Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
13
Je regardais, dans ces visions de la nuit, et je vis comme le Fils de l'homme qui venait sur les nuées des cieux, et il vint jusqu'à l'Ancien des jours, et on le fit approcher de lui.
20
Et JĂ©sus lui dit : Les renards ont des taniĂšres, et les oiseaux de l'air des nids ; mais le Fils de l'homme n'a pas oĂč reposer sa tĂȘte.
6
Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a l'autorité sur la terre de pardonner les péchés : LÚve-toi, dit-il alors au paralytique, prends ton lit, et t'en va dans ta maison.
8
Car le Fils de l'homme est maĂźtre mĂȘme du sabbat.
32
Et si quelqu'un a parlé contre le Fils de l'homme, il lui sera pardonné ; mais celui qui aura parlé contre le Saint-Esprit n'en obtiendra le pardon, ni dans ce siÚcle, ni dans celui qui est à venir.
40
Car comme Jonas fut dans le ventre d'un grand poisson trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l'homme sera dans le sein de la terre trois jours et trois nuits.
37
Il répondit, et leur dit : Celui qui sÚme la bonne semence, c'est le Fils de l'homme ;
41
Le Fils de l'homme enverra ses anges, qui Îteront de son royaume tous les scandales et ceux qui feront l'iniquité ;
21
Et JĂ©sus, partant de lĂ , se retira dans les quartiers de Tyr et de Sidon.
13
Et Jésus, étant arrivé dans le territoire de Césarée de Philippe, interrogeait ses disciples, disant : Qui disent les hommes que je suis, moi, le Fils de l'homme ?
31
Or, quand le Fils de l'homme viendra dans sa gloire avec tous les saints anges, alors il s'assiéra sur le trÎne de sa gloire.
27
Et Jésus s'en alla avec ses disciples, dans les bourgs de Césarée de Philippe ; et en chemin il interrogeait ses disciples, en disant : Qui dit-on que je suis ?
28
Ils rĂ©pondirent : Les uns disent que tu es Jean-Baptiste ; et les autres, Ălie ; et les autres, l'un des prophĂštes.
29
Et il leur dit : Et vous, qui dites-vous que je suis ? Pierre, répondant, lui dit : Tu es le Christ.
38
Car quiconque aura eu honte de moi et de mes paroles, parmi cette race adultÚre et pécheresse, le Fils de l'homme aura aussi honte de lui, lorsqu'il viendra dans la gloire de son PÚre avec les saints anges.
45
Car le Fils de l'homme est venu, non pour ĂȘtre servi, mais pour servir et pour donner sa vie en rançon pour plusieurs.
18
Il arriva, comme il priait en particulier, et que les disciples Ă©taient avec lui, qu'il leur demanda : Qui disent les foules que je suis ?
19
Eux, rĂ©pondant, dirent : Les uns disent Jean-Baptiste ; les autres, Ălie ; et les autres, que quelqu'un des anciens prophĂštes est ressuscitĂ©.
20
Et vous, leur dit-il, qui dites-vous que je suis ? Et Pierre répondit : Tu es le Christ de Dieu.
51
Il lui dit aussi : En vérité, en vérité, je vous dis : Désormais vous verrez le ciel ouvert, et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l'homme.
14
Et comme MoĂŻse Ă©leva le serpent dans le dĂ©sert, de mĂȘme il faut que le Fils de l'homme soit Ă©levĂ©,
27
Et il lui a donné le pouvoir d'exercer le jugement, parce qu'il est le Fils de l'homme.
34
Le peuple lui répondit : Nous avons appris par la loi que le Christ doit demeurer éternellement ; comment donc dis-tu qu'il faut que le Fils de l'homme soit élevé ? Qui est ce Fils de l'homme ?
56
Et il dit : Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l'homme debout Ă la droite de Dieu.
38
Comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de puissance Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient opprimés par le diable ; parce que Dieu était avec lui.
14
Puis donc que les enfants participent de la chair et du sang, il en a aussi de mĂȘme participĂ©, afin que par la mort il dĂ©truisĂźt celui qui avait l'empire de la mort, c'est-Ă -dire, le diable ;
15
Et qu'il délivrùt tous ceux qui, par la crainte de la mort, étaient toute leur vie assujettis à la servitude.
16
Car assurément il n'a pas secouru les anges, mais il a secouru la postérité d'Abraham.
17
C'est pourquoi il a fallu qu'il devßnt semblable en toutes choses à ses frÚres ; afin qu'il fût un souverain Sacrificateur, miséricordieux, et fidÚle dans les choses de Dieu, pour expier les péchés du peuple.
