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Matthieu 16.13

JĂ©sus arriva dans le territoire de CĂ©sarĂ©e de Philippe. Il demanda Ă  ses disciples : « Qui suis-je, d’aprĂšs les hommes, moi le Fils de l'homme ? »
Pierre et ses frĂšres, dirent au Seigneur qu'ils Ă©taient certains qu’Il Ă©tait bien le Messie promis, le Fils du Dieu vivant. Cette parole montrait qu'ils croyaient que JĂ©sus Ă©tait bien plus qu'un homme ! Notre Seigneur dĂ©clara alors Ă  Pierre qu’il Ă©tait bĂ©ni : l'enseignement divin le rendait diffĂ©rent de ses concitoyens incrĂ©dules.

Christ ajouta qu'Il le nommait Pierre, faisant ainsi allusion Ă  sa constance et sa fermetĂ©, Ă  professer la VĂ©ritĂ©. Le terme traduit par « roc » (ou pierre dans certaines traductions*), n'est pas le mĂȘme mot que Pierre, mais il a une signification semblable. Il est complĂštement faux de supposer que Christ signifiait par lĂ , que la personne de Pierre Ă©tait « le » roc. Sans aucun doute, Christ Lui-mĂȘme est ce Roc, le seul, le vĂ©ritable Fondement de l'Ă©glise ; et malheur Ă  celui qui tente d'en imposer un autre ! La confession de Pierre est ce roc, en tant que doctrine. Si certains prĂ©tendent que JĂ©sus n'est pas le Christ, ils tentent d’affirmer par lĂ , que celui qui Le possĂšde n’est alors aucunement participant de la vĂ©ritable Église : ils ne cherchent qu’à fourvoyer les autres.

Notre Seigneur annonça ensuite l'autoritĂ© dont Pierre allait ĂȘtre investi. JĂ©sus indiqua que l’apĂŽtre allait ĂȘtre le premier « élĂ©ment » qui allait constituer l’église, avec toute la fraternitĂ© qui allait ensuite en dĂ©couler, parmi ses membres. Il manquait encore aux disciples une certaine aptitude Ă  discerner le « fond » du cƓur humain, risquant de ce fait, par leur attitude, de commettre toujours des erreurs, voire certains pĂ©chĂ©s ; ils furent cependant gardĂ©s de tout Ă©garement dans l’annonce de la voie qui mĂšne au salut, Ă  l’obĂ©issance, au comportement du croyant, et celle de la ruine finale qui attend les impies et les hypocrites. Leurs connaissances et leur compĂ©tence sur de tels sujets Ă©taient correctes, en accord avec l’enseignement cĂ©leste.

Toutes les « solutions personnelles » auxquelles peut prĂ©tendre un homme, quel qu'il soit, pour absoudre ou pour prĂ©venir les pĂ©chĂ©s des hommes, ne sont que blasphĂšmes et absurditĂ©s. Nul autre que Dieu ne peut pardonner l’iniquitĂ©.

Les verbes « lier et délier », (verset Matthieu 16:19*) dans le langage commun des Juifs, signifiaient interdire, permettre, ou enseigner ce qui était légal ou illicite.

* ParenthÚses ajoutées par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.
Now when Jesus came into the parts of Caesarea Philippi, he asked his disciples, saying, "Who do men say that I, the Son of Man, am?"
ጘλΞᜌΜ ÎŽáœČ ᜁ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚ Δጰς τᜰ Όέρη ΚαÎčÏƒÎ±ÏÎ”ÎŻÎ±Ï‚ Ï„áż†Ï‚ ΊÎčÎ»ÎŻÏ€Ï€ÎżÏ… ጠρώτα Ï„Îżáœșς ΌαΞητᜰς Î±áœÏ„ÎżáżŠ Î»Î­ÎłÏ‰ÎœÎ‡ Î€ÎŻÎœÎ± Î»Î­ÎłÎżÏ…ÏƒÎčΜ ÎżáŒ± áŒ„ÎœÎžÏÏ‰Ï€ÎżÎč ΔጶΜαÎč τ᜞Μ υጱ᜞Μ Ï„ÎżáżŠ áŒ€ÎœÎžÏÏŽÏ€ÎżÏ…;

