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Matthieu 25.41

Ensuite il dira Ă  ceux qui seront Ă  sa gauche : ‘Eloignez-vous de moi, maudits, allez dans le feu Ă©ternel qui a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© pour le diable et pour ses anges !
Then he will say also to those on the left hand, 'Depart from me, you cursed, into the eternal fire which is prepared for the devil and his angels;
Alors il dira aussi à ceux qui seront à sa gauche : Maudits retirez-vous de moi, et [allez] au feu éternel, qui est préparé au diable et à ses anges.
Puis il se tournera vers ceux qui seront Ă  sa gauche : — Retirez-vous loin de moi, vous que Dieu a rejetĂ©s, allez dans le feu Ă©ternel prĂ©parĂ© pour le diable et ses anges.
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Segond 21 Ensuite il dira Ă  ceux qui seront Ă  sa gauche : ‘Eloignez-vous de moi, maudits, allez dans le feu Ă©ternel qui a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© pour le diable et pour ses anges !

Segond 1910 Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits ; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges.

Segond 1978 (Colombe) © Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits, allez dans le feu éternel préparé pour le diable et pour ses anges.

Parole de Vie © « Ensuite, le roi dira Ă  ceux qui sont Ă  sa gauche : “Allez-vous-en loin de moi, Dieu vous maudit ! Allez dans le feu qui ne s’éteint pas, et qu’on a prĂ©parĂ© pour l’esprit du mal et pour ses anges !

Français Courant © « Ensuite, le roi dira Ă  ceux qui seront Ă  sa gauche : “Allez-vous-en loin de moi, maudits ! Allez dans le feu Ă©ternel qui a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© pour le diable et ses anges !

Semeur © Puis il se tournera vers ceux qui seront à sa gauche : « Retirez-vous loin de moi, vous que Dieu a maudits, et allez dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.

Parole Vivante © Puis il se tournera vers ceux qui seront Ă  sa gauche : — Retirez-vous loin de moi, vous que Dieu a rejetĂ©s, allez dans le feu Ă©ternel prĂ©parĂ© pour le diable et ses anges.

Darby Alors il dira aussi à ceux qui seront à sa gauche : Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel qui est préparé pour le diable et ses anges ;

Martin Alors il dira aussi à ceux qui seront à sa gauche : Maudits retirez-vous de moi, et [allez] au feu éternel, qui est préparé au diable et à ses anges.

Ostervald Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits, et allez au feu éternel, préparé au diable et à ses anges ;

HĂ©breu / Grec - Texte original © τότΔ áŒÏÎ”áż– Îșα᜶ Ï„Îżáż–Ï‚ ጐΟ ΔᜐωΜύΌωΜ· Î ÎżÏÎ”ÏÎ”ÏƒÎžÎ” ጀπ’ áŒÎŒÎżáżŠ ÎżáŒ± ÎșÎ±Ï„Î·ÏÎ±ÎŒÎ­ÎœÎżÎč Δጰς τ᜞ Ï€áżŠÏ τ᜞ αጰώΜÎčÎżÎœ τ᜞ áŒĄÏ„ÎżÎčÎŒÎ±ÏƒÎŒÎ­ÎœÎżÎœ Ï„áż· ÎŽÎčαÎČÏŒÎ»áżł Îșα᜶ Ï„Îżáż–Ï‚ áŒ€ÎłÎłÎ­Î»ÎżÎčς Î±áœÏ„ÎżáżŠ.

World English Bible Then he will say also to those on the left hand, 'Depart from me, you cursed, into the eternal fire which is prepared for the devil and his angels;

La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Ces redoutables paroles forment le pendant et le contraste du verset 34

JĂ©sus conserve Ă  dessein la mĂȘme tournure et quelques-uns des mĂȘmes termes. Mais il faut remarquer aussi les diffĂ©rences voulues : il ne dit pas maudits de mon PĂšre, ni : le feu Ă©ternel prĂ©parĂ© dĂšs la fondation du monde, ni : qui vous est prĂ©parĂ©.

Ces différences portent avec elles leur profond enseignement. Elles ne font pas remonter la cause de la condamnation des réprouvés jusqu'à Dieu, mais la montrent dans leur propre faute ; eux seuls en portent la responsabilité.

- Toutes les fois que la Bible nous peint les peines morales des réprouvés sous ces images d'un feu, d'une flamme, d'un ver, etc., il faut se garder de les matérialiser. C'est dans la conscience avec ses remords, dans l'ùme avec ses regrets, que se trouveront les chùtiments de la justice divine.

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Matthew Henry © traduction Dominique Osché
2532 Ensuite 5119 il dira 2046 5692 à ceux qui seront 1537 à sa gauche 2176 : Retirez-vous 4198 5737 de 575 moi 1700, maudits 2672 5772 ; allez dans 1519 le feu 4442 éternel 166 qui a été préparé 2090 5772 pour le diable 1228 et 2532 pour ses 846 anges 32.

32 - aggelosmessager, envoyé, un ange, un messager de Dieu

166 - aioniossans commencement ni fin, ce qui a toujours été et qui sera toujours sans commencement 


575 - apode séparation aprÚs un verbe, par rapport à un lieu c.à.d départ, envol, ... séparation 


846 - autoslui-mĂȘme, elle-mĂȘme, eux-mĂȘmes il, elle le mĂȘme

1228 - diabolosdiable = « calomniateur » prompt Ă  la calomnie, accusant faussement, accusateur, mĂ©disant mĂ©taph: appliquĂ© 


1519 - eisen, dans, Ă , vers, envers, pour, parmi, entre

1537 - ekhors de, depuis, de, par, loin de

1700 - emoumoi, mon, ma, mienne, etc.

2046 - ereoprononcer, parler, dire

2090 - hetoimazorendre prĂȘt, prĂ©parer faire les prĂ©parations nĂ©cessaires, tenir chaque chose prĂȘte mĂ©taph. dĂ©signe la coutume 


2176 - euonumosde bon nom et de bon présage utilisé pour prendre des augures, et ces présages 


2532 - kaiet, aussi, mĂȘme, en effet, mais

2672 - kataraomaimaudire, condamner, appeler le mal sur

4198 - poreuomaialler, se transporter, transférer poursuivre le voyage qui un été commencé, continuer son voyage quitter 


4442 - purfeu

5119 - totealors Ă  cet instant

5692Temps - Futur 5776 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 814

5737Temps - Présent 5774 Voix - Moyenne ou Passive Déponente 5790 Mode - Impératif 5794 