18
Car, ayant été tenté dans ce qu'il a souffert, il peut secourir ceux qui sont tentés.
Ville appelée anciennement Paneas, située au pied de l'Hermon, prÚs des sources du Jourdain. Elle avait été agrandie par le tétrarque Philippe, et nommée par lui Césarée en l'honneur de l'empereur ; on ajoutait à ce nom celui de Philippe pour la distinguer de l'autre Césarée, située sur les bords de la mer Méditerranée.
Jésus se rendait dans ces contrées montagneuses et à demi païennes du nord, pour y trouver la solitude qu'il avait cherchée déjà sur la rive orientale du lac, ou dans la contrée de Tyr et de Sidon. (Chap. Matthieu 14 et Matthieu 15) Il avait d'ailleurs de graves questions à adresser à ses disciples et des révélations importantes à leur faire. (Comparer sur le site de Césarée de Philippe, Jésus, par Mme de Gasparin, p. 127 et suivants)
Des manuscrits autorisés et des versions anciennes retranchent le pronom moi, que Tischendorf omet aussi. Alors il faudrait traduire : "Qui disent les hommes (les gens, autour de nous, dans le pays) qu'est le fils de l'homme ?"
Le sens reste le mĂȘme au fond, puisque JĂ©sus se dĂ©signait ordinairement par cette expression : le fils de l'homme.
- La question signifie donc : A quelle conviction est-on arrivé sur moi qui suis apparu dans l'humble condition d un enfant des hommes ? S'élÚve-t-on jusqu'à la conception vraie de ma mission messianique renfermée dans ce nom ? (Comparer Matthieu 8.20 note.)
Les disciples avaient pu recueillir, en parcourant le pays lors de leur premiÚre mission, de nombreuses informations à ce sujet. Et cette question générale avait pour but d'introduire une autre question que Jésus se proposait de leur adresser à eux plus directement. (verset 15)
Christ ajouta qu'Il le nommait Pierre, faisant ainsi allusion Ă sa constance et sa fermetĂ©, Ă professer la VĂ©ritĂ©. Le terme traduit par « roc » (ou pierre dans certaines traductions*), n'est pas le mĂȘme mot que Pierre, mais il a une signification semblable. Il est complĂštement faux de supposer que Christ signifiait par lĂ , que la personne de Pierre Ă©tait « le » roc. Sans aucun doute, Christ Lui-mĂȘme est ce Roc, le seul, le vĂ©ritable Fondement de l'Ă©glise ; et malheur Ă celui qui tente d'en imposer un autre ! La confession de Pierre est ce roc, en tant que doctrine. Si certains prĂ©tendent que JĂ©sus n'est pas le Christ, ils tentent dâaffirmer par lĂ , que celui qui Le possĂšde nâest alors aucunement participant de la vĂ©ritable Ăglise : ils ne cherchent quâĂ fourvoyer les autres.
Notre Seigneur annonça ensuite l'autoritĂ© dont Pierre allait ĂȘtre investi. JĂ©sus indiqua que lâapĂŽtre allait ĂȘtre le premier « Ă©lĂ©ment » qui allait constituer lâĂ©glise, avec toute la fraternitĂ© qui allait ensuite en dĂ©couler, parmi ses membres. Il manquait encore aux disciples une certaine aptitude Ă discerner le « fond » du cĆur humain, risquant de ce fait, par leur attitude, de commettre toujours des erreurs, voire certains pĂ©chĂ©s ; ils furent cependant gardĂ©s de tout Ă©garement dans lâannonce de la voie qui mĂšne au salut, Ă lâobĂ©issance, au comportement du croyant, et celle de la ruine finale qui attend les impies et les hypocrites. Leurs connaissances et leur compĂ©tence sur de tels sujets Ă©taient correctes, en accord avec lâenseignement cĂ©leste.
Toutes les « solutions personnelles » auxquelles peut prĂ©tendre un homme, quel qu'il soit, pour absoudre ou pour prĂ©venir les pĂ©chĂ©s des hommes, ne sont que blasphĂšmes et absurditĂ©s. Nul autre que Dieu ne peut pardonner lâiniquitĂ©.
Les verbes « lier et délier », (verset Matthieu 16:19*) dans le langage commun des Juifs, signifiaient interdire, permettre, ou enseigner ce qui était légal ou illicite.
* ParenthÚses ajoutées par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.