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      Daniel 7

      Matthieu 8

      Matthieu 9

      Matthieu 12

      Matthieu 13

      Matthieu 15

      21 Les endroits les plus reculĂ©s et les plus tĂ©nĂ©breux du pays d’IsraĂ«l allaient premiĂšrement pouvoir partager les bĂ©nĂ©dictions offertes par Christ ; ensuite, toutes les extrĂ©mitĂ©s de la terre allaient voir Son salut !

      La dĂ©tresse et les ennuis de la famille de cette femme cananĂ©enne, poussĂšrent celle-ci Ă  s’approcher de Christ ; bien que ce genre de situation puisse parfois, par nĂ©cessitĂ©, nous conduire Ă  Lui, nous pouvons ĂȘtre certains qu’Il ne nous repoussera jamais !

      Cette femme, dont la fille Ă©tait tourmentĂ©e par un dĂ©mon, ne s’est pas approchĂ©e de Christ dans le but d’obtenir un soutien spĂ©cifique, elle a en fait, simplement implorĂ© Sa MisĂ©ricorde : elle n’a pas vantĂ© ses mĂ©rites, Ă©tant convaincue qu’elle ne pouvait dĂ©pendre que de cette MisĂ©ricorde divine.

      Il est du devoir des parents de prier pour leurs enfants, de le faire sĂ©rieusement, en particulier pour leur Ăąme. Avez-vous un enfant, douloureusement tourmentĂ© par un dĂ©mon orgueilleux, un dĂ©mon impur, un dĂ©mon mĂ©chant, rendant l’enfant captif de sa volonté ? Il s’agit d’un cas bien plus dĂ©plorable que celui de la possession corporelle : vous devez, par la foi et dans la priĂšre, apporter cet enfant, Ă  Christ, le Seul qui soit vraiment capable de le guĂ©rir.

      Si de nombreux moyens employĂ©s par la Providence et la GrĂące de Christ Ă  l’égard des Siens, nous laissent parfois dans un certain embarras, ils peuvent s’expliquer par l’histoire relatĂ©e dans ce texte : elle nous enseigne en effet que l'Amour rĂ©side dans le « cƓur » de Christ, alors qu'on pourrait constater spirituellement un air dĂ©sapprobateur sur Son « visage » ; au lieu de rester abattus, cela doit nous encourager : nous devons avoir une entiĂšre confiance en JĂ©sus !

      Quand le Seigneur a l'intention d'honorer vraiment l’un des Siens, Il l’humilie parfois pour qu'il ressente sa propre indignitĂ©. Un cƓur orgueilleux et arrogant, n'aurait pas supportĂ© la rĂ©ponse que JĂ©sus fit Ă  cette femme cananĂ©enne ; mais cette derniĂšre a su discerner le sens des paroles du MaĂźtre, pour en extraire tout l’enseignement.

      L'Ă©tat d’ñme de cette femme est une image de la situation du pĂ©cheur, vĂ©ritablement conscient de sa misĂšre spirituelle. Le moindre sentiment Ă©manant de Christ est prĂ©cieux pour le croyant, mĂȘme les « miettes du Pain de vie » ! De toutes les actions de grĂąces, c'est la foi qui honore le plus Christ : en toute logique, c'est donc cette foi qu’Il rĂ©compense le plus, en retour !

      Jésus guérit la fille de cette Cananéenne : Il annonça sa guérison, et celle-ci se réalisa. Que par cet exemple, ceux qui demandent de l'aide au Seigneur sans recevoir de Sa part, une réponse qui puisse les satisfaire directement, apprennent à transformer leur indignité et leurs découragements, en implorant Sa Miséricorde...

