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Hébreux 11.7

C'est par la foi que Noé, averti des événements que l'on ne voyait pas encore et rempli d'une crainte respectueuse, a construit une arche pour sauver sa famille. C'est par elle qu'il a condamné le monde et est devenu héritier de la justice qui s'obtient par la foi.
Noé a cru en Dieu. Dieu lui a annoncé des événements qu’on ne voyait pas encore. Alors Noé a pris la parole de Dieu au sérieux, il a construit un bateau pour sauver sa famille. En faisant cela, il a condamné le monde, et à cause de sa foi, Dieu a reconnu que c’était un homme juste.
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      Genèse 6

      22 La foi de Noé a triomphé des corruptions présentes à cette époque. Le fait de bâtir un tel ouvrage, sans avoir de réel modèle, et d'avoir procuré toutes les provisions destinées à nourrir les créatures embarquées, ont nécessité de sa part de sérieuses qualités d'application, de travail et de moyens. Ses voisins ont dû rire de son projet. Mais malgré toutes ces critiques, Noé, par la foi, a persévéré ; son obéissance était franche et déterminée. Une fois la tâche commencée, il ne l'a pas interrompue, et ce, jusqu'à la fin : telle fut sa conduite et telle devrait être la nôtre. Il craignait le déluge, il a donc préparé l'arche. À côté de l'avertissement donné à Noé, il y en a un autre, plus solennel, qui nous est adressé : celui de fuir la colère à venir, qui va balayer le monde des incroyants vers l'abîme de la destruction. Christ, à l'image de Noé, est à même de pouvoir nous consoler ; Il a, par Ses souffrances, déjà préparé l'arche et nous invite, avec tendresse, à y entrer. Alors que nous sommes toujours au bénéfice de Sa patience, écoutons et obéissons à Sa voix !

      Genèse 7

      1

      Noé, sa famille et les créatures vivantes, entrent dans l'arche ; début du déluge. (Genèse 7:1-12)
      Noé enfermé dans l'arche. (Genèse 7:13-16)
      La croissance des eaux pendant quarante jours. (Genèse 7:17-20)
      Toute chair est détruite par les eaux. (Genèse 7:21-24)

      L'appel qui est fait à Noé est plein d'amour, un peu comme celui d'un père qui invite ses enfants à rentrer au foyer à la veille de la nuit ou avant la tempête. Noé n'est pas entré dans l'arche avant que Dieu ne lui ordonne, bien qu'il sache que ce soit la place préparée pour son refuge. Il est très réconfortant de voir Dieu aplanir les sentiers que nous allons emprunter. Noé s'est donné beaucoup de mal pour construire l'arche, ce qui, en final, préservera sa vie. Dans tout ce que nous faisons, si nous obéissons, par la foi, aux ordonnances divines, tôt ou tard nous en tirerons du bénéfice. Cet appel fait à Noé, n'est pas sans nous rappeler celui que fait l'évangile aux pauvres pécheurs. Christ est l'arche, seul moyen de survie contre la mort et le jugement qui approchent. La Parole nous dit : « venez » ; les serviteurs de Dieu aussi ; l'Esprit nous dit : « venez dans l'arche ». Noé a été trouvé juste, non par son propre mérite, mais par son héritage de Justice, acquis par la foi Heb 11:7. Il a cru à la révélation que lui a faite l'Éternel, son Sauveur ; il n'a placé son espérance qu'en Lui seul. Ainsi justifié par la foi, il a reçu l'Esprit, dont la manifestation se traduit par la bonté ; mais si quelqu'un ne dispose pas de l'Esprit de Christ, il ne peut prétendre bénéficier de tels fruits. Après les cent vingt ans de patience divine, l'Éternel accorda encore sept jours de plus pour la repentance. Mais ces sept jours furent pris à la légère par tous ceux qui sont restés dans le monde d'alors. Le sursis ne fut que de sept jours. Ces condamnés n'ont eu qu'une semaine, dont un sabbat, pour considérer le niveau qu'ils avaient atteint et la paix qu'ils pouvaient entrevoir, dans l'arche.