5772Temps - Parfait 5778 Voix - Passive 5786 Mode - Participe 5796 Nombre - 463

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      Deutéronome 27

      15 ŚÖžŚšÖŁŚ•ÖŒŚš Ś”ÖžŚÖŽÖĄŚ™Ś©Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš Ś™Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶Ś”Ö© Ś€Ö¶ÖšŚĄÖ¶Śœ Ś•ÖŒŚžÖ·ŚĄÖŒÖ”Ś›ÖžÖœŚ” ŚȘÖŒŚ•Ö茹ÖČŚ‘Ö·ÖŁŚȘ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ—Ś” ŚžÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö”֛Ś” Ś™Ö°Ś“Ö”Ö„Ś™ Ś—ÖžŚšÖžÖ–Ś©Ś Ś•Ö°Ś©Ś‚ÖžÖŁŚ Ś‘֌ַŚĄÖŒÖžÖ‘ŚȘÖ¶Śš Ś•Ö°ŚąÖžŚ Ö§Ś•ÖŒ Ś›ÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ›Ś Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ°ŚšÖ–Ś•ÖŒ ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      16 ŚÖžŚšÖ•Ś•ÖŒŚš ŚžÖ·Ś§Ö°ŚœÖ¶Ö„Ś” ŚÖžŚ‘ÖŽÖ–Ś™Ś• Ś•Ö°ŚÖŽŚžÖŒÖ‘Ś•Öč Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      17 ŚÖžŚšÖ•Ś•ÖŒŚš ŚžÖ·ŚĄÖŒÖŽÖ–Ś™Ś’ Ś’֌ְŚ‘ÖŁŚ•ÖŒŚœ ŚšÖ”ŚąÖ”֑Ś”Ś•ÖŒ Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      18 ŚÖžŚšÖ•Ś•ÖŒŚš ŚžÖ·Ś©ŚÖ°Ś’֌ֶքŚ” ŚąÖŽŚ•ÖŒÖ”֖Śš Ś‘֌ַŚ“֌֑֞ŚšÖ¶ŚšÖ° Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      19 ŚÖžŚšÖ—Ś•ÖŒŚš ŚžÖ·Ś˜ÖŒÖ¶Ö›Ś” ŚžÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖ·Ö„Ś˜ Ś’֌֔ŚšÖŸŚ™ÖžŚȘ֖Ś•Ö覝 Ś•Ö°ŚÖ·ŚœÖ°ŚžÖžŚ ÖžÖ‘Ś” Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      20 ŚÖžŚšÖ—Ś•ÖŒŚš Ś©ŚÖ茛֔Ś‘Ö™ ŚąÖŽŚÖŸŚÖ”ÖŁŚ©ŚÖ¶ŚȘ ŚÖžŚ‘ÖŽÖ”Ś™Ś• Ś›ÖŒÖŽÖ„Ś™ Ś’ÖŽŚœÖŒÖžÖ–Ś” Ś›ÖŒÖ°Ś Ö·ÖŁŚŁ ŚÖžŚ‘ÖŽÖ‘Ś™Ś• Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      21 ŚÖžŚšÖ•Ś•ÖŒŚš Ś©ŚÖ茛֖֔Ś‘ ŚąÖŽŚÖŸŚ›ÖŒÖžŚœÖŸŚ‘֌ְŚ”Ö”ŚžÖžÖ‘Ś” Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      22 ŚÖžŚšÖ—Ś•ÖŒŚš Ś©ŚÖ茛֔Ś‘Ö™ ŚąÖŽŚÖŸŚÖČŚ—ÖčŚȘ֔Ś•Öč Ś‘֌ַŚȘÖŸŚÖžŚ‘ÖŽÖ–Ś™Ś• ŚÖŁŚ•Öč Ś‘Ö·ŚȘÖŸŚÖŽŚžÖŒÖ‘Ś•Öč Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      23 ŚÖžŚšÖ•Ś•ÖŒŚš Ś©ŚÖ茛֖֔Ś‘ ŚąÖŽŚÖŸŚ—ÖčÖœŚȘÖ·Ś Ö°ŚȘ֌֑Ś•Öč Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      24 ŚÖžŚšÖ•Ś•ÖŒŚš ŚžÖ·Ś›ÖŒÖ”Ö„Ś” ŚšÖ”ŚąÖ”֖Ś”Ś•ÖŒ Ś‘֌ַŚĄÖŒÖžÖ‘ŚȘÖ¶Śš Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      25 ŚÖžŚšŚ•ÖŒŚšÖ™ ŚœÖ茧֣֔Ś—Ö· Ś©ŚÖč֔Ś—Ö·Ś“ ŚœÖ°Ś”Ö·Ś›ÖŒÖ„Ś•ÖčŚȘ Ś Ö¶Ö–Ś€Ö¶Ś©Ś Ś“ÖŒÖžÖŁŚ Ś ÖžŚ§ÖŽÖ‘Ś™ Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ
      26 ŚÖžŚšÖ—Ś•ÖŒŚš ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö§Śš ŚœÖčŚÖŸŚ™ÖžŚ§ÖŽÖ›Ś™Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ“֌֎Ś‘Ö°ŚšÖ”Ö„Ś™ Ś”Ö·ŚȘÖŒŚ•ÖčŚšÖžÖœŚ”ÖŸŚ”Ö·Ś–ÖŒÖč֖ŚŚȘ ŚœÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚ÖŁŚ•ÖčŚȘ ŚŚ•ÖčŚȘ־֑Ś Ś•Ö°ŚÖžŚžÖ·Ö„Śš Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ”ÖžŚąÖžÖ–Ś ŚÖžŚžÖ”ÖœŚŸŚƒ

