Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Matthieu 10.2

Voici les noms des douze *apôtres : d’abord, *Simon appelé Pierre puis André son frère ; *Jacques, fils de Zébédée, et Jean son frère ;
Or, voici les noms des douze apôtres : le premier est Simon, nommé Pierre, et André, son frère ; Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère ;
τῶν δὲ δώδεκα ἀποστόλων τὰ ὀνόματά ἐστιν ταῦτα· πρῶτος Σίμων ὁ λεγόμενος Πέτρος καὶ Ἀνδρέας ὁ ἀδελφὸς αὐτοῦ, Ἰάκωβος ὁ τοῦ Ζεβεδαίου καὶ Ἰωάννης ὁ ἀδελφὸς αὐτοῦ,
  • versets sélectionnés
  • Vidéos et messages relatifs
  • Commentaires bibliques
  • Hébreu / Grec
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Favoris
  • Partager

    • Matthieu 4

      18 Lorsque Christ a commencé à prêcher, Il rassembla d’abord des disciples qui, au début, ne devaient être que des auditeurs, mais ensuite ils allaient être les prédicateurs de Sa doctrine, tout en étant les témoins de Ses miracles, attestant tout cela.

      Au début de son ministère, Jésus ne se rendit pas à la cour d'Hérode, ni à Jérusalem, parmi les principaux sacrificateurs et les anciens, mais il se dirigea vers la mer de Galilée, parmi les pêcheurs. La même puissance, qui a appelé Pierre et André, aurait pu, de la même façon agir sur Anne et Caïphe, car pour Dieu rien n'est impossible !

      Christ a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages. La diligence à pratiquer une honnête vocation, plait à Christ, cela n’est pas une entrave à une vie sainte. Les personnes oisives sont plus exposées aux tentations de Satan qu'aux appels de Dieu. Quelle joie et quelle satisfaction, de voir des enfants, prendre soin de leurs parents âgés, ils sont vraiment conscients de leurs devoirs !

      Lorsque Christ s’approche de nous, il est bon qu’il nous trouve en pleine occupation. Suis-je en Christ ? C’est une question personnelle qu'il nous faut nous poser ; est-ce j’accomplis ma vocation ?

      Ces hommes, choisis par le Seigneur, Le suivaient comme de simples disciples, Jean 1:37 ; à présent, ils devaient confirmer ce pourquoi ils avaient été appelés.

      Ceux qui veulent suivre Christ correctement, doivent, à Son ordre, laisser toutes choses pour Le suivre, étant prêts à y renoncer.

      Cet exemple de la Puissance du Seigneur Jésus nous encourage à dépendre de Sa Grâce. Il parle, et l'ordre est exécuté !

      Matthieu 10

      Matthieu 16

      Matthieu 17

      1

      La transfiguration de Christ. (Matthieu 17:1-13)
      Jésus chasse un démon d'un enfant. (Matthieu 17:14-21)
      Il prédit encore Ses souffrances. (Matthieu 17:22,23)
      Il réalise un miracle pour payer le tribut. (Matthieu 17:24-27)

      Nous voyons dans ce texte, les disciples apercevant une « facette » de la gloire de Christ, le Fils unique du Père. Le but de cette vision était d’affermir leur foi, avant qu’ils ne soient témoins de la crucifixion de Jésus ; cela devait également donner aux disciples un aperçu de la gloire qui devait les attendre, une fois transformés par la Puissance du Seigneur, en conformité à Sa ressemblance.

      Les apôtres furent éblouis par cette vision glorieuse. Pierre pensa qu'il valait mieux continuer à séjourner dans cette atmosphère merveilleuse, plutôt que d’être confronté à ses futures souffrances, dont il était si peu disposé à entendre le le détail. En fait, l’apôtre ne savait pas réellement ce qu'il disait.

      Nous nous méprenons, si nous cherchons le « merveilleux » de l’environnement céleste, ici-bas. Quelles que soient les habitations que nous cherchons à dresser pour nous-mêmes en ce monde, nous devons toujours garder à l’esprit qu’il nous faut d’abord demander, à ce sujet, l’aval de Christ.

      Lors de ce récit de la transfiguration, le sacrifice de Jésus sur la croix n’avait pas encore eu lieu, sacrifice sans lequel les âmes coupables n'auraient pu être sauvées ; d'importantes tâches allaient bientôt être accomplies dans le ministère qui attendait Pierre et ses frères. Pendant que l’apôtre parlait, une nuée lumineuse les couvrit, emblème de la présence et de la gloire divine.