      Il est commun pour ceux qui n'ont pas pris soin de leur âme au moment le plus propice de leur vie, alors qu'ils ne voyaient la mort que de loin, d'être soudain très attentifs, au jour de la maladie, alors qu'ils voient la fin de leur vie approcher ; leur cœur est alors endurci par les péchés. Après que Noé ait préparé l'arche, par la foi, selon l'avertissement divin du déluge à venir, il entra dans cette arche, toujours par la foi, assuré que le jugement ne tarderait pas à être exécuté rapidement. Au jour où Noé fut en sécurité dans l'arche, les fontaines du grand abîme se sont alors libérées.

      La terre disposait d'une réserve d'eau fabuleuse qui s'est libérée au moment choisi par l'Eternel ; il en est ainsi pour nos corps mortels, qui, selon le bon plaisir de Dieu, peuvent devenir sujets aux maladies mortelles. Les fenêtres des cieux furent ouvertes et les eaux qui sont au-dessus des cieux se déversèrent sur la terre. La pluie tomba abondamment, une pluie comme il n'en était jamais tombé. Il a plu sans interruption quarante jours et quarante nuits, sur la terre entière. Bien que cela soit une manifestation de la toute-puissance de l'Éternel, il serait vain et présomptueux de vouloir tenter de l'expliquer avec le raisonnement de notre prétendue sagesse.

      Genèse 8

      Genèse 19

      Exode 9

      Proverbes 22

      Proverbes 27

      Ezéchiel 3

      Ezéchiel 14

      Matthieu 3

      7 Le rôle de la prédication est de mettre en application la doctrine divine : tel était le but de l’exhortation de Jean.

      Les Pharisiens se souciaient d’abord d’observer et de respecter le côté apparent de la piété, en négligeant les points les plus importants de la loi morale, et la signification spirituelle de leurs cérémonies légales. Certains d'entre eux étaient de détestables hypocrites, faisant de leurs prétentions à la sainteté, une parure inique.

      Les sadducéens avaient une démarche tout à fait opposée, niant l'existence des esprits et d’une vie spirituelle future. Ils étaient à cette époque et dans ce pays, des « infidèles » méprisables.

      Il y a inéluctablement une colère divine à venir. Chacun devrait chercher à la fuir. Dieu, qui ne prend aucun plaisir à notre ruine, nous a avertis à ce sujet ; Il nous prévient par Sa Parole, par Ses serviteurs, ainsi que par le biais de notre conscience. Ceux qui se disent désolés par le constat de leurs péchés, et qui cependant, persistent dans leurs voies, ne sont pas dignes d’être appelés des repentants, et n’ont de ce fait aucun privilège spirituel. Le véritable repentant est humble et abaissé à ses propres yeux, reconnaissant pour la moindre miséricorde qui lui est accordée, patient lors des afflictions sévères, vigilant contre toute apparence de péché, appliqué dans son devoir, et charitable quant aux jugements de son prochain.

      Ce texte énonce une parole de prudence : ne pas se baser aveuglément sur des privilèges extérieurs acquis. Nous courons un grand danger quand nos cœurs tentent d’étouffer toute conviction de péché, en mettant de côté la Puissance révélatrice de la Parole de Dieu. On trouve de nombreuses personnes, qui, en se fiant abusivement sur les honneurs et les avantages que peuvent avoir les membres d'une église, sont en fait bien loin du ciel...

      Ce texte contient une terrible menace à l’encontre de l'insouciant et de celui qui se croit faussement en sécurité. Nos cœurs corrompus ne peuvent, par nature, produire du bon fruit, à moins que l'Esprit régénérateur de Christ ne greffe en eux la perfection de la Parole de Dieu. Tout arbre, même le plus haut, le plus majestueux ou le plus verdoyant, qui ne produit pas de bon fruit, à savoir celui de la repentance, sera abattu et jeté dans le feu de la colère divine, l’endroit le plus propice pour recevoir les « plantes stériles » : à quoi d'autre pourrait-il servir ? S'il ne fournit aucun fruit, il sera un parfait combustible !

