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Matthieu 19.21

JĂ©sus lui dit : Si tu veux ĂȘtre parfait, va, vends ce que tu as, et donne aux pauvres ; et tu auras un trĂ©sor dans le ciel ; et viens, suis-moi.

JĂ©sus lui dit : « Si tu veux ĂȘtre parfait, va vendre ce que tu possĂšdes, donne-le aux pauvres et tu auras un trĂ©sor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. »
JĂ©sus lui rĂ©pondit : —Si tu veux ĂȘtre parfait, va vendre tes biens, distribue le produit de la vente aux pauvres, et tu auras un capital dans le ciel. Puis viens et suis-moi.
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      GenĂšse 6

      GenĂšse 17

      1

      Dieu renouvelle son alliance avec Abram. (GenĂšse 17:1-6)
      La circoncision est instituée. (GenÚse 17:7-14)
      Le nom de Saraï changé, la promesse d'Isaac. (GenÚse 17:15-22)
      Abraham et sa famille sont circoncis. (GenĂšse 17:23-27)

      L'engagement divin s'est accompli en temps voulu. La semence promise Ă©tait en rĂ©alitĂ© Christ, avec les chrĂ©tiens en Son sein. Tous ceux qui, comme Abram, marchent par la foi, sont bĂ©nis et sont participants des mĂȘmes promesses de bĂ©nĂ©diction qui lui ont Ă©tĂ© adressĂ©es. Pour marquer ce tĂ©moignage, son nom fut changĂ© d'Abram, « pĂšre Ă©levé » en Abraham, « pĂšre d'une multitude ». Toute la joie et l'amour inhĂ©rents au monde chrĂ©tien dĂ©coulent en partie d'Abraham et de sa Semence.

      Job 1

      1

      Ce livre traite de l'histoire de Job : la prospĂ©ritĂ©, les afflictions, et la restauration du patriarche, sont ici contĂ©es. Il a vĂ©cu peu aprĂšs Abraham ou peut-ĂȘtre mĂȘme avant.

      Le texte a Ă©tĂ© probablement Ă©crit par Job lui-mĂȘme, c'est le livre le plus ancien de la Bible. Les enseignements qui sont ici donnĂ©s, sur la patience et les Ă©preuves de Job, sont toujours d'actualitĂ© et plus utiles que jamais Ă  notre enseignement. Nous vivons aujourd'hui sous la mĂȘme Providence qu'Ă  l'Ă©poque, nous avons le mĂȘme PĂšre capable de nous chĂątier, car Sa droiture Le pousse Ă  nous corriger. La force d'Ăąme et la patience lĂ©gendaires de Job, lui ont permis de supporter de graves Ă©preuves ; mais son espĂ©rance Ă©tait ferme quant Ă  la venue de son RĂ©dempteur, ce qui lui a donnĂ© l'assurance et l'intĂ©gritĂ©, malgrĂ© les tentations, en particulier celles de l'orgueil de l'autosatisfaction, qui pouvaient l'attaquer. Une autre grande doctrine de la foi, particuliĂšrement dĂ©veloppĂ©e dans le livre de Job, est celle de la protection divine. Il est Ă©vident dans cette histoire, que le Seigneur a considĂ©rĂ© Son serviteur Job avec toute l'affection d'un pĂšre, plein de sagesse et d'affection.

      * La piété et la prospérité de Job. (Job 1:1-5) Satan obtient la permission de tenter Job. (Job 1:6-12) Job perd tous ses biens, la mort de ses enfants. (Job 1:13-19) La patience de Job et sa piété. (Job 1:20-22)

      Job 1:1-5 Job Ă©tait prospĂšre, mais Ă©galement pieux. Bien que ces qualitĂ©s puissent ĂȘtre rares et difficiles Ă  concilier, il n'est pas impossible Ă  un homme riche d'entrer dans le royaume des cieux. Par la grĂące de Dieu, les tentations qu'apportent les richesses du monde peuvent ĂȘtre surmontĂ©es. Le texte nous donne un Ă©tat de la piĂ©tĂ© et de la prospĂ©ritĂ© du patriarche, avant que n'arrivent ses grandes afflictions, prouvant que ni l'une, ni l'autre de ces conditions ne mettent Ă  l'abri des Ă©preuves. Bien que Job ait constatĂ© avec satisfaction une bonne harmonie dans le travail et le comportement de ses fils, sa connaissance du cƓur humain le rendait inquiet Ă  leur Ă©gard, vis-Ă -vis de leur attitude envers Dieu. Ensuite, aprĂšs avoir priĂ© pour eux, il les renvoyait et les sanctifiait, en leur rappelant de sonder leur cƓur, de façon Ă  confesser les pĂ©chĂ©s qu'ils auraient pu commettre, et obtenir ainsi la clĂ©mence cĂ©leste ; et convaincu que Dieu Ă©tait enclin d'accepter sa demande, par le biais du Sauveur promis, il a offert un holocauste pour chacun de ses enfants. Nous pouvons percevoir dans ce texte le soin particulier que Job prenait pour les Ăąmes des siens, sa connaissance de l'Ă©tat pĂ©cheur de l'homme et son entiĂšre volontĂ© de dĂ©pendance envers la misĂ©ricorde divine.

