peuple élu » et la totalité des « Gentils », pour les faire entrer en toute plénitude, dans Son église, quand tous seront unis dans Son Amour, nous, les rachetés, pourront alors « marcher » ensemble, dans la sainteté.

      Sachons bénéficier de la Miséricorde de notre Seigneur Jésus-Christ, pour la vie éternelle ; portons nos regards vers Lui, afin d'être prêts à passer victorieusement l'épreuve de la mort, ce « fleuve » qui sépare la terre, du monde éternel.

      Esaïe 28

      Esaïe 45

      Esaïe 48

      Esaïe 53

      Esaïe 55

      1

      Invitation à recevoir gratuitement les bénédictions du Sauveur. (Esaïe 55:1-5)
      Les offres merveilleuses du Pardon et de la Paix. (Esaïe 55:6-13)

      Nous sommes tous invités à bénéficier des bénédictions qu'apporte le salut. En Christ, nous avons la plénitude en toutes choses, pour chacun comme pour tous !

      Ceux qui sont satisfaits par ce qu'offre le monde, n'éprouvent nul besoin, ni soif de Christ. Ils sont sans inquiétude quant à leur âme : quand Dieu, par contre, manifeste Sa Grâce, Il provoque alors cette soif, étant tout à fait capable de l'étancher spirituellement !

      Venez à Christ, Il est le « Rocher fendu », d'où jaillit la « source d'eaux vives ». Acceptez les saintes Ordonnances, elles ne sont « qu'allégresse » dans la cité de notre Dieu. Venez aux eaux de la vie, celles qui guérissent Apocalypse 22:17.

      Tel est l'appel de notre Sauveur, Jean 7:37. Venez et achetez : saisissez à pleines mains la Grâce de l'évangile ! Venez, et mangez : soyez rassasiés !

      Le monde nous déçoit souvent : nous nous fixons des objectifs ici-bas, et bien souvent nous sommes désappointés ; mais Christ surpasse toutes nos espérances ! Nous venons à Lui, et nous trouvons du « vin » et du « lait » (verset \\#55:1\\*). Il est impossible de tarifier les cadeaux qui nous sont offerts : ils n'ont pas de prix. En fait, ils sont déjà payés, car Christ les a achetés au prix fort, avec Son propre sang, 1Pierre 1:19.

      Nos désirs spirituels peuvent être sans limites, et nous n'avons rien à payer ; si Christ et les pensées célestes sont en nous, nous ne serons jamais « endettés », nous serons au contraire libérés par la Grâce.

      Écoutons sérieusement cet appel ; écartons toute arrogance qui pourrait rester dans notre cœur ; il faut non seulement nous approcher de Jésus, mais aussi accepter les commandements divins. Toutes les richesses et les plaisirs de ce monde ne sauraient apporter un réconfort durable à l'âme. Ils ne peuvent même pas satisfaire les appétits du corps ! Tout est vanité !

      Que les divers déboires que nous pouvons rencontrer ici-bas puissent nous mener finalement à Christ, ne cherchant toute satisfaction qu'en Lui. Nous pourrons, alors, et pas avant, trouver le repos pour notre âme. Suivez l'appel de ce texte, et votre âme vivra ! Remarquez avec quelle facilité d'accès, le bonheur vous est offert !

      Par les « Grâces assurées » à David, (verset \\#55:3\\*), nous pouvons discerner le Messie. Toutes les Grâces divines sont conformes aux promesses faites par Dieu ; c'est Lui qui les a faites, elles sont inhérentes à Sa Personne, et par Sa main, elles nous sont accordées. Nous ne pouvons de nous même trouver les « eaux », (verset \\#55:1\\*), mais Christ est notre Conducteur, notre leader, capable de nous montrer comment emprunter le « Chemin ». Notre part consiste à Lui obéir, et à Le suivre. Nul ne peut venir au Père, que par Lui. Il est le « Saint d'Israël », fidèle à Ses promesses ; L'Éternel a promis de glorifier Christ, en Lui donnant les païens comme « héritage ».