      Jean annonce la venue de Christ, le rôle et les desseins de ce Dernier : cet avènement était imminent.

      Notre comportement et notre apparence extérieure, ne peuvent aucunement nous rendre purs. Nulle ordonnance, quel qu’en soit l’auteur ou le mode, ne peut suppléer au besoin du baptême du Saint-Esprit et de feu. Seul le pouvoir purificateur du Saint-Esprit peut produire cette pureté de cœur et ces « saintes affections » qui accompagnent le salut ! C'est Christ qui baptise de l’Esprit Saint. C'est ce qu'Il a fait ne manière extraordinaire envers les apôtres, Actes 2:4. C'est ce qu'Il fait aussi dans les grâces et les réconforts octroyés par l'Esprit, à ceux qui le Lui demandent, Luc 11:13, Jean 7:38,39, Actes 11:16.

      Observons ici que l'église des « Gentils » est « l'aire de battage » de Christ, Esa 21:10. Les véritables croyants sont comme le blé : substantiel, utile, et précieux ; les hypocrites sont comme une balle de paille : légers et vides, inutiles et sans valeur, emportés au loin par le moindre souffle ; le monde est constitué de « bons » et de « mauvais », tous dans le même cheminement ; un jour viendra, malgré tout, où le blé et la paille seront séparés...

      Le dernier jugement sera un jour remarquable : les saints et les pécheurs seront séparés pour toujours. Dans le ciel, les saints seront rassemblés, ils ne seront plus jamais disséminés ; ils seront en sécurité, loin de tout danger, séparés de leurs voisins corrompus et esclaves de leurs vaines convoitises.

      L'enfer est un feu inextinguible ; il sera certainement la « part » et la punition des hypocrites et des impies.

      La vie et la mort, le bien et le mal, sont placés devant nous : selon notre conduite ici-bas, « dans le champ », nous serons alors étendus sur « l'aire de battage ».

      Matthieu 12

      Matthieu 24

      Luc 11

      Luc 17

      Romains 1

      Romains 3

      Romains 4

      13 La promesse que Dieu fit à Abraham, au sujet de sa postérité, fut faite au patriarche longtemps avant l’établissement de la loi. Cette promesse « pointe » sur Christ, de manière prophétique, elle se réfère au texte de Ge 12:3 : « Toutes les familles de la terre seront bénies en toi ».

      La colère divine est corollaire à la loi, puisque cette dernière montre que chaque transgresseur est exposé au mécontentement divin. Dieu ayant voulu donner aux hommes l'accès aux bénédictions promises, a déterminé que ce serait seulement pour les croyants, par pure Grâce, afin que cette promesse soit certaine pour tous ceux qui avaient la même foi qu'Abraham, qu'ils soient Juifs ou Gentils, en tous temps.

      La justification et le salut des pécheurs, accordés aux Gentils, qui ne formaient pas en fait un « peuple élu », sont des manifestations pleines de Grâce, « qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles l’étaient », Genèse 4:17*. En constatant une existence aux choses qui n'étaient pas, nous avons là une preuve du Pouvoir tout-puissant de Dieu.

      Ce texte nous rappelle la nature et la puissance de la foi d'Abraham. Il a cru au témoignage de Dieu, et a cherché la réalisation de Sa promesse, espérant fermement alors que tout paraissait impossible. La faiblesse de la foi fait trébucher l’homme devant les difficultés d’accomplissement d'une promesse. Abraham prit l’engagement divin à la lettre, engagement qui n'admettait ni discussion, ni débat.