      Depuis que l'homme a péché et a entendu la colère de Dieu dans le jardin d’Éden, les apparitions divines exceptionnelles allaient être désormais terrifiantes : les disciples tombèrent sur leur face, jusqu'à ce que Jésus les encourage ; une fois cette vision disparue, ils regardèrent autour d'eux, et ne virent alors que leur Seigneur, comme à l’accoutumée.

      Quand nous cheminons, par l’Esprit, vers la gloire céleste, nous pouvons être sujets à diverses expériences spirituelles ; mais quand nous « revenons » ici-bas, notre souci doit être de nous faire accompagner par Christ : Sa présence pourra alors vraiment nous réconforter !

      Matthieu 20

      20 Les fils de Zébédée interprétèrent mal ce que Christ avait dit précédemment, pour consoler les disciples.

      Quand certaines personnes ne peuvent pas recevoir de consolations, elles projettent de mauvais desseins. L’orgueil est l'un des sentiments qui nous assaille le plus facilement ; c'est une ambition coupable que de vouloir surpasser les autres en prestige et en grandeur.

      Pour supprimer toute vanité et ambition de la demande, faite par la mère des fils de Zébédée, Christ amène ces derniers à songer aux souffrances futures qu’ils allaient devoir endurer : ils devaient boire une « coupe amère » ; une coupe de souffrances, mais autre que celle qui doit détruire plus tard le méchant. Elle ne devait être que passagère, mais néanmoins acerbe ; cette coupe allait être dans la main du Père, Jean 18:11.

      Le baptême est une ordonnance par laquelle nous sommes « joints » au Seigneur, dans Sa communion, selon Ses Promesses ; cela équivaut à « souffrir » pour Christ, Eze 20:37;Esa 48:10. Le baptême est aussi un témoignage, il est le signe bien visible de la Grâce spirituelle : c'est donc pour souffrir pour Christ que cette Grâce nous a été donnée Philippiens 1:29.

      Les fils de Zébédée ne savaient pas ce qu’était la « coupe » que Christ devait boire, ni ce que représentait Son baptême. Il est fréquent de voir des personnes vraiment confiantes envers le Seigneur, mais étant en même temps les moins informées sur les souffrances qu’Il dut subir à la croix.

      Rien ne produit plus de dégâts parmi les frères d’une assemblée qu'un désir de grandeur. Nous n’avons jamais vu dans l’Écriture, les disciples de Christ vraiment se quereller, par contre un désir de « grandeur mutuelle » résidait au fond de leur cœur.

      L’homme qui œuvre pour le Seigneur avec beaucoup de diligence, qui souffre patiemment pour Lui, qui cherche à faire du bien à ses frères et qui recherche le salut des âmes, est celui qui est le plus ressemblant à son Maître : il sera le plus honoré durant toute l’éternité.

      Notre Seigneur parle de Sa mort en des termes relatifs aux sacrifices de jadis. Son sacrifice a été effectué pour effacer les péchés des hommes : il est véritable et substantiel, bien plus que ceux exécutés sous la dispensation de la loi. Christ a été la « Rançon » pour beaucoup d’âmes, suffisante et efficace pour tous ceux qui L’acceptent pour leur salut. S'il en est ainsi, le pauvre pécheur tremblant peut dire : pourquoi ne pourrais-je pas alors en bénéficier ?

      Matthieu 26

      Marc 1

      29 Quel que soit le lieu où le Seigneur se présente, Il vient pour accomplir le bien. Il nous guérit, afin qu’en retour, nous puissions Le servir, et nous consacrer à tous ceux qui lui appartiennent.

      Bon nombre de personnes sont absentes des réunions d’église, pour différentes raisons, comme la maladie ou autres obstacles : elles peuvent néanmoins s'attendre à la présence pleine de Grâce du Sauveur, qui apaisera leurs peines et leur tristesse.

      Il faut remarquer le grand nombre de malades guéris par Jésus ! Le fait de voir certains, progresser vraiment avec Christ, devrait nous pousser à Le rechercher.

      Christ se retirait tôt le matin, pour prier dans un lieu désert : bien qu'il soit impossible qu’Il succombe à la distraction ou à la tentation d'une vaine gloire, Il s’isolait. Ceux qui consacrent beaucoup de temps pour les autres, doivent cependant quelquefois, rester seuls avec Dieu...