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Esaïe 61

      Esaïe 66

      Jérémie 6

      Michée 6

      6 Ces versets semblent relater la faute d’Israël, qui consiste à avoir consulté Balak et Balaam, au lieu d’essayer d’obtenir directement les faveurs du Dieu vivant.

      Une conviction profonde de péché, avec le courroux divin que cela entraîne, conduira les hommes à rechercher la paix et le pardon ; c’est le seul espoir pour eux.

      Pour que Dieu soit satisfait de notre conduite, nous devons porter notre attention sur l'expiation de Christ, afin que notre péché, qui Lui déplait tant, puisse être effacé. Qu'est-ce qui peut satisfaire la justice de Dieu ? Au nom de qui pouvons-nous nous présenter devant Lui, puisque nous n'avons personne qui puisse plaider en notre faveur ? Comment oserions-nous paraître devant Lui, sans être justifiés ?

      Les sacrifices offerts aux idoles par le peuple trahissaient son ignorance, malgré son zèle. Israël offrait ce qui était luxueux et coûteux.

      Ceux qui sont totalement convaincus de leur péché, avec toute la souffrance que cela engendre et la prise de conscience du danger encouru, donneraient sans doute tout ce qu’ils possèdent pour retrouver la paix et le pardon divins. S’ils persistent dans leurs mauvaises voies, ils ne courent qu’à leur ruine...

      Les sacrifices de l’Ancienne Alliance avaient une certaine valeur, par leur référence à celui, parfait, de Christ ; mais il était impossible que le sang des taureaux ou des boucs puissent effacer le péché. Toutes les « offrandes de paix », à part celles faites selon les directives de l'Évangile, sont absurdes. Les sacrifices de cette époque ne pouvaient pas répondre aux exigences de la Justice Divine, ni satisfaire le tort engendré contre Dieu par le péché, ni « assainir » le cœur.

      Les hommes préfèrent se séparer de leurs richesses plutôt que de leurs péchés ; ils ne pourront rien faire par eux-mêmes, qui puisse les réconcilier avec Dieu. Les obligations morales de la Parole sont requises pour la bonne santé spirituelle de l'homme. Il y a grand intérêt à obéir aux commandements divins : Dieu ne cesse clairement de nous le rappeler.

      Dieu n’exige absolument pas que nous payions quoi que ce soit pour le pardon de nos péchés et pour qu’Il nous accepte ; Il désire simplement que nous L’aimions et que nous nous approchions de Lui ; qu'y a-t-il de contraignant en cela ?

      Chacune de nos intentions doit être soumise à Dieu, si nous voulons marcher en paix avec Lui. Nous devons faire cela dans un esprit de repentance et de dépendance envers le Rédempteur, en recherchant Son pardon.

      Que le Seigneur soit béni ! Il est toujours prêt à accorder Sa grâce au pénitent qui L’attend humblement !

      Matthieu 11

      Matthieu 23

      Jean 6

      Jean 7

      37 Au dernier jour de la fête des tabernacles, les Juifs puisaient de l'eau et la déversaient devant l'Éternel. Il est supposé, dans ce texte, que Christ faisait allusion à cet acte.

      Celui qui désire vraiment connaître la félicité éternelle, doit « s'attacher » spirituellement à Christ, afin que Celui-ci le conduise et l’enseigne.

      La soif mentionnée dans ce texte exprime un puissant désir de bénédictions spirituelles ; rien d'autre ne peut satisfaire cette soif ; les influences sanctifiantes et bienfaisantes du Saint Esprit étaient ici sous-entendues : Jésus parla de fleuves d’eaux vives, appelant chacun à venir à Lui et à en boire de cette eau.

      Les flots bienfaisants coulent constamment, comme un torrent et ils ont suffisamment de force pour renverser l'opposition des doutes et des craintes. Il y a une entière plénitude en Christ, et « grâce pour grâce », Jean 1:16*.

      L'Esprit qui demeure et qui agit dans le cœur des croyants est une « fontaine d'eau vive, une source », de laquelle coule un flot qui nous rafraîchit et nous purifie. Nous n’attendons les dons miraculeux du Saint-Esprit que pour pouvoir en témoigner de la meilleure façon possible !

