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Matthieu 4.10

JĂ©sus lui dit alors : « Retire-toi, Satan ! En effet, il est Ă©crit : C’est le Seigneur, ton Dieu, que tu adoreras et c’est lui seul que tu serviras. »

Cette fois, JĂ©sus l’apostropha : — Va-t’en Satan ! Car il est Ă©crit : C’est devant le Seigneur, ton Dieu, que tu te prosterneras. C’est lui seul que tu adoreras et que tu serviras.
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      Deutéronome 6

      Deutéronome 10

      Josué 24

      1 Samuel 7

      1 Chroniques 21

      1

      David dénombre le peuple.

      - Dans ce livre, aucune mention n'est faite, du pĂ©chĂ© de David relatif Ă  Urie, ni des problĂšmes consĂ©cutifs que le roi rencontra : l'Auteur des Chroniques a jugĂ© qu'il n'Ă©tait pas nĂ©cessaire de le rappeler. Mais la faute de David, consistant Ă  dĂ©nombrer le peuple, est bien, quant Ă  elle, mentionnĂ©e : dans l'Ă©vocation de l'expiation faite pour ce pĂ©chĂ©, il y avait une notification du lieu, sur lequel le temple devrait ĂȘtre construit. L'ordre donnĂ© Ă  David, de construire un autel, fut une vĂ©ritable bĂ©nĂ©diction, tĂ©moignant de sa rĂ©conciliation avec l'Éternel. Dieu approuva les offrandes de David sur cet autel.

      Christ a Ă©tĂ© fait « pĂ©ché » et « malĂ©diction » pour nous ; il plut Ă  Dieu de Le meurtrir, afin qu'au travers de Son Fils, JĂ©sus, Il puisse ĂȘtre non pas un Dieu dĂ©vorant mais, mais un Dieu de rĂ©conciliation. Il est bon de mĂ©diter les ordonnances divines, en particulier celles en lesquelles nous avons expĂ©rimentĂ© la prĂ©sence du PĂšre, ayant constatĂ© qu'Il est avec nous, « la VĂ©rité ».

      Dieu, dans Sa Grùce, m'a cherché ; je dois donc en retour, m'efforcer de Le rencontrer !

      Job 1

      6 Les afflictions de Job ont commencĂ© Ă  cause de la mĂ©chancetĂ© de Satan ; elles ont Ă©tĂ© permises par le Seigneur, dans le but de nous amener, par le rĂ©cit de ce texte, Ă  avoir davantage de sagesse et de saintetĂ©. « L'ennemi » a un esprit mauvais, cherchant continuellement Ă  affliger, dĂ©router, et, si possible, dĂ©truire ceux qui aiment Dieu. Il est difficile de dire jusqu'oĂč cette emprise peut nuire ; il est probable que la majoritĂ© des dĂ©sarrois et des tristesses qui assaillent les chrĂ©tiens peut ĂȘtre attribuĂ©e au diable. Tant que nous sommes sur cette terre il est capable de nous atteindre. Il nous faut par consĂ©quent rester sobres et vigilants, 1Pierre 5:8.

      Remarquez Ă  quel point Satan condamne Job. Il arrive frĂ©quemment que les calomniateurs rĂ©pandent des idĂ©es fausses. De mĂȘme qu'il n'y a rien de plus horrible que d'ĂȘtre vraiment hypocrite, il n'y a rien de pire que d'ĂȘtre accusĂ© sans cause.

      Il n'y a aucun mal Ă  espĂ©rer une rĂ©compense Ă©ternelle, grĂące Ă  notre obĂ©issance ; il est par contre mauvais de rechercher les avantages de ce monde dans la pratique de notre religion. Le peuple de Dieu est spĂ©cifiquement au bĂ©nĂ©fice de Sa protection ; tous les Siens Lui appartiennent. La bĂ©nĂ©diction du Seigneur nous rend riches ; Satan lui-mĂȘme, malgrĂ© tout, en bĂ©nĂ©ficie.