      Marc 3

      Marc 13

      Luc 5

      Luc 6

      Luc 9

      10 Les foules suivaient Jésus, et bien que tous soient venus à un moment peu propice, Il leur a cependant donné ce qu’ils désiraient : Il leur a parlé du Royaume de Dieu. Jésus guérit aussi les malades et avec cinq pains et deux poissons, Il nourrit cinq mille hommes ! Il ne voulait pas que ceux qui Le respectaient et qui Le servaient fidèlement, manquent de quoi que ce soit.

      Lorsque nous recevons des bénédictions matérielles qui nous réconfortent, nous devons reconnaître qu’elles proviennent de Dieu ; par nature, nous sommes d’ailleurs indignes de les recevoir ; en réalité, nous devons à Dieu tout ce que nous avons, avec la joie que cela peut procurer : cela ne s’opère que par la médiation de Christ, Celui qui nous a préservés de la malédiction divine.

      Comme ce texte le montre, le peu de nourriture dont disposaient les disciples au départ, s’est transformé en abondance. Christ comble toute âme affamée, et la satisfait abondamment. Après que tous eurent mangé, il en est resté : dans la maison de notre Père, se trouve suffisamment de pain spirituel, et il en reste même après que chacun soit nourri ! « En Christ », nous ne sommes ni rationnés ni limités !

      Luc 11

      Luc 22

      Jean 1

      Jean 6

      Jean 12

      Jean 13

      Jean 20

      Jean 21

      20 Les souffrances, les douleurs, et la mort, peuvent ébranler le chrétien le plus ferme ; mais avec l'espérance qui l’anime en vue de glorifier Dieu, il laisse le monde dans sa culpabilité et ne désire qu’être présent spirituellement avec son Seigneur, il devient prêt à obéir à l'appel du Rédempteur, à Le suivre à travers la mort pour Le glorifier.

      Christ désire que Ses disciples s’appliquent à accomplir leur devoir, sans chercher, par curiosité, à connaître les événements futurs, que ces derniers les concernent ou non. Nous avons tendance à nous inquiéter rapidement au sujet de problèmes mineurs. Les affaires des autres ne nous concernent pas, nous ne devons pas nous en mêler ; consacrons nous plutôt à notre travail, l’esprit en paix.

      On se pose beaucoup de questions au sujet de Dieu et du monde invisible ; nous avons tendance à nous demander : « qu'en sera-t-il de nous » ? Si nous nous appliquons à faire notre devoir convenablement, tout en suivant Christ, nous n’aurons pas le cœur, ni ne trouverons le temps de nous préoccuper de ce qui ne nous appartient pas.

      Combien sont fragiles toutes les traditions de ce monde ! Puissions-nous interpréter correctement l'Écriture : Son évidence se démontre dans une grande mesure par Elle-même, Elle est la Lumière !

      Il est facile de commettre des erreurs dans l’interprétation des paroles de Christ. Cependant Son langage est le canal le plus sûr pour manifester la Vérité ; ce sont Ses paroles que le Saint-Esprit enseigne, 1Corinthiens 2:13.

      Ceux qui contestent en permanence les directives de ce monde, devraient plutôt chercher à se soumettre aux ordonnances qu’offre l'Écriture, et essayer à s'aimer les uns les autres !

      Actes 1

      Actes 3

      1

      Un boiteux est guéri par Pierre et Jean. (Actes 3:1-11)
      Pierre s'adresse aux Juifs. (Actes 3:12-26)

      Les apôtres et les premiers croyants adoraient Dieu, au temple, aux heures de la prière. Pierre et Jean semblent avoir été conduits par la Providence divine, pour opérer ce miracle sur un homme âgé de plus de quarante ans, estropié de naissance. Pierre, au Nom de Jésus de Nazareth, demanda à cet infirme de se lever et de marcher, ce qu’il fit !

      Si nous nous fixons ainsi comme but, de « guérir » les âmes, nous devons agir au Nom de Jésus-Christ, par Son pouvoir, afin d’appeler les pécheurs désemparés à se lever et marcher dans le chemin de la sainteté, par la foi en ce Sauveur. Qu’il est doux pour notre âme de savoir que malgré les pauvres facultés de notre nature si corrompue, le Nom de Jésus-Christ de Nazareth peut nous remettre sur pieds !

