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14
Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis marqué par ma nature, vendu au péché.
14
Je sais et je suis convaincu dans le Seigneur Jésus que rien n'est impur en soi, mais si quelqu’un considère telle chose comme impure, alors elle est impure pour lui.
15
Si ton frère est attristé à cause de ce que tu manges, tu ne marches plus selon l'amour. Ne cause pas, par ta nourriture, la perte de celui pour lequel Christ est mort.
16
Que ce qui est bon pour vous ne devienne pas un sujet de calomnie.
17
En effet, le royaume de Dieu, ce n'est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit.
18
Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes.
19
Ainsi donc, recherchons ce qui contribue à entretenir la paix et à nous faire grandir mutuellement dans la foi.
20
Pour de la nourriture, ne détruis pas l'œuvre de Dieu. Certes, tout est pur, mais il est mal de manger quelque chose si cela représente un obstacle pour quelqu’un.
21
Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin et de t'abstenir de ce qui peut être pour ton frère un obstacle, [un piège ou une source de faiblesse].
22
Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même par ce qu'il approuve !
23
Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu'il mange est condamné, parce qu'il n'agit pas par une conviction de foi. Tout ce qui ne provient pas d’une conviction de foi est péché.
12
Tout m'est permis, mais tout n'est pas utile ; tout m'est permis, mais je ne me laisserai pas dominer par quoi que ce soit.
4
Donc, pour ce qui est de manger des viandes sacrifiées aux idoles, nous savons qu’une idole n’est rien dans le monde et qu'il n'y a qu’un seul Dieu.
7
Mais tous n'ont pas cette connaissance. Quelques-uns, marqués par la manière dont ils perçoivent encore les idoles, mangent de ces viandes comme leur étant sacrifiées, et leur conscience, qui est faible, en est souillée.
8
Or ce n'est pas un aliment qui nous rapproche de Dieu : si nous en mangeons, nous n'avons rien de plus ; si nous n'en mangeons pas, nous n'avons rien de moins.
9
Veillez, toutefois, à ce que votre liberté ne devienne pas un obstacle pour les faibles.
10
En effet, si quelqu'un te voit, toi qui as de la connaissance, assis à table dans un temple d'idoles, lui qui est faible, ne sera-t-il pas encouragé dans sa conscience à manger des viandes sacrifiées aux idoles ?
11
Ainsi, à cause de ta connaissance le faible ira à sa perte, ce frère pour lequel Christ est mort !
12
En péchant ainsi contre les frères et sœurs et en blessant leur conscience, qui est faible, c’est contre Christ que vous péchez.
13
C'est pourquoi, si un aliment représente un piège pour mon frère, je ne mangerai jamais de viande afin de ne pas faire trébucher mon frère.
12
Si d'autres exercent ce droit sur vous, n'est-ce pas plutôt à nous d'en jouir ? Mais nous n'avons pas recouru à ce droit ; au contraire, nous supportons tout afin de ne pas créer d'obstacle à l'Evangile de Christ.
27
Au contraire, je traite durement mon corps et je le discipline, de peur d'être moi-même disqualifié après avoir prêché aux autres.
23
Tout [m’]est permis, mais tout n'est pas utile ; tout [m’]est permis, mais tout n'édifie pas.
24
Que personne ne cherche son propre intérêt, mais plutôt celui de l’autre.
25
Mangez de tout ce qui se vend au marché sans vous poser de question par motif de conscience,
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car la terre avec tout ce qu'elle contient appartient au Seigneur.
27
Si un non-croyant vous invite et que vous acceptiez d’y aller, mangez de tout ce qu'on vous présentera sans vous poser de question par motif de conscience.
28
Mais si quelqu'un vous dit : « C’est de la viande offerte aux idoles », n'en mangez pas à cause de celui qui vous a informés et par motif de conscience.
29
Je parle ici non de votre conscience, mais de celle de l'autre personne. Pourquoi, en effet, ma liberté serait-elle jugée par une conscience étrangère ?
30
Si moi, je mange avec reconnaissance, pourquoi devrais-je être blâmé à propos d’un aliment pour lequel je remercie Dieu ?
31
Ainsi donc, que vous mangiez, que vous buviez ou quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu.
32
Ne soyez une cause de faux pas ni pour les non-Juifs, ni pour les Juifs, ni pour l'Eglise de Dieu.
