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Jean 3.3

Jésus lui répondit : — Vraiment, je te l’assure : celui qui ne passe pas par une nouvelle naissance ne saurait voir le règne de Dieu. —
Jésus lui répondit : —Vraiment, je te l’assure : à moins de renaître d’en haut, personne ne peut voir le *royaume de Dieu.
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      Deutéronome 29

      Jérémie 5

      Matthieu 5

      Matthieu 13

      Matthieu 16

      Jean 1

      Jean 3

      Jean 12

      2 Corinthiens 1

      2 Corinthiens 4

      2 Corinthiens 5

      Galates 6

      Ephésiens 2

      1

      Richesse de la Grâce de Dieu envers les hommes, révélée à cause de l’état déplorable de leur nature ; l’heureux changement qu’Elle opère en eux. (Ephésiens 2:1-10)
      Les Éphésiens appelés à réfléchir sur leur triste état, qui frôlait le paganisme. (Ephésiens 2:11-13)
      Les privilèges et les bénédictions de l'Évangile. (Ephésiens 2:14-22)

      Le péché est la mort de l'âme. Un homme qui est mort dans ses offenses et ses péchés, ne recevra aucun bien-être spirituel.

      La vue d’un cadavre suscite en nous un sentiment d’horreur. L’esprit, toujours vivant, vient de quitter ce corps, en ne laissant que les « ruines » de ce dernier. Mais en étant vraiment réalistes, nous devrions être bien plus affectés par la mort d'une âme, par un esprit perdu.

      Un état de péché est conforme à celui du monde. Les hommes mauvais sont des esclaves de Satan. Celui-ci est à l’origine du cœur orgueilleux et charnel que l’on voit chez les impies ; en fait, Satan gouverne le cœur des hommes...

      Selon l'Écriture, il est clair que si les hommes se sont rapidement penchés vers la sensualité ou la méchanceté spirituelle, étant par nature des « enfants de désobéissance », ils sont aussi de ce fait, des « enfants de colère ». Les raisons qui peuvent alors pousser les pécheurs à vraiment rechercher la Grâce, qui seule, les transformera, « d'enfants de colère » en enfants de Dieu et héritiers de Sa Gloire, sont vraiment évidentes !

      L'Amour éternel de Dieu et Sa Volonté de sauver Ses créatures sont la source de toutes Sa Miséricorde envers nous ; il s’agit d’un Amour immense et d’une riche Miséricorde. Chaque pécheur converti est un pécheur sauvé, délivré du péché et du courroux divin. La Grâce qui sauve est entièrement gratuite et imméritée, c’est une faveur divine ; Elle sauve, non pas selon les œuvres de la loi, mais par la foi en Jésus-Christ. La Grâce représente pour l'âme une nouvelle vie. Un pécheur régénéré devient une « âme vivante » ; il vit désormais dans la sainteté, étant né de Dieu : il vit, étant délivré de la culpabilité de ses péchés, par la Grâce qui pardonne et qui justifie.

      Les pécheurs vaquent dans la dépravation de ce monde ; les âmes sanctifiées « résident » dans les lieux célestes, elles sont élevées au-dessus de ce monde, par la Grâce de Christ. La bonté divine, qui a converti et sauvé les pécheurs repentants, encourage les autres à espérer dans la Grâce et la Miséricorde. Notre foi, notre conversion, et notre salut éternel, ne proviennent pas des œuvres, afin que personne ne puisse s'en glorifier, afin que toute vantardise soit vaine.

      Tout salut provient du don gratuit de Dieu ; nous sommes « ramenés » à la vie par Son pouvoir. Tel était Son but, auquel Il nous a préparés, en nous bénissant, par la connaissance de Sa Volonté et de Son Esprit Saint ; cela opère un tel changement en nous, que nous devons glorifier verbalement le Seigneur, et persévérer dans la sainteté.

      Sur les bases de l'Écriture, nul ne peut contredire cette doctrine du salut, ni l'accuser faussement de nous conduire à nouveau vers le mal. Tous ceux qui font ainsi sont sans excuse.