      Avec quelle joie et quel ravissement nous foulerons les « parvis de la sainteté », lorsque Dieu, l'Esprit, nous y fera entrer par Sa Puissance !

      Actes 12

      1 Corinthiens 15

      Ephésiens 4

      Hébreux 3

      1

      La valeur, la dignité et la supériorité de Christ par rapport à Moïse sont démontrées dans ce texte. (\\# 1-6\\)
      Les Hébreux sont prévenus du péché et du danger de l'incrédulité. (\\# 7-13\\)
      La nécessité de croire en Christ, et de Le suivre avec assiduité. (\\# 14-19\\)

      Christ est considéré dans ce texte comme « l'Apôtre de notre profession de foi », le « Messager », envoyé par Dieu aux hommes, le grand « Révélateur » de cette foi que nous professons avoir, et de cette espérance que nous déclarons posséder. Christ, le Messie, a été oint aussi bien pour la fonction d'Apôtre que pour celle de Souverain Sacrificateur. Jésus est notre Sauveur, Celui qui nous guérit de nos fautes, le grand Médecin des âmes !

      Considérez-Le ainsi ! Considérons ce qu'Il est en lui-même, ce qu'Il est pour nous, et ce qu'Il sera plus tard et à jamais ! Quand nous méditons sérieusement sur la personne de Christ, nous sommes amenés à mieux Le connaître, et à l’aimer.

      Les Juifs avaient une haute opinion de la fidélité de Moïse, mais celui-ci n’était cependant qu'une « image de Christ ». Christ est le Maître de la maison décrite dans ce texte, le Maître de Son Église, de Son peuple ; Il en est le « Constructeur ». Moïse était un serviteur fidèle ; Christ, en tant que Fils éternel de Dieu, est le « Propriétaire » légitime de cette « maison spirituelle », le Dirigeant souverain de l'Église.

      Il ne suffit pas d’emprunter fidèlement les voies que Christ nous a tracées, il faut aussi les suivre avec persévérance, et ce, jusqu'à la fin. Toute méditation sur Sa personne et Son salut, nous conduira vers la Sagesse, et nous aurons de nouveaux motifs pour L'aimer, Lui accorder notre confiance et Lui obéir !

      1 Pierre 1

      1

      Nous trouvons dans ces épîtres de Pierre les mêmes grandes doctrines que dans celles de l’apôtre Paul ; elles s’appliquent aux mêmes buts pratiques.

      Ces épîtres sont remarquables par la douceur, la gentillesse, et l'humble amour qui s’en dégagent. Elles résument clairement et succinctement les éléments suivants : des consolations et des directives nécessaires à l'encouragement et la conduite d'un chrétien dans son cheminement vers la patrie céleste, élevant ses pensées et ses désirs vers cette félicité qui l’attend, en le fortifiant contre toute opposition, corruption, tentation et affliction qui le guettent.

      * L'apôtre Pierre bénit Dieu pour ses bienfaits, à travers Christ. (1 Pierre 1:1-9) Le salut par Christ a été prédit dès les premières prophéties. (1 Pierre 1:10-12) Tous sont exhortés à suivre une sainte conduite ; (1 Pierre 1:13-16) Que la Sainteté se retrouve dans leur cheminement, leurs privilèges, et leurs obligations. (1 Pierre 1:17-25)

      1 Pierre 1:1-9 Cette épître de Pierre s’adresse en principe aux croyants, étant généralement de véritables « étrangers » en chaque ville ou pays, disséminés dans toutes les nations.

      Ces chrétiens doivent attribuer leur salut à l'Amour du Père envers Ses « élus », à la Rédemption du Fils, et à la Sanctification du Saint-Esprit ; ils peuvent ainsi rendre gloire à un Dieu trinitaire, en lequel ils ont été baptisés.

      L'espoir, selon l’esprit du monde, se réfère seulement à ce qui est incertain : tous les espoirs ici-bas sont en effet chancelants, bâtis sur le sable ; l'espérance céleste, aux yeux du monde, est une conjecture aveugle et sans fondement. Mais l'espérance des enfants de Dieu est vivante ! Non seulement dans son essence, mais également quant à ses effets. Cette espérance anime et console dans toutes les détresses, permettant de franchir toutes les difficultés.

      La Miséricorde divine est à l’origine de toute espérance céleste, une Miséricorde sans limites. La solide conviction du salut est un principe actif et vivant dans l'âme du croyant.