      Deutéronome 28

      16 ŚÖžŚšÖ„Ś•ÖŒŚš ŚÖ·ŚȘ֌֖֞Ś” Ś‘֌֞ŚąÖŽÖ‘Ś™Śš Ś•Ö°ŚÖžŚšÖ„Ś•ÖŒŚš ŚÖ·ŚȘ֌֖֞Ś” Ś‘֌ַŚ©Ś‚֌֞Ś“Ö¶ÖœŚ”Śƒ
      17 ŚÖžŚšÖ„Ś•ÖŒŚš Ś˜Ö·Ś Ö°ŚÖČŚšÖžÖ– Ś•ÖŒŚžÖŽŚ©ŚÖ°ŚÖ·ŚšÖ°ŚȘ֌ֶ֜ŚšÖžŚƒ
      18 ŚÖžŚšÖ„Ś•ÖŒŚš Ś€ÖŒÖ°ŚšÖŽÖœŚ™ÖŸŚ‘ÖŽŚ˜Ö°Ś Ö°ŚšÖžÖ– Ś•ÖŒŚ€Ö°ŚšÖŽÖŁŚ™ ŚÖ·Ś“Ö°ŚžÖžŚȘֶ֑ŚšÖž Ś©ŚÖ°Ś’Ö·Ö„Śš ŚÖČŚœÖžŚ€Ö¶Ö–Ś™ŚšÖž Ś•Ö°ŚąÖ·Ś©ŚÖ°ŚȘ֌ְŚšÖ„Ś•ÖčŚȘ ŚŠÖ茐Ś Ö¶ÖœŚšÖžŚƒ
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      20 Ś™Ö°Ś©ŚÖ·ŚœÖŒÖ·ÖŁŚ— Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖŁŚ” Ś€ Ś‘֌ְ֠ŚšÖž ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·ŚžÖŒÖ°ŚÖ”ŚšÖžÖ€Ś” ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·ŚžÖŒÖ°Ś”Ś•ÖŒŚžÖžŚ”Ö™ Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·ŚžÖŒÖŽŚ’Ö°ŚąÖ¶Ö”ŚšÖ¶ŚȘ Ś‘֌ְŚ›ÖžŚœÖŸŚžÖŽŚ©ŚÖ°ŚœÖ·Ö„Ś— Ś™ÖžŚ“Ö°ŚšÖžÖ– ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš ŚȘ֌ַŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶Ö‘Ś” ŚąÖ·ÖŁŚ“ Ś”ÖŽŚ©ŚÖŒÖžÖœŚžÖ¶Ś“Ö°ŚšÖžÖ€ Ś•Ö°ŚąÖ·Ś“ÖŸŚÖČŚ‘ÖžŚ“Ö°ŚšÖžÖ™ ŚžÖ·Ś”Ö”֔Śš ŚžÖŽŚ€ÖŒÖ°Ś Ö”֛Ś™ ŚšÖčÖ„ŚąÖ· ŚžÖœÖ·ŚąÖČŚœÖžŚœÖ¶Ö–Ś™ŚšÖž ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚąÖČŚ–Ö·Ś‘Ö°ŚȘ֌֞֜Ś ÖŽŚ™Śƒ
      21 Ś™Ö·Ś“Ö°Ś‘֌֧֔Ś§ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ›Ś” Ś‘֌ְŚšÖžÖ– ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·Ś“֌֑֞Ś‘Ö¶Śš ŚąÖ·ÖšŚ“ Ś›ÖŒÖ·ŚœÖŒÖčŚȘÖŁŚ•Öč ŚÖčÖœŚȘÖ°ŚšÖžÖ” ŚžÖ”ŚąÖ·ŚœÖ™ Ś”֜֞ŚÖČŚ“ÖžŚžÖžÖ”Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚÖ·ŚȘ֌֞քŚ” Ś‘ÖžŚÖŸŚ©ŚÖžÖ–ŚžÖŒÖžŚ” ŚœÖ°ŚšÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌֞֜Ś”ÖŒŚƒ
      22 Ś™Ö·Ś›ÖŒÖ°Ś›ÖžÖŁŚ” Ś™Ö°Ö Ś”Ś•ÖžŚ” Ś‘֌ַŚ©ŚÖŒÖ·Ś—Ö¶ÖšŚ€Ö¶ŚȘ Ś•ÖŒŚ‘Ö·Ś§ÖŒÖ·Ś“֌ַ֜Ś—Ö·ŚȘ Ś•ÖŒŚ‘Ö·Ś“֌ַŚœÖŒÖ¶Ö—Ś§Ö¶ŚȘ Ś•ÖŒŚ‘Ö·ÖœŚ—Ö·ŚšÖ°Ś—Ö»ŚšÖ™ Ś•ÖŒŚ‘Ö·Ś—Ö¶Ö”ŚšÖ¶Ś‘ Ś•ÖŒŚ‘Ö·Ś©ŚÖŒÖŽŚ“֌֞Ś€Ö–Ś•Ö覟 Ś•ÖŒŚ‘Ö·Ś™ÖŒÖ”ŚšÖžŚ§Ö‘Ś•Ö覟 Ś•ÖŒŚšÖ°Ś“ÖžŚ€Ö–Ś•ÖŒŚšÖž ŚąÖ·Ö„Ś“ ŚÖžŚ‘Ö°Ś“Ö¶ÖœŚšÖžŚƒ
      23 Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™Ö„Ś•ÖŒ Ś©ŚÖžŚžÖ¶Ö›Ś™ŚšÖž ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚąÖ·ŚœÖŸŚšÖ茐Ś©ŚÖ°ŚšÖžÖ– Ś Ö°Ś—Öč֑Ś©ŚÖ¶ŚȘ Ś•Ö°Ś”ÖžŚÖžÖ„ŚšÖ¶Ś„ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚȘ֌ַŚ—Ö°ŚȘ֌ֶ֖Ś™ŚšÖž Ś‘֌ַŚšÖ°Ś–Ö¶ÖœŚœŚƒ
      24 Ś™ÖŽŚȘ֌֧֔ŚŸ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ›Ś” ŚÖ¶ŚȘÖŸŚžÖ°Ś˜Ö·Ö„Śš ŚÖ·ŚšÖ°ŚŠÖ°ŚšÖžÖ– ŚÖžŚ‘ÖžÖŁŚ§ Ś•Ö°ŚąÖžŚ€ÖžÖ‘Śš ŚžÖŽŚŸÖŸŚ”Ö·Ś©ŚÖŒÖžŚžÖ·Ö™Ś™ÖŽŚÖ™ Ś™Ö”ŚšÖ”ÖŁŚ“ ŚąÖžŚœÖ¶Ö”Ś™ŚšÖž ŚąÖ·Ö–Ś“ Ś”ÖŽŚ©ŚÖŒÖžŚžÖ°Ś“ÖžÖœŚšÖ°Śƒ
      25 Ś™ÖŽŚȘ֌ֶŚ Ö°ŚšÖžÖš Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” Ś€ Ś ÖŽŚ’֌֞ŚŁÖź ŚœÖŽŚ€Ö°Ś Ö”ÖŁŚ™ ŚÖ覙ְŚ‘Ö¶Ś™ŚšÖžÖ’ Ś‘֌ְŚ“Ö¶Ö€ŚšÖ¶ŚšÖ° ŚÖ¶Ś—ÖžŚ“Ö™ ŚȘ֌֔ŚŠÖ”ÖŁŚ ŚÖ”ŚœÖžÖ”Ś™Ś• Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś©ŚÖŽŚ‘Ö°ŚąÖžÖ„Ś” Ś“Ö°ŚšÖžŚ›ÖŽÖ–Ś™Ś ŚȘ֌֞Ś ÖŁŚ•ÖŒŚĄ ŚœÖ°Ś€ÖžŚ ÖžÖ‘Ś™Ś• Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™ÖŽÖŁŚ™ŚȘÖž ŚœÖ°Ś–Ö·ŚąÖČŚ•ÖžÖ”Ś” ŚœÖ°Ś›Öč֖Śœ ŚžÖ·ŚžÖ°ŚœÖ°Ś›Ö„Ś•ÖčŚȘ Ś”ÖžŚÖžÖœŚšÖ¶Ś„Śƒ
      26 Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™Ö°ŚȘÖžÖ€Ś” Ś ÖŽŚ‘Ö°ŚœÖžÖœŚȘÖ°ŚšÖžÖ™ ŚœÖ°ŚžÖ·ŚÖČŚ›ÖžÖ”Śœ ŚœÖ°Ś›ÖžŚœÖŸŚąÖ„Ś•Ö茣 Ś”Ö·Ś©ŚÖŒÖžŚžÖ·Ö–Ś™ÖŽŚ Ś•ÖŒŚœÖ°Ś‘Ö¶Ś”Ö±ŚžÖ·ÖŁŚȘ Ś”ÖžŚÖžÖ‘ŚšÖ¶Ś„ Ś•Ö°ŚÖ”֖Ś™ŚŸ ŚžÖ·Ś—ÖČŚšÖŽÖœŚ™Ś“Śƒ
      27 Ś™Ö·Ś›ÖŒÖ°Ś›ÖžÖšŚ” Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ” Ś‘֌֎Ś©ŚÖ°Ś—ÖŽÖ€Ś™ŚŸ ŚžÖŽŚŠÖ°ŚšÖ·Ö™Ś™ÖŽŚÖ™ *Ś•Ś‘ŚąŚ€ŚœŚ™Ś **Ś•ÖŒŚ‘Ö·Ś˜ÖŒÖ°Ś—Ö覹֮֔Ś™Ś Ś•ÖŒŚ‘Ö·Ś’֌֞ŚšÖžÖ–Ś‘ Ś•ÖŒŚ‘Ö¶Ś—ÖžÖ‘ŚšÖ¶ŚĄ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚœÖčŚÖŸŚȘŚ•ÖŒŚ›Ö·Ö–Śœ ŚœÖ°Ś”Ö”ŚšÖžŚ€Ö”ÖœŚŚƒ