      Des torrents d’eaux vives jaillirent de notre Rédempteur glorifié, et aujourd’hui encore, jusqu'aux endroits les plus reculés du globe. Puissions-nous être attentifs et soucieux de les faire connaître à d’autres !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Actes 15

      Romains 7

      23 Ce texte ne présente pas l'apôtre comme pratiquant les œuvres de la chair, mais comme quelqu'un aspirant puissamment à marcher selon l’Esprit.

      Si certaines personnes interprètent volontairement mal ce passage, (comme d’ailleurs d’autres textes de l’Écriture), courant ainsi à leur propre destruction, les chrétiens véritables, quant à eux, y trouvent le motif de bénir Dieu, qui leur a apporté le réconfort et la consolation spirituels.

      Nous ne devons pas, contrairement à ceux qui sont aveuglés par leurs propres convoitises, chercher des fautes éventuelles dans la Parole de Dieu ; recherchons uniquement l’interprétation correcte des textes. Celui qui n'est pas engagé dans le conflit spirituel entre la chair et l’Esprit, ne peut comprendre clairement la signification de ce texte, ne pouvant juger exactement le conflit douloureux qui rongeait le cœur de l'apôtre, le conduisant à pleurer, tel un misérable, contraint à pratiquer encore le péché.

      Paul constatait qu’il était incapable de se délivrer lui-même de cette situation, ce qui le poussait à remercier Dieu avec ferveur de lui avoir révélé le chemin du salut, par le biais de Jésus-Christ, avec la promesse de délivrance de « l’ennemi » qui le poussait sans cesse à commettre l‘iniquité. Alors, dit-il : « je suis moi-même, par mon esprit, ma conscience, mes affections et mes buts, un homme régénéré par la Grâce divine, qui sert la loi de Dieu et lui obéit ; mais avec la chair, ma nature charnelle et les restes de sa dépravation, je sers la loi du péché, qui fait la guerre à la loi de mon esprit ».

      L’apôtre ne « servait » pas son ancienne nature en vivant délibérément en elle, mais il était incapable, même avec la meilleure volonté, de se libérer de cette servitude, éprouvant néanmoins le besoin de chercher de l'aide et la délivrance du ciel. Il est évident qu'il remercie Dieu pour Christ, notre Libérateur, Celui qui a expié nos péchés, Celui qui est notre Justice. Paul, avant sa conversion, ne connaissait pas l’existence d’un tel salut et se sentait indigne d’y accéder. Il était disposé à agir en tous points selon la loi, avec une bonne conscience, mais il en était empêché par son péché : il ne pouvait donc atteindre la perfection que la loi exige.

      Peut-il y avoir une délivrance, pour un homme toujours coupable, si ce n'est par la Grâce de Dieu, offerte par Jésus-Christ ? Le pouvoir de la Grâce divine et du Saint-Esprit aurait pu autoritairement « déraciner » le péché de notre cœur, mais la sagesse divine avait prévu d’agir autrement. Dieu a estimé que les chrétiens doivent ressentir constamment l'état misérable dans lequel ils se trouvent, sachant que seule la Grâce divine est capable de les sauver ; les enfants de Dieu doivent se garder de leur confiance en eux-mêmes ; ils doivent toujours tirer leur consolation et leur espérance dans la Grâce merveilleuse et gratuite de Dieu, en Christ !

      Galates 5

      1

      Sérieuse exhortation à tenir ferme, dans la liberté de l'Évangile. (Galates 5:1-12)
      Prendre garde à ne pas développer de sentiment coupable. (Galates 5:13-15)
      Marcher dans l'Esprit, et ne pas accomplir la convoitise de la chair : ces deux pratiques sont ici décrites. (Galates 5:16-26)

      Christ ne sera jamais le Sauveur de celui qui ne veut pas Lui appartenir, ni compter sur Lui comme son unique Sauveur.