      La joie qui anime tout chrétien, provient de la connaissance de la félicité céleste qui lui est réservée. Cette joie est incorruptible et ne peut disparaître. Ne pouvant être souillée, elle reste pure et parfaite. Elle ne peut se flétrir, elle demeure constante, malgré tous les aléas possibles.

      Tous les biens ici-bas sont entachés de défauts et perfectibles ; les propriétaires de belles demeures sont en perpétuel souci de se faire dérober ce qu’ils possèdent ; le luxe et le confort sont trop souvent à l’origine de troubles de santé. Les riches propriétés sont souvent entachées par le péché, à la fois pour les obtenir, comme pour les habiter.

      Sommes-nous prêts à nous détourner de ce que nous possédons, étant persuadés qu’il s’agit parfois d’objets sans utilité réelle, qui peuvent, par leur emploi, nous priver de certaines libertés ou de joie... Les possessions du monde sont incertaines et éphémères, semblables aux fleurs des champs. Ce qui est conservé dans le ciel a infiniment plus de valeur.

      Bienheureux ceux dont le cœur est assuré, par le Saint-Esprit, de recevoir un « héritage céleste » ! Dieu n’accorde pas seulement la Grâce à Son peuple, mais Il préserve ce dernier, pour qu’il connaisse Sa gloire.

      Chaque croyant a toujours un sujet pour lequel il peut grandement se réjouir ; il doit témoigner de son appartenance spirituelle par sa conduite. Le Seigneur n'afflige pas par plaisir, mais cependant, Son amour et Sa Sagesse permettent que Ses enfants subissent des épreuves « tranchantes », pour leur bien final.

      La qualité de l'or n'augmente pas par l'épreuve du feu, en fait, elle diminue ; la foi, quant à elle, est affermie par l’épreuve, et les afflictions. L'or finira par disparaître, et ne peut permettre d’acquérir que ce qui est périssable, alors que l'épreuve de la foi permettra de louer, d'honorer, et de glorifier le Seigneur !

      Que ces pensées nous aident à supporter les présentes afflictions ! Portons notre regard vers l'excellence de Christ, et vers Son amour pour nous ; cela vivifiera en notre cœur le « feu spirituel », qui s'élèvera dans un sacrifice d'amour envers Lui ! La gloire de Dieu et notre bonheur spirituel sont tellement unis, que la recherche sincère d’un de ces éléments, nous conduira à l’autre, quand notre âme, par notre nature, ne sera plus assujettie au mal. La certitude d’une telle espérance est perçue par les croyants, comme déjà acquise !

      2 Pierre 1

      1

      Cette deuxième épître de Pierre est manifestement la suite de la précédente. L'apôtre, ayant auparavant annoncé aux chrétiens les bénédictions que Dieu leur a réservées, exhorte ceux qui ont reçu ces dons précieux, à s'efforcer de croître dans la Grâce et la sanctification.

      L’apôtre met les chrétiens en garde contre la méchanceté des faux docteurs, des imposteurs et des moqueurs, en réfutant leurs fausses assertions, 2 Pierre 3:1-7 ; il expose pourquoi le grand jour du retour de Christ semble tarder pour certains, en décrivant la gravité de cet événement et ses terribles conséquences ; diverses exhortations sont ensuite données, relatives l'assiduité et la sainteté.

      * Exhortations à bénéficier librement des diverses grâces spirituelles, en plus de celle de la foi. (2 Pierre 1:1-11). L'apôtre pressent son décès. (2 Pierre 1:12-15) Pierre confirme la Vérité de l'Évangile, en ce qui concerne la présence de Christ lors du Jugement. (2 Pierre 1:16-21)

      2 Pierre 1:1-11 La foi unit le croyant à Christ ; elle en fait un être revivifié, elle purifie et transforme son cœur ; chaque croyant sincère est justifié par sa foi, au regard de Dieu. La foi amène la piété, et produit des effets que nulle autre grâce ne peut produire dans l’âme.

      En Christ demeure toute plénitude, le pardon, la Paix, la Grâce, la connaissance, et de nombreux principes spirituels ; tous ces éléments sont accordés par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Ces promesses sont faites à ceux qui sont « participants de la nature divine » ; elles nous pousseront à découvrir si nous sommes vraiment « renouvelés » spirituellement en profondeur ; convertissons toutes ces promesses en prières, par la grâce du Saint-Esprit, cette grâce qui transforme et qui purifie l’âme !