      Psaumes 37

      Matthieu 4

      Matthieu 5

      Matthieu 6

      19 L'esprit « du monde » est la manifestation classique, mais hélas fatale, de l'hypocrisie ; par nul autre péché, Satan ne peut avoir un contrÎle plus déterminé et plus négatif sur l'ùme, sous une apparente piété de cette derniÚre. Cette ùme, quant à elle, considérera que toutes choses vont pour le mieux, éprouvant par ce fait, du plaisir et une certaine paix, surpassant tout.

      Les instructions formulĂ©es par Christ sont Ă  l’origine de nombreuses joies, surtout quand il s’agit des perspectives concernant l’au-delĂ , perspectives aujourd’hui encore invisibles, mais nĂ©anmoins Ă©ternelles, en lesquelles nous devons placer notre espĂ©rance.

      Il y a des trĂ©sors dans le ciel. Il n’y a pas de plus grande sagesse que d’accorder toute notre attention Ă  notre assurance pour la vie Ă©ternelle, au travers de JĂ©sus-Christ, n’étant que des « spectateurs » en ce qui concerne toutes choses ici-bas, les considĂ©rant comme n’étant pas dignes d'ĂȘtre comparĂ©es Ă  notre Sauveur, et rejetant tout ce qui nous Ă©loigne de ce Dernier. MalgrĂ© les alĂ©as de ce monde, nous avons l’espĂ©rance de disposer d'un hĂ©ritage incorruptible dans les cieux !

      L'homme du monde a des raisonnements basiques qui sont vains ; en consĂ©quence, tout ce qui en dĂ©coule ne peut ĂȘtre qu’erronĂ©. Ceci s'applique Ă©galement Ă  la fausse piĂ©té : ce qui n'est pas la lumiĂšre spirituelle authentique n'est que tĂ©nĂšbres Ă©paisses. C’est un constat terrible, mais nĂ©anmoins frĂ©quent ; nous devons donc nous examiner nous-mĂȘmes, selon la Parole de Dieu, en priant avec ferveur qu’Elle nous enseigne, par l’Esprit.

      Un homme peut ĂȘtre d’une certaine utilitĂ© envers plusieurs maĂźtres, mais il ne peut pas se consacrer au service de plus d'un maĂźtre Ă  la fois.

      Dieu exige un cƓur entier, qui ne doit pas ĂȘtre partagĂ© avec le monde. Quand deux maĂźtres s'opposent l'un Ă  l'autre, nul homme ne peut servir les deux. Celui qui est au service du monde et qui l'aime, ne peut que mĂ©priser Dieu ; celui qui aime Dieu, doit abandonner l'amitiĂ© du monde.

      Matthieu 8

      Matthieu 9

      9 Comme tous ceux que Christ a appelés pour Son service, Matthieu exerçait une profession. Alors que Satan provoque avec ses tentations, les personnes oisives, Christ, de Son cÎté, appelle ceux qui travaillent.

      « Par nature, nous Te sommes opposĂ©s, O notre Dieu ; incite-nous Ă  Te suivre ; entraĂźne-nous par Ta puissante Parole, et nous accourrons auprĂšs de Toi. Par Ton Esprit, parle Ă  notre cƓur ; le monde ne peut pas nous retenir, Satan ne peut pas nous arrĂȘter en chemin, nous nous lĂšverons et nous Te suivrons ».

      Par le biais de Christ, un changement Ă  salut est opĂ©rĂ© dans l'Ăąme : Il en est l’Auteur, et Sa Parole en est le moyen. Ni la position administrative de Matthieu, ni son salaire, n'ont pu le retenir, quand Christ l'a appelĂ©. Il a tout laissĂ©.

