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Actes 2.38

Pierre leur dit : « Changez d’attitude et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.
1161 Pierre 4074 leur 4314 846 dit 5346 5713 : Repentez-vous 3340 5657, et 2532 que chacun 1538 de vous 5216 soit baptisé 907 5682 au 1909 nom 3686 de Jésus 2424-Christ 5547, pour 1519 le pardon 859 de vos péchés 266 ; et 2532 vous recevrez 2983 5695 le don 1431 du Saint 40-Esprit 4151.
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      Esaïe 32

      Esaïe 44

      Esaïe 59

      Ezéchiel 36

      25 L'eau est l’emblème de la purification de notre âme, polluée par le péché. Mais l’eau ne peut faire plus, que d’ôter la souillure du corps.

      L'eau semble, en général, être le signe spirituel de la sanctification du Saint-Esprit ; cependant, cette action est toujours associée à celle du sang réconciliateur de Christ. Quand l’Esprit, par la foi, sonde notre conscience, dans le but de purifier nos mauvaises actions, le sang de Jésus est toujours « appliqué » à notre âme, afin de l'épurer de la pollution du péché.

      Tous ceux qui bénéficient de la « nouvelle alliance », ont un nouveau cœur et un nouvel esprit, ils marchent en nouveauté de vie ! Dieu désire transformer notre cœur de chair, en un cœur tendre, conforme à Sa sainte Volonté. La Grâce régénératrice opère un grand changement de l'âme, de « pierre morte » elle la transforme en « pierre vivante ». Dieu placera Son Esprit en nous, pour devenir un Maître, un Guide, Celui qui Sanctifie.

      La promesse du bénéfice de la Grâce divine sert à nous préparer à accomplir notre devoir : dans ce but ceci devrait activer notre zèle !

      Les interventions divines concourent à notre bien, elles s’adressent de tous temps à tous les véritables croyants !

      Ezéchiel 39

      Joël 2

      28 La promesse a commencé à s'accomplir au jour de la Pentecôte, quand le Saint-Esprit a été répandu ; elle s'est ensuite appliquée lorsque la grâce miraculeuse a été donnée à la fois aux Juifs et aux gentils.

      Les jugements de Dieu envers le monde pécheur n'auront réellement lieu qu'au temps de la fin, au dernier jour. Le fait de faire appel à Dieu suppose qu'on Le connaisse déjà, qu'on désire Le rencontrer, dépendre de Lui, et pour finir, qu'on Lui obéisse en toute sincérité.

      Seules ces personnes là seront délivrées au « grand jour », celles qui se sont détournées du péché pour aller vers Dieu, vers Christ, celles dont le cœur est porté vers les choses célestes.

      Zacharie 12

      Matthieu 3

      Matthieu 4

      Matthieu 21

      28 Les paraboles qui émettent des reproches, s’adressent clairement aux moqueurs, jugeant directement leurs propres paroles.

      La parabole des deux fils, envoyés pour travailler dans la vigne était destinée à montrer que ceux qui ne savaient pas que le baptême de Jean venait de Dieu, seraient finalement humiliés par ceux qui en bénéficiaient.

      L’ensemble de la race humaine est semblable à des enfants élevés par le Seigneur, enfants qui se sont ensuite rebellés contre Lui ; certains sont malgré tout plus « utiles » dans leur désobéissance que d'autres : il arrive souvent en effet que le rebelle hautain soit amené à la repentance et devienne ensuite un serviteur du Seigneur, alors que le soi-disant « formaliste » continue à croître dans sa fierté et son inimitié envers Dieu.

      Matthieu 28

      Marc 1

      Marc 16

      Luc 15

      1

      Paraboles de la brebis et de la drachme perdues. (Luc 15:1-10)
      Le fils prodigue, sa dureté et sa détresse. (Luc 15:11-16)
      Son repentir et son pardon. (Luc 15:17-24)
      Le frère, plus âgé, en est offensé. (Luc 15:25-32)

      La parabole de la brebis perdue peut tout à fait s’appliquer à la grande œuvre de la rédemption humaine. La brebis perdue représente le pécheur qui s'est éloigné de Dieu ; elle est exposée à une mort certaine si elle n'est pas ramenée rapidement aux côtés de son maître. Christ désire vivement ramener les pécheurs dans « Sa maison ».

