14
L'Eternel dit à Moïse : « Ecris cela dans le livre pour qu’on s’en souvienne et déclare à Josué que j'effacerai le souvenir d'Amalek de dessous le ciel. »
19
» Maintenant, mettez par écrit le cantique qui suit. Enseigne-le aux Israélites, mets-le dans leur bouche, et que ce cantique me serve de témoin contre les Israélites.
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En effet, je vais conduire ce peuple vers le territoire que j'ai juré à ses ancêtres de lui donner, un pays où coulent le lait et le miel. Il mangera à satiété, s'engraissera, puis il se tournera vers d'autres dieux et les servira, il me méprisera et violera mon alliance.
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Quand il sera alors atteint par une foule de malheurs et de situations de détresse, ce cantique déposera en tant que témoin contre ce peuple, car sa descendance ne l’oubliera pas. Je connais, en effet, ses dispositions. Elles se manifestent aujourd'hui déjà, avant même que je l'aie fait entrer dans le pays que j'ai juré de lui donner. »
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Ce jour-là, Moïse écrivit le cantique qui suit et il l'enseigna aux Israélites.
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» Souvenez-vous des merveilles qu'il a accomplies, #de ses miracles et de ses jugements, #
1
C'était à l’époque d'Assuérus, de cet Assuérus qui régnait sur 127 provinces depuis l'Inde jusqu'en Ethiopie.
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il envoya des lettres à toutes ses provinces, à chaque province dans son écriture et à chaque peuple dans sa langue, pour dire que tout homme devait être le chef de son foyer et y parler sa langue maternelle.
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On convoqua les secrétaires du roi le treizième jour du premier mois et l'on écrivit un message en tout point conforme aux ordres d’Haman et adressé aux satrapes du roi, aux gouverneurs de chaque province et aux chefs de chaque peuple, à chaque province dans son écriture et à chaque peuple dans sa langue. Le message fut écrit au nom du roi Assuérus et l’on y apposa l’empreinte du roi.
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On convoqua alors les secrétaires du roi, le vingt-troisième jour du troisième mois, c’est-à-dire le mois de Sivan, et l'on écrivit un message en tout point conforme aux ordres de Mardochée et adressé aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des 127 provinces qui couvraient un territoire allant de l'Inde à l'Ethiopie, à chaque province dans son écriture et à chaque peuple dans sa langue, y compris aux Juifs dans leur écriture et dans leur langue.
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Mardochée enregistra ces événements par écrit et envoya des lettres à tous les Juifs installés dans toutes les provinces du roi Assuérus, qu’ils soient près ou loin.
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Chant des montées, de David. Si l’Eternel n’avait pas été pour nous – qu’Israël le dise –
2
si l’Eternel n’avait pas été pour nous lorsque des hommes sont venus nous attaquer,
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ils nous auraient engloutis vivants quand leur colère s’est enflammée contre nous.
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Que chaque génération célèbre tes œuvres et proclame ton extraordinaire façon d’agir !
5
Je dirai la splendeur glorieuse de ta majesté, je chanterai tes merveilles.
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On parlera de ta puissance redoutable et je raconterai ta grandeur.
7
On proclamera le souvenir de ton immense bonté, on célébrera ta justice.
8
L’Eternel fait grâce, il est rempli de compassion, il est lent à la colère et plein de bonté.
9
L’Eternel est bon envers tous, sa compassion s’étend à toutes ses œuvres.
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Toutes tes œuvres te loueront, Eternel, et tes fidèles te béniront ;
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ils diront la gloire de ton règne, ils proclameront ta puissance,
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pour faire connaître aux hommes ta puissance et la splendeur glorieuse de ton règne.
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C'est lui qui nous a délivrés d'une telle mort et qui nous en délivre encore. Oui, nous avons en lui cette espérance qu'il nous en délivrera encore,
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et vous y contribuerez vous-mêmes par la prière. Ainsi, la grâce obtenue pour nous par beaucoup de personnes sera pour beaucoup une occasion de remercier Dieu à notre sujet.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
20 à 28 Une lettre de Mardochée à tous ses compatriotes institue officiellement la fête de Purim.
Toutes ces choses : non pas le livre d'Esther depuis 1.1 jusqu'à 9.19, mais les événements qui viennent de se passer, et en particulier la délivrance des Juifs, à Suse, le 15, dans le reste de l'empire le 14 Adar. Mardochée n'était ni de la tribu royale, ni de la tribu sacerdotale, mais sa haute position à la cour lui donnait de fait toute autorité sur ses compatriotes. Toutefois le Talmud de Jérusalem rapporte qu'en Palestine la fête de Purim ne s'introduisit pas sans la sérieuse opposition de 85 Anciens et de 30 prophètes, qui sans doute y voyaient une innovation extra-légale. Cependant 2Maccabées 15.37 semble prouver que vers le milieu du deuxième siècle avant J-C elle se célébrait généralement, et Josèphe l'affirme pour son temps (Antiquités XI, 6, 13).
La pratique et le respect des fêtes juives, sont une manifestation publique de la véracité des écrits de l'Ancien Testament. Bien que ces textes de l'Ancien Testament soient véridiques, le Messie que les juifs attendaient, est en fait venu bien après ces faits ; aucun autre, que Jésus de Nazareth, ne peut être ce Messie. Cette fête a été instaurée arbitrairement, bien que cela se soit réalisé avec le consentement de l'Esprit divin. On lui a donné le nom de « fête du Pourim ». Le nom de cette fête a été attribué pour rappeler au peuple la toute-puissance du Dieu d'Israël, qui a atteint ses propres objectifs par le biais des superstitions païennes.
Lorsque nous passons en revue toutes les miséricordes que nous avons reçues, nous devrions nous remémorer aussi toutes les anciennes craintes et afflictions qui nous tracassaient. Quand les bénédictions divines nous sont accordées à titre personnel, nous ne devrions pas oublier le réconfort qu'elles nous ont procuré, ni manquer d'attribuer au Seigneur la gloire due à Son Nom. Que le Seigneur nous enseigne à nous réjouir, avec cette sainte joie qui seule est capable de nous faire entrevoir les bénédictions célestes, et de nous y préparer. Chaque manifestation de la bonté divine à notre égard devrait nous inciter à nous engager dans la pratique du bien, envers ceux qui ont particulièrement besoin de notre générosité. Mais par-dessus tout, notre rédemption par Jésus-Christ nous engage à Lui être reconnaissants, 2Corinthiens 8:9.