      Bien que nous voyions certains disciples, anciens pĂȘcheurs « professionnels », retourner ultĂ©rieurement parfois Ă  la pĂȘche, nous ne verrons plus jamais Matthieu retourner Ă  son gain coupable.

      Matthieu 16

      24 Le vĂ©ritable disciple de Christ est celui qui Le suit, dans l’exercice de son devoir, pour L’accompagner, plus tard, dans toute Sa Gloire. Un tel disciple, conduit par l’Esprit, emprunte le mĂȘme chemin que son MaĂźtre, et Le suit, dans Ses pas, oĂč qu'Il aille.

      « Qu'il renonce Ă  lui-mĂȘme » : si ce renoncement est en soi une dure leçon, celle-ci est plus supportable que ce que notre MaĂźtre a subi, pour nous racheter, et nous enseigner.

      « Qu'il se charge de sa croix » : la croix mentionnĂ©e dans ce texte reprĂ©sente toutes les Ă©preuves que nous sommes susceptibles de subir. Nous estimons souvent qu’il serait plus facile de porter une autre « croix » que celle dont nous sommes chargĂ©s : en fait celle que nous portons est la meilleure qui puisse nous convenir et nous devons en tirer le plus de bĂ©nĂ©fice possible. Il ne faut pas, par notre folie et notre prĂ©cipitation, nous charger de jougs Ă©trangers, nous devons « porter notre croix bien haut », quand elle se prĂ©sente sur notre chemin.

      Si un homme veut avoir le titre de disciple, qu'il suive d’abord Christ, se consacrant Ă  sa tĂąche et son devoir spĂ©cifiques. Si toutes les valeurs ici-bas n’ont que peu d’attrait, comparĂ©es Ă  la vie que nous possĂ©dons, que sont-elles, Ă  plus forte raison, devant la destinĂ©e de notre Ăąme : le bonheur ou la misĂšre Ă©ternelle !

      Des milliers de personnes perdent leur Ăąme pour un gain vraiment insignifiant, pour bĂ©nĂ©ficier d’une indulgence sans grande valeur, souvent d’ailleurs, par paresse et par nĂ©gligence. Quelle que soit la raison qui pousse les hommes Ă  abandonner Christ, c'est la rançon de Satan pour leur Ăąme. En fait, une Ăąme vaut plus que tout l’or du monde ! Voila ce que pense Christ Ă  ce sujet ; avant l’épreuve de la croix, Il connaissait dĂ©jĂ  le prix des Ăąmes, et Il les a rachetĂ©es ; Il ne sous-estimait pas les dangers de ce monde puisque c’est Lui qui l'a créé.

      Un pécheur mourant ne peut « acheter » une seule heure supplémentaire de répit, afin de pouvoir bénéficier, de maniÚre ultime, de la Miséricorde divine. Apprenons à « évaluer » correctement notre ùme : proclamons Christ, l'unique Sauveur du monde !

      Matthieu 19

      Marc 2

      Marc 8

      34 On remarque souvent qu'il y avait de grands attroupements autour de Jésus, quand Il était ici-bas : chacun en effet, comptait recevoir de l'aide en divers cas.

      S’il voulait que son Ăąme « guĂ©risse », chaque individu devait connaĂźtre l’enseignement donnĂ© ici par le Seigneur : c’était en fait prioritaire, sur Ă  la recherche du bien ĂȘtre corporel.

      Autant la joie d’ĂȘtre spirituellement au ciel avec Christ, est suffisante pour compenser la perte de notre vie pour Lui, autant le gain du monde entier pour le pĂ©chĂ© ne compensera pas la ruine de l'Ăąme provoquĂ©e par ce dernier. Le jour approche, oĂč la cause de Christ apparaĂźtra vraiment glorieuse, alors que certains la considĂšrent aujourd’hui, misĂ©rable et nulle.

      Puissions-nous méditer sur cette rencontre merveilleuse avec le Seigneur et envisager chaque objectif terrestre en fonction de ce grand jour !

      Marc 10

      Luc 5

      27 Nous voyons dans ce texte une des merveilles de la GrĂące de Christ : on Le voit appeler un publicain, un collecteur d'impĂŽts, pour l’inciter Ă  ĂȘtre Son disciple ! Cette GrĂące est aussi extraordinaire qu’efficace ! Par Elle, Christ est venu pour appeler des pĂ©cheurs Ă  se repentir, et leur assurer Son pardon. Toujours par Sa GrĂące, JĂ©sus a patiemment supportĂ© les objections des pĂ©cheurs qui L’entouraient tout en utilisant malgrĂ© tout les compĂ©tences de Ses disciples.

