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1 Corinthiens 15.56

Or l'aiguillon de la mort, c'est le péché ; et la puissance du péché, c'est la Loi.
Or, l'aiguillon de la mort, c'est le péché ; et la puissance du péché, c'est la loi.
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    • Genèse 3

      Psaumes 90

      7 Les afflictions des saints proviennent quelquefois de l'amour de Dieu ; mais les réprimandes des pécheurs et des croyants au sujet de leurs péchés doivent être perçues comme étant directement produites par le déplaisir de Dieu. Les péchés secrets sont connus de Dieu et seront considérés comme tels.

      Remarquez la folie de ceux qui veulent essayer de masquer leurs péchés en vain. Les années qui se sont écoulées ne peuvent être revécues ; il en est de même avec les paroles qui, une fois émises, sont irrémédiablement lancées. Notre vie n'est que labeur et difficultés, nos années sont comptées. Nous voyons que tout cela doit être considéré avec respect. Les anges qui ont péché connaissent la puissance de la colère de Dieu ; les pécheurs en enfer la connaissent aussi ; mais qui d'entre nous peut réellement la décrire ? Seuls quelques-uns uns la considèrent réellement à sa juste mesure. Ceux qui considèrent leur péché et regardent à la lumière de Christ ne connaîtront pas la colère de Dieu. Qui parmi nous peut oser demeurer devant ce feu dévorant ?

      Proverbes 14

      Jean 8

      21 Les incrédules seront définitivement perdus, s'ils meurent dans leur état d'impiété.

      Les Juifs mentionnés dans ce texte, appartenaient au mauvais monde présent ; Jésus, de Son côté, avait une nature céleste et divine, de sorte que Sa doctrine, Son Royaume et Ses bénédictions, ne pouvaient s’appliquer à ces hommes perdus. La malédiction de la loi est ôtée pour tous ceux qui se soumettent à la Grâce de l'Évangile. Nulle autre doctrine que celle de la Grâce de Christ ne sera capable de les sauver ; seul l'Esprit de cette Grâce divine sera assez puissant pour nous délivrer du péché et nous faire tourner vers Dieu ; cet Esprit et cette doctrine sont accordés ici-bas pour œuvrer uniquement dans le cœur de ceux qui croient en Christ.

      Certains disent : « Qui est ce Jésus » ? Ils reconnaissent le fait qu’Il ait été un Prophète, un Professeur et un Prédicateur excellent, voire même, plus qu'une créature terrestre ; mais ils refusent de Le reconnaître comme étant au-dessus de tout, le Dieu béni pour l'éternité.

      Les éléments donnés par Jésus dans ce texte, étaient-ils suffisants pour répondre aux questions que les Juifs se posaient ? Étaient-ils capables désormais d'honorer Christ autant que le Père ? Pouvaient-ils alors reconnaître qu'Il est véritablement la Lumière du monde et la Vie pour les hommes, ne faisant « qu’un » avec Dieu le Père ?

      Tous sauront, lors de leur conversion, (ou leur condamnation), que toutes les paroles et les actes de Jésus, voire Ses requêtes, sont toujours agréables au Père, quelles qu’elles soient.

      Romains 3

      19 Il est vain de vouloir rechercher la justification par les œuvres de la loi. Tous les hommes doivent plaider coupable. L’âme qui est fautive devant Dieu, se trouve dans un terrible état ; nul homme ne peut être justifié par la loi qui le condamne pour ne pas l’avoir respectée. La corruption de notre nature enrayera toujours toute tentative de justification par nos propres œuvres.

      Romains 4

      Romains 5

      12 Le propos de ce texte est clair : nous sensibiliser au sujet des bénédictions que Christ nous a procurées, en les comparant avec le mal qui a suivi la chute de notre premier père (Adam) ; Paul annonce que ces bénédictions ne nous sont pas accordées pour chasser le mal, mais qu'elles ont un but bien plus élaboré : Adam ayant péché, sa nature est devenue coupable et corrompue ; elle a été transmise à tous ses descendants. Ces derniers ont donc tous péché. La mort est survenue à cause du péché, elle en est le salaire. Toute la misère de l’humanité s’ensuivit : elle a engendré la mort spirituelle et éternelle.