      Le croyant doit ajouter de la connaissance à sa vertu, pour croître dans toute la Vérité et la Volonté de Dieu. Nous devons ajouter à cette connaissance la modération, en ce qui concerne les vains attraits de ce monde ; ayons aussi de la patience, et une soumission joyeuse à la Volonté divine. La tribulation affermit la patience, grâce à laquelle nous portons toutes nos calamités et épreuves, en silence et en toute soumission.

      À la patience nous devons ajouter la piété : cette pensée inclut les saintes affections et dispositions que l'on trouve dans la véritable adoration de Dieu ; ayons une tendre affection pour tous nos frères chrétiens ; ils sont en fait enfants du même Père, serviteurs du même Maître, membres de la même famille, voyageurs vers le même pays, héritiers du même héritage.

      En conséquence, les chrétiens doivent œuvrer, afin d’atteindre le but de leur vocation et de leur élection, en croyant et en pratiquant le bien : ils pourront ainsi joindre tous leurs efforts et bénéficier pleinement de la Grâce et de la Miséricorde divines, de Celui qui les soutient et les empêche de chuter.

      Ceux qui se sont appliqués ici-bas dans l'exercice de la piété, connaîtront une entrée triomphante dans le Royaume éternel de Christ ; ils régneront avec Lui pour toujours ; le fait de pratiquer toute bonne œuvre ici-bas nous montre que nous sommes sur le chemin qui mène à l'entrée au ciel !

      1 Jean 1

      2 Jean 1

      1

      Cette deuxième épître est en quelque sorte un résumé de la première ; elle aborde en peu de termes, pratiquement les mêmes points.

      Dans ce texte, la « Dame élue » est citée en référence pour l'éducation vertueuse et religieuse donnée à ses enfants ; elle est exhortée à demeurer dans la doctrine de Christ, à persévérer dans la vérité, et à éviter avec soin les vains enseignements des faux docteurs. Mais l'apôtre l'implore avant tout, pour qu’elle pratique ces grands commandements, qui concernent l'amour et la charité chrétienne.

      * L'apôtre salue la Dame élue et ses enfants. (2 Jean 1:1-3) Il exprime sa joie, au vu de leur foi et leur amour. (2 Jean 1:4-6) Il les met en garde contre les faux docteurs. (2 Jean 1:7-11) Conclusion de l’épitre. (2 Jean 1:12,13)

      2 Jean 1:1-3 La piété permet d’offrir des compliments sincères, au moyen de véritables expressions de respect et d'amour. Celui qui sert le Seigneur depuis de nombreuses années est une personne honorable ; un responsable spirituel l'est encore plus.

      Cette deuxième lettre de l’apôtre est adressée à une mère respectable, d’origine chrétienne, et à ses enfants ; il est bon que l'Évangile soit également diffusé de cette manière, en étant adressé à de vénérables personnes.

      Les familles doivent être encouragées et exhortées à pratiquer leurs devoirs familiaux, dans l’amour. Ceux qui aiment la vérité et la piété doivent aimer constater ces mêmes sentiments chez les autres ; cette dame « Kyria, l’élue », était estimée non pas pour son rang, mais pour sa sainteté. Là où la piété demeure vraiment, elle y séjourne pour toujours !

      L'apôtre implore Dieu le Père et Son Fils, d'accorder la grâce, la faveur divine, la miséricorde, sources de toutes bénédictions. C'est en effet une grâce que toute bénédiction spirituelle puisse être accordée à des mortels coupables. Il en est ainsi pour la Miséricorde, la libre amnistie et le pardon céleste ; ceux qui sont déjà riches dans la Grâce, ont cependant besoin d'un pardon continuel.

      Quelle bénédiction en effet de vivre dans la paix, en toute tranquillité d'esprit, avec une conscience pure, étant réconciliés avec Dieu, dans la prospérité : tous ces éléments sont joints à la Vérité et à l’Amour de ce Dernier.

      3 Jean 1

      1

      Cette épître est adressée à un païen récemment converti. Son objet est de lui recommander la fermeté dans la foi et l’hospitalité, spécialement envers ceux qui servent Christ.