      Le Seigneur enseigne les Siens progressivement, en vue des Ă©preuves qu’ils seront amenĂ©s Ă  devoir subir ; nous devons copier Son exemple quant Ă  notre maniĂšre d'agir, malgrĂ© notre faible foi ou la tentation que nous pouvons subir, en tant que croyants.

      Luc 6

      Luc 9

      Luc 12

      Luc 14

      Luc 16

      Luc 18

      Jean 10

      Jean 12

      Actes 2

      Actes 4

      32 Les disciples s'aimaient mutuellement. Ce sentiment résultait des préceptes que Christ leur donna, ainsi que de Sa priÚre à leur égard, lors de Sa mort à la croix. Ainsi en était il alors, et il en sera encore ainsi, quand l'Esprit sera répandu du ciel, sur nous !

      Les disciples prĂȘchaient la doctrine de la rĂ©surrection de Christ ; de cet enseignement, lorsqu'il est correctement donnĂ©, dĂ©coulent tous les devoirs, tous les privilĂšges, et toutes les consolations des chrĂ©tiens.

      Dans les paroles et dans les actes des apĂŽtres, se manifestaient les fruits Ă©vidents de la GrĂące de Christ. Ils Ă©taient en ce monde, « morts spirituellement ». C'Ă©tait de toute Ă©vidence, la prĂ©sence de la GrĂące de Dieu en eux ! Ils n’abandonnĂšrent pas leurs diffĂ©rents biens, mais leur cƓur n’y Ă©tait plus attachĂ©. Ils ne dĂ©claraient pas que ces biens leur appartenaient, parce qu'ils avaient, par affection, tout abandonnĂ© pour Christ, voulant ainsi se dĂ©barrasser de tout, pour mieux s'attacher Ă  Lui.

      Il n'est pas Ă©tonnant de voir qu’ils ne formaient « qu'un mĂȘme cƓur » et qu'une « mĂȘme Ăąme », puisqu'ils Ă©taient spirituellement trĂšs Ă©loignĂ©s des richesses de ce monde. Ils avaient en effet tout en commun ; ils veillaient Ă  ce que chacun ne manque de rien. L'argent Ă©tait dĂ©posĂ© aux pieds des apĂŽtres...

      Une grande attention doit ĂȘtre apportĂ©e Ă  la distribution de la charitĂ© publique, pour que l’on puisse donner Ă  celui qui est dans le besoin, ou Ă  celui qui n'est pas capable de subvenir Ă  son nĂ©cessaire vital ; ceux qui donnent tout ce qu’ils peuvent pour faire le bien tĂ©moignant ainsi d'une bonne conscience, doivent ĂȘtre aidĂ©s.

      Ce texte mentionne une personne particuliĂšrement remarquable quant Ă  sa charitĂ© gĂ©nĂ©reuse : il s’agit de Barnabas. Il se destinait Ă  ĂȘtre un prĂ©dicateur de l’évangile, voulant se dĂ©tacher des affaires de ce monde. Quand de telles dispositions de cƓur prĂ©dominent chez une personne et sont exercĂ©es en des circonstances opportunes, le tĂ©moignage qui en ressort est dĂ©terminant pour les autres !

      Philippiens 3

      12 L’apĂŽtre ne dit pas dans ce texte qu’il a dĂ©jĂ  remportĂ© « le prix » (parvenu Ă  son but spirituel), ni qu’il ressemble parfaitement Ă  son Sauveur. Il oublie tout ce qui est derriĂšre lui, afin de ne pas se contenter des Ɠuvres qu’il a dĂ©jĂ  effectuĂ©es, ni des grĂąces dont il a pu bĂ©nĂ©ficier.

      Paul portait son regard en avant, « courant vers le but », montrant une grande vigilance à essayer de devenir de plus en plus semblable à Christ.

      Celui qui s’élance dans une course ne doit jamais s'arrĂȘter avant la fin, il doit ĂȘtre aussi rapide que possible ; ceux qui placent leur espĂ©rance dans le « cĂ©leste », doivent concentrer leur Ă©nergie pour atteindre ce but, animĂ©s de saints dĂ©sirs, et d’une grande constance dans leurs efforts.