      28 Ś™Ö·Ś›ÖŒÖ°Ś›ÖžÖŁŚ” Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” Ś‘֌ְŚ©ŚÖŽŚ’֌֞ŚąÖ–Ś•Ö覟 Ś•ÖŒŚ‘Ö°ŚąÖŽŚ•ÖŒÖžŚšÖ‘Ś•Ö覟 Ś•ÖŒŚ‘Ö°ŚȘÖŽŚžÖ°Ś”Ö–Ś•Ö覟 ŚœÖ”Ś‘ÖžÖœŚ‘Śƒ
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      34 Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™ÖŽÖ–Ś™ŚȘÖž ŚžÖ°Ś©ŚÖ»Ś’֌֑֞Śą ŚžÖŽŚžÖŒÖ·ŚšÖ°ŚÖ”Ö„Ś” ŚąÖ”Ś™Ś Ö¶Ö–Ś™ŚšÖž ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚȘ֌֎ŚšÖ°ŚÖ¶ÖœŚ”Śƒ
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      36 Ś™Ś•ÖčŚœÖ”ÖšŚšÖ° Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ” ŚÖčÖœŚȘÖ°ŚšÖžÖ— Ś•Ö°ŚÖ¶ÖœŚȘÖŸŚžÖ·ŚœÖ°Ś›ÖŒÖ°ŚšÖžÖ™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš ŚȘ֌֞Ś§ÖŽÖŁŚ™Ś ŚąÖžŚœÖ¶Ö”Ś™ŚšÖž ŚÖ¶ŚœÖŸŚ’֌֕Ś•Ö覙 ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚœÖčŚÖŸŚ™ÖžŚ“Ö·Ö–ŚąÖ°ŚȘ֌֞ ŚÖ·ŚȘÖŒÖžÖŁŚ” Ś•Ö·ŚÖČŚ‘ÖčŚȘֶ֑Ś™ŚšÖž Ś•Ö°ŚąÖžŚ‘Ö·Ö„Ś“Ö°ŚȘ֌֞ Ś©ŚÖŒÖžÖ›Ś ŚÖ±ŚœÖ茔֎քŚ™Ś ŚÖČŚ—Ö”ŚšÖŽÖ–Ś™Ś ŚąÖ”Ö„Ś„ Ś•ÖžŚÖžÖœŚ‘Ö¶ŚŸŚƒ
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      38 Ś–Ö¶Ö„ŚšÖ·Śą ŚšÖ·Ö–Ś‘ ŚȘÖŒŚ•Ö茊֎֣Ś™Ś Ś”Ö·Ś©Ś‚֌֞Ś“Ö¶Ö‘Ś” Ś•ÖŒŚžÖ°ŚąÖ·ÖŁŚ˜ ŚȘ֌ֶŚÖ±ŚĄÖč֔ŚŁ Ś›ÖŒÖŽÖ„Ś™ Ś™Ö·Ś—Ö°ŚĄÖ°ŚœÖ¶Ö–Ś ÖŒŚ•ÖŒ Ś”ÖžŚÖ·ŚšÖ°Ś‘֌ֶ֜Ś”Śƒ
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      44 Ś”ÖŁŚ•ÖŒŚ Ś™Ö·ŚœÖ°Ś•Ö°ŚšÖžÖ” Ś•Ö°ŚÖ·ŚȘ֌֖֞Ś” ŚœÖčÖŁŚ ŚȘÖ·ŚœÖ°Ś•Ö¶Ö‘Ś ÖŒŚ•ÖŒ Ś”ÖšŚ•ÖŒŚ Ś™ÖŽŚ”Ö°Ś™Ö¶ÖŁŚ” ŚœÖ°ŚšÖč֔ŚŚ©Ś Ś•Ö°ŚÖ·ŚȘ֌֖֞Ś” ŚȘ֌֎֜Ś”Ö°Ś™Ö¶Ö„Ś” ŚœÖ°Ś–ÖžŚ ÖžÖœŚ‘Śƒ
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      49 Ś™ÖŽŚ©Ś‚ÖŒÖžÖŁŚ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö© ŚąÖžŚœÖ¶ÖšŚ™ŚšÖž Ś’֌րŚ•Ö覙 ŚžÖ”ŚšÖžŚ—Ś•Ö覧֙ ŚžÖŽŚ§Ö°ŚŠÖ”ÖŁŚ” Ś”ÖžŚÖžÖ”ŚšÖ¶Ś„ Ś›ÖŒÖ·ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš Ś™ÖŽŚ“Ö°ŚÖ¶Ö–Ś” Ś”Ö·Ś ÖŒÖžÖ‘Ś©ŚÖ¶Śš Ś’֌֕Ś•Ö覙 ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚœÖčŚÖŸŚȘÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖ·Ö–Śą ŚœÖ°Ś©ŚÖčŚ ÖœŚ•Ö范
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      52 Ś•Ö°Ś”Ö”ŚŠÖ·ÖšŚš ŚœÖ°ŚšÖžÖœ Ś‘֌ְŚ›ÖžŚœÖŸŚ©ŚÖ°ŚąÖžŚšÖ¶Ö—Ś™ŚšÖž ŚąÖ·ÖŁŚ“ ŚšÖ¶Ö€Ś“Ö¶ŚȘ Ś—Ö覞ÖčŚȘֶ֙Ś™ŚšÖžÖ™ Ś”Ö·Ś’֌ְŚ‘Ö覔֣Ś•ÖčŚȘ Ś•Ö°Ś”Ö·Ś‘֌ְŚŠÖ»ŚšÖ”Ś•ÖčŚȘ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚÖ·ŚȘ֌֛֞Ś” Ś‘ÖŒÖ茘֔քŚ—Ö· Ś‘֌֞Ś”Ö”֖ŚŸ Ś‘֌ְŚ›ÖžŚœÖŸŚÖ·ŚšÖ°ŚŠÖ¶Ö‘ŚšÖž Ś•Ö°Ś”Ö”ŚŠÖ·Ö€Śš ŚœÖ°ŚšÖžÖ™ Ś‘֌ְŚ›ÖžŚœÖŸŚ©ŚÖ°ŚąÖžŚšÖ¶Ö”Ś™ŚšÖž Ś‘֌ְŚ›ÖžÖšŚœÖŸŚÖ·ŚšÖ°ŚŠÖ°ŚšÖžÖ” ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš Ś ÖžŚȘַ֛ŚŸ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” ŚÖ±ŚœÖ茔ֶ֖Ś™ŚšÖž ŚœÖžÖœŚšÖ°Śƒ
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      58 ŚÖŽŚÖŸŚœÖčÖšŚ ŚȘÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖč֜Śš ŚœÖ·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö—Ś•ÖčŚȘ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ›ÖŒÖžŚœÖŸŚ“֌֎Ś‘Ö°ŚšÖ”Ś™Ö™ Ś”Ö·ŚȘÖŒŚ•Ö茚֣֞Ś” Ś”Ö·Ś–ÖŒÖč֔ŚŚȘ Ś”Ö·Ś›ÖŒÖ°ŚȘŚ•ÖŒŚ‘ÖŽÖ–Ś™Ś Ś‘֌ַŚĄÖŒÖ”ÖŁŚ€Ö¶Śš Ś”Ö·Ś–֌ֶ֑Ś” ŚœÖ°Ö Ś™ÖŽŚšÖ°ŚÖžŚ” ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·Ś©ŚÖŒÖ”֞Ś Ś”Ö·Ś ÖŒÖŽŚ›Ö°Ś‘֌֞րŚ“ Ś•Ö°Ś”Ö·Ś ÖŒŚ•Ö茚֞ŚÖ™ Ś”Ö·Ś–֌ֶ֔Ś” ŚÖ”֖ŚȘ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” ŚÖ±ŚœÖčŚ”Ö¶ÖœŚ™ŚšÖžŚƒ
      59 Ś•Ö°Ś”ÖŽŚ€Ö°ŚœÖžÖ€Ś Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚžÖ·Ś›ÖŒÖčÖŁŚȘÖ°ŚšÖžÖ” Ś•Ö°ŚÖ”֖ŚȘ ŚžÖ·Ś›ÖŒÖŁŚ•ÖčŚȘ Ś–Ö·ŚšÖ°ŚąÖ¶Ö‘ŚšÖž ŚžÖ·Ś›ÖŒÖ€Ś•ÖčŚȘ Ś’֌ְŚ“Ö覜Ś•ÖčŚȘ֙ Ś•Ö°Ś Ö¶ÖŁŚÖ±ŚžÖžŚ Ö”Ś•ÖčŚȘ Ś•ÖžŚ—ÖłŚœÖžŚ™ÖŽÖ„Ś ŚšÖžŚąÖŽÖ–Ś™Ś Ś•Ö°Ś Ö¶ŚÖ±ŚžÖžŚ ÖŽÖœŚ™ŚŚƒ
      60 Ś•Ö°Ś”Ö”Ś©ŚÖŽÖŁŚ™Ś‘ Ś‘֌ְŚšÖžÖ— ŚÖ”֚ŚȘ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚžÖ·Ś“Ö°Ś•Ö”ÖŁŚ” ŚžÖŽŚŠÖ°ŚšÖ·Ö”Ś™ÖŽŚ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš Ś™ÖžŚ’Öč֖ŚšÖ°ŚȘ֌֞ ŚžÖŽŚ€ÖŒÖ°Ś Ö”Ś™Ś”Ö¶Ö‘Ś Ś•Ö°Ś“ÖžŚ‘Ö°Ś§Ö–Ś•ÖŒ Ś‘֌֞֜ŚšÖ°Śƒ
