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Matthieu 16.17

Jésus lui dit alors : « Tu es heureux, Simon fils de Jean, car ce n’est pas un être humain qui t’a révélé cette vérité, mais mon Père qui est dans les cieux.

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      Esaïe 54

      Matthieu 5

      3 Notre Sauveur donne ici huit catégories de personnes, à même de recevoir des bénédictions ; ces dernières nous sont directement applicables, en tant que chrétiens.

      1. Heureux les « pauvres en esprit ». Ils adaptent leur mentalité à leur modeste condition. Ils sont humbles et vivent dans la simplicité. Ils connaissent leurs différents besoins, ils pleurent sur leur culpabilité, et ont « soif » d'un Rédempteur. Le Royaume de la Grâce est pour de telles personnes ; le Royaume de Gloire est pour eux !

      2. Heureux ceux qui pleurent. Il semble qu'il s'agisse ici d’un chagrin issu de la piété, celui qui produit la véritable repentance, la vigilance vis-à-vis du mal, un esprit contrit, une dépendance continuelle à la miséricorde de Dieu, en Jésus-Christ, avec une recherche constante du Saint-Esprit, et de la sanctification. Le ciel est la joie de notre Seigneur ; une montagne de joie, vers laquelle nous conduit notre chemin à travers une vallée de larmes. Ceux qui sont ainsi affligés seront consolés par « leur » Dieu !

      3. Heureux ceux qui sont pleins de douceur. Les doux, les débonnaires, sont ceux qui se soumettent en toute quiétude à Dieu ; ils peuvent supporter l'insulte : ils restent silencieux, ou répliquent par une réponse pleine de douceur ; ils savent, dans leur patience, garder leur âme, alors qu’ils ne savent garder d’autres choses qu’avec peine. Ces débonnaires sont heureux, même ici-bas. La douceur de caractère amène la richesse, le réconfort, et la sécurité, même en ce monde !

      4. Heureux ceux qui ont faim et soif de justice. Le terme « justice » concerne ici toutes les bénédictions spirituelles. Celles-ci sont acquises pour nous, par la Justice de Christ, confirmées par la fidélité de Dieu. Nos désirs de bénédictions spirituelles doivent être fervents. Bien que tous les désirs d’obtention de la Grâce ne soient pas perçu en tant que tels par le « monde », ils permettent de voir la Gloire de Dieu, car Il ne nous abandonnera pas, nous qui sommes l'œuvre de Ses propres mains !

      5. Heureux les miséricordieux. Nous devons non seulement supporter patiemment nos propres afflictions, mais nous devons aussi faire tout notre possible pour aider ceux qui sont dans la misère. Nous devons avoir compassion pour les âmes de ceux qui nous entourent, nous devons les aider ; nous devons éprouver de la pitié envers ceux qui pratiquent le péché, et chercher à les extirper de ce « feu dévorant ».

      6. Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu. La sainteté et le bonheur sont ici mentionnés : ils forment un tout. Le cœur doit être purifié par la foi, et consacré à Dieu : « crée en moi un tel cœur pur, ô Dieu ». Nul, s’il n’est pas pur, n'est capable de discerner Dieu, et le ciel ne peut être le lieu de félicité des impurs. Dieu ne pouvant pas supporter l’iniquité des hommes, ces derniers sont incapables de voir Sa pureté.

      7. Heureux ceux qui procurent la paix. Ils l’aiment, ils la désirent, et se plaisent en elle ; ils recherchent la tranquillité. Ils gardent la paix lorsqu'elle n'est pas brisée, et travaillent à son rétablissement lorsqu'elle est rompue. Si ces « pacificateurs » sont bénis, malheur à ceux qui la rompent !

      8. Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice. Cette parole est propre au Christianisme : elle est particulièrement soulignée, plus que le reste du texte. Malgré tout, rien dans nos souffrances ne nous permet de mériter quoi que ce soit, de la part de Dieu ; mais ce Dernier pourvoira de Sa Grâce, ceux qui perdent tout pour Lui, même leur vie ; en fin de compte, Il ne les délaissera jamais !

      Béni soit Jésus ! Combien ces enseignements sont différents de ceux des hommes, qui profèrent que l'orgueilleux est heureux et qui admirent celui qui est gai, riche, puissant, et victorieux. Puissions-nous trouver la Miséricorde auprès du Seigneur ; puissions-nous être considérés comme Ses enfants, héritiers de Son Royaume. Armés de ces joies et de cette espérance, nous pouvons affronter en toute sérénité les circonstances les plus douloureuses de l’existence !

