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Jacques 4.11

Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d'un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n'es pas observateur de la loi, mais tu en es juge.
Ne médisez pas les uns des autres, frères. Celui qui médit d’un frère ou qui juge son frère, médit de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’en es pas l’observateur, mais le juge.
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      Psaumes 140

      Matthieu 7

      1

      Christ blâme le jugement irréfléchi. (Matthieu 7:1-6)
      Encouragements à la prière. (Matthieu 7:7-11)
      Le chemin large et le chemin étroit. (Matthieu 7:12-14)
      Contre les faux prophètes. (Matthieu 7:15-20)
      Mettre la parole en pratique, et ne pas seulement l'écouter. (Matthieu 7:21-29)

      Nous devons nous juger nous-mêmes, et être juges de nos propres actes, par contre, n’appliquons pas nos critères de jugements personnels envers tous ceux qui nous entourent. Nous ne devons pas juger sans réfléchir, ni avoir d’opinion sur notre frère, dénuée de tout fondement. Nous ne devons pas être considérés comme le pire des personnages.

      Nous trouvons dans ce texte un reproche pertinent envers les personnes qui se querellent avec leurs frères, pour des broutilles, alors qu'elles commettent de bien plus grandes fautes. Certains péchés sont de la taille d’une paille, alors que d'autres ont celle d’une poutre ; certaines fautes ne sont qu’un moucheron, d'autres sont du gabarit d’un chameau.

      Ce texte ne dit pas qu'il y ait de petits péchés, même s’ils sont de la taille d’une paille, d’une poussière dans l'œil, ou d’un moucheron « piqué » dans la gorge ; tous sont douloureux et dangereux, et nous ne pouvons pas être à l'aise tant qu'ils ne sont pas chassés.

      Quand l'amour nous apprend à distinguer une paille ou une poussière dans l'œil de notre frère, la vraie repentance et le chagrin, inhérents à la piété, doivent nous montrer que nous avons une véritable poutre dans notre œil. Il est aussi étrange qu'un homme puisse se trouver dans une condition coupable et misérable, sans toutefois s’en rendre compte, que le fait qu'un autre puisse avoir une poutre dans son œil, sans s'en apercevoir : en fait, le dieu de ce monde aveugle les esprits.

      Ce texte donne une bonne règle pour les réprobateurs : « purifies-toi d'abord toi-même » !

      Luc 6

      37 Ce texte nous rapporte les paroles que Christ a souvent employées : elles sont simples à comprendre, et à mettre en pratique.

      Nous devons être très prudents quand nous blâmons les autres : en fait, nous avons besoin de nous condamner nous-mêmes... Si nous savons donner et être indulgents, nous en récolterons tous les bénéfices. Bien que ces derniers ne nous soient pas accordés en totalité ici-bas (nous serons récompensés aussi dans l’au-delà), la Providence doit cependant nous encourager à pratiquer le bien.

      Ceux qui suivent les autres pour faire le mal, empruntent le chemin « large », celui qui mène à la destruction. On reconnait un arbre à ses fruits ; la Parole de Christ est « greffée » dans notre cœur, afin que nous puissions produire du bon fruit en chaque occasion. Nos paroles sont généralement le reflet de ce qui est ancré dans notre cœur. Il n’y a que ceux qui vivent, qui parlent et qui agissent selon la Parole de Dieu, qui ne pourront assurer l’éternité à leur âme, auprès du Seigneur ; ils en tireront tous les bénéfices ici-bas, au temps de l'épreuve.

      Ceux qui s’attachent à la piété doivent fonder leur espérance sur Christ, le « Rocher des Âges », le véritable Fondement, qu'aucun homme ne peut offrir. Face à la mort et au jugement, ces âmes sont en sécurité, étant gardées par la Puissance de Christ, par la foi en Son salut ; ils ne périront jamais !

