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14
Dieu dit à Moïse : « JE SUIS QUI JE SUIS. Voici ce que tu diras aux Israélites : “JE SUIS m’a envoyé vers vous.” »
3
Autrefois, je me suis montré à Abraham, à Isaac et à Jacob comme le Dieu tout-puissant. Mais je ne leur ai pas fait connaître mon nom “LE SEIGNEUR”.
7
« Est-ce que tu peux découvrir la profondeur de Dieu ? Est-ce que tu peux connaître la grandeur du Tout-Puissant ?
4
Mais ceux qui obéissent à Dieu se réjouissent, ils dansent de joie devant lui.
2
Avant que naissent les montagnes, avant que tu crées la terre et le monde, depuis toujours et pour toujours, tu es Dieu !
6
Voici ce que dit le SEIGNEUR, le roi et le libérateur d’Israël, le SEIGNEUR de l’univers : « Je suis au commencement et à la fin de tout. En dehors de moi, il n’y a pas de Dieu.
20
Oui, quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d’eux. »
20
Apprenez-leur à obéir à tous les commandements que je vous ai donnés. Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. »
28
Alors Jésus leur dit : « Quand vous placerez le Fils de l’homme en haut, vous saurez que moi, “Je suis.” Vous saurez que je ne fais rien par moi-même, mais je dis ce que le Père m’a enseigné.
58
Jésus leur répond : « Oui, je vous le dis, avant qu’Abraham existe, “Je suis”. »
20
En effet, Jésus, est le « oui » à tout ce que Dieu a promis. C’est donc aussi par Jésus que nous disons notre « oui » à Dieu pour lui rendre gloire.
8
Jésus-Christ est le même, hier, aujourd’hui et pour toujours.
4
Moi, Jean, j’écris aux sept Églises de la province d’Asie. Que Dieu, qui est, qui était et qui vient, vous donne la bénédiction et la paix ! Que les sept esprits qui sont devant son siège de roi vous les donnent !
8
Le Seigneur Dieu dit : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le premier et le dernier, je suis celui qui est, qui était et qui vient, je suis le Tout-Puissant. »
17
Quand je le vois, je tombe à ses pieds comme si j’étais mort. Mais il pose sa main droite sur moi et il dit : « N’aie pas peur ! Je suis le premier et le dernier,
8
Les quatre êtres vivants ont chacun six ailes. Ils ont des yeux partout, sur les ailes et sous les ailes. Jour et nuit, ils chantent sans cesse : « Saint, Saint, Saint, le Seigneur, le Dieu tout-puissant, celui qui est, qui était et qui vient ! »
Je suis Celui qui suis. Le temps du texte hébreu n'est pas le présent, qui n'existe dans cette langue qu'au participe (étant, faisant). C'est le temps de l'action imparfaite, inachevée, c'est-à-dire qui continue : Je suis et serai. Ce qui fait que l'on a parfois traduit par le futur ; Je serai celui que je serai.
Mais l'existence actuelle est nécessairement renfermée dans ce temps du verbe, comme base de l'existence, future : Je suis (et serai) celui qui est (et sera). Dieu veut-il se désigner par là comme l'incompréhensible :
Je suis qui je suis, pour dire : Seul je me connais moi-même ? ou comme l'être parfaitement libre : je serai tout ce qu'il me plaira d'être à chaque moment ?
Mais ce serait là un refus d'explication, et non la réponse que Moïse réclame en vue de la mission que Dieu lui confie. On pourrait plutôt voir dans ces mots l'idée de la fidélité divine : Je suis et reste ce que je suis, toujours fidèle à moi-même et à mes promesses. Mais la parole suivante : JE SUIS m'a envoyé vers vous, accentue uniquement l'idée d'être et détermine le sens de celle qui la précède.
Le vrai sens ne peut donc être que celui-ci : Je suis celui qui existe par nature, qui ne tient son existence d'aucun autre, qui est l'existence même. C'est l'idée de l'indépendance absolue, en vertu de laquelle Dieu n'est déterminé par quoi que ce soit hors de lui, et tout ce qui est, au contraire, n'existe que par un acte de sa volonté, ne possède l'existence que comme son don et dépend absolument de lui.
L'application de cette idée à la situation présente est manifeste. Cette Parole renferme la garantie de sa victoire sur Pharaon, ses dieux, ses enchanteurs, ses armées, bien plus, de son triomphe futur sur toutes les puissances, terrestres et supérieures, qui pourront s'opposer à lui et à son peuple. C'est la déclaration de guerre à outrance à tout polythéisme et à toute exaltation de la créature. C'est le fondement de l'histoire qui va commencer, celle de l'établissement du règne de Dieu sur la terre.
On a cru trouver dans un passage du Livre des morts une parole semblable à cette déclaration divine dans l'Exode. Mais il y avait là une erreur de traduction manifeste. (Ed. Naville.)
JE SUIS m'a envoyé. Ce nom : JE SUIS, préparé par l'explication précédente, est la réponse précise à la question : Quel est son nom ?
Ce nom est en réalité celui de Jahvé (que nous prononçons Jéhova, d'après une tournure employée chez les Hébreux pour éviter de prononcer et de profaner le nom sacré). Seulement Jahvé est la troisième personne : Il est : c'est ainsi que l'homme parle de Dieu ; tandis que Dieu dit ici : Ehjé, Je suis, à la première personne, parce que c'est lui qui parle de lui-même.
Ce nom de Jahvé est paraphrasé par l'Apocalypse (1.1) en ces mots : Celui qui est, qui était et qui vient ;
qui est : qui possède l'être dans sa plénitude et qui le communique à tout ce qui est ;
qui était : qui l'a possédé au commencement et qui s'est déjà manifesté précédemment (Dieu des pères) ;
qui vient : qui continuera à se manifester de plus en plus complètement (le sens futur de ehjé).