      Dieu a permis que Job soit Ă©prouvĂ©, comme Il a d'ailleurs laissĂ© Pierre chuter, lors de son reniement. Il est rĂ©confortant de savoir que Dieu a enchaĂźnĂ© le diable, Apocalypse 20:1, qui n'a aucune puissance pour forcer les hommes Ă  commettre le pĂ©ché : ces derniers le font de leur propre gré ; le diable ne peut affliger les hommes sans que ce ne lui soit permis par Dieu. Toute l'histoire ici dĂ©crite nous rĂ©vĂšle le comportement des hommes. L'Écriture nous parle ainsi afin de nous enseigner que Dieu dirige les affaires du monde.

      Job 2

      1

      Satan obtient la permission d'éprouver Job. (Job 2:1-6)
      Les souffrances de Job. (Job 2:7-10)
      Ses amis viennent le réconforter. (Job 2:11-13)

      Qu'il est rĂ©confortant de savoir qu'au jugement dernier, ni les hommes ni les forces diaboliques ne seront finalement nos juges ! Toute justice sera effectuĂ©e par le Seigneur, qui Lui, ne se trompe jamais. Job, dans son Ă©preuve, reste intĂšgre, ce qui fait sa force. Dieu mentionne la puissance de Sa grĂące. L'Ă©goĂŻsme et l'instinct de conservation sont des sentiments intenses dans le cƓur des hommes. Mais Satan accuse Job, le traitant d'Ă©goĂŻste, en disant qu'il ne recherche que son propre intĂ©rĂȘt et sa sĂ©curitĂ©. Il en est souvent ainsi pour le peuple de Dieu, souvent blĂąmĂ© Ă  tort par le diable et ses sujets. Satan est autorisĂ© Ă  dispenser l'Ă©preuve, mais dans certaines limites. Si Dieu n'avait pas enchaĂźnĂ© ce lion hurlant, nous aurions Ă©tĂ© bien vite dĂ©vorĂ©s !

      Job, ainsi diffamĂ© par Satan, Ă©tait une image de Christ, dont la prophĂ©tie annonçait, au dĂ©but des temps, que Satan devait blesser Son talon et ĂȘtre finalement Ă©crasĂ© par le Roi des rois.

      Psaumes 109

      6 Le Seigneur JĂ©sus s'exprime ici, tel un juge, dĂ©nonçant la sentence envers ses ennemis, tout en avertissant aussi les autres. Quand les hommes rejettent le salut de Christ, leurs priĂšres sont rejetĂ©es, Ă©tant considĂ©rĂ©es au mĂȘme titre que leurs pĂ©chĂ©s.

      Observez avec quelle rapidité certains peuvent perdre la vie de maniÚre honteuse, entraßnant ainsi leur famille entiÚre à la ruine ; ils sont alors méprisables, pauvres, ils entraßnent leur postérité vers la misÚre : c'est ici le salaire du péché, qui mÚne à la destruction, dans la méchanceté. Et quels seront alors les effets de la sentence divine ? « Dieu maudit » ; et cela s'adresse aux méchants, en affectant directement le corps et les traits de l'ùme par des douleurs, des angoisses et le désespoir ; songez à de telles choses, pécheurs, tremblez et repentez-vous !

      Zacharie 3

      1

      La restauration de l'église. (Zacharie 3:1-5)
      La promesse concernant le Messie. (Zacharie 3:6-10)

      L'ange, dans la vision de ce texte, montre Ă  Zacharie, JosuĂ© le grand sacrificateur. Notre culpabilitĂ© et notre corruption nous accablent Ă©normĂ©ment lorsque nous nous prĂ©sentons devant Dieu. Par les pĂ©chĂ©s que nous commettons, nous sommes passibles de mort, selon la Justice de Dieu ; notre triste nature nous rend odieux, vis-Ă -vis de la SaintetĂ© divine. IsraĂ«l, le peuple de Dieu Ă©tait, par ses pĂ©chĂ©s, dans le mĂȘme cas. Mais nous avons tous la possibilitĂ© d’ĂȘtre rachetĂ©s, justifiĂ©s et sanctifiĂ©s en JĂ©sus-Christ, Celui qui est mort pour nous.