      Romains 2

      1

      Les Juifs ne peuvent être justifiés par la loi de Moïse ; pas plus que les Gentils ne peuvent l’être par les lois de ce monde. (Romains 2:1-16)
      Les péchés commis par les Juifs anéantissent leur vaine confiance dans leurs privilèges de « peuple élu ». (Romains 2:17-29)

      Les Juifs estimaient être un peuple saint, recevant leurs privilèges par droit de naissance, alors qu'ils n’étaient en fait, qu’ingrats, rebelles et injustes. Tous ceux qui agissent ainsi, quelle que soit leur origine ou leur époque, doivent se souvenir que Dieu les jugera d'après leur conduite véritable. Ce Jugement est si clair que les pécheurs doivent réagir, face à leurs iniquités. Dans chaque péché commis volontairement, il y a un mépris de la bonté divine.

      Bien qu’il y ait de nombreux et différents cas de désobéissance, tous jaillissent de la même mauvaise racine : le cœur du pécheur. Dans un véritable repentir, on doit trouver la haine de l'iniquité commise, on doit noter un changement, opéré par l'Esprit, qui dispose le cœur à choisir le bien et à repousser le mal. Ce changement révèle aussi l’état misérable qui régnait auparavant dans ce cœur. Ce grand changement, opéré par la repentance, est la véritable conversion, nécessaire pour chaque être humain. Le cheminement des pécheurs, avec leur cœur dur et impénitent, ne peut que les mener à la ruine. Leurs faits et gestes coupables sont exprimés avec force, dans le verset Romains 2:5 : « Tu t'amasses un trésor de colère ».

      Nous pouvons noter dans ce texte, la recherche d’obéissance à la loi, chez l’homme juste. Il s’agit d’une recherche de la pureté, dans laquelle sont rejetés tous agissements et ambitions relatifs aux attraits de ce monde. Par contre, dans la description de l'homme injuste, les contentions sont manifestes, elles sont à l’origine de tout mal.

      Le pécheur est en perpétuelle inimitié contre Dieu. Même les Gentils, qui ne disposaient pas de la loi mosaïque, se sont laissés plus ou moins diriger par les règles que leur imposait la nature. Leur conscience était en quelque sorte un témoin : tôt ou tard elle leur a rappelé leurs vaines pensées ; elle les a acquittés ou condamnés, selon leur respect ou leur mépris de la loi « écrite dans leur cœur ».

      Rien ne peut davantage terrifier les pécheurs, ni réconforter les saints, que de savoir que Christ sera le Juge. Les services accomplis pour Lui, en secret, seront alors récompensés, et les péchés les plus cachés seront mis en lumière...

      Romains 7

      7 Il n'y a pas d’autre moyen de parvenir à la connaissance du péché, essentielle à la repentance, à la paix du cœur et au pardon divin, qu'en éprouvant notre cœur et en vivant selon les préceptes de la loi divine.

      En ce qui concerne l'apôtre Paul, il n'aurait pas ressenti de culpabilité, au sujet de ses pensées, de ses motivations et de ses actes, si ce n'est par la loi de Dieu. Cette parfaite « référence morale » a montré combien son cœur et sa vie étaient imparfaits, prouvant par là que ses péchés étaient bien plus nombreux qu'il ne l'imaginait auparavant ; mais en même temps, la loi ne contenait pas la moindre notion de miséricorde ni de grâce, nécessaire à son soulagement...

      Celui qui ne perçoit pas avec empressement la nécessité, hors de portée par ses propres forces, d’être purifié de ses fautes, est ignorant de la nature humaine et de la perversité de son propre cœur. Nous pouvons percevoir ce sentiment chez nos enfants, bien que notre amour à leur égard puisse parfois nous aveugler à ce sujet.