      Dans la parabole de la drachme perdue, la perte ne représente qu'une petite partie de la valeur de ce qui reste. Cependant la femme la cherche diligemment jusqu'à ce qu'elle la trouve.

      Ces paraboles représentent les nombreuses méthodes mises en œuvre par Dieu pour ramener à Lui les âmes perdues ; ces récits témoignent également de la joie du Sauveur, lors de l’arrivée de ces âmes dans Son Royaume.

      Combien devons-nous veiller à ce que notre repentance nous conduise véritablement et sans retour au salut !

      11 La parabole du fils prodigue montre la nature de la repentance, et l'empressement du Seigneur pour accueillir et bénir tous ceux qui viennent à Lui.

      Cette parabole démontre avec force la richesse de l'Évangile et de la Grâce ; tant que le monde sera présent, cette Grâce demeurera et sera une aide ineffable pour les pauvres pécheurs, afin de les diriger et de les encourager à se repentir et à revenir vers Dieu.

      Il n’y a rien de pire que de voir les hommes considérer que les dons de Dieu leur sont dus. La grande folie et la ruine des pécheurs, sont de ne se satisfaire, durant leur vie, que des bonnes choses de ce monde. Nos premiers parents ont été voués à la ruine, comme d’ailleurs leurs descendants, à cause de leur folle ambition : ils désiraient être indépendants, et c’est ce qui caractérise les pécheurs qui persistent dans leur iniquité.

      Nous pouvons tous nous reconnaître quelque peu dans le comportement du fils prodigue. Quand on est coupable, on est éloigné de Dieu. Cet état nous fait faire de grandes sottises : les pécheurs invétérés « gaspillent » leurs pensées et leurs forces, leur temps et leurs opportunités à se repentir. Un état coupable nous place dans le besoin : les pécheurs manquent du nécessaire pour le « bon état » de leur âme ; ils n'ont ni nourriture, ni vêtement, ni provisions pour l’avenir. Un coupable est dans un état vil, voire de servitude : les « serviteurs » du diable ne cherchent qu’à satisfaire la convoitise de la chair, et ce type de satisfaction ne vaut pas mieux que la nourriture des pourceaux, mentionnée ici, dans cette parabole.

      Le coupable est sans cesse insatisfait : la richesse du monde et les plaisirs des sens n'arrivent jamais à le satisfaire totalement ; qu'en sera-t-il par contre, pour son âme si précieuse ? Quand on est coupable, on ne peut trouver le soulagement nulle part, de personne : c'est en vain que nous pouvons le rechercher auprès du monde et de la chair ; on trouve tout ici-bas, pour empoisonner une âme, mais en fait, il n'y a rien qui puisse la nourrir.

      Le pécheur est dans un état de mort : il est mort dans ses offenses et ses iniquités, il est dépourvu de toute vie spirituelle. Le pécheur est perdu : les âmes qui sont séparées de Dieu seront rapidement perdues à jamais, si Sa Miséricorde n'intervient pas.

      L'état misérable du fils prodigue reflète bien tristement la ruine affreuse de l'homme, « rongé » par le péché. Qu’ils sont rares ceux qui sont sensibles à leur propre état inique et au triste comportement qui en découle !

      17 Ayant constaté dans les versets précédents, l’état abject et misérable du fils prodigue, nous sommes maintenant amenés à considérer comment il en est sorti.

      Ce texte commence par l’examen de sa conscience, situation capitale dans la conversion d'un pécheur. Le Seigneur lui ouvre les yeux, et le convainc de péché ; il se découvre alors réellement lui-même, par une vision vraiment différente de ce qu’il éprouvait auparavant. Le pécheur convaincu s'aperçoit que le moindre des serviteurs de Dieu est en fait bien plus heureux que lui-même. « Considérer » Dieu comme un Père, notre Père, sera d'un grand recours pour notre repentance et pour notre retour vers Lui.

      Le fils prodigue est parti, et ne s'est plus arrêté avant qu'il n’ait atteint sa maison. De même, le pécheur repentant quitte résolument l'esclavage de Satan et sa convoitise, et retourne ensuite vers Dieu, par la prière, avec parfois des craintes et certains découragements... Le Seigneur va alors à sa rencontre, lui exprimant Son Amour, plein d’indulgence.