      61 Ś’֌ַրŚ Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚ—ÖłŚœÖŽŚ™Ö™ Ś•Ö°Ś›ÖžŚœÖŸŚžÖ·Ś›ÖŒÖžÖ”Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖ™ ŚœÖčÖŁŚ Ś›ÖžŚȘ֔Ś•ÖŒŚ‘ Ś‘֌ְŚĄÖ”֖Ś€Ö¶Śš Ś”Ö·ŚȘÖŒŚ•Ö茚֣֞Ś” Ś”Ö·Ś–ÖŒÖč֑ŚŚȘ Ś™Ö·ŚąÖ°ŚœÖ”Ö€Ś Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ ŚąÖžŚœÖ¶Ö”Ś™ŚšÖž ŚąÖ·Ö–Ś“ Ś”ÖŽŚ©ŚÖŒÖžŚžÖ°Ś“ÖžÖœŚšÖ°Śƒ
      62 Ś•Ö°Ś ÖŽŚ©ŚÖ°ŚÖ·ŚšÖ°ŚȘ֌ֶŚÖ™ Ś‘֌֎ŚžÖ°ŚȘÖ”ÖŁŚ™ ŚžÖ°ŚąÖžÖ”Ś˜ ŚȘ֌ַ֚Ś—Ö·ŚȘ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš Ś”Ö±Ś™ÖŽŚ™ŚȘֶ֔Ś Ś›ÖŒÖ°Ś›Ś•Ö覛ְŚ‘Ö”Ö„Ś™ Ś”Ö·Ś©ŚÖŒÖžŚžÖ·Ö–Ś™ÖŽŚ ŚœÖžŚšÖč֑Ś‘ Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚœÖčÖŁŚ Ś©ŚÖžŚžÖ·Ö”ŚąÖ°ŚȘ֌֞ Ś‘֌ְŚ§Ö–Ś•Ö覜 Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” ŚÖ±ŚœÖčŚ”Ö¶ÖœŚ™ŚšÖžŚƒ
      63 Ś•Ö°Ö Ś”ÖžŚ™ÖžŚ” Ś›ÖŒÖ·ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ©Ś‚ÖžÖšŚ©Ś‚ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ” ŚąÖČŚœÖ”Ś™Ś›Ö¶Ö—Ś ŚœÖ°Ś”Ö”Ś™Ś˜ÖŽÖŁŚ™Ś‘ ŚÖ¶ŚȘÖ°Ś›Ö¶ŚÖź Ś•ÖŒŚœÖ°Ś”Ö·ŚšÖ°Ś‘ÖŒÖŁŚ•ÖčŚȘ ŚÖ¶ŚȘÖ°Ś›Ö¶ŚÖ’ Ś›ÖŒÖ”ÖŁŚŸ Ś™ÖžŚ©Ś‚ÖŽÖ€Ś™Ś©Ś‚ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ ŚąÖČŚœÖ”Ś™Ś›Ö¶Ö”Ś ŚœÖ°Ś”Ö·ŚÖČŚ‘ÖŽÖ„Ś™Ś“ ŚÖ¶ŚȘÖ°Ś›Ö¶Ö–Ś Ś•ÖŒŚœÖ°Ś”Ö·Ś©ŚÖ°ŚžÖŽÖŁŚ™Ś“ ŚÖ¶ŚȘÖ°Ś›Ö¶Ö‘Ś Ś•Ö°Ś ÖŽŚĄÖŒÖ·Ś—Ö°ŚȘ֌ֶŚÖ™ ŚžÖ”ŚąÖ·ÖŁŚœ Ś”֜֞ŚÖČŚ“ÖžŚžÖžÖ”Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚÖ·ŚȘ֌֞քŚ” Ś‘ÖžŚÖŸŚ©ŚÖžÖ–ŚžÖŒÖžŚ” ŚœÖ°ŚšÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌֞֜Ś”ÖŒŚƒ
      64 Ś•Ö¶Ś”Ö±Ś€ÖŽÖœŚ™ŚŠÖ°ŚšÖžÖ€ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ Ś‘֌ְŚ›ÖžŚœÖŸŚ”ÖžÖŁŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖ”Ś™Ś ŚžÖŽŚ§Ö°ŚŠÖ”Ö„Ś” Ś”ÖžŚÖžÖ–ŚšÖ¶Ś„ Ś•Ö°ŚąÖ·Ś“ÖŸŚ§Ö°ŚŠÖ”ÖŁŚ” Ś”ÖžŚÖžÖ‘ŚšÖ¶Ś„ Ś•Ö°ŚąÖžŚ‘Ö·ÖšŚ“Ö°ŚȘ֌֞ Ś©ŚÖŒÖžÖœŚ ŚÖ±ŚœÖ覔֣֮Ś™Ś ŚÖČŚ—Ö”ŚšÖŽÖ—Ś™Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö§Śš ŚœÖčŚÖŸŚ™ÖžŚ“Ö·Ö›ŚąÖ°ŚȘ֌֞ ŚÖ·ŚȘ֌֞քŚ” Ś•Ö·ŚÖČŚ‘ÖčŚȘֶ֖Ś™ŚšÖž ŚąÖ”Ö„Ś„ Ś•ÖžŚÖžÖœŚ‘Ö¶ŚŸŚƒ
      65 Ś•ÖŒŚ‘Ö·Ś’ÖŒŚ•Ö茙֎րŚ Ś”ÖžŚ”Ö”ŚÖ™ ŚœÖčÖŁŚ ŚȘÖ·ŚšÖ°Ś’֌֎֔Ś™ŚąÖ· Ś•Ö°ŚœÖčŚÖŸŚ™ÖŽŚ”Ö°Ś™Ö¶Ö„Ś” ŚžÖžŚ Ö–Ś•Ö茗ַ ŚœÖ°Ś›Ö·ŚŁÖŸŚšÖ·Ś’Ö°ŚœÖ¶Ö‘ŚšÖž Ś•Ö°Ś ÖžŚȘÖ·ŚŸÖ© Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖšŚ” ŚœÖ°ŚšÖžÖ„ Ś©ŚÖžŚÖ™ ŚœÖ”ÖŁŚ‘ ŚšÖ·Ś’֌֞֔Ś– Ś•Ö°Ś›ÖŽŚœÖ°Ś™Ö„Ś•Ö覟 ŚąÖ”Ś™Ś Ö·Ö–Ś™ÖŽŚ Ś•Ö°Ś“ַ֜ŚÖČŚ‘Ö„Ś•Ö覟 Ś ÖžÖœŚ€Ö¶Ś©ŚŚƒ
      66 Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™ÖŁŚ•ÖŒ Ś—Ö·Ś™ÖŒÖ¶Ö”Ś™ŚšÖž ŚȘ֌ְŚœÖ»ŚÖŽÖ„Ś™Ś ŚœÖ°ŚšÖžÖ– ŚžÖŽŚ ÖŒÖ¶Ö‘Ś’Ö¶Ś“ Ś•ÖŒŚ€ÖžÖœŚ—Ö·Ś“Ö°ŚȘ֌֞֙ ŚœÖ·ÖŁŚ™Ö°ŚœÖžŚ” Ś•Ö°Ś™Ś•Ö覞־֔Ś Ś•Ö°ŚœÖčÖ„Ś ŚȘÖ·ŚÖČŚžÖŽÖ–Ś™ŚŸ Ś‘֌ְŚ—Ö·Ś™ÖŒÖ¶ÖœŚ™ŚšÖžŚƒ
      67 Ś‘֌ַŚ‘ÖŒÖčÖ€Ś§Ö¶Śš ŚȘÖŒÖ茐ŚžÖ·ŚšÖ™ ŚžÖŽÖœŚ™ÖŸŚ™ÖŽŚȘÖŒÖ”ÖŁŚŸ ŚąÖ¶Ö”ŚšÖ¶Ś‘ Ś•ÖŒŚ‘ÖžŚąÖ¶Ö„ŚšÖ¶Ś‘ ŚȘÖŒÖ茐ŚžÖ·Ö–Śš ŚžÖŽÖœŚ™ÖŸŚ™ÖŽŚȘÖŒÖ”ÖŁŚŸ Ś‘ÖŒÖč֑Ś§Ö¶Śš ŚžÖŽŚ€ÖŒÖ·Ö€Ś—Ö·Ś“ ŚœÖ°Ś‘ÖžÖœŚ‘Ö°ŚšÖžÖ™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš ŚȘ֌֎Ś€Ö°Ś—ÖžÖ”Ś“ Ś•ÖŒŚžÖŽŚžÖŒÖ·ŚšÖ°ŚÖ”Ö„Ś” ŚąÖ”Ś™Ś Ö¶Ö–Ś™ŚšÖž ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚȘ֌֎ŚšÖ°ŚÖ¶ÖœŚ”Śƒ
      68 Ś•Ö¶ÖœŚ”Ö±Ś©ŚÖŽÖœŚ™Ś‘Ö°ŚšÖžÖš Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ„Ś” Ś€ ŚžÖŽŚŠÖ°ŚšÖ·Ś™ÖŽŚÖź Ś‘֌֞ŚÖłŚ ÖŽŚ™ÖŒŚ•ÖčŚȘ֒ Ś‘֌ַŚ“֌ֶ֙ŚšÖ¶ŚšÖ°Ö™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš ŚÖžŚžÖ·ÖŁŚšÖ°ŚȘ֌֎֜Ś™ ŚœÖ°ŚšÖžÖ” ŚœÖčŚÖŸŚȘÖ茥֎քŚ™ŚŁ ŚąÖ–Ś•Ö覓 ŚœÖŽŚšÖ°ŚÖčŚȘ־֑Ś”ÖŒ Ś•Ö°Ś”ÖŽŚȘÖ°ŚžÖ·Ś›ÖŒÖ·ŚšÖ°ŚȘ֌ֶ֚Ś Ś©ŚÖžÖ§Ś ŚœÖ°ŚÖ覙ְŚ‘Ö¶Ö›Ś™ŚšÖž ŚœÖ·ŚąÖČŚ‘ÖžŚ“ÖŽÖ„Ś™Ś Ś•Ö°ŚœÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖžŚ—Ö–Ś•ÖčŚȘ Ś•Ö°ŚÖ”Ö„Ś™ŚŸ Ś§ÖčŚ Ö¶ÖœŚ”Śƒ