      Plus un chrétien est humble et spirituel, plus il perçoit clairement ce que l'apôtre décrit dans ce texte, au sujet du véritable croyant, qu’il s’agisse de ses premières convictions de péché jusqu'à son plus grand progrès dans la Grâce, pendant son « séjour » ici-bas. Paul était jadis pharisien, ignorant la spiritualité de la loi, mais ayant cependant une certaine pureté de conduite, sans néanmoins connaître sa réelle dépravation intérieure. Quand les prescriptions de l’Évangile ont atteint sa conscience, par les convictions du Saint-Esprit, et qu'il a vu ce qui était demandé, il a constaté que sa nature, coupable du péché, s'élevait contre ces principes. Il ressentit à ce moment le mal occasionné par le péché et constata à quel point il était coupable, incapable d'accomplir la loi : il était pour ainsi dire, un criminel condamné.

      Mais bien que le mal, inhérent au cœur humain, produise malgré tout une certaine culpabilité, principalement par la prise de conscience des commandements de la loi, cette dernière est cependant sainte, juste et bonne. Elle est hostile au péché, qu'elle poursuit dans les confins du cœur ; elle le révèle et le blâme sous tous ses aspects. Tout ce qui peut paraître bon dans le cœur de l’homme est en fait perverti par sa nature corrompue et vicieuse.

      La même chaleur qui ramollit la cire, durcit l'argile ! Une mauvaise nourriture, ou un remède mal utilisé peuvent causer la mort, alors que par nature, ils servent à nourrir ou à guérir. La loi peut causer la mort, au travers de la dépravation humaine, mais c'est le péché qui en est le poison, étant à l’origine de cette triste fin. Ce n'est pas la loi, mais le péché, « démasqué » par cette dernière, qui a montré à l’apôtre, le chemin de la perdition.

      La mauvaise nature du péché (qui mène à la ruine), et la culpabilité du cœur humain, sont clairement montrés dans ce texte !

      Romains 14

      1 Corinthiens 4

      2 Corinthiens 12

      Ephésiens 4

      1 Timothée 3

      2 Timothée 3

      Tite 2

      Jacques 1

      22 Même si nous entendions une prédication chaque jour, fut-elle apportée par un ange, le fait d’uniquement l’écouter ne nous amènerait jamais au ciel. Ceux qui ne mettent pas en pratique la Parole, après l’avoir écoutée, se trompent eux-mêmes ; ils finiront par être victimes de la pire des supercheries...

      Si nous nous flattons nous-mêmes, c'est une faute ; la Vérité, telle que nous La trouvons en Jésus, ne flatte pas l'homme. Que la Parole de vérité soit étudiée avec soin, elle révèlera la corruption de notre nature, les désordres de notre cœur et de notre vie ; elle dévoilera pleinement ce que nous sommes réellement.

      Nos péchés sont « les taches » que la loi dénonce : le sang de Christ est « la purification » qu'expose l'Évangile. Si nous oublions quel est notre devoir spirituel à l’égard de la Parole, c’est dire La mettre en pratique au lieu de simplement L’écouter, c'est en vain que nous entendrons Son message, en examinant « le miroir » de l'Évangile ; en de tels cas, nous oublions « le remède spirituel », au lieu de l'appliquer. Tel est le cas de ceux qui n'écoutent pas la Parole comme ils le devraient. En accordant toute notre attention à la Parole, nous L'examinons pour saisir Ses conseils et directives, nous « alimentons » notre vie spirituelle.

      Ceux qui se confient dans la loi et la Parole de Dieu seront bénis dans toutes leurs voies. Leur récompense spirituelle suivra la paix et la consolation déjà présentes en leur cœur.

      Chaque révélation divine contenue dans la Parole, a son application : elle amène le pécheur à Christ, pour son salut, elle le dirige et l'encourage à marcher dans la liberté, par « l'Esprit d'adoption », d'après les saints commandements d Dieu.

      Nous devons avoir cette pensée : un homme n’est pas béni pour SES actions, mais DANS son action. Ce n'est pas en parlant, mais en marchant (spirituellement) que nous irons vers le ciel. Christ deviendra alors plus précieux pour l'âme du croyant, ce dernier devenant, par Sa Grâce, plus apte à bénir l'héritage des saints, dans la Lumière !