      Matthieu 11

      25 Il convient aux enfants d'être reconnaissants envers leurs parents : quand nous nous approchons de Dieu, en tant que fils, nous devons nous souvenir qu'Il est aussi le Seigneur du ciel et de la terre, ce qui nous oblige à venir à Lui avec vénération. Il est le Seigneur souverain en toutes choses ! Approchons-nous cependant de Lui avec confiance, car Il est Celui qui est capable de nous défendre du mal, et de nous procurer tout bien.

      Dans ce texte, notre Seigneur béni a ajouté une déclaration remarquable : le Père a livré entre les mains de Christ, tout pouvoir, toute autorité, et tout jugement. Nous sommes redevables envers le Seigneur, pour toute révélation sur la Volonté et l’Amour du Père, éléments immuables depuis le péché originel d’Adam.

      Notre Sauveur invite tous ceux qui sont fatigués et lourdement chargés de venir à Lui. Tous les hommes, en quelque sorte, sont dans cet état : ils se chargent de vaines occupations, en vue d’obtenir richesses et honneurs ; ils se consacrent à des labeurs infructueux, à la poursuite des plaisirs ; « l'esclave de Satan », avec toutes ses convoitises, est ce qui est le plus répandu ici-bas. Ceux qui œuvrent en vue d’instaurer leur propre justice, le font en vain. En fait, le pécheur convaincu est lourdement chargé par le fardeau de sa culpabilité et de sa peur du jugement, face à la Sainteté divine ; le croyant, lorsqu’il est tenté et affligé, est également soumis a divers fardeaux et peines.

      Christ invite chacun à venir à Lui, pour le repos de l'âme. Il est le Seul qui puisse faire ce genre d’invitation ; les hommes viennent à Lui quand, ressentant leur culpabilité et leur misère, et croyant que Son amour et Sa Puissance peuvent les aider, Le cherchent, dans une fervente prière.

      Tels sont le devoir et l'intérêt des pécheurs, fatigués et chargés : venir à Jésus-Christ ! C’est l'appel de l'évangile : quiconque veut venir au Seigneur, qu'il vienne ! Tous ceux qui s’approcheront ainsi, recevront le repos, en tant que don de Christ, et obtiendront la paix et le réconfort en leur cœur.

      Mais en venant à Lui, ils doivent prendre Son joug, et se soumettre à Son autorité. Ils doivent tout apprendre de Lui, en particulier l'obéissance. Jésus accepte celui qui est disposé à Le servir, même s’il est encore imparfait pour accomplir cette tâche. C'est auprès de Christ, que nous pouvons trouver le repos pour notre âme, uniquement en Lui. Nous ne devons pas craindre Son joug. Ses commandements sont saints, justes, et bons.

      Le Seigneur exige le désintéressement, et expose Ses enfants à diverses difficultés, mais tout cela est abondamment récompensé, même en ce monde, par une paix et une joie intérieures. Ce joug est placé par Jésus, avec amour. Les soutiens divers qu'Il nous offre sont si puissants, Ses encouragements si appropriés, et Ses consolations si efficaces, pour accomplir notre devoir, que nous pouvons vraiment dire qu’il s’agit d’un « joug agréable et doux ». Le chemin du devoir est en quelque sorte, celui du repos !

      Les vérités que Christ nous enseigne sont telles, que nous pouvons les appliquer sans risque pour notre âme : telle est la Miséricorde du Rédempteur ! Pourquoi le pécheur fatigué et accablé chercherait-il le repos ailleurs ?

      Approchons-nous de Jésus chaque jour, pour être délivrés de la colère divine, de notre culpabilité, du péché et de Satan, de tous nos soucis, de nos peurs et de nos peines. Mais cette obéissance volontaire est loin d'être aisée et facile à atteindre : elle représente un lourd fardeau. C'est en vain que nous pourrons nous approcher de Jésus « avec nos lèvres », si notre cœur est loin de Lui.

      Venez donc à Jésus, afin de trouver le repos pour votre âme !

      Matthieu 13

      Luc 10

      Luc 22

      Jean 1

      Jean 6

      Jean 17

      6 Christ prie pour ceux qui Lui appartiennent. Il s’adresse au Père : « Tu me les a donnés », comme l’on confie des brebis au berger, pour que Celui-ci les gardent, ou un malade au médecin, pour que ce dernier les guérisse, ou des enfants à un professeur, pour qu’il les instruisent. C'est dans cette optique que Jésus accomplit Son ministère.