      Matthieu 16

      13 Pierre et ses frĂšres, dirent au Seigneur qu'ils Ă©taient certains qu’Il Ă©tait bien le Messie promis, le Fils du Dieu vivant. Cette parole montrait qu'ils croyaient que JĂ©sus Ă©tait bien plus qu'un homme ! Notre Seigneur dĂ©clara alors Ă  Pierre qu’il Ă©tait bĂ©ni : l'enseignement divin le rendait diffĂ©rent de ses concitoyens incrĂ©dules.

      Christ ajouta qu'Il le nommait Pierre, faisant ainsi allusion Ă  sa constance et sa fermetĂ©, Ă  professer la VĂ©ritĂ©. Le terme traduit par « roc » (ou pierre dans certaines traductions*), n'est pas le mĂȘme mot que Pierre, mais il a une signification semblable. Il est complĂštement faux de supposer que Christ signifiait par lĂ , que la personne de Pierre Ă©tait « le » roc. Sans aucun doute, Christ Lui-mĂȘme est ce Roc, le seul, le vĂ©ritable Fondement de l'Ă©glise ; et malheur Ă  celui qui tente d'en imposer un autre ! La confession de Pierre est ce roc, en tant que doctrine. Si certains prĂ©tendent que JĂ©sus n'est pas le Christ, ils tentent d’affirmer par lĂ , que celui qui Le possĂšde n’est alors aucunement participant de la vĂ©ritable Église : ils ne cherchent qu’à fourvoyer les autres.

      Notre Seigneur annonça ensuite l'autoritĂ© dont Pierre allait ĂȘtre investi. JĂ©sus indiqua que l’apĂŽtre allait ĂȘtre le premier « élĂ©ment » qui allait constituer l’église, avec toute la fraternitĂ© qui allait ensuite en dĂ©couler, parmi ses membres. Il manquait encore aux disciples une certaine aptitude Ă  discerner le « fond » du cƓur humain, risquant de ce fait, par leur attitude, de commettre toujours des erreurs, voire certains pĂ©chĂ©s ; ils furent cependant gardĂ©s de tout Ă©garement dans l’annonce de la voie qui mĂšne au salut, Ă  l’obĂ©issance, au comportement du croyant, et celle de la ruine finale qui attend les impies et les hypocrites. Leurs connaissances et leur compĂ©tence sur de tels sujets Ă©taient correctes, en accord avec l’enseignement cĂ©leste.

      Toutes les « solutions personnelles » auxquelles peut prĂ©tendre un homme, quel qu'il soit, pour absoudre ou pour prĂ©venir les pĂ©chĂ©s des hommes, ne sont que blasphĂšmes et absurditĂ©s. Nul autre que Dieu ne peut pardonner l’iniquitĂ©.

      Les verbes « lier et délier », (verset Matthieu 16:19*) dans le langage commun des Juifs, signifiaient interdire, permettre, ou enseigner ce qui était légal ou illicite.

      * ParenthÚses ajoutées par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 25

      31 Nous trouvons dans ce texte une description du Jugement dernier : c'est en fait la suite des explications relatives aux paraboles précédentes.

      Plus tard, aura lieu le Jugement dernier, oĂč chacun recevra la juste rĂ©tribution de sa vie ici-bas : la fĂ©licitĂ© Ă©ternelle, ou les tourments. Christ viendra, non seulement dans la Gloire de Son PĂšre, mais aussi dans Sa propre Gloire, en tant que MĂ©diateur. Le mĂ©chant, comme l’homme pieux cohabitent sur cette terre, dans les mĂȘmes villes, les mĂȘmes Ă©glises, les mĂȘmes familles, sans se connaĂźtre vraiment l’un l’autre ; tel est le rĂ©sultat de la faiblesse du tĂ©moignage des saints, face aux hypocrisies des pĂ©cheurs : la mort surprendra les uns comme les autres... En ce jour du Jugement, ils seront alors sĂ©parĂ©s pour toujours.