      L'incrédulité est à la base de tous nos doutes, face aux promesses divines. La force de la foi se manifeste dans sa victoire sur les craintes. Dieu honore la foi, cette dernière L’honorant !

      La foi a été imputée à justice à Abraham. C’est une grâce qui rend plus que tout, gloire à Dieu. Elle est clairement le moyen par lequel nous recevons la Justice divine et la rédemption en Jésus-Christ ; elle est « l'instrument » par lequel nous prenons ou nous recevons spirituellement, elle n’est pas un don.

      La foi d'Abraham ne l'a pas justifié devant Dieu suivant son propre mérite ou sa valeur, mais en lui donnant une « part » en Jésus-Christ.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Romains 9

      30 Les païens (les Gentils) ne connaissaient pas leur culpabilité et leur misère, relative à leurs péchés, ils ne se préoccupaient donc pas d'y apporter un quelconque remède. Ils ont cependant été justifiés par la foi. Non pas en devenant des prosélytes de la religion juive, en se soumettant à la loi, mais en acceptant Christ, en croyant en Lui, et en obéissant à l'Évangile.

      Les Juifs parlaient beaucoup de « justification » et de « sainteté », ils paraissaient être très fiers d'être le « peuple élu » de Dieu. Ils recherchaient Dieu d’une mauvaise manière, ils empruntaient le mauvais chemin, pas celui de l’humilité. Ils ne recherchaient pas la foi, ni l’acceptation de Christ, ni dépendance, ni soumission à l'Évangile. Ils s’attendaient à être justifiés en observant seulement les préceptes et les cérémonies de la loi de Moïse.

      Les Juifs incrédules disposaient d’une offre magnifique de justice, de vie et de salut, qui leur était proposée par l'Évangile : ils ne l'ont pas aimé, ni accepté.

      Avons-nous cherché à savoir comment être justifiés devant Dieu, en désirant la bénédiction, comme il est indiqué dans ce texte, par la foi en Christ, le Seigneur, notre Justice ? Dans l’affirmative, nous ne serons pas honteux au jour terrible, du Jugement, quand tous les « refuges » des mensonges seront balayés, et que la colère divine s’étendra jusqu’aux confins de tout lieu caché ; tous périront, sauf ceux que Dieu aura sauvés, par le sacrifice de Son propre Fils !

      Romains 10

      Galates 5

      Philippiens 3

      Hébreux 5

      Hébreux 11

      1

      Description de la nature et du pouvoir de la foi. (Hébreux 11:1-3)
      Cela est confirmé par divers exemples, depuis Abel jusqu'à Noé. (Hébreux 11:4-7)
      Exemple d’Abraham et de ses descendants. (Hébreux 11:8-19)
      De Jacob, Joseph, Moïse, des Israélites, et Rahab. (Hébreux 11:20-31)
      D'autres croyants de l'Ancien Testament. (Hébreux 11:32-38)
      La meilleure position des croyants, sous l'Évangile. (Hébreux 11:39,40)

      La foi a toujours été « la marque » des serviteurs de Dieu, dès les origines du monde.

      Là où le principe de la foi est inculqué dans le cœur humain, par la régénération de l'Esprit Saint, la Vérité et le principe de la Justification (par les souffrances et les mérites de Christ) sont reçus. Tout ce qui constitue notre espérance spirituelle fait l'objet de notre foi.

      La foi est une persuasion, une ferme et confiante attente de voir Dieu exécuter tout ce qu'Il nous a promis, en Christ. Cette persuasion permet à l'âme d'aimer immédiatement les vérités spirituelles ; ces dernières se manifestent au sein de cette âme, par les prémices et l’avant-goût de la félicité céleste.

      La foi prouve à l'esprit qui la reçoit, la réalité de ce qui ne peut être vu par l'œil corporel. C'est une approbation entière que tout ce que Dieu a révélé est saint, juste, et bon. Cette « vue par la foi » est retracée en de nombreux exemples de personnes d’époques antérieures, qui furent honorables selon les récits de la Parole de Dieu. La foi était le principe de leur sainte obéissance, de leurs services remarquables, et de leurs souffrances, dans la patience.