      Dans la confiance que nous plaçons en Christ, il est vraiment réconfortant de savoir que tout ce qu'Il représente, tout ce qu’Il possède, tout ce qu’Il accomplit et tout ce qu’Il annonce, tout vient de Dieu.

      Christ a adressé cette prière à Son Père pour les Siens, pour les croyants, pas pour le monde au sens général. Celui qui désire s’approcher spirituellement du Père, étant parfaitement conscient de son indignité, ne doit pas être découragé par cette déclaration du Sauveur : Il est à la fois capable et tout à fait disposé à sauver parfaitement tous ceux qui viennent à Dieu, par l’intermédiaire de Jésus.

      Les convictions les plus profondes et les désirs de sainteté sont les signes les plus prometteurs de l’œuvre que Christ opère dans le cœur d’un homme ; ces révélations spirituelles mettent en évidence qu'Il a été choisi pour le salut des hommes, au travers de la sanctification de l'Esprit et de la foi en la Vérité.

      « Ils sont à toi » ; (Jean 17:9*) « ne pourvoiras-tu pas aux besoins des tiens ? Ne les rendras-tu pas fermes quant à leur piété » ? Observez le fondement sur lequel cette plaidoirie est basée : tout ce qui est à moi est à toi, ce qui est à toi est à moi. Ces termes mentionnent le Père et le Fils, les deux n’étant qu’un. Le Fils ne possède rien qui ne soit consacré au service du Père.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 21

      15 Notre Seigneur s'adressa à Pierre par son nom d'origine, (Simon, fils de Jonas), comme s'il avait perdu celui de Pierre, à cause de son reniement. L’apôtre répond alors au Seigneur : « Tu sais que je t'aime », mais sans professer L’aimer plus que quiconque.

      Ne soyons pas surpris de voir notre sincérité remise en question, quand nous elle a été ébranlée par nos actes. Chaque souvenir des péchés passés, même pardonnés, réactive la peine d'un véritable repentant.

      Soucieux d'intégrité, Pierre fit solennellement appel à Christ, Celui qui connait tout, même les pensées secrètes du cœur. Il est bénéfique de voir nos chutes et nos erreurs nous pousser à l’humilité et à la vigilance. La véracité de notre amour envers le Seigneur doit être éprouvée de temps en temps ; il nous appartient alors de rester sincère avec nous-mêmes, en adressant une prière fervente à Dieu, et en nous examinant, de façon à voir si nous sommes capables de supporter cet examen.

      Personne ne peut être apte à nourrir spirituellement les brebis et les agneaux de Christ s'il n'aime pas le bon Berger plus que tout. Quelle que soit la manière d’entrer dans l’au delà, un enfant de Dieu doit Le glorifier, lors de ce « passage » ; notre consécration ultime, n'est-elle pas de mourir pour le Seigneur, pour Sa Parole ?

      1 Corinthiens 2

      10 Dieu, par Son Esprit, nous a montré la véritable Sagesse. Nous avons dans 2Pierre 1:21, une preuve de l'autorité divine des saintes Écritures. Par cette preuve, sachons bien respecter la Divinité du Saint-Esprit, nous persuadant qu’Il connaît toutes choses, même les plus impénétrables, concernant la Personne divine.

      Personne ne peut connaître Dieu, de lui-même, si ce n'est par le Saint-Esprit, qui est « un » avec le Père et le Fils, et qui fait connaître les mystères divins à l’église. Il ne peut y avoir de témoignage plus clair, à la fois de la véritable divinité du Seigneur et de la personne distincte du Saint-Esprit.

      Les apôtres n'étaient pas guidés par les principes de ce monde. Ils disposaient de la révélation spirituelle accordée par l'Esprit de Dieu. Ces vérités, enseignées par le Saint-Esprit, ont été déclarées clairement et simplement, étant radicalement différentes de l'éloquence ou des paroles séduisantes de ceux qui se prétendent sages. Celui qui rejette Dieu, ne peut recevoir ce que peut communiquer l'Esprit Saint.

      L’orgueil, le raisonnement charnel, comme les sentiments les plus vils, sont opposés à toute spiritualité. L'âme sanctifiée discerne les véritables beautés de la sainteté, tout en gardant le bon sens et le discernement opposés aux pièges du monde. L'homme charnel est étranger aux principes, aux joies et aux agissements de la vie divine. Seul l'homme spirituel peut bénéficier de ce que Dieu accorde, selon Sa Volonté.