      Psaumes 6

      8 ŚąÖžÖœŚ©ŚÖ°Ś©ŚÖžÖŁŚ” ŚžÖŽŚ›ÖŒÖ·ÖŁŚąÖ·ŚĄ ŚąÖ”Ś™Ś ÖŽÖ‘Ś™ ŚąÖžÖœÖŚȘÖ°Ś§ÖžÖ—Ś” Ś‘֌ְŚ›ÖžŚœÖŸŚŠŚ•Ö茚ְŚšÖžÖœŚ™Śƒ

      Psaumes 119

      21 Ś’֌֭֞ŚąÖ·ŚšÖ°ŚȘ֌֞ Ś–Ö”Ś“ÖŽÖŁŚ™Ś ŚÖČŚšŚ•ÖŒŚšÖŽÖ‘Ś™Ś Ś”ַ֝Ś©ŚÖŒÖ覒֮Ś™Ś ŚžÖŽŚžÖŒÖŽŚŠÖ°Ś•ÖșŚȘÖ¶ÖœŚ™ŚšÖžŚƒ
      115 ŚĄÖœŚ•ÖŒŚšŚ•ÖŒÖŸŚžÖŽŚžÖŒÖ¶Ö„Ś ÖŒÖŽŚ™ ŚžÖ°ŚšÖ”ŚąÖŽÖ‘Ś™Ś Ś•Ö°ÖŚÖ¶ŚŠÖŒÖ°ŚšÖžÖ—Ś” ŚžÖŽŚŠÖ°Ś•ÖșÖ„ŚȘ ŚÖ±ŚœÖčŚ”ÖžÖœŚ™Śƒ

      Psaumes 139

      19 ŚÖŽŚÖŸŚȘ֌֎Ś§Ö°Ś˜Öč֖Śœ ŚÖ±ŚœÖ„Ś•ÖčŚ”ÖŒÖ· Ś€ ŚšÖžŚ©ŚÖžÖ‘Śą Ś•Ö°ŚÖ·Ś Ö°Ś©ŚÖ”Ö„Ś™ Ś“֞֝ŚžÖŽÖ—Ś™Ś ŚĄÖŁŚ•ÖŒŚšŚ•ÖŒ ŚžÖ¶ÖœŚ ÖŒÖŽŚ™Śƒ

      EsaĂŻe 66

      24 Ś•Ö°Ś™ÖžŚŠÖ°ŚÖŁŚ•ÖŒ Ś•Ö°ŚšÖžŚÖ”Ś•ÖŒ Ś‘֌ְŚ€ÖŽŚ’Ö°ŚšÖ”Ś™Ö™ Ś”ÖžŚÖČŚ ÖžŚ©ŚÖŽÖ”Ś™Ś Ś”Ö·Ś€ÖŒÖ茩ŚÖ°ŚąÖŽÖ–Ś™Ś Ś‘֌֎֑Ś™ Ś›ÖŒÖŽÖŁŚ™ ŚȘŚ•ÖčŚœÖ·ŚąÖ°ŚȘ֌֞֞Ś ŚœÖčÖŁŚ ŚȘÖžŚžÖ—Ś•ÖŒŚȘ Ś•Ö°ŚÖŽŚ©ŚÖŒÖžŚÖ™ ŚœÖčÖŁŚ ŚȘÖŽŚ›Ö°Ś‘֌ֶ֔Ś” Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™Ö„Ś•ÖŒ Ś“Ö”ŚšÖžŚÖ–Ś•Ö覟 ŚœÖ°Ś›ÖžŚœÖŸŚ‘֌֞Ś©Ś‚ÖžÖœŚšŚƒ

      Jérémie 17

      5 Ś›ÖŒÖčÖŁŚ” Ś€ ŚÖžŚžÖ·ÖŁŚš Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ—Ś” ŚÖžŚšÖ€Ś•ÖŒŚš Ś”Ö·Ś’֌ֶ֙Ś‘Ö¶ŚšÖ™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš Ś™ÖŽŚ‘Ö°Ś˜Ö·ÖŁŚ— Ś‘֌֞֜ŚÖžŚ“ÖžÖ”Ś Ś•Ö°Ś©Ś‚ÖžÖ„Ś Ś‘֌֞Ś©Ś‚ÖžÖ–Śš Ś–Ö°ŚšÖ覱֑Ś•Öč Ś•ÖŒŚžÖŽŚŸÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ–Ś” Ś™ÖžŚĄÖ„Ś•ÖŒŚš ŚœÖŽŚ‘֌֜Ś•Ö范

      Matthieu 3

      12 Îżáœ— τ᜞ Ï€Ï„ÏÎżÎœ ጐΜ Ï„áż‡ χΔÎčρ᜶ Î±áœÏ„ÎżáżŠ, Îșα᜶ ÎŽÎčαÎșαΞαρÎčΔῖ τᜎΜ ጅλωΜα Î±áœÏ„ÎżáżŠ Îșα᜶ ÏƒÏ…ÎœÎŹÎŸÎ”Îč τ᜞Μ Ïƒáż–Ï„ÎżÎœ Î±áœÏ„ÎżáżŠ Δጰς τᜎΜ áŒ€Ï€ÎżÎžÎźÎșηΜ, τ᜞ ÎŽáœČ áŒ„Ï‡Ï…ÏÎżÎœ ÎșαταÎșαύσΔÎč πυρ᜶ ጀσÎČÎ­ÏƒÏ„áżł.

      Matthieu 5

      22 áŒÎłáœŒ ÎŽáœČ Î»Î­ÎłÏ‰ áœ‘ÎŒáż–Îœ ᜅτÎč π៶ς ᜁ áœ€ÏÎłÎčÎ¶ÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÏ‚ Ï„áż· áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†áż· Î±áœÏ„ÎżáżŠ áŒ”ÎœÎżÏ‡ÎżÏ‚ ጔσταÎč Ï„áż‡ ÎșÏÎŻÏƒÎ”Îč· ᜃς ή’ ጂΜ Î”áŒŽÏ€áżƒ Ï„áż· áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†áż· Î±áœÏ„ÎżáżŠÎ‡ ῏αÎșÎŹ, áŒ”ÎœÎżÏ‡ÎżÏ‚ ጔσταÎč Ï„áż· ÏƒÏ…ÎœÎ”ÎŽÏÎŻáżłÎ‡ ᜃς ή’ ጂΜ Î”áŒŽÏ€áżƒÎ‡ Μωρέ, áŒ”ÎœÎżÏ‡ÎżÏ‚ ጔσταÎč Δጰς τᜎΜ ÎłÎ­Î”ÎœÎœÎ±Îœ Ï„ÎżáżŠ πυρός.

      Matthieu 7

      23 Îșα᜶ τότΔ áœÎŒÎżÎ»ÎżÎłÎźÏƒÏ‰ Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚ ᜅτÎč ÎŸáœÎŽÎ­Ï€ÎżÏ„Î” áŒ”ÎłÎœÏ‰Îœ ᜑΌ៶ς· áŒ€Ï€ÎżÏ‡Ï‰ÏÎ”áż–Ï„Î” ጀπ’ áŒÎŒÎżáżŠ ÎżáŒ± áŒÏÎłÎ±Î¶ÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎč τᜎΜ áŒ€ÎœÎżÎŒÎŻÎ±Îœ.

      Matthieu 13

      40 ᜄσπΔρ Îżáœ–Îœ ÏƒÏ…Î»Î»Î­ÎłÎ”Ï„Î±Îč τᜰ ζÎčÎ¶ÎŹÎœÎčα Îșα᜶ πυρ᜶ ÎșÎ±ÎŻÎ”Ï„Î±Îč, Îżáœ•Ï„Ï‰Ï‚ ጔσταÎč ጐΜ Ï„áż‡ ÏƒÏ…ÎœÏ„Î”Î»Î”ÎŻáŸł Ï„ÎżáżŠ Î±áŒ°áż¶ÎœÎżÏ‚Î‡
      42 Îșα᜶ ÎČÎ±Î»ÎżáżŠÏƒÎčÎœ Î±áœÏ„Îżáœșς Δጰς τᜎΜ ÎșÎŹÎŒÎčÎœÎżÎœ Ï„ÎżáżŠ πυρός· ጐÎșΔῖ ጔσταÎč ᜁ ÎșλαυΞΌ᜞ς Îșα᜶ ᜁ ÎČÏÏ…ÎłÎŒáœžÏ‚ Ï„áż¶Îœ ᜀΎόΜτωΜ.
      50 Îșα᜶ ÎČÎ±Î»ÎżáżŠÏƒÎčÎœ Î±áœÏ„Îżáœșς Δጰς τᜎΜ ÎșÎŹÎŒÎčÎœÎżÎœ Ï„ÎżáżŠ πυρός· ጐÎșΔῖ ጔσταÎč ᜁ ÎșλαυΞΌ᜞ς Îșα᜶ ᜁ ÎČÏÏ…ÎłÎŒáœžÏ‚ Ï„áż¶Îœ ᜀΎόΜτωΜ.

