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2
de communiquer les ordres suivants à Aaron et à ses fils : « Règles concernant le sacrifice complet : Ce sacrifice doit brûler durant toute la nuit sur l’autel, où l’on entretiendra le feu.
3
Ensuite le prêtre, vêtu d’une tunique de lin et d’un caleçon de lin, enlève de l’autel les cendres grasses du sacrifice consumé et les dépose à côté de l’autel.
4
Puis il va changer de vêtements et emporte les cendres dans un endroit pur hors du camp.
5
Le feu qui brûle sur l’autel ne doit pas s’éteindre : chaque matin le prêtre y remet des bûches sur lesquelles il dispose le sacrifice complet, avant d’y brûler les morceaux gras des sacrifices de communion.
6
Un feu perpétuel doit brûler sur l’autel, sans jamais s’éteindre. »
7
« Règles concernant l’offrande végétale : Ce sont les fils d’Aaron qui doivent la présenter au Seigneur devant l’autel.
17
« N’ayez aucune pensée de haine contre un frère, mais n’hésitez pas à le réprimander, afin de ne pas vous charger d’un péché à son égard.
5
J’accepte qu’un homme de bien me frappe, ou qu’un fidèle me corrige ; c’est un geste d’amitié que je ne veux pas refuser. Mais les méfaits des méchants ne feront pas taire ma prière.
30
Les actes du juste sont comme un arbre de vie. Le sage gagne les cœurs.
9
Si tu as un différend avec ton voisin, règle-le avec lui, mais ne révèle pas ce qu’un autre a pu te confier.
10
Sinon, quelqu’un peut t’entendre, te le reprocher et tu ne pourras plus revenir sur ton indiscrétion.
15
« Si ton frère se rend coupable à ton égard, va le trouver seul à seul et montre-lui sa faute. S’il t’écoute, tu auras gagné ton frère.
35
Et Jésus ajouta : « C’est ainsi que mon Père qui est au ciel vous traitera si chacun de vous ne pardonne pas à son frère de tout son cœur. »
3
Prenez bien garde ! « Si ton frère se rend coupable, parle-lui sérieusement. Et s’il regrette son acte, pardonne-lui.
4
S’il se rend coupable à ton égard sept fois en un jour et que chaque fois il revienne te dire : “Je le regrette”, tu lui pardonneras. »
21
Ne te laisse pas vaincre par le mal. Sois au contraire vainqueur du mal par le bien.
6
Alors, faut-il vraiment qu’un frère soit en procès avec un autre et cela devant des juges incroyants ?
7
Certes, le fait d’avoir des procès entre vous est déjà la preuve de votre complet échec. Pourquoi ne supportez-vous pas plutôt l’injustice ? Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt dépouiller ?
8
Au contraire, c’est vous qui pratiquez l’injustice et qui dépouillez, et vous agissez ainsi envers des frères !
12
En péchant de cette façon contre vos frères et en blessant leur conscience qui est faible, vous péchez contre le Christ lui-même.
19
Je suis libre, je ne suis l’esclave de personne ; cependant je me suis fait l’esclave de tous afin d’en gagner le plus grand nombre possible au Christ.
20
Lorsque j’ai affaire aux Juifs, je vis comme un Juif, afin de les gagner ; bien que je ne sois pas soumis à la loi de Moïse, je vis comme si je l’étais lorsque j’ai affaire à ceux qui sont soumis à cette loi, afin de les gagner.
21
De même, lorsque je suis avec ceux qui ignorent la loi de Moïse, je vis comme eux, sans tenir compte de cette loi, afin de les gagner. Cela ne veut pas dire que je suis indifférent à la loi de Dieu, car je suis soumis à la loi du Christ.
12
Si donc je vous ai écrit, ce n’était ni à cause de celui qui a commis le mal, ni à cause de celui qui l’a subi. Mais c’était pour que vous vous rendiez clairement compte, devant Dieu, du dévouement que vous avez pour nous.