33
Faites comme moi : je m'efforce en tout de plaire à tous, recherchant non mon avantage mais celui du plus grand nombre afin qu'ils soient sauvés.
9
Non que nous n'en ayons pas le droit, mais nous avons voulu vous donner en nous-mêmes un modèle à imiter.
15
Veillez à ce que personne ne se prive de la grâce de Dieu, à ce qu'aucune racine d'amertume, produisant des rejetons, ne cause du trouble et que beaucoup n’en soient infectés.
16
Veillez à ce qu’aucun de vous ne fasse preuve d’immoralité sexuelle ou ne se montre profanateur comme Esaü, qui pour un seul repas a vendu son droit d'aînesse.
12
Ce sont des écueils dans vos agapes, où ils festoient sans scrupule et ne prennent soin que d’eux-mêmes. Ce sont des nuages sans eau emportés par les vents, des arbres d'automne sans fruits, deux fois morts, déracinés,
Ces mêmes paroles reviennent avec un léger changement 1Corinthiens 10.23. Ce principe de liberté chrétienne, vrai en lui-même : toutes choses me sont permises, paraît avoir été la maxime favorite de quelques membres de l'Eglise de Corinthe, peut-être surtout de ceux qui se réclamaient du nom de Paul, (1Corinthiens 1.12) et ils en abusaient en l'appliquant à des pratiques qui étaient des péchés.
Paul ne nie pas la vérité de cette maxime, il l'adopte au contraire ; mais il fait sentir à ses lecteurs que, comme toute vérité exagérée ou déplacée devient une erreur, cette maxime, ainsi faussée, pouvait autoriser les plus coupables abus.
Aussi l'apôtre, sans la nier, la rectifie dans l'application par deux autres principes qui lui servent de contre-poids : d'abord, il faut que l'usage de la liberté soit toujours dirigé par l'amour du prochain, c'est-à-dire par ce qui lui est avantageux, qui l'édifie (c'est ce qui se trouve développé 1Corinthiens 8 et suivants) ; ensuite, si l'on entend par liberté simplement l'autorisation de choisir entre le bien et le mal, au lieu d'y voir l'affranchissement du péché, elle ne tarde pas à se transformer en une honteuse servitude.
Paul, quant à lui, proteste contre cette déplorable conséquence. Il dit : "Tu es maître de manger et de boire ; fort bien, mais prends garde que ce besoin ne devienne une volupté qui fasse de toi son esclave. Si tu dis : Il m'est bien permis de mener une vie douce et commode au sein des jouissances, l'apôtre te répond : Tu ne le fais déjà plus comme un homme qui en a le pouvoir, mais tu es l'esclave d'une telle vie." Chrysostome.
Paul s'oppose à cette vanité dangereuse. Il y a une certaine « liberté », (l’esclavage du péché), de laquelle Christ nous a libérés : nous devons tenir fermes ainsi. Cependant, il est certain qu'un chrétien ne peut se livrer à la servitude d'un quelconque appétit corporel : son corps appartient au Seigneur ; il doit être un « instrument de justice », tendant à la sainteté : il ne doit jamais être en conséquence, une occasion de chute.
Quand Jésus-Christ a été ressuscité des morts, Son corps fut glorifié ; il en sera de même pour le nôtre, quand nous serons, à notre tour, élevés vers le ciel.
L'espérance de cette gloire, lors de la résurrection, doit empêcher les chrétiens de déshonorer leurs corps, par de vaines convoitises charnelles. Si notre âme est unie à Christ, par la foi, tout notre être est devenu membre de Son corps spirituel.
Certains vices peuvent être combattus par la volonté ; celui qui est mentionné dans ce texte, la fornication, ne peut être vaincu que par la fuite. De nombreuses personnes subissent les conséquences de ce dérèglement, sous ses diverses formes. Ses effets n’atteignent pas seulement le corps, mais bien souvent l'esprit...
Nos corps ont été rachetés d'une condamnation méritée et de l’esclavage du péché, par le sacrifice expiatoire de Christ. Nous devons rester purs, tels des « vases » convenant parfaitement à l'usage de notre Maître. Étant unis à Christ d'un même esprit, et rachetés à un prix inestimable, les croyants doivent considérer qu’ils appartiennent totalement au Seigneur.
Puissions-nous consacrer toute notre vie à glorifier Dieu avec notre corps et notre esprit : tous deux lui appartiennent !