      L'apôtre félicite Gaïus pour sa piété et son hospitalité. (3Jean 1:1-8)
      Il le met en garde contre Diotrèphe, loin d’être irréprochable ; mais il lui recommande de fréquenter Démétrius, un homme excellent. (3Jean 1:9-12)
      Il espère voir bientôt Gaïus. (3Jean 1:13,14)

      Les bien-aimés EN Christ doivent manifester de l’amour fraternel, au Nom du Seigneur.

      La prospérité de l'âme est la plus grande bénédiction ici-bas. La Grâce et la santé sont également de merveilleux attributs : une âme spirituellement riche peut résider dans un corps affaibli ou diminué ; la Grâce s’exerce alors en s’adaptant pleinement à une telle situation.

      Nous pouvons souhaiter et prier que ceux qui connaissent la prospérité spirituelle, puissent disposer d’une excellente santé ; que leur témoignage puisse véritablement « briller » !

      De nombreuses personnes aisées devraient méditer ces paroles de l'apôtre : prions avec ferveur que ces âmes puissent prospérer autant que leur santé et leur carrière ! Une foi véritable œuvre conjointement avec l’amour. Ceux qui sont bénis doivent en témoigner, non seulement devant l'église, mais aussi devant tous. Un homme bon se réjouira vraiment de la prospérité de son prochain ; il sera heureux d'entendre parler de la Grâce et des bénédictions des autres.

      Quelle joie pour de bons parents, de pouvoir constater que leurs enfants honorent leur profession de foi. Il en est de même pour les conducteurs constatant le bon témoignage de leurs enfants spirituels. Gaïus n'a fait aucune différence entre les chrétiens véritables qu’il fréquentait : il a aidé sans distinction tous ceux qui portaient « l'image » de Christ, et œuvraient pour Lui. C’était un homme droit, un serviteur assidu.

      Les âmes fidèles au Seigneur peuvent entendre leur entourage les féliciter, sans en tirer gloire : elles placent ces compliments en hommage au pied de la croix de Christ.

      Les chrétiens doivent d’abord considérer quel est leur devoir, mais aussi comment l’accomplir : ils doivent être capables de réaliser les tâches communes dans l’église, avec bonne volonté, dans la piété, servant ainsi le Seigneur, pour Sa gloire.

      Les personnes qui diffusent gratuitement l'Évangile de Christ doivent être aidées par ceux qui disposent de moyens que Dieu leur a donnés. Ceux qui ne peuvent pas directement proclamer l’Évangile doivent cependant recevoir, aider, et soutenir ceux qui le font !

      Apocalypse 1

      1

      Le Livre de l'Apocalypse de Jean est constitué principalement de deux parties.

      1. Il relate « les choses qui sont », c'est-à-dire l'état de l'église au temps présent : il contient les lettres de Jean aux sept églises, son récit de l'apparition du Seigneur Jésus, et les directives de ce Dernier, adressées à l'apôtre, pour qu’il mentionne ce qu'il a reçu, Apocalypse 1:9-20. L’Apocalypse contient également des messages (des lettres) adressés aux sept églises d'Asie. Cela fait indubitablement référence à l'état des églises respectives de cette époque, mais on y trouve aussi d’excellents préceptes, des exhortations, des recommandations, des reproches, des promesses et des menaces, tous nécessaires à l’instruction de l'église chrétienne de toute époque.

      2. Ce livre contient ensuite une prophétie sur « les choses qui seront après », et décrit l'état futur de l'église, à partir du temps où l'apôtre a reçu les visions qu'il a ici enregistrées.

      Le rôle de l’Apocalypse est d’améliorer notre spiritualité : il prévient le pécheur insouciant, il indique le chemin du salut à celui qui le recherche avec ferveur, il revivifie le croyant affaibli, il console l'affligé et le chrétien tenté ; de plus, nous pouvons également affirmer qu’il fortifie le martyr pour la cause de Christ, subissant les cruelles persécutions et les souffrances infligées par Satan et ses partisans.

      * L'origine divine, le concept, et l'importance de ce livre. (Apocalypse 1:1-3) L'apôtre Jean salue les sept églises d'Asie. (Apocalypse 1:4-8) Il déclare quand, où et comment, cette « révélation » lui a été donnée. (Apocalypse 1:9-11) La vision, dans laquelle il a vu apparaître Christ. (Apocalypse 1:12-20)

      Apocalypse 1:1-3 Ce livre est la Révélation de Jésus-Christ ; il en est ainsi pour toute la Bible, car en fait, toute révélation provient de Christ, et se rattache à Lui !