      Tite 3

      Jacques 1

      Jacques 3

      1 Pierre 1

      1 Jean 2

      1 Jean 3

      1 Jean 5

      1

      L'amour fraternel est le résultat de la nouvelle naissance, il rend agréable, l'obéissance à tous les commandements de Dieu. (1 Jean 5:1-5)
      Référence aux témoins, unis pour attester que Jésus, le Fils de Dieu, est le véritable Messie. (1 Jean 5:6-8)
      La satisfaction que le croyant éprouve au sujet de Christ, à la vie éternelle dont il bénéficie en Lui. (1 Jean 5:9-12)
      L'assurance que Dieu écoute et répond à la prière. (1 Jean 5:13-17)
      La condition heureuse des véritables croyants, et une exhortation à renoncer à toute idolâtrie. (1 Jean 5:18-21)

      L’amour véritable envers les enfants de Dieu se distingue de l’affection naturelle ou de certaines estimes, car il est uni à l'amour de Dieu et associé à l'obéissance à Ses commandements.

      Le Saint-Esprit qui professe l'amour fraternel, enseigne également l'obéissance ; celui qui, par habitude, commet le péché ou néglige la pratique de ses devoirs, ne peut pas aimer véritablement les enfants de Dieu.

      Du fait que les commandements de Dieu sont justes et saints, étant également de bonnes « règles à observer » pour la liberté et la joie spirituelle, ceux qui sont « nés de nouveau » et qui les aiment, ne les trouvent pas pénibles, regrettant toutefois de ne pas pouvoir mieux servir le Seigneur. Être au service de Dieu exige le désintéressement de soi ; les véritables chrétiens appliquent des principes qui leur font surmonter l’épreuve. Bien que cette dernière soit parfois à l’origine d’un conflit intérieur acerbe, et que l’enfant de Dieu régénéré puisse chuter, il se relèvera et renouvellera son combat avec résolution.

      Tous, exceptés les croyants, sont asservis, d'une manière ou d'une autre, aux diverses coutumes, opinions, ou intérêts de ce monde. La foi est à l’origine de la victoire contre le monde, elle constitue le moyen, l'instrument, l'armure spirituelle par laquelle nous sommes vainqueurs. Dans la foi et par la foi, nous sommes unis à Christ, dans le mépris des vains attraits de ce monde. La foi sanctifie le cœur, et le purifie des convoitises sensuelles par lesquelles le monde attire les âmes et domine sur elles.

      L’homme dans lequel demeure l'Esprit de Grâce est plus grand que celui qui n’est attiré que par le monde. Le véritable chrétien est vainqueur du monde, par la foi ; il voit, par les différents exemples de la conduite du Seigneur Jésus ici-bas, qu'il faut renoncer à ce monde et qu'il faut chercher à le vaincre. Un enfant de Dieu ne peut pas se satisfaire du monde, mais il regarde au-delà, ne cherchant qu’à accéder au ciel. Nous devons tous, selon l'exemple de Christ, vaincre le monde, ou bien c'est ce dernier qui nous mènera à la ruine...

      18 Toute l'humanité est divisée en deux parties, chacune dépendant d’une autorité particulière : ceux qui appartiennent à Dieu et ceux qui appartiennent au malin (au méchant).

      Les véritables croyants appartiennent à Dieu : ils sont DE Dieu, viennent DE lui, vont À lui et POUR lui ; alors que les autres, formant hélas de loin le plus grand nombre, sont sous le pouvoir du malin ; ils accomplissent ses œuvres et supportent sa cause. Cette dernière catégorie de personnes inclut tous les non-croyants, quels que soient leur profession, leur fonction, leur situation, ou leur titre.

      Le Fils (Christ) conduit les croyants au Père : ceux-ci bénéficient ainsi de leur Amour, de leur faveur et de leur unité, par le Saint-Esprit qui demeure et agit en toute âme.

      Heureux ceux qui savent que le Fils de Dieu est venu ici-bas, et qui placent leur confiance en Lui, la Vérité ! Puissent ces pensées être pour nous un véritable privilège : nous serons ainsi gardés de tout penchant vers les idoles, vers les fausses doctrines et des vains attraits du monde ; nous serons gardés par la puissance de Dieu, par la foi, jusqu'au salut éternel.

      Qu'à ce Dieu vivant et véritable, soit la gloire et la puissance pour l'éternité. Amen !

      Apocalypse 3

      14 Laodicée était la dernière et la plus fautive des sept églises d'Asie. Dans ce texte, notre Seigneur Jésus se nomme lui-même « l'Amen », Celui qui est immuable et qui accomplit inéluctablement Ses desseins et Ses promesses. Christ attend des hommes qu'ils soient également immuables quant à leur conduite : combien de professeurs de la doctrine de l'évangile sont en effet ni froids, ni bouillants ; parfois, peut-être, restent-ils indifférents, face aux affaires importantes, et cependant, ardents et fervents dans les moindres !