      Ceux qui ont par eux-mêmes, une connaissance de l'Esprit de Dieu sont vraiment peu nombreux ! Les apôtres ont été rendus capables, par l’Esprit, de faire connaître les pensées du Seigneur. Dans les Saintes Écritures, la pensée de Christ et celle de Dieu, en Son fils, nous sont pleinement révélées. De quel grand privilège disposent les chrétiens, dans la révélation de la pensée de Christ, par Son Esprit ! Ils expérimentent dans leur cœur, Son pouvoir de sanctification, et produisent de bons « fruits » durant toute leur vie !

      1 Corinthiens 15

      Galates 1

      Ephésiens 1

      Ephésiens 2

      Ephésiens 3

      Ephésiens 6

      Colossiens 1

      Hébreux 2

      14 Il existe des anges déchus, qui restent sans espérance, ni aide. Christ n'a jamais été désigné pour être le Sauveur de tels êtres, donc n'a pas revêtu leur nature ; cette dernière ne peut pas servir de sacrifice d'expiation pour le péché de l'homme.

      Un prix a été payé à la croix, suffisant et convenant pour tous : Christ a en effet revêtu notre propre nature. Ceci révèle l'amour merveilleux de Dieu, car lorsque Christ a su qu'Il devait souffrir ici-bas à la croix, Il s’est soumis délibérément à la volonté du Père car cette expiation traçait un chemin pour la délivrance de Son peuple, qui par la foi, allait être délivré de l'esclavage de Satan, et être pardonné de ses péchés.

      Que ceux qui redoutent la mort, et luttent pour surmonter leurs terreurs, ne tentent pas davantage de les vaincre ni de les étouffer ; que la détresse qu’ils peuvent éprouver ne les rende pas insouciants ni méchants. Qu'ils n'attendent pas de l'aide du monde, mais qu'ils cherchent le pardon, la Paix, la Grâce, et une espérance vivante du ciel, par la foi en Celui qui est mort et ressuscité, de façon à ne pas succomber aux craintes de la mort.

      Christ, en se souvenant de Ses propres souffrances et de Ses tentations, reste attentif aux épreuves de son peuple, qu'Il est prêt à aider. Il est à même de secourir ceux qui sont tentés, et qui Le cherchent. Il est devenu homme, et a été tenté, afin d’être apte à secourir Son peuple, étant Lui-même passé à travers les mêmes tentations, sans toutefois donner prise au péché.

      Que l'affligé et celui qui est tenté ne se découragent pas, ni ne laissent de prise à Satan ; les diverses tentations ne peuvent les empêcher de venir au Seigneur, par la prière. Nulle âme n'a jamais péri sous la tentation, surtout lorsqu'elle a crié au Seigneur avec foi, dans l'attente d'une délivrance.

      Lorsque nous sommes surpris par la tentation, il est sage de vouloir arrêter sa progression...

      1 Pierre 1

      1 Pierre 5

      1

      Les anciens sont exhortés et encouragés. (1 Pierre 5:1-4)
      Les jeunes chrétiens doivent se soumettre aux anciens et avec humilité et patience, à Dieu ; ils doivent rester sobres, vigilants, et fermes dans la foi. (1 Pierre 5:5-9)
      Prières pour leur croissance et leur affermissement. (1 Pierre 5:10-14)

      Dans ce texte, l'apôtre Pierre n'ordonne pas, mais il exhorte, il ne cherche pas à gouverner tous les dirigeants d’églises, ni ces dernières. Pierre, comme d’autres apôtres, fut particulièrement honoré d'avoir été témoin des souffrances de Christ ; les véritables chrétiens auront le privilège de participer à la gloire céleste qui sera révélée.

      Les pauvres chrétiens de l’époque, dispersés et souffrants, faisaient néanmoins partie du troupeau céleste, ils étaient rachetés pour Dieu par le grand Berger ; ils vivaient dans un amour saint et dans la communion fraternelle, selon la volonté divine. Ils sont également « héritiers » de Dieu ; ils sont mis à part, choisis, pour faire partie de Son propre peuple, pour bénéficier de Sa faveur et pour se consacrer à Son service.

      Christ est le Berger, le chef du troupeau et « l’héritage » entier de Dieu. Tous Ses fidèles serviteurs recevront une couronne de gloire, qui ne peut flétrir et infiniment plus précieuse et plus honorable que toute l'autorité, la richesse et les plaisirs de ce monde !

      1 Jean 4

      1 Jean 5

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