      Le principal objet de l’Apocalypse est de nous faire découvrir les desseins divins, en ce qui concerne l'église, avec les nations qui y sont liées, et ce, jusqu'à la fin du monde. Ces événements décrits, auront lieu inéluctablement ; ils doivent d’ailleurs commencer à se dérouler très prochainement !

      Bien que Christ soit Dieu Lui-même, et qu'Il ait la lumière et la vie en Lui, Il se trouve cependant placé, en tant que Médiateur, entre Dieu et l'homme, recevant ainsi des directives du Père. C'est à Lui que nous devons la connaissance de ce que nous pouvons attendre de Dieu, et de ce qu'Il attend de nous.

      Le sujet de cette révélation concerne « les choses qui doivent arriver bientôt ». Sur tous ceux qui lisent ou entendent les paroles de la prophétie, une bénédiction est prononcée. Ceux qui étudient sérieusement la Bible occupent très bien leur temps ! Il n'est pas suffisant que nous la lisions et que nous en entendions la lecture, mais nous devons « garder » ce qui est écrit : dans nos mémoires, dans nos esprits, nos affections et dans la pratique ; nous serons ainsi bénis dans tout ce que nous entreprenons.

      Les mystères et les difficultés inhérents à ce livre sont associés aux découvertes des attributs divins : toutes ces choses sont nécessaires pour sensibiliser l’esprit du lecteur, dans la crainte du Seigneur, et purifier son âme, bien qu'il ne puisse pas discerner immédiatement l’ensemble de la signification prophétique.

      Aucune autre partie de l'Écriture n'énonce plus complètement l'évangile, et ne prévient aussi bien contre le mal du péché.

      9 Il était réconfortant pour l'apôtre, de ne pas souffrir d'être incarcéré pour avoir mal agi, mais pour avoir témoigné de Jésus, le Christ, le Sauveur, Emmanuel ; le Saint Esprit, l’Esprit de Gloire, reposait sur cet apôtre persécuté.

      Le jour et l’heure, où jean eut cette vision était « le jour du Seigneur », à savoir, le sabbat chrétien, le premier jour de la semaine, observé en souvenir de la résurrection de Christ.

      Puissions-nous, alors que nous L'appelons « Notre Seigneur », l'honorer à l'occasion du jour qui Lui est consacré ! La nature de ce nom, (le jour du Seigneur) indique avec quelle solennité il doit être observé : ce jour doit en effet, Lui être totalement consacré, et aucune de ses heures ne doit être employée à jouir des vains plaisirs de ce monde, ou de certains loisirs douteux.

      L’apôtre se trouvait dans un cadre particulier : céleste et spirituel, sous l’influence, pleine de Grâce, de l'Esprit de Dieu.

      Ceux qui désirent bénéficier de la communion avec Dieu, au jour du Seigneur, doivent chercher à éloigner leurs pensées et leurs affections des attraits de ce monde. Si, en ce saint jour du Seigneur, les croyants ne peuvent, par nécessité et non par choix, jouir de la communion avec les saints, ils peuvent rechercher l’intimité et la communion avec l’Esprit Saint : ils entendront alors spirituellement la voix de leur bien-aimé Sauveur, en contemplant Sa Gloire, et aucun fait extérieur ne saurait perturber ces instants bénis.

      Le son d'une trompette stupéfia l'apôtre : il put alors entendre la voix de Christ !

      Apocalypse 18

      20 Les sujets de réjouissance des serviteurs de Dieu, ici-bas, sont les mêmes que ceux des anges, dans les cieux.

      Les apôtres, honorés et adorés quotidiennement de manière idolâtre, à Rome, se réjouiront de la chute de Babylone.

      L’anéantissement de cette ville n’était en réalité qu’une manifestation de la Justice divine, et du fait de cette ruine finale, « l’ennemi » n’allait plus pouvoir sévir ; cette chute était inexorable, confirmée par l’image d’un ange, jetant une meule dans la mer (versetApocalypse 18:21*).

      Sachons tirer un enseignement de tout ce qui a pu amener les autres à la destruction ; veillons à placer nos affections sur ce qui concerne les choses « d’en haut », alors que nous ne pouvons que constater la nature changeante de celles qu’on trouve ici-bas !

      * Verset ajouté par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Apocalypse 22

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Générer un verset illustré
Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.