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5
Si le juste me reprend, c’est une preuve d’amour.
Qu’il me fasse des reproches, c’est un parfum sur ma tête
Qu’elle ne refuse pas.
Pourtant aux persécutions des méchants
J’opposerai, sans me lasser, ma prière.
15
S’il arrive à ton frère de commettre un péché, va le trouver, parle en tête à tête avec lui et montre-lui sa faute. S’il se laisse convaincre, tu auras gagné ton frère.
35
Voilà comment mon Père céleste vous traitera, vous aussi, si chacun de vous ne pardonne pas de tout son cœur à son frère.
3
Veillez donc sur vous-mêmes et sur votre manière de vivre. Si ton frère s’est rendu coupable à ton égard, fais-lui des reproches en conséquence : s’il change d’attitude, pardonne-lui.
4
Même s’il revient te trouver sept fois de suite le même jour en disant : « Je me repens de ce que j’ai fait », pardonne-lui.
21
Ne laissez jamais les rênes de votre conduite entre les mains du mal ; au contraire, prenez l’offensive et triomphez de lui par le bien.
6
Faut-il qu’on se traîne en justice entre frères et qu’on aille jusqu’à plaider l’un contre l’autre précisément devant des incroyants ?
7
De toute façon, vos mésententes à elles seules sont déjà les indices d’un état alarmant ; vos procès entre vous sont un aveu de défaite. Pourquoi ne souffrez-vous pas plutôt l’injustice ? Pourquoi ne consentez-vous pas plutôt à vous laisser dépouiller de vos droits et à subir des dommages ?
8
Mais non, c’est au contraire vous qui commettez des injustices, vous qui dépouillez les autres, et c’est au détriment de vos frères que vous le faites !
12
Si vous péchez de la sorte envers des frères en blessant leur conscience mal affermie, vous péchez contre le Christ lui-même.
19
Cela m’assure mon indépendance à l’égard de tous les hommes. Et pourtant, bien que je sois un homme libre, je me suis fait l’esclave de tous, afin de gagner le plus de gens possible à Jésus-Christ.
20
Lorsque j’étais avec les Juifs, j’ai vécu comme eux, afin de gagner des Juifs. Et comme ils sont soumis à la loi (de Moïse), je me suis moi-même assujetti à cette loi, bien qu’en réalité, j’en sois personnellement dégagé. Mais je l’ai fait pour conquérir ceux qui sont sous le régime de la loi.
21
Avec ceux qui vivent sans la loi, je me suis comporté en affranchi de la loi – alors qu’en réalité, je ne vis pas en dehors de la loi de Dieu, puisque je me sens lié par la loi du Christ – mais c’était pour gagner au Christ ceux qui ne connaissent pas la loi.
12
Si je vous ai écrit, ce n’était d’ailleurs pas tant à cause de l’offenseur ou de l’offensé, c’était avant tout pour clarifier nos relations et vous donner l’occasion de manifester devant Dieu parmi vous votre empressement pour nous.
1
Mes frères, s’il arrivait à quelqu’un de faire, par mégarde, un faux pas, si, cédant à une impulsion soudaine, il tombait dans quelque faute et que vous veniez à le découvrir, agissez à son égard en hommes spirituels : sous la conduite de l’Esprit, ramenez-le avec affection et douceur dans le droit chemin, en évitant tout sentiment de supériorité. Et soyez vous-mêmes sur vos gardes, de crainte d’être aussi induits en tentation !
13
Si vous trouvez de quoi critiquer votre frère, supportez-vous les uns les autres ; si vous avez quelque chose à reprocher à un autre, soyez toujours prêts à vous pardonner vos torts aussi généreusement que le Christ vous a pardonné.
6
Que personne n’enfreigne les droits de son frère ni ne le trompe d’une manière ou d’une autre dans ce domaine. Dieu veille sur ces choses et il fait justice de toute offense de ce genre. Nous vous en avons solennellement avertis.
15
Toutefois, ne le traitez pas en ennemi, avertissez-le comme un frère.
19
Mes frères, si l’un de vous s’égare en s’écartant de la vérité, et qu’un autre le ramène sur le bon chemin,
20
sachez que celui qui parvient à ramener un pécheur de la voie où il se perdait, sauvera son âme de la mort et permettra le pardon d’un grand nombre de péchés. :::::
1
Je voudrais m’adresser à présent aux femmes mariées : que chacune d’entre vous soit de même soumise à son mari, pour que ceux d’entre eux qui refusent de croire à la parole, soient gagnés à la foi, sans parole, par le témoignage silencieux de votre vie quotidienne,
Quelle est la liaison de l'instruction qui débute par ces mots avec celle qui précède ? Ce sont deux faces d'un même sujet : la charité ne permet ni de scandaliser ni de mépriser les petits et les faibles ; (versets 1-14) quelle conduite inspirera-t-elle à celui qui, au lieu de faire un mal pareil, aura à le souffrir ?
C'est cette conduite que Jésus retrace dans ses phases diverses. (versets 15-17) En l'exposant, il généralise sa pensée, et embrasse ce qui concerne les rapports mutuels entre frères dans la même communauté. Si l'un pèche contre l'autre, l'offense, lui fait tort, celui-ci doit d'abord aller, sans attendre que son frère revienne à lui, le reprendre, l'avertir, lui représenter son tort, mais seul avec lui, condition importante de prudence et de charité meilleur moyen de le gagner en évitant de blesser son amour-propre.
- Mais cette interprétation suppose authentiques les mots contre toi, qui manquent dans Sin., B, etc., et que plusieurs critiques omettent. Si on les supprime, il ne s'agirait point d'une tentative de réconciliation entre deux frères, mais en général d'une répréhension fraternelle pour une faute quelconque.
Cependant les autorités sur lesquelles on se fonde pour ce retranchement ne sont point décisives. Ensuite, c'est bien de réconciliation et de pardon des offenses que Jésus a dû parler, (comparez Luc 17.3) s'il en était autrement, on aurait peine à comprendre la question de Pierre (verset 21) qui paraît occasionnée par le discours précédent. Il faut donc retenir les mots contre toi.
Gagné, à quoi ? Les uns répondent : gagné à toi, tu auras fait ton frère de celui qui t'avait offensé, vous serez réconciliés dans la charité.
D'autres assignent à l'action conciliatrice un but plus élevé, et interprètent : Tu l'auras gagné pour Dieu, pour la vie de l'âme, qu'il était en danger de perdre. Pourquoi n'admettrait-on pas l'une et l'autre de ces explications ? (Comparer 1Corinthiens 9.19 ; 1Pierre 3.1)
Ces principes peuvent s’appliquer n'importe où et en toutes circonstances, mais ils sont hélas bien souvent négligés par tous. La conduite que Christ enseigna expressément à Ses disciples est hélas peu suivie !
Dans tous nos différends, nous devons chercher les directives à suivre par la prière : ne sous-estimons pas les promesses divines. Où que ce soit, et à chaque fois que nous nous rencontrons au Nom de Christ, nous devons considérer ce Dernier comme présent parmi nous.