      L’accueil divin du pécheur humilié est identique à celui du fils prodigue. Cet homme repentant est alors revêtu de la « robe de la Justice » du Rédempteur, il est rendu participant de l'Esprit d'adoption ; il est préparé, par la paix de la conscience et la Grâce de l'Évangile, à marcher dans les chemins de la sainteté, et à faire un « festin spirituel » de toutes les divines consolations.

      La Grâce et la Sainteté seront alors en lui, pour animer sa volonté comme ses actes !

      25 Dans la dernière partie de cette parabole du fils prodigue, nous trouvons un « portrait » des pharisiens, même si cette description ne leur est pas exclusive. Ce texte souligne la tendresse du Seigneur, et l’orgueil fréquemment rencontré malheureusement chez ceux qui peuvent en bénéficier.

      En général, les Juifs avaient le même état d’esprit, une certaine fierté, envers les Païens convertis : nombreux sont ceux qui, en tous temps, désapprouvèrent l'Évangile et ses prédicateurs. Malgré cela, qu’il est étonnant de voir un homme mépriser et détester les âmes pour qui le Sauveur a versé Son sang précieux, celles qui ont été « choisies » par le Père, pour devenir le « temple » du Saint-Esprit !

      De cette attitude jaillit la fierté et l'amour du « moi », ainsi qu’une ignorance de la véritable nature du cœur humain. La Miséricorde et la Grâce de notre Dieu, par l’intermédiaire de Christ, « brillent » de manière identique pour tous, que ce soit dans le cœur des saints, même « acariâtre », comme dans celui des pécheurs prodigues, en pleine repentance !

      Quel bonheur ineffable, trouve-t-on chez tous les enfants de Dieu, qui restent près de la « maison » de leur Père : ils savent qu’ils sont, et qu'ils seront pour toujours avec Lui. Heureux ceux qui acceptent avec reconnaissance « l'invitation » de Christ, en vue du salut !

      Luc 24

      Actes 2

      Actes 3

      19 Dans ce texte, l’absolue nécessité de se repentir est citée solennellement à tous ceux qui désirent que leurs péchés soient effacés, afin qu'ils puissent bénéficier du « rafraîchissement spirituel » que rien d’autre que l'Amour du Rédempteur, ne peut offrir. Bénis soient ceux qui sont conscients de cette vérité !

      Il n'était pas nécessaire pour le Saint-Esprit de faire connaître les temps des promesses des dispensations futures. Ces sujets restent encore obscurs... Mais lorsque les pécheurs sont convaincus de leur culpabilité, ils s’adressent au Seigneur pour obtenir Son pardon ; l’âme perdue qui se convertit et qui croit à la rédemption offerte par Christ, reçoit, par Sa présence spirituelle, un rafraîchissement de Sa part. Au temps de l'épreuve, le Rédempteur peut demeurer « invisible spirituellement » : nous devons alors vivre par la foi, en Lui !

      Actes 5

      Actes 8

      Actes 10

      44 Le Saint-Esprit se répandit sur les « Gentils » ; ensuite, ceux-ci furent baptisés, pour confirmer leur foi ; Il s’est répandu sur ces hommes avant qu'ils ne soient baptisés, pour bien montrer que Dieu ne s’arrête pas à des signes extérieurs.

      Le Saint-Esprit est venu sur ceux qui n'étaient, ni circoncis ni baptisés ; en fait c’est l'Esprit qui vivifie, la chair n’est d’aucune utilité. Ces hommes glorifièrent Dieu, et parlèrent autour d’eux de Christ et des bienfaits de la rédemption. Quel que soit le don spirituel qui nous est octroyé, nous devons nous en servir pour honorer Dieu.

      Les Juifs croyants présents furent étonnés que le don du Saint-Esprit ait été répandu également sur les Païens. Par de mauvais préjugés, nous avons parfois certaines difficultés à comprendre les voies de la Providence divine et de la Grâce.