      La Bible décrit avec véracité l'origine de toutes choses ; nous devons La croire, ne pas discuter inutilement le récit de la création dans l'Écriture, avec certaines personnes, animées de vaines pensées. Tout ce que nous voyons, dans l’œuvre de la création, est porté à l'existence par la Parole de Dieu.

      1 Pierre 3

      2 Pierre 1

      1

      Cette deuxième épître de Pierre est manifestement la suite de la précédente. L'apôtre, ayant auparavant annoncé aux chrétiens les bénédictions que Dieu leur a réservées, exhorte ceux qui ont reçu ces dons précieux, à s'efforcer de croître dans la Grâce et la sanctification.

      L’apôtre met les chrétiens en garde contre la méchanceté des faux docteurs, des imposteurs et des moqueurs, en réfutant leurs fausses assertions, 2 Pierre 3:1-7 ; il expose pourquoi le grand jour du retour de Christ semble tarder pour certains, en décrivant la gravité de cet événement et ses terribles conséquences ; diverses exhortations sont ensuite données, relatives l'assiduité et la sainteté.

      * Exhortations à bénéficier librement des diverses grâces spirituelles, en plus de celle de la foi. (2 Pierre 1:1-11). L'apôtre pressent son décès. (2 Pierre 1:12-15) Pierre confirme la Vérité de l'Évangile, en ce qui concerne la présence de Christ lors du Jugement. (2 Pierre 1:16-21)

      2 Pierre 1:1-11 La foi unit le croyant à Christ ; elle en fait un être revivifié, elle purifie et transforme son cœur ; chaque croyant sincère est justifié par sa foi, au regard de Dieu. La foi amène la piété, et produit des effets que nulle autre grâce ne peut produire dans l’âme.

      En Christ demeure toute plénitude, le pardon, la Paix, la Grâce, la connaissance, et de nombreux principes spirituels ; tous ces éléments sont accordés par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Ces promesses sont faites à ceux qui sont « participants de la nature divine » ; elles nous pousseront à découvrir si nous sommes vraiment « renouvelés » spirituellement en profondeur ; convertissons toutes ces promesses en prières, par la grâce du Saint-Esprit, cette grâce qui transforme et qui purifie l’âme !

      Le croyant doit ajouter de la connaissance à sa vertu, pour croître dans toute la Vérité et la Volonté de Dieu. Nous devons ajouter à cette connaissance la modération, en ce qui concerne les vains attraits de ce monde ; ayons aussi de la patience, et une soumission joyeuse à la Volonté divine. La tribulation affermit la patience, grâce à laquelle nous portons toutes nos calamités et épreuves, en silence et en toute soumission.

      À la patience nous devons ajouter la piété : cette pensée inclut les saintes affections et dispositions que l'on trouve dans la véritable adoration de Dieu ; ayons une tendre affection pour tous nos frères chrétiens ; ils sont en fait enfants du même Père, serviteurs du même Maître, membres de la même famille, voyageurs vers le même pays, héritiers du même héritage.

      En conséquence, les chrétiens doivent œuvrer, afin d’atteindre le but de leur vocation et de leur élection, en croyant et en pratiquant le bien : ils pourront ainsi joindre tous leurs efforts et bénéficier pleinement de la Grâce et de la Miséricorde divines, de Celui qui les soutient et les empêche de chuter.

      Ceux qui se sont appliqués ici-bas dans l'exercice de la piété, connaîtront une entrée triomphante dans le Royaume éternel de Christ ; ils régneront avec Lui pour toujours ; le fait de pratiquer toute bonne œuvre ici-bas nous montre que nous sommes sur le chemin qui mène à l'entrée au ciel !

      2 Pierre 2

      2 Pierre 3

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