1
Frères, si quelqu’un vient à être pris en faute, vous qui avez l’Esprit de Dieu ramenez-le dans le droit chemin ; mais faites preuve de douceur à son égard. Et prenez bien garde, chacun, de ne pas vous laisser tenter, vous aussi.
13
Supportez-vous les uns les autres ; et si l’un de vous a une raison de se plaindre d’un autre, pardonnez-vous réciproquement, tout comme le Seigneur vous a pardonné.
6
Dans cette affaire, que personne ne cause du tort à son frère ou ne porte atteinte à ses droits. Nous vous l’avons déjà dit et vous en avons sérieusement avertis : le Seigneur punira ceux qui commettent de telles fautes.
15
Cependant, ne le traitez pas en ennemi, mais avertissez-le comme un frère.
19
Mes frères, si l’un de vous s’est éloigné de la vérité et qu’un autre l’y ramène,
20
rappelez-vous ceci : celui qui ramène un pécheur du chemin où il s’égarait le sauvera de la mort et obtiendra le pardon d’un grand nombre de péchés.
1
Vous de même, femmes, soyez soumises à vos maris, afin que si quelques-uns d’entre eux ne croient pas à la parole de Dieu, ils soient gagnés à la foi par votre conduite. Des paroles ne seront même pas nécessaires :
Quelle est la liaison de l'instruction qui débute par ces mots avec celle qui précède ? Ce sont deux faces d'un même sujet : la charité ne permet ni de scandaliser ni de mépriser les petits et les faibles ; (versets 1-14) quelle conduite inspirera-t-elle à celui qui, au lieu de faire un mal pareil, aura à le souffrir ?
C'est cette conduite que Jésus retrace dans ses phases diverses. (versets 15-17) En l'exposant, il généralise sa pensée, et embrasse ce qui concerne les rapports mutuels entre frères dans la même communauté. Si l'un pèche contre l'autre, l'offense, lui fait tort, celui-ci doit d'abord aller, sans attendre que son frère revienne à lui, le reprendre, l'avertir, lui représenter son tort, mais seul avec lui, condition importante de prudence et de charité meilleur moyen de le gagner en évitant de blesser son amour-propre.
- Mais cette interprétation suppose authentiques les mots contre toi, qui manquent dans Sin., B, etc., et que plusieurs critiques omettent. Si on les supprime, il ne s'agirait point d'une tentative de réconciliation entre deux frères, mais en général d'une répréhension fraternelle pour une faute quelconque.
Cependant les autorités sur lesquelles on se fonde pour ce retranchement ne sont point décisives. Ensuite, c'est bien de réconciliation et de pardon des offenses que Jésus a dû parler, (comparez Luc 17.3) s'il en était autrement, on aurait peine à comprendre la question de Pierre (verset 21) qui paraît occasionnée par le discours précédent. Il faut donc retenir les mots contre toi.
Gagné, à quoi ? Les uns répondent : gagné à toi, tu auras fait ton frère de celui qui t'avait offensé, vous serez réconciliés dans la charité.
D'autres assignent à l'action conciliatrice un but plus élevé, et interprètent : Tu l'auras gagné pour Dieu, pour la vie de l'âme, qu'il était en danger de perdre. Pourquoi n'admettrait-on pas l'une et l'autre de ces explications ? (Comparer 1Corinthiens 9.19 ; 1Pierre 3.1)
Ces principes peuvent s’appliquer n'importe où et en toutes circonstances, mais ils sont hélas bien souvent négligés par tous. La conduite que Christ enseigna expressément à Ses disciples est hélas peu suivie !
Dans tous nos différends, nous devons chercher les directives à suivre par la prière : ne sous-estimons pas les promesses divines. Où que ce soit, et à chaque fois que nous nous rencontrons au Nom de Christ, nous devons considérer ce Dernier comme présent parmi nous.