      Comme ces hommes furent baptisés de manière indiscutable par le Saint-Esprit, Pierre en conclut que l'on ne pouvait pas leur refuser le baptême d'eau : celui-ci leur a donc été administré. Cet exemple est instructif : nous est-il possible de nier la manifestation évidente de l’Esprit, chez certains ? Ceux qui ont une véritable relation avec Christ, ne peuvent qu’en désirer davantage à ce sujet. Même ceux qui ont déjà reçu le Saint-Esprit, doivent ressentir un besoin quotidien de mieux connaître la Vérité.

      Actes 16

      Actes 17

      Actes 19

      Actes 20

      Actes 22

      Actes 26

      Romains 6

      3 Le baptême enseigne la nécessité de « mourir au péché », et d’être « délivré » de tout ce qui motive les impies et les profanes ; il enseigne également qu’il faut « ressusciter » dans une marche avec Dieu, en nouveauté de vie.

      Ceux qui professent l’impiété peuvent manifester des signes extérieurs d'une mort au péché, et d'une nouvelle naissance de la justice, mais ne sont jamais passés en fait, de la « famille » de Satan à celle de Dieu.

      La nature corrompue de chaque individu, est désignée par le « vieil homme », elle découle de notre premier père Adam ; lors de la nouvelle naissance du véritable croyant, elle est « crucifiée » avec Christ, par la Grâce qui provient de la croix. Cet état peut paraître faible et moribond, cependant il mène à la vie, et même, vers la victoire spirituelle ! Mais toutes les convoitises du corps, voué au péché, et tout ce qui n'est pas conforme à la sainte loi divine, tout cela doit être écarté, afin que les croyants ne puissent plus être esclaves du mal, mais qu'ils soient « vivants » pour Dieu, et soient heureux de Le servir !

      1 Corinthiens 1

      17 Paul avait reçu un enseignement juif ; mais la prédication claire, de Jésus crucifié, était plus puissante que toute l'éloquence et la philosophie du monde païen. Cette prédication représente l’entité du fondement de l'Évangile. Christ crucifié est la base de toutes nos espérances, la « source » de toutes nos joies. Par Sa mort, nous avons la vie !

      Quand la prédication du salut des pécheurs perdus, acquis par les souffrances et la mort du Fils de Dieu, est expliquée et fidèlement appliquée, elle apparaît comme une folie à ceux qui errent dans le « chemin de la destruction ». Ceux qui ne recherchent que les plaisirs de ce monde, les avides, les orgueilleux et les ambitieux, ne voient dans les principes qu’enseigne l'Évangile, que des obstacles à leurs poursuites effrénées. Ceux, par contre, qui reçoivent cet Évangile et qui sont éclairés par l'Esprit de Dieu, constatent qu’on y découvre plus de sagesse et de puissance divines, par la doctrine de Christ crucifié, que dans toutes les œuvres de ce monde.

      Dieu a laissé une grande partie du monde, suivre les diktats de la raison humaine, les événements montrant d’ailleurs que cette soi-disant sagesse des hommes n’est que folie, étant incapables de reconnaître Dieu, en tant que Créateur. Il a convenu à Dieu, par la « folie de la prédication », de sauver ceux qui croient. Ce n’est pas, sans jeu de mot, une prédication folle, mais elle représentait, déjà à l’époque de l’apôtre, une absurdité pour ceux qui ne s’appuyaient que sur la sagesse du monde.

      L'Évangile a toujours été, et sera toujours une stupidité pour tous ceux qui empruntent la « route de la destruction ». Le message de Christ, lorsqu’il est clairement annoncé, a toujours été un « indicateur » fiable, par lequel les hommes peuvent savoir quelle route emprunter. Même méprisée, la doctrine du salut, par la foi du Sauveur crucifié, Dieu dans une nature humaine, rachetant l'église par Son propre sang, pour sauver des multitudes de croyants de l'ignorance, des illusions et du vice, a été bénie en tous temps.

      Les plus faibles « instruments » que Dieu utilise, sont plus persuasifs, quant à leur témoignage, que les plus vaillants des hommes. Il n'y a aucune folie ni faiblesse en Dieu, si ce n'est celles que les hommes considèrent comme telles, pour se convaincre de leur soi-disant sagesse et de leur force !

      Tite 3

      1 Pierre 3

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