      Prêtons attention aux avertissements et aux convictions de l'apôtre : rester assidu et attaché à la doctrine et la liberté de l'Évangile. Tous les véritables chrétiens, étant enseignés par le Saint-Esprit, attendent la vie éternelle et la récompense de la Justice divine ; ils fondent leur espérance, par la foi, sur le don de Dieu : Son Fils Jésus-Christ ; ils ne basent pas leur salut sur leurs propres œuvres.

      Le Juif converti peut toujours observer les lois de cérémonies, tout en affirmant rester libre ; le « Gentil », quant à lui est libre de les négliger ou de les suivre, pourvu qu'il n'en soit pas esclave.

      Aucune prérogative, ni confession de foi « modèle », ne peuvent contribuer à notre acceptation par Dieu : seule une foi sincère en notre Seigneur Jésus peut le faire. La véritable foi est une grâce agissante ; elle agit par notre amour pour Dieu et pour nos frères.

      Puissions-nous être du nombre de ceux qui, à travers l'Esprit, savent qu’ils sont justifiés par la foi. Sous l'ancienne alliance, la négligence de certains détails sans grande importance n’avait guère de conséquences, alors qu’aujourd’hui, nous trouvons encore certaines personnes qui restent sous le joug d’une discipline stricte et astreignante, qui régit encore beaucoup de rites et de cérémonies...

      Si notre foi n’agit pas conjointement avec l’amour, toutes nos œuvres n’ont guère de poids ni de valeur.

      2 Thessaloniciens 1

      Hébreux 4

      1

      L'humilité et une crainte prudente du Seigneur sont nécessaires, de peur que certains ne viennent trop tard au repos céleste promis, suite à leur incrédulité. (\\# 1-10\\)
      Arguments et motifs pour la foi et l'espérance, dans notre approche de Dieu. (\\# 11-16\\)

      Les privilèges que nous avons sous la dispensation de l’Évangile, sont plus grands que ceux que chacun possédait sous celle de la loi de Moïse ; cependant, le même Évangile, dans sa substance, a été prêché dans les deux Testaments.

      Il y a eu de tous temps certains auditeurs qui n'ont pas su tirer profit spirituellement de ce qu'ils entendaient ; l'incrédulité est la racine de toute stérilité, lors de l’écoute de la Parole. La foi de l'auditeur vivifie la Parole qui lui est enseignée. Mais il subsiste une conséquence douloureuse à la négligence de cet enseignement, à une profession de foi vacillante ou perdue : cela se traduit chez les personnes qui acceptent la Parole trop tardivement...

      Soyons donc assidus et diligents, afin de pouvoir disposer d’une future entrée dans le Royaume de Dieu. Quand ce Dernier a terminé Son œuvre, lors de le création, Il s'est reposé ; il en sera de même des croyants, qui achèveront leurs œuvres, et bénéficieront de la satisfaction du repos. Il est évident qu'il y a un « sabbat plus spirituel » et encore plus excellent que celui du « septième jour », réservé au peuple de Dieu, ou que celui dans lequel Josué a conduit les Juifs, après la traversée du désert. Ce repos est un repos de grâce, de consolation et de sainteté, affirmé dans l'Évangile. Un repos dans la gloire, où les enfants de Dieu prendront plaisir à « l'accomplissement » de leur espérance, qui est l'objet de tous leurs désirs. Ce repos du sabbat, sujet traité par l'auteur de l'épître aux Hébreux, qui conclue qu'on doit y prendre plaisir, est indubitablement le repos céleste, promis au peuple de Dieu ; ce repos est complètement opposé aux tâches et aux troubles qui agitent ce monde et il sera obtenu lorsque le Seigneur Jésus paraîtra dans le ciel.

      Mais les incrédules n'entreront jamais dans ce repos spirituel, qu'il soit, par la Grâce, accordé peut-être ici-bas, ou glorieux ensuite, dans les cieux. Dieu a toujours déclaré que le repos de l'homme a été déclaré par Lui-même, et que l’Amour divin est le seul véritable trésor de l'âme ; la foi dans les promesses divines, par le biais du Fils, est l’unique chemin qui mène à ce repos !

      Apocalypse 22

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.