      JĂ©sus-Christ est le grand Berger ; Il sait distinguer immĂ©diatement les Ăąmes qui Lui appartiennent, de celles qui Lui sont Ă©trangĂšres. Il n’y a aucune autre distinction possible, seule sera visible la diffĂ©rence entre le rachetĂ© et le pĂ©cheur, entre le sanctifiĂ© et l'impie et cela, de maniĂšre irrĂ©versible. Dans le ciel, la fĂ©licitĂ© Ă©ternelle des saints sera merveilleuse. Ce sera le Royaume du Seigneur ; la plus grande des possessions ici-bas ne sera que bien modeste, face Ă  cette bĂ©nĂ©diction des saints dans les cieux.

      Ce Royaume est préparé : le PÚre l'a conçu pour les Siens, dans la grandeur de Sa Sagesse et de Sa Puissance ; le Fils l'a « acquis » pour eux ; et l'Esprit béni, en préparant les ùmes des rachetés pour ce Royaume, prépare en fait le ciel pour elles : il est en tous points adapté à la nouvelle nature de ceux qui sont sanctifiés. Ce Royaume est préparé depuis la fondation du monde. La félicité en ce lieu a été prévue pour les saints, de toute éternité. Ils viendront, et en hériteront.

      Nous n’avons pas acquis notre hĂ©ritage spirituel : c'est Dieu qui nous fait hĂ©ritiers du ciel. Nous ne devons pas supposer que les actes de gĂ©nĂ©rositĂ© que nous pourrions accomplir ici-bas, puissent donner droit au bonheur Ă©ternel. Les bonnes Ɠuvres opĂ©rĂ©es pour Dieu, par le biais de JĂ©sus-Christ, sont mentionnĂ©es dans ce texte, comme Ă©tant le « fruit spirituel » des croyants, rendus saints par l'Esprit de Christ ; ce fruit est le rĂ©sultat de la GrĂące, confĂ©rĂ©e Ă  ceux qui accomplissent ces Ɠuvres.

      Les mĂ©chants de ce monde ont souvent Ă©tĂ© appelĂ©s Ă  venir Ă  Christ, pour bĂ©nĂ©ficier de la vie et du repos Ă©ternels, mais ils se sont dĂ©tournĂ©s de ces appels : de ce fait, il est juste qu’ils soient sĂ©parĂ©s de Christ. Les pĂ©cheurs condamnĂ©s, lors du Jugement, prĂ©senteront en vain des excuses. Le chĂątiment des mĂ©chants sera Ă©ternel ; leur culpabilitĂ© ne peut pas ĂȘtre rĂ©voquĂ©e.

      Ainsi la vie et la mort, le bien et le mal, la bénédiction et la malédiction, sont placés devant nous, pour que nous puissions choisir notre chemin : tel il sera, telle sera notre destin !

      Marc 8

      27 Ces évÚnements sont écrits, afin que nous croyions véritablement que Jésus est le Christ, le fils de Dieu ! Les miracles de notre Seigneur nous assurent qu'Il ne fut pas vaincu, mais au contraire, Vainqueur !

      Les disciples sont dÚs lors convaincus que Jésus est le Christ ; ils sont capables de supporter de l'entendre parler de Ses souffrances : en effet Jésus, dans ce texte, commence à les instruire à ce sujet.

      Le Seigneur voit ce qui ne va pas, dans ce que nous disons ou faisons, ce dont nous sommes parfois incapable de vraiment nous rendre compte : Il connait notre Ă©tat d’ñme. La sagesse de l'homme n’est que folie, lorsqu’elle prĂ©tend que les ordonnances divines ont des limites.

      Dans ce texte, nous voyons que Pierre ne comprit pas exactement la véritable nature du Royaume de Christ.

      Marc 10

      Luc 9

      18 Le fait de savoir que notre Seigneur JĂ©sus soit « l'Oint de Dieu » procure un incomparable rĂ©confort : ceci signifie qu'Il Ă©tait Ă  la fois dĂ©signĂ© pour ĂȘtre le Messie, et qualifiĂ© pour l'ĂȘtre !

