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Galates 4.10

Vous observez des jours, et des mois, et des temps, et des années.
Déjà, vous observez les jours spéciaux, les nouvelles lunes, les temps de fête, les années saintes !
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      Lévitique 23

      1

      Les fêtes de l'Éternel, le Sabbat. (Lévitique 23:1-3)
      La Pâque, l'offrande des prémices. (Lévitique 23:4-14)
      La fête des Semaines. (Lévitique 23:15-22)
      La fête des trompettes, le jour des expiations. (Lévitique 23:23-32)
      La fête des Tabernacles. (Lévitique 23:33-44)

      Ce chapitre nous parle de l'institution des fêtes saintes ; beaucoup d'entre elles avaient déjà été mentionnées auparavant. Malgré le fait que les premières fêtes se déroulaient dans le sanctuaire, elles ne devaient pas avoir autant d'importance que le sabbat. Ce jour là, toutes les occupations courantes devaient cesser : le sabbat est en effet un jour de repos consacré à Dieu, une image spirituelle du rejet du péché. Ce jour particulier devait être religieusement observé, dans chaque maison, dans chaque famille ou en commun, dans de saintes assemblées. Le sabbat de l'Éternel est un véritable « ornement » à nos demeures, il leur assure la sécurité : ce jour sanctifie en effet nos maisons, il les pare de la gloire du Dieu Très-Haut.
      4 La fête de la Pâque durait sept jours ; ce temps n'était cependant pas voué à l'oisiveté ni à la pratique du sport, comme le font les soit disant « chrétiens » aujourd'hui, pendant le week-end Pascal. Lors de cette fête, les offrandes étaient apportées à l'Éternel, devant Son autel ; le peuple devait se consacrer à la prière et à la méditation. La « gerbe des prémices » était une image de notre Seigneur Jésus-Christ, qui est ressuscité des morts, tout comme les premiers épis qui émanaient du sol. Jésus a vaincu la mort le même jour où l'on offrait la gerbe des prémices. Il nous est commandé d'honorer le Seigneur avec nos revenus, avec les « prémices » de nos bénéfices, Proverbes 3:9. Les Israélites ne devaient pas manger le blé nouveau, tant que la part qui était réservée pour Dieu, n'avait pas été soustraite.

      Dans toutes nos actions, nous devons commencer par honorer Dieu : nous devons débuter chaque matin dans Sa présence, entamer chacun de nos repas par une prière de reconnaissance, démarrer toute affaire ou action avec Sa bénédiction ; en un mot : rechercher premièrement le royaume de Dieu !

      15 La fête des Semaines a été instituée pour commémorer l'institution de la loi, cinquante jours après le départ d'Égypte ; plus près de nous, l'onction du Saint-Esprit eut lieu également cinquante jours après la mort de Christ, notre Pâque, sacrifié pour nous. En ce jour bien précis, les apôtres présentaient les prémices de l'église naissante à Dieu. En plus de cette institution, il est rappelé qu'il fallait laisser de quoi glaner dans les champs.

      Ceux qui sont vraiment sensibles aux grâces reçues de Dieu, offriront ainsi un peu de leurs gains aux pauvres, avec miséricorde et sans réticence.

      23 Les trompettes retentissantes représentaient l'annonce de l'évangile, par lequel les hommes peuvent se repentir de leurs péchés et accepter le salut en Jésus-Christ, représenté à l'époque par le « jour de l'expiation ». Ces trompettes invitaient également le peuple à se réjouir en la présence de Dieu, étant en quelque sorte des « étrangers » et des « pèlerins » en ce monde : c'était l'objet de la fête des « Tabernacles », qui avait lieu le même mois. Au début de l'année, les Israélites étaient réunis au son de ces trompettes afin qu'ils se réveillent de leur sommeil spirituel, pour demander à Dieu leur marche à suivre et pour que ce Dernier rachète leurs péchés. Neuf jours après, suivait le « Jour de l'Expiation » ; le peuple était ainsi prêt spirituellement pour préparer ce jour particulier : chacun devait exprimer une sincère et sérieuse repentance, afin que ce jour soit vraiment celui de « l'expiation ». L'humiliation de nos âmes, face au péché, et la paix avec Dieu, réclament toute une consécration, dans un lieu relativement isolé, dans un esprit de recueillement. En ce jour particulier, Dieu délivrait Sa paix parmi Son peuple et Ses saints ; c'est pourquoi ces derniers devaient laisser de côté toutes leurs occupations, de façon à percevoir le plus clairement possible, la joie et le partage fraternels.
      33 La fête des Tabernacles a été instituée pour commémorer le fait que le peuple habitait dans les tentes, lors de la traversée du désert et plus tard en Canaan ; elle rappelait également aux Israélites comment Dieu les avait délivrés. D'une manière imagée, Christ, dans Son séjour ici-bas, a Lui aussi « tabernaclé », en revêtant une nature humaine, précédant Son état glorieux futur. Cela représente également la vie du Chrétien ici-bas : il n'est sur terre, qu'un étranger et un pèlerin, sa véritable « maison » et son cœur étant déjà au ciel, avec le Seigneur. En demeurant sous des tentes pendant sept jours, les Israélites se rendaient ainsi compte à quel point, à leur retour, leurs maisons étaient confortables.