      Si Adam n'avait pas péché, il ne serait pas mort ; mais une sentence de mort est tombée sur lui, telle une condamnation sur un criminel ; elle a frappé tous les hommes, comme une maladie infectieuse, à laquelle nul ne peut se soustraire.

      La preuve de notre parenté avec Adam et de notre part dans sa première transgression, réside dans la domination du péché dans le monde, durant la longue période devançant la loi de Moïse. La mort a régné pendant ce temps, non seulement sur les adultes qui ont péché avec obstination, mais aussi sur des multitudes d'enfants, ce qui montre que tous les descendants d’Adam étaient bien tombés sous la condamnation divine, et que le péché de ce dernier s'étendait à toute sa postérité.

      Adam, par la condamnation de sa postérité, était l’image de Celui qui devait venir, le Garant d'une nouvelle alliance, pour tous ceux qui allaient accepter Son salut : Christ !

      15 Par l'offense d'un seul homme, toute l'humanité a été exposée à la condamnation éternelle. Mais la Grâce et la Miséricorde, ainsi que le don gratuit de la Justice et du salut, sont opérés par Jésus-Christ, en tant qu’homme : le Seigneur, descendu du ciel, a apporté à la multitude des croyants la vie éternelle, perspective bien plus sûre et plus élevée que celle à laquelle ils étaient destinés, par leur chute, en Adam. Ce don gratuit ne les a pas placés de nouveau dans un état de servitude, mais dans celui de la justification, comme celui où Adam aurait d’ailleurs été placé, s'il n’avait pas péché à l’origine.

      Malgré ces différences fondamentales (entre justifiés et condamnés), il se trouve une ressemblance frappante : comme par l'offense d'un seul, le péché et la mort ont prédominé quant à la condamnation de tous les hommes, de la même manière, par la justice d'un seul, la Grâce a prédominé pour la justification de tous ceux qui sont unis à Christ, par la foi.

      La Grâce de Dieu a abondé pour beaucoup, par le biais de Christ ; cependant de nombreuses personnes choisissent de rester sous la domination du péché et de la mort, plutôt que de bénéficier des bénédictions du règne de la Grâce. Mais en aucun cas, Christ ne rejettera ceux qui sont disposés à venir à Lui !

      20 Avec Christ et Sa Justice, nous disposons de privilèges plus nombreux et plus grands que ceux que nous avons perdus, par le péché originel d'Adam.

      La loi morale a montré que beaucoup de pensées, de paroles et d'actions, étaient coupables : c’est ainsi que les transgressions se sont multipliées. La loi n'a pas fait surabonder le péché, mais elle a révélé sa culpabilité, tel un rayon de lumière qui, dans une pièce obscure, fait découvrir la poussière en suspension, invisible jusqu’alors.

      Le péché originel d'Adam et l'effet de sa corruption en nous-même, révèlent l'importance de cette offense, révélée lors de l'instauration de la loi. Les châtiments rigoureux de cette loi montrent que l’espérance apportée par l'Évangile est comparativement plus clémente. Ainsi Dieu, par le Saint-Esprit, et le biais de l’apôtre, nous a révélé une Vérité très importante, pleine de consolation, convenant à notre besoin, pécheurs que nous sommes. Quelle que soit la position sociale d’un homme, il est un pécheur, contre Dieu, il reste condamné par la loi divine, et a besoin de pardon. La Justice divine ne peut être constituée d'un mélange de péché et de sainteté. On ne peut bénéficier de la vie éternelle que par le biais d’une Justice pure et sans tache : recherchons cette Justice, c'est celle de Christ !

      Romains 6

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir à la connaissance du péché, essentielle à la repentance, à la paix du cœur et au pardon divin, qu'en éprouvant notre cœur et en vivant selon les préceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.

      Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.

      Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !

      1 Corinthiens 15

      Galates 3

      Hébreux 9

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