      Jacques 5

      1 Pierre 2

      1

      Recommandation au chrétien, né de nouveau : avoir une conduite conforme à sa vocation. (1 Pierre 2:1-10)
      Nécessité d’une bonne conduite parmi les Païens. (1 Pierre 2:11,12)
      Exhortations à l’obéissance envers les autorités civiles. (1 Pierre 2:13-17)
      Les serviteurs doivent obéir à leurs maîtres ; tous doivent être patients, selon l'exemple du Sauveur, Celui qui a souffert pour tous. (1 Pierre 2:18-25)

      La médisance révèle la méchanceté et l’hypocrisie qui règnent dans le cœur ; elle nous empêche de tirer un réel profit de la Parole de Dieu.

      Un enfant de Dieu a besoin d'une nourriture spirituelle qui lui soit adaptée. Les enfants désirent du lait, et font tous les efforts possibles pour en obtenir ; il doit en être de même pour les désirs d'un chrétien : être nourri par la Parole de Dieu.

      Notre Seigneur Jésus-Christ est très miséricordieux envers nous, pécheurs misérables ; Il offre toute plénitude en Sa Grâce. Même le meilleur des serviteurs de Dieu, ici-bas, n'a qu'un avant-goût des consolations de Dieu. Dans ce texte, Christ est appelé « la Pierre maîtresse », pour enseigner à Ses serviteurs qu'Il est leur protection et leur sécurité, le fondement sur lequel ils reposent.

      Christ est précieux, par l'excellence de Sa nature, la dignité de Sa fonction, et la gloire de Ses œuvres. Tous les véritables croyants sont de « saints sacerdoces », consacrés à Dieu, devant secourir leur prochain, et dotés de dons provenant du ciel et de la Grâce.

      Les sacrifices les plus spirituels, les meilleures prières et louanges, ne peuvent être acceptés par Dieu qu’au travers de Jésus-Christ. Ce Dernier est la « Pierre angulaire », qui unit la totalité des croyants dans un « temple éternel » ; cette Pierre porte le poids de la structure entière de l’édifice spirituel. Elle a été choisie, pour devenir un fondement éternel. Elle est plus précieuse que toute autre valeur. Être bâti « en Christ » signifie croire en lui ; mais hélas, beaucoup se trompent eux-mêmes, en ne réalisant pas la grandeur de Ses qualités divines, ni la nécessité qu'il y a de bénéficier du salut qu’Il nous offre.

      Même si la structure du monde se désagrégeait, l'homme qui repose sur ce « fondement spirituel » peut rester sans crainte, il ne sera jamais confus. Une âme pieuse se dirige invariablement vers Christ ; elle ne trouvera jamais de raison pour quitter le Seigneur.

      Tous les véritables chrétiens sont une « génération choisie ; » ils forment une famille spirituelle, un peuple distinct, séparé du monde : ils sont unis par le même esprit, les mêmes principes, et tiennent une conduite différente des impies ; jamais ils n'auraient pu être ainsi s'ils n'avaient pas été « choisis en Christ », sanctifiés par Son Esprit. Ils étaient auparavant dans un terrible état de ténèbres spirituelles, mais ils sont désormais appelés hors de cet abîme, dans la joie et l’abondance, afin qu'ils puissent clamer les louanges du Seigneur, en témoignant de la Vérité, par leur bonne conduite.

      Les enfants de Dieu ont de grandes obligations envers Celui qui a fait d'eux Son peuple, en leur prouvant Sa Miséricorde ! Ne pas bénéficier de cette Dernière est un véritable malheur, même si l’on disposait de tous les plaisirs du monde.

      Rien n'amène autant à la repentance qu’une reconnaissance sincère de la Miséricorde et de l'Amour de Dieu. Ne cherchons pas à abuser, ni affronter la Grâce de Dieu, si nous n’avons pas l'espoir d'être sauvés par Christ ; que tous ceux qui veulent être trouvés parmi ceux qui obtiennent Sa Miséricorde, marchent d’une manière digne de Son peuple !

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