      Matthieu 18

      8 Εጰ ÎŽáœČ áŒĄ Ï‡Î”ÎŻÏ ÏƒÎżÏ… áŒą ᜁ Ï€ÎżÏÏ‚ ÏƒÎżÏ… σÎșÎ±ÎœÎŽÎ±Î»ÎŻÎ¶Î”Îč σΔ, ጔÎșÎșÎżÏˆÎżÎœ αᜐτ᜞Μ Îșα᜶ ÎČΏλΔ ጀπ᜞ ÏƒÎżáżŠÎ‡ ÎșαλόΜ ÏƒÎżÎŻ ጐστÎčÎœ Î”áŒ°ÏƒÎ”Î»ÎžÎ”áż–Îœ Δጰς τᜎΜ ζωᜎΜ Îșυλλ᜞Μ áŒą χωλόΜ, áŒą ÎŽÏÎż Ï‡Î”áż–ÏÎ±Ï‚ áŒą ÎŽÏÎż πόΎας áŒ”Ï‡ÎżÎœÏ„Î± ÎČÎ»Î·Îžáż†ÎœÎ±Îč Δጰς τ᜞ Ï€áżŠÏ τ᜞ αጰώΜÎčÎżÎœ.

      Matthieu 25

      41 τότΔ áŒÏÎ”áż– Îșα᜶ Ï„Îżáż–Ï‚ ጐΟ ΔᜐωΜύΌωΜ· Î ÎżÏÎ”ÏÎ”ÏƒÎžÎ” ጀπ’ áŒÎŒÎżáżŠ ÎżáŒ± ÎșÎ±Ï„Î·ÏÎ±ÎŒÎ­ÎœÎżÎč Δጰς τ᜞ Ï€áżŠÏ τ᜞ αጰώΜÎčÎżÎœ τ᜞ áŒĄÏ„ÎżÎčÎŒÎ±ÏƒÎŒÎ­ÎœÎżÎœ Ï„áż· ÎŽÎčαÎČÏŒÎ»áżł Îșα᜶ Ï„Îżáż–Ï‚ áŒ€ÎłÎłÎ­Î»ÎżÎčς Î±áœÏ„ÎżáżŠ.
      46 Îșα᜶ áŒ€Ï€Î”Î»Î”ÏÏƒÎżÎœÏ„Î±Îč Îżáœ—Ï„ÎżÎč Δጰς ÎșόλασÎčÎœ αጰώΜÎčÎżÎœ, ÎżáŒ± ÎŽáœČ ÎŽÎŻÎșαÎčÎżÎč Δጰς ζωᜎΜ αጰώΜÎčÎżÎœ.

      Marc 9

      43 Κα᜶ ጐᜰΜ σÎșÎ±ÎœÎŽÎ±Î»ÎŻÎ¶áżƒ σΔ áŒĄ Ï‡Î”ÎŻÏ ÏƒÎżÏ…, ጀπόÎșÎżÏˆÎżÎœ Î±áœÏ„ÎźÎœÎ‡ ÎșαλόΜ áŒÏƒÏ„ÎŻÎœ σΔ Îșυλλ᜞Μ Î”áŒ°ÏƒÎ”Î»ÎžÎ”áż–Îœ Δጰς τᜎΜ ζωᜎΜ áŒą τᜰς ÎŽÏÎż Ï‡Î”áż–ÏÎ±Ï‚ áŒ”Ï‡ÎżÎœÏ„Î± áŒ€Ï€Î”Î»ÎžÎ”áż–Îœ Δጰς τᜎΜ ÎłÎ­Î”ÎœÎœÎ±Îœ, Δጰς τ᜞ Ï€áżŠÏ τ᜞ ጄσÎČÎ”ÏƒÏ„ÎżÎœ.
      45 Îșα᜶ ጐᜰΜ ᜁ Ï€ÎżÏÏ‚ ÏƒÎżÏ… σÎșÎ±ÎœÎŽÎ±Î»ÎŻÎ¶áżƒ σΔ, ጀπόÎșÎżÏˆÎżÎœ αᜐτόΜ· ÎșαλόΜ áŒÏƒÏ„ÎŻÎœ σΔ Î”áŒ°ÏƒÎ”Î»ÎžÎ”áż–Îœ Δጰς τᜎΜ ζωᜎΜ χωλ᜞Μ áŒą Ï„Îżáœșς ÎŽÏÎż πόΎας áŒ”Ï‡ÎżÎœÏ„Î± ÎČÎ»Î·Îžáż†ÎœÎ±Îč Δጰς τᜎΜ ÎłÎ­Î”ÎœÎœÎ±Îœ.
      47 Îșα᜶ ጐᜰΜ ᜁ ᜀφΞαλΌός ÏƒÎżÏ… σÎșÎ±ÎœÎŽÎ±Î»ÎŻÎ¶áżƒ σΔ, ጔÎșÎČαλΔ αᜐτόΜ· ÎșαλόΜ σέ ጐστÎčÎœ ÎŒÎżÎœÏŒÏ†ÎžÎ±Î»ÎŒÎżÎœ Î”áŒ°ÏƒÎ”Î»ÎžÎ”áż–Îœ Δጰς τᜎΜ ÎČασÎčÎ»Î”ÎŻÎ±Îœ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ áŒą ÎŽÏÎż áœ€Ï†ÎžÎ±Î»ÎŒÎżáœșς áŒ”Ï‡ÎżÎœÏ„Î± ÎČÎ»Î·Îžáż†ÎœÎ±Îč Δጰς τᜎΜ ÎłÎ­Î”ÎœÎœÎ±Îœ,
      48 áœ…Ï€ÎżÏ… ᜁ σÎșώληΟ Î±áœÏ„áż¶Îœ Îżáœ τΔλΔυτ៷ Îșα᜶ τ᜞ Ï€áżŠÏ Îżáœ σÎČέΜΜυταÎč.

      Luc 13

      27 Îșα᜶ áŒÏÎ”áż– Î»Î­ÎłÏ‰Îœ áœ‘ÎŒáż–ÎœÎ‡ ΟᜐÎș ÎżáŒ¶ÎŽÎ± πόΞΔΜ ጐστέ· ጀπόστητΔ ጀπ’ áŒÎŒÎżáżŠ, Ï€ÎŹÎœÏ„Î”Ï‚ áŒÏÎłÎŹÏ„Î±Îč ጀΎÎčÎșÎŻÎ±Ï‚.

      Luc 16

      24 Îșα᜶ αᜐτ᜞ς Ï†Ï‰ÎœÎźÏƒÎ±Ï‚ ΔጶπΔΜ· Î ÎŹÏ„Î”Ï ገÎČÏÎ±ÎŹÎŒ, ጐλέησόΜ ΌΔ Îșα᜶ Ï€Î­ÎŒÏˆÎżÎœ Î›ÎŹÎ¶Î±ÏÎżÎœ ጔΜα ÎČÎŹÏˆáżƒ τ᜞ ጄÎșÏÎżÎœ Ï„ÎżáżŠ ΎαÎșÏ„ÏÎ»ÎżÏ… Î±áœÏ„ÎżáżŠ áœ•ÎŽÎ±Ï„ÎżÏ‚ Îșα᜶ ÎșÎ±Ï„Î±ÏˆÏÎŸáżƒ τᜎΜ ÎłÎ»áż¶ÏƒÏƒÎŹÎœ ÎŒÎżÏ…, ᜅτÎč áœ€ÎŽÏ…Îœáż¶ÎŒÎ±Îč ጐΜ Ï„áż‡ Ï†Î»ÎżÎłáœ¶ Ï„Î±ÏÏ„áżƒ.

      Jean 8

      44 áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ ጐÎș Ï„ÎżáżŠ πατρ᜞ς Ï„ÎżáżŠ ÎŽÎčαÎČÏŒÎ»ÎżÏ… ጐστáœČ Îșα᜶ τᜰς ጐπÎčÎžÏ…ÎŒÎŻÎ±Ï‚ Ï„ÎżáżŠ πατρ᜞ς áœ‘ÎŒáż¶Îœ ΞέλΔτΔ Ï€ÎżÎčÎ”áż–Îœ. ጐÎșÎ”áż–ÎœÎżÏ‚ áŒ€ÎœÎžÏÏ‰Ï€ÎżÎșÏ„ÏŒÎœÎżÏ‚ ጊΜ ጀπ’ áŒ€ÏÏ‡áż†Ï‚, Îșα᜶ ጐΜ Ï„áż‡ áŒ€Î»Î·ÎžÎ”ÎŻáŸł ÎżáœÎș ጔστηÎșΔΜ, ᜅτÎč ÎżáœÎș ጔστÎčÎœ áŒ€Î»ÎźÎžÎ”Îčα ጐΜ Î±áœÏ„áż·. ᜅταΜ λαλῇ τ᜞ ÏˆÎ”áżŠÎŽÎżÏ‚, ጐÎș Ï„áż¶Îœ áŒ°ÎŽÎŻÏ‰Îœ λαλΔῖ, ᜅτÎč ψΔύστης ጐστ᜶Μ Îșα᜶ ᜁ πατᜎρ Î±áœÏ„ÎżáżŠ.