      Dans ce texte, JosuĂ©, le « grand sacrificateur » est accusĂ©, tel un criminel ; mais il est ensuite justifiĂ©. Quand nous cherchons Ă  servir le Seigneur, ou dĂ©fendre Sa cause ici-bas, nous devons nous attendre Ă  ĂȘtre confrontĂ©s Ă  Satan, qui par sa ruse et sa mĂ©chancetĂ©, fera tout son possible pour lutter contre nous. Mais Satan est « contrĂŽlé » par Celui qui l'a tenu en respect Ă  maintes reprises.

      Ceux qui appartiennent Ă  Christ, Le trouveront toujours prĂ©sent Ă  leur cĂŽtĂ©, quand Satan semble vouloir les dominer. L’ñme repentie et convertie au Seigneur, celle qui bĂ©nĂ©ficie de Sa GrĂące abondante, ressemble, de maniĂšre imagĂ©e, Ă  un tison arrachĂ© du feu : elle ne sera plus la proie de Satan.

      Au verset trois, JosuĂ© porte des vĂȘtements souillĂ©s ; il est ensuite purifié ; il reprĂ©sente les enfants d’IsraĂ«l ; ils Ă©taient tous impurs et souillĂ©s, jusqu'Ă  ce qu'ils soient purifiĂ©s et sanctifiĂ©s par le Nom du Seigneur JĂ©sus et par l'Esprit de Dieu. En ce temps lĂ , IsraĂ«l Ă©tait libĂ©rĂ© de l'idolĂątrie, mais il avait encore beaucoup de problĂšmes. Il Ă©tait confrontĂ© Ă  diffĂ©rents ennemis spirituels, plus dangereux que n'importe quelle nation environnante.

      Christ exĂ©crait la saletĂ© des vĂȘtements de JosuĂ© et pourtant il ne l'a pas repoussĂ© pour autant. Dieu agit de la mĂȘme maniĂšre, par Sa GrĂące, envers ceux qu'Il choisit comme ses serviteurs. La culpabilitĂ© du pĂ©chĂ© est supprimĂ©e par Sa MisĂ©ricorde ; Elle pardonne le pĂ©cheur repentant et le pouvoir du pĂ©chĂ© est brisĂ© par la GrĂące qui rĂ©gĂ©nĂšre l’ñme. De cette façon Christ purifie, par Son propre sang, ceux qu'Il a dĂ©clarĂ©s « rois et sacrificateurs du TrĂšs-Haut. » Ceux qui sont oints « prĂȘtres spirituels » sont revĂȘtus de l'habit sans tache de la droiture du Seigneur, et paraissent devant Dieu de cette façon, parĂ©s de « vĂȘtements blancs » ainsi que de Son Esprit, qui sont pour lui de vĂ©ritables ornements.

      Au verset cinq, la justice des saints est comparĂ©e Ă  un « turban pur », destinĂ© Ă  parer « l’épouse de l'Agneau, » Apocalypse 19:8. JosuĂ© reçoit de nouveau, par ce « turban, » les honneurs qu’il avait auparavant. Cette couronne de « grand sacrificateur » est posĂ©e sur sa tĂȘte.

      Lorsque le Seigneur dĂ©cide de restaurer et de raviver la piĂ©tĂ© chez l’homme, Il incite Ses prophĂštes et Ses serviteurs Ă  prier pour le rĂ©veil.

      Matthieu 4

      Matthieu 16

      Luc 4

      Jacques 4

      1 Pierre 5

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