      JĂ©sus conversa avec Ses disciples, au sujet de Ses futures souffrances et de Sa mort. Ces derniers ne pensaient en fait qu’à la maniĂšre de Lui Ă©viter Ses afflictions, sans se prĂ©parer Ă  celles qu’ils allaient devoir endurer eux-mĂȘmes.

      Nous rencontrons souvent des « croix spirituelles » sur le chemin du devoir ; et bien que nous ne devions pas les « porter » à proprement parler, elles sont néanmoins bien présentes et nous devons les accepter, et les supporter, comme Christ l'a fait.

      Il en est de nos corps comme de nos Ăąmes : le corps ne peut ĂȘtre Ă©panoui, si l'Ăąme est misĂ©rable ; mais l'Ăąme peut ĂȘtre heureuse, mĂȘme si le corps est grandement affligĂ© et opprimĂ© ici-bas. Nous ne devrions jamais Ă©prouver de honte au sujet de Christ et de l’Évangile.

      Jean 1

      Jean 3

      14 JĂ©sus-Christ est venu ici-bas pour nous sauver ; Il nous a « guĂ©ris » (du pĂ©chĂ©), comme l’étaient les enfants d'IsraĂ«l, lorsqu’ils Ă©taient piquĂ©s par des serpents venimeux : ils furent guĂ©ris en levant les yeux vers le serpent d'airain, Nombres 21:6-9.

      Nous pouvons remarquer Ă  ce propos, la nature mortelle et destructrice du pĂ©chĂ©. Demandez aux consciences repentantes, interrogez des pĂ©cheurs condamnĂ©s, ils vous diront combien peuvent ĂȘtre sĂ©duisants les attraits du pĂ©chĂ©, mais qu'Ă  la fin, ce dernier « mord » comme un serpent. Il y a cependant un remĂšde puissant contre cette maladie fatale : dans l'Ă©vangile, Christ est clairement mis en Ă©vidence, Il est Celui qui offre le salut. Celui que nous avons offensĂ© est en rĂ©alitĂ© notre Paix, le seul moyen d'obtenir la guĂ©rison c'est de croire en Lui.

      Pour certains, aussi lĂ©ger que puisse ĂȘtre leur mal, leur pĂ©chĂ©, ou quelle que soit la mĂ©thode de guĂ©rison offerte par Christ, s'ils ne veulent pas Le recevoir en leur cƓur, ils courent Ă  la ruine.

      JĂ©sus dit : « regarde et sois sauvĂ©, regarde et vis » ! Levez les « yeux de votre foi » vers Christ crucifiĂ©. Tant que nous n’aurons pas franchi ce pas, nous ne serons pas guĂ©ris, mais nous serons toujours agressĂ©s par les flĂšches de Satan, donc dans un Ă©tat de mort.

      JĂ©sus-Christ est venu pour nous sauver, en endossant nos pĂ©chĂ©s, afin que nous ne tombions pas sous la sentence de la loi divine. Tel est le message de l'Évangile, la vĂ©ritable bonne nouvelle ! C’est cela l'Amour de Dieu, donnant son Fils pour le monde. Dieu a vĂ©ritablement aimĂ© le monde, d’un Amour incomparable. Contemplez, et soyez Ă©merveillĂ©s de voir que ce grand Dieu ait pu aimer un tel monde indigne ! Notre grand devoir, en entendant l'Évangile, consiste Ă  croire en JĂ©sus-Christ. Dieu l'ayant donnĂ© pour ĂȘtre notre ProphĂšte, notre Sacrificateur, et notre Roi, nous devons nous soumettre Ă  Lui, afin d’ĂȘtre sauvĂ©s, tout en gardant Ses enseignements. Voici l’aspect merveilleux de l'Évangile : quiconque croit en Christ, ne pĂ©rira pas, mais aura la vie Ă©ternelle ! Dieu Ă©tait en Christ, rĂ©conciliant le monde avec Lui-mĂȘme, le sauvant ainsi. Le monde ne peut ĂȘtre sauvĂ© que par Christ ; il n'y a de salut en aucun autre.