      Romains 9

      22 Δጰ ÎŽáœČ ΞέλωΜ ᜁ ΞΔ᜞ς áŒÎœÎŽÎ”ÎŻÎŸÎ±ÏƒÎžÎ±Îč τᜎΜ áœ€ÏÎłáœŽÎœ Îșα᜶ ÎłÎœÏ‰ÏÎŻÏƒÎ±Îč τ᜞ ΎυΜατ᜞Μ Î±áœÏ„ÎżáżŠ áŒ€ÎœÎ”ÎłÎșΔΜ ጐΜ Ï€ÎżÎ»Î»áż‡ ΌαÎșÏÎżÎžÏ…ÎŒÎŻáŸł σÎșΔύη áœ€ÏÎłáż†Ï‚ ÎșατηρτÎčσΌέΜα Δጰς ጀπώλΔÎčαΜ,
      23 Îșα᜶ ጔΜα ÎłÎœÏ‰ÏÎŻÏƒáżƒ τ᜞Μ Ï€Î»ÎżáżŠÏ„ÎżÎœ Ï„áż†Ï‚ ΎόΟης Î±áœÏ„ÎżáżŠ ጐπ᜶ σÎșΔύη áŒÎ»Î­ÎżÏ…Ï‚, ጃ Ï€ÏÎżÎ·Ï„ÎżÎŻÎŒÎ±ÏƒÎ”Îœ Δጰς ΎόΟαΜ,

      Galates 3

      10 áœÏƒÎżÎč Îłáœ°Ï ጐΟ áŒ”ÏÎłÏ‰Îœ ÎœÏŒÎŒÎżÏ… Δጰσ᜶Μ ᜑπ᜞ ÎșÎ±Ï„ÎŹÏÎ±Îœ Î”áŒ°ÏƒÎŻÎœ, ÎłÎ­ÎłÏÎ±Ï€Ï„Î±Îč Îłáœ°Ï ᜅτÎč ጘπÎčÎșÎ±Ï„ÎŹÏÎ±Ï„ÎżÏ‚ π៶ς ᜃς ÎżáœÎș ጐΌΌέΜΔÎč π៶σÎčÎœ Ï„Îżáż–Ï‚ ÎłÎ”ÎłÏÎ±ÎŒÎŒÎ­ÎœÎżÎčς ጐΜ Ï„áż· ÎČÎčÎČλίῳ Ï„ÎżáżŠ ÎœÏŒÎŒÎżÏ… Ï„ÎżáżŠ Ï€ÎżÎčáż†ÏƒÎ±Îč Î±áœÏ„ÎŹ.
      11 ᜅτÎč ÎŽáœČ ጐΜ ÎœÏŒÎŒáżł ÎżáœÎŽÎ”áœ¶Ï‚ ÎŽÎčÎșαÎčÎżáżŠÏ„Î±Îč παρᜰ Ï„áż· ΞΔῷ ÎŽáż†Î»ÎżÎœ, ᜅτÎč ᜉ ÎŽÎŻÎșαÎčÎżÏ‚ ጐÎș Ï€ÎŻÏƒÏ„Î”Ï‰Ï‚ Î¶ÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč,
      12 ᜁ ÎŽáœČ ÎœÏŒÎŒÎżÏ‚ ÎżáœÎș ጔστÎčÎœ ጐÎș Ï€ÎŻÏƒÏ„Î”Ï‰Ï‚, ጀλλ’· ᜉ Ï€ÎżÎčÎźÏƒÎ±Ï‚ αᜐτᜰ Î¶ÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč ጐΜ Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚.
      13 ΧρÎčστ᜞ς áŒĄÎŒáŸ¶Ï‚ áŒÎŸÎ·ÎłÏŒÏÎ±ÏƒÎ”Îœ ጐÎș Ï„áż†Ï‚ ÎșÎ±Ï„ÎŹÏÎ±Ï‚ Ï„ÎżáżŠ ÎœÏŒÎŒÎżÏ… ÎłÎ”ÎœÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÏ‚ ᜑπáœČρ áŒĄÎŒáż¶Îœ ÎșÎ±Ï„ÎŹÏÎ±, ᜅτÎč ÎłÎ­ÎłÏÎ±Ï€Ï„Î±Îč· ጘπÎčÎșÎ±Ï„ÎŹÏÎ±Ï„ÎżÏ‚ π៶ς ᜁ ÎșÏÎ”ÎŒÎŹÎŒÎ”ÎœÎżÏ‚ ጐπ᜶ ÎŸÏÎ»ÎżÏ…,

      2 Thessaloniciens 1

      9 ÎżáŒ”Ï„ÎčΜΔς ÎŽÎŻÎșηΜ Ï„ÎŻÏƒÎżÏ…ÏƒÎčÎœ áœ„Î»Î”ÎžÏÎżÎœ αጰώΜÎčÎżÎœ ጀπ᜞ Ï€ÏÎżÏƒÏŽÏ€ÎżÏ… Ï„ÎżáżŠ ÎșÏ…ÏÎŻÎżÏ… Îșα᜶ ጀπ᜞ Ï„áż†Ï‚ ΎόΟης Ï„áż†Ï‚ áŒ°ÏƒÏ‡ÏÎżÏ‚ Î±áœÏ„ÎżáżŠ,

      HĂ©breux 6

      8 ጐÎșÏ†Î­ÏÎżÏ…ÏƒÎ± ÎŽáœČ ጀÎșÎŹÎœÎžÎ±Ï‚ Îșα᜶ τρÎčÎČÏŒÎ»ÎżÏ…Ï‚ ጀΎόÎșÎčÎŒÎżÏ‚ Îșα᜶ ÎșÎ±Ï„ÎŹÏÎ±Ï‚ áŒÎłÎłÏÏ‚, ጧς τ᜞ Ï„Î­Î»ÎżÏ‚ Δጰς ÎșÎ±áżŠÏƒÎčÎœ.

      2 Pierre 2

      4 Εጰ Îłáœ°Ï ᜁ ΞΔ᜞ς áŒ€ÎłÎłÎ­Î»Ï‰Îœ áŒÎŒÎ±ÏÏ„Î·ÏƒÎŹÎœÏ„Ï‰Îœ ÎżáœÎș áŒÏ†Î”ÎŻÏƒÎ±Ï„Îż, ጀλλᜰ σΔÎčÏÎ±áż–Ï‚ Î¶ÏŒÏ†ÎżÏ… ταρταρώσας παρέΎωÎșΔΜ Δጰς ÎșÏÎŻÏƒÎčÎœ Ï„Î·ÏÎżÏ…ÎŒÎ­ÎœÎżÏ…Ï‚,

      1 Jean 3

      10 ጐΜ Ï„ÎżÏÏ„áżł Ï†Î±ÎœÎ”ÏÎŹ ጐστÎčÎœ τᜰ τέÎșΜα Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ Îșα᜶ τᜰ τέÎșΜα Ï„ÎżáżŠ ÎŽÎčαÎČÏŒÎ»ÎżÏ…Î‡ π៶ς ᜁ Όᜎ Ï€ÎżÎčáż¶Îœ ÎŽÎčÎșαÎčÎżÏƒÏÎœÎ·Îœ ÎżáœÎș ጔστÎčÎœ ጐÎș Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ, Îșα᜶ ᜁ Όᜎ áŒ€ÎłÎ±Ï€áż¶Îœ τ᜞Μ ጀΎΔλφ᜞Μ Î±áœÏ„ÎżáżŠ.

      Jude 1

      6 áŒ€ÎłÎłÎ­Î»ÎżÏ…Ï‚ τΔ Ï„Îżáœșς Όᜎ Ï„Î·ÏÎźÏƒÎ±ÎœÏ„Î±Ï‚ τᜎΜ áŒ‘Î±Ï…Ï„áż¶Îœ ጀρχᜎΜ ጀλλᜰ áŒ€Ï€ÎżÎ»ÎčπόΜτας τ᜞ ጎΎÎčÎżÎœ ÎżáŒ°ÎșÎ·Ï„ÎźÏÎčÎżÎœ Δጰς ÎșÏÎŻÏƒÎčÎœ ÎŒÎ”ÎłÎŹÎ»Î·Ï‚ áŒĄÎŒÎ­ÏÎ±Ï‚ ÎŽÎ”ÏƒÎŒÎżáż–Ï‚ áŒ€ÏŠÎŽÎŻÎżÎčς ᜑπ᜞ Î¶ÏŒÏ†ÎżÎœ Ï„Î”Ï„ÎźÏÎ·ÎșΔΜ·
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