      Il est quelquefois souhaitable, pour ceux qui vivent dans l'aisance et l'abondance, de connaître temporairement l'austérité. La joie qu'éprouvaient les Israélites lors de la moisson, devait préfigurer celle que nous aurons, quand nous serons en présence de Dieu.

      La terre est à l'Éternel, avec tout ce qu'elle contient ; nous devons rendre grâce à Dieu pour le confort dont nous sommes bénéficiaires, et particulièrement pour la perfection de Ses œuvres. L'Éternel a placé ces fêtes entre deux sabbats et le peuple devait amener ses offrandes pendant ce laps de temps.

      Le fait de participer à des services religieux particuliers ne doit pas nous faire négliger notre louange journalière envers le Seigneur !

      Lévitique 25

      1

      Le sabbat du pays, tous les sept ans. (Lévitique 25:1-7)
      Le jubilé tous les cinquante ans, L'oppression interdite. (Lévitique 25:8-22)
      Le droit de rachat de la terre et des maisons. (Lévitique 25:23-34)
      Compassion envers les pauvres. (Lévitique 25:35-38)
      Lois au sujet des hommes à gages, L'oppression interdite. (Lévitique 25:39-55)

      Le travail devait cesser tous les sept ans, comme aussi, le septième jour de la semaine. Ces ordonnances nous avertissent de ne pas être avides de gain : le but de la vie de l'homme ne consiste pas à rechercher systématiquement l'abondance. Dans tous nos besoins ici-bas, nous devons nous soumettre à la volonté et à la Providence divines ; nous devons nous considérer comme les « intendants » des affaires du Seigneur et gérer nos biens en conséquence.

      Cette année de répit, que le peuple devait respecter, est une image du repos spirituel que chaque croyant trouve en Christ. En Lui, nous sommes soulagés du fardeau que représente le travail quotidien de ce monde : nos tâches sont ainsi sanctifiées et la peine résultante en est adoucie ; nous sommes encouragés de vivre alors par la foi !

      Nombres 28

      1

      Les offrandes, les sacrifices journaliers. (Nombres 28:1-8)
      L'offrande du sabbat et des débuts de mois. (Nombres 28:9-15)
      Les offrandes de la Pâque, le jour des prémices. (Nombres 28:16-31)

      Dieu considéra qu'il était bon de répéter la loi sur les sacrifices : Il s'adressait en fait à une nouvelle génération du peuple d'Israël. Il s'agissait en effet pour ce dernier de rester en paix avec l'Éternel, son protecteur, en particulier lors des guerres qu'il allait entreprendre avec ses différents ennemis. Le sacrifice journalier qui devait être rendu s'appelait l'holocauste perpétuel.

      La Parole nous demande de prier sans cesse : nous devons le faire solennellement au moins chaque matin et chaque soir, en adressant à Dieu nos requêtes et nos louanges.

      Rien n'était ajouté, sinon le vin, qui devait être en réalité, une boisson forte : cela nous enseigne qu'il nous faut servir Dieu de notre mieux. C'était, en quelque sorte, une image du sang de Christ : aujourd'hui, dans l'église, le vin est le mémorial de ce sang ; il en est de même pour le sang des martyrs, offert en libation pour le sacrifice et le service de notre foi, Philippiens 2:17.

      9 À chaque sabbat, en plus des deux agneaux offerts pour l'holocauste perpétuel, il fallait en offrir deux autres.

      Cela nous enseigne qu'il faut redoubler de dévotion, le jour du sabbat, conformément à ce que ce jour spécial requiert. Le repos du sabbat doit être observé, afin de se consacrer pleinement aux activités de cette journée particulière. Les offrandes de la « nouvelle lune » montrent la reconnaissance que les enfants d'Israël devaient manifester pour les prémices que la terre leur offrait : quand nous nous réjouissons des bénédictions que la Providence nous accorde, nous devons avoir une attention toute particulière au sacrifice de Christ, ce don merveilleux de Sa grâce, la source même de notre joie.

      L'adoration à chaque nouvelle lune est en quelque sorte une image de celle faite chaque Dimanche, de nos jours, au temps de l'évangile, Esa 66:23. De même que la lune tire sa lumière du soleil, l'église tire la sienne de Jésus Christ, le « Soleil » de droiture qui rayonne au sein de l'assemblée !

      16 Les sacrifices qui sont mentionnés dans ce chapitre nous rappellent l'efficacité permanente du Sang de Jésus Christ et la dépendance incessante en Sa personne, qui en résulte.

      Qu'il s'agisse des urgences professionnelles, des situations périlleuses ou même des moments de prospérité, rien ne devrait nous faire négliger nos devoirs religieux ; tout ce que nous faisons pour le Seigneur doit être fait avec Son aide et, une fois ces tâches accomplies, il nous faut Le remercier ! Tout doit être fait dans un esprit de repentance, avec foi et amour pour Jésus, afin que l'ensemble de nos actes produise un témoignage de sainteté véritable, vis-à-vis de tous les hommes ; s'il en était autrement, Dieu abhorrerait tous nos services inhérents à la piété.

      Christ est capable de satisfaire nos besoins journaliers, mensuels, annuels et ce, dans toutes les circonstances que nous traversons !

      Romains 14

      Colossiens 2

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