      Tout ce texte nous rĂ©vĂšle le bonheur spirituel des vĂ©ritables croyants. Celui qui croit en Christ n'est pas condamné : bien qu'il ait Ă©tĂ© peut-ĂȘtre auparavant un grand pĂ©cheur, il n'est cependant pas traitĂ© par Dieu selon ses fautes !

      Jean 5

      Jean 12

      34 Le peuple n’avait que de fausses notions sur l'Écriture, car il ne faisait que « survoler » les prophĂ©ties relatives aux souffrances de Christ et Ă  Sa mort. Notre Seigneur prĂ©vint ceux qui l’écoutaient, que la « LumiĂšre » ne resterait pas toujours avec eux, les exhortant Ă  La suivre avant que les tĂ©nĂšbres ne les surprennent.

      Ceux qui veulent marcher dans la LumiÚre doivent croire en Elle, et suivre les directives de Christ. Quant à ceux qui ne possÚdent pas la foi, ils ne peuvent discerner le but de la mort de Jésus à la croix et restent insensibles à Son influence, communiquée par le Saint-Esprit ; ils affichent alors de nombreuses objections pour excuser leur incrédulité...

      Actes 7

      Actes 10

      Hébreux 2

      14 Il existe des anges dĂ©chus, qui restent sans espĂ©rance, ni aide. Christ n'a jamais Ă©tĂ© dĂ©signĂ© pour ĂȘtre le Sauveur de tels ĂȘtres, donc n'a pas revĂȘtu leur nature ; cette derniĂšre ne peut pas servir de sacrifice d'expiation pour le pĂ©chĂ© de l'homme.

      Un prix a Ă©tĂ© payĂ© Ă  la croix, suffisant et convenant pour tous : Christ a en effet revĂȘtu notre propre nature. Ceci rĂ©vĂšle l'amour merveilleux de Dieu, car lorsque Christ a su qu'Il devait souffrir ici-bas Ă  la croix, Il s’est soumis dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă  la volontĂ© du PĂšre car cette expiation traçait un chemin pour la dĂ©livrance de Son peuple, qui par la foi, allait ĂȘtre dĂ©livrĂ© de l'esclavage de Satan, et ĂȘtre pardonnĂ© de ses pĂ©chĂ©s.

      Que ceux qui redoutent la mort, et luttent pour surmonter leurs terreurs, ne tentent pas davantage de les vaincre ni de les Ă©touffer ; que la dĂ©tresse qu’ils peuvent Ă©prouver ne les rende pas insouciants ni mĂ©chants. Qu'ils n'attendent pas de l'aide du monde, mais qu'ils cherchent le pardon, la Paix, la GrĂące, et une espĂ©rance vivante du ciel, par la foi en Celui qui est mort et ressuscitĂ©, de façon Ă  ne pas succomber aux craintes de la mort.

      Christ, en se souvenant de Ses propres souffrances et de Ses tentations, reste attentif aux Ă©preuves de son peuple, qu'Il est prĂȘt Ă  aider. Il est Ă  mĂȘme de secourir ceux qui sont tentĂ©s, et qui Le cherchent. Il est devenu homme, et a Ă©tĂ© tentĂ©, afin d’ĂȘtre apte Ă  secourir Son peuple, Ă©tant Lui-mĂȘme passĂ© Ă  travers les mĂȘmes tentations, sans toutefois donner prise au pĂ©chĂ©.

      Que l'affligĂ© et celui qui est tentĂ© ne se dĂ©couragent pas, ni ne laissent de prise Ă  Satan ; les diverses tentations ne peuvent les empĂȘcher de venir au Seigneur, par la priĂšre. Nulle Ăąme n'a jamais pĂ©ri sous la tentation, surtout lorsqu'elle a criĂ© au Seigneur avec foi, dans l'attente d'une dĂ©livrance.

      Lorsque nous sommes surpris par la tentation, il est sage de vouloir arrĂȘter sa progression...

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