      Une sévère punition est prononcée à l’encontre de cette église : ses membres donnent une fausse opinion de la chrétienté, laissant penser qu’il s’agit d’une religion profane ; par ce témoignage, certains pourraient conclure que le christianisme ne peut offrir de réelle satisfaction, sinon ses dirigeants n'auraient pas été si intransigeants, ou si prompts à rechercher le plaisir ou le bonheur dans le monde.

      L'autosuffisance est une des causes de cette tiédeur et de cette inconsistance de la religion : « parce que tu dis ». Quelle différence entre l’opinion de ces chrétiens sur eux-mêmes, et ce que pensait Christ à leur égard !

      Combien devrions-nous être prudents, afin de ne pas « abuser » notre âme ! En enfer, beaucoup de personnes pensaient être pourtant bien avancées sur le chemin du ciel... Implorons Dieu pour que nous ne puissions pas être séduits ni trompés par nous-mêmes ! Ceux qui enseignent la religion tombent facilement dans l'orgueil, devenant par là même charnels et conformistes.

      Dans cette église de Laodicée, les dirigeants étaient vraiment dans un état misérable : ils étaient pauvres, vraiment pauvres, alors qu'ils pensaient être riches ! Ils étaient incapables de discerner leur propre état, ni leur chemin, ni le danger qu’il pouvait encourir, cependant ils pensaient « voir ». Ils n'étaient pas parés de la justification, ni de la sanctification : ils étaient exposés au péché et à la honte ; leurs « haillons » les souillaient. Ils étaient pratiquement nus, sans maison ni abri, parce qu'ils étaient « sans Dieu », le Seul qui puisse donner repos et sécurité à l'âme.

      Christ donna une bonne recommandation à ces chrétiens coupables : heureux ceux qui suivent ce conseil, car tous les autres périront dans leurs péchés. Christ leur permet de savoir où se trouvent les vraies richesses, et comment ils peuvent les posséder. En fait, dans cette église, certaines valeurs, non capitales, devaient être abandonnées, afin de « faire place » aux véritables richesses : elle devait renoncer au péché et à sa confiance en elle-même, afin de pouvoir être remplie du « trésor caché » de Christ. Elle devait recevoir de ce Dernier, le vêtement blanc qu'Il avait acheté et qu'Il tenait à sa disposition, Sa propre Justice pour la justification, et Ses vêtements de sainteté pour la sanctification. L’assemblée de Laodicée devait se référer à la Parole de Dieu et à l’Esprit, afin que ses yeux puissent s’ouvrir et discerner le chemin qu’elle devait emprunter, et la fin qui lui était réservée.

      Examinons-nous nous-mêmes, selon la Parole de Dieu, et prions avec ferveur pour connaître l'enseignement du Saint-Esprit, afin que disparaissent notre fierté, nos préjugés, et nos convoitises du monde. Les pécheurs doivent prendre les réprimandes de la Parole de Dieu et Sa verge, comme les signes révélateurs de Son amour envers nos âmes.

      Christ se tient à la porte : Il frappe, par les bienfaits de Sa Providence, par les avertissements et l'enseignement de Sa Parole, et par l’influence de Son Esprit. Christ, dans Sa Grâce, se tient à la « porte » du cœur des pécheurs, par Sa Parole et Son Esprit. Ceux qui Lui ouvrent auront le bonheur de pouvoir jouir de Sa présence. Si ce qu'Il trouve chez cette âme, ne peut constituer qu'un maigre repas, ce qu'Il apporte, en revanche, sera l’objet d’un riche festin ! Le Seigneur apportera la fraîcheur de Sa Grâce et de Sa Consolation.

      Dans la conclusion de cette lettre à Laodicée, nous trouvons une promesse pour le croyant, celui qui est « vainqueur ». Christ subit Lui-même des tentations et des conflits : Il les a tous vaincus, devenant ainsi plus qu'un Conquérant ! Ceux qui sont rendus semblables à Christ, dans Ses épreuves, seront rendus semblables à Lui, en Gloire !

      Le chapitre se termine par un appel à la vigilance : ces différents conseils, convenant parfaitement aux églises auxquelles ils ont été adressés, sont très instructifs pour nous tous !

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