      La vie Ă©ternelle est un don de Dieu, par l’intermĂ©diaire de JĂ©sus-Christ ; Le Seigneur nous tend Sa main pour nous aider Ă  l’obtenir, car Il est le seul qui puisse nous la procurer. Le ciel ne pourra constituer notre demeure que si Christ est notre « Chemin ». Les vĂ©ritables croyants, dans la poursuite de cette assurance spirituelle et de la Gloire de Christ, chercheront vraiment Ă  essayer de ressembler Ă  Ses souffrances et Ă  Sa mort, en mourant au pĂ©chĂ© et en crucifiant la chair, avec ses vaines affections et ses convoitises.

      Dans cette « course » spirituelle, les chrĂ©tiens vĂ©ritables disposent d’une force particuliĂšre, mais tous sont capables de discerner le « but », mĂȘme partiellement. Pour les croyants, Christ est tout en tout, ils dirigent les dĂ©sirs de leur cƓur vers un autre monde, le spirituel. S'ils disposent tous d’aptitudes particuliĂšres, et ne sont pas toujours du mĂȘme avis, quant Ă  certains dĂ©tails, ils ne doivent pas se juger mutuellement, puisqu'ils se rĂ©unissent ici-bas au Nom de Christ, espĂ©rant Le rencontrer bientĂŽt face Ă  face dans le ciel !

      Que les enfants de Dieu soient d’accord sur tous les grands sujets spirituels, mais qu'ils attendent davantage de lumiĂšre cĂ©leste pour les points secondaires sur lesquels ils pourraient Ă©ventuellement ne pas ĂȘtre en harmonie.

      Les ennemis de la croix de Christ n'ont Ă  l'esprit que leurs appĂ©tits sensuels. L’iniquitĂ© est la honte du pĂ©cheur, surtout quand il s'en glorifie. Le chemin de ceux qui ne pensent qu’aux attraits de ce monde, peut paraĂźtre agrĂ©able, mais la mort et l'enfer en sont la fin ! Si nous choisissons d’emprunter leur chemin, nous partagerons leur fin... La vie d'un chrĂ©tien est dans le ciel, oĂč se trouvent son Chef et sa « maison », oĂč il espĂšre se rendre bientĂŽt ; il place ses affections dans ce qui est cĂ©leste, et l’état de son cƓur guidera son comportement.

      Une certaine gloire est rĂ©servĂ©e pour les corps des saints, dans laquelle ils paraĂźtront, lors de la rĂ©surrection. Leur corps sera alors glorieux ; ils seront non seulement ramenĂ©s Ă  la vie, mais ils disposeront d’un immense privilĂšge cĂ©leste. De quel pouvoir le Seigneur dispose t-il pour opĂ©rer un tel changement !

      Puissions-nous ĂȘtre prĂȘts, lors de la venue de notre Juge ! Notre corps pĂ©rissable sera alors transformĂ©, par Son pouvoir Tout-puissant ; appliquons-nous chaque jour Ă  ressembler Ă  Christ, dans Sa saintetĂ©, afin qu’Il nous dĂ©livre de nos ennemis ; employons-nous, corps et Ăąme, Ă  ĂȘtre des instruments de justice, Ă  Son service !

      1 Timothée 6

      17 « Être riche » ici-bas est complĂštement diffĂ©rent que de l'ĂȘtre envers Dieu. Rien n'est plus incertain que les richesses de ce monde ! Ceux qui en possĂšdent, doivent savoir que c'est Dieu qui leur a permis d’en avoir, pour qu'ils puissent en jouir en toute libĂ©ralité ; beaucoup de personnes possĂšdent des biens, mais en profitent de mauvaise maniĂšre, n'ayant pas un cƓur apte Ă  les utiliser convenablement.

      Qu'y a-t-il de meilleur que l'opportunité de pouvoir pratiquer le bien ? C'est la manifestation de la foi en Christ, par les fruits de l'amour, notre assurance de posséder la vie éternelle ; les hommes charnels et les impies qui nous environnent sont avides de tout gain, ne pouvant avoir aucune espérance, autre que celle des tourments célestes qui leur sont réservés.

      Cette « doctrine », la vaine recherche des richesses, s'oppose en fait Ă  la VĂ©ritĂ© de l'Évangile, et Ă  la vĂ©ritable connaissance du Seigneur, sinon elle approuverait ce Dernier et consentirait Ă  Le suivre.

      Ceux qui se fient Ă  la raison plutĂŽt qu’à la foi courent le danger d'abandonner cette derniĂšre. La GrĂące inclut tout ce qui est bon, elle est un sĂ©rieux moyen de percevoir la Gloire divine ; lĂ  oĂč Dieu accorde Sa GrĂące, Il rĂ©vĂšle Sa Gloire !

      Hébreux 10

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