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Matthieu 9.12

Les pharisiens (voir sur cette secte Matthieu 3.7, note), dans leur orgueilleuse propre justice, se croyaient en santé ou justes ; (verset 13) ils n'avaient donc pas besoin d'un médecin, de ce Sauveur qui venait guérir les âmes de leurs maladies morales. Mais ceux qui se portent mal, les malades, ces pécheurs qui se sentaient tels et qui l'entouraient en ce moment, eux avaient besoin de lui, et c'est pourquoi ils l'écoutaient avec bonheur leur parler de pardon et de réconciliation avec Dieu.

Jésus faisait ainsi aux pharisiens une certaine concession, admettant une différence morale extérieure entre eux et les péagers, mais c'était une "concession ironique," comme dit Calvin, car au fond leur orgueil et leur dureté de cœur envers ces pauvres pécheurs que Jésus recevait, les rendaient, malgré leurs lumières, plus coupables qu'eux devant Dieu. (Comparer Matthieu 9.13 ; Luc 7.36 et suivants ; Luc 15.1 et suivants)


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    • Psaumes 6

      2 Ô Seigneur, mon Dieu, malgré ta colère, ne me punis pas
      Et, dans ton courroux, ne me châtie pas.

      Psaumes 41

      4 Le Seigneur le soutient sur son lit de souffrances.
      Quand il est malade, tu lui refais sa couche.

      Psaumes 147

      3 C’est lui qui guérit ceux
      Qui ont le cœur brisé, qui panse leurs blessures !

      Jérémie 17

      Jérémie 30

      Jérémie 33

      Osée 14

      Matthieu 9

      12 Mais Jésus, qui les avait entendus, leur dit : — Ceux qui sont en bonne santé peuvent se passer de médecin, mais les malades en ont besoin.

      Marc 2

      17 Jésus entendit leurs propos et leur dit : — Ceux qui sont en bonne santé peuvent se passer de médecin, mais ce sont les malades qui en ont besoin. Je suis venu appeler à la conversion ceux qui vivent dans le péché, et non pas les gens pieux et respectables.

      Luc 5

      31 Jésus répondit à leur place : — Ceux qui sont en bonne santé peuvent se passer de médecin, mais ce sont les malades qui en ont besoin.

      Luc 8

      43 Dans cette foule, il y avait une femme qui, depuis douze ans, souffrait d’hémorragies. Personne n’avait pu la guérir.

      Luc 9

      11 Mais dès que les gens s’en aperçurent, ils se mirent à le suivre. Jésus leur fit bon accueil, il leur parla du règne de Dieu et guérit ceux qui en avaient besoin.

      Luc 18

      11 Le pharisien se tenait la tête haute et faisait intérieurement cette prière : — Ô Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas avare, malhonnête et adultère comme les autres hommes ; en particulier de ce que je ne suis pas comme ce collecteur d’impôts là-bas.
      12 Moi, je jeûne deux jours par semaine, je donne dix pour cent de tous mes revenus.
      13 Le collecteur d’impôts se tenait dans un coin retiré, il n’osait pas même lever les yeux au ciel. Il se frappait la poitrine et murmurait : — Ô Dieu, aie pitié du pécheur que je suis !

      Romains 7

      9 Ah ! autrefois, avant d’être soumis à la loi, je vivais tranquille. Mais dès que survint le commandement, le péché s’éveilla à la vie –
      10 et moi, je mourus. Je pris conscience d’être un pécheur, c’est-à-dire un condamné à mort. Ainsi, la loi qui devait me servir de guide sur le chemin de la vie m’a, en fait, mené vers la condamnation et la mort.
      11 En réalité, le commandement devint l’instrument du mal qui a saisi cette occasion pour me séduire et me tuer,
      12 car la loi en elle-même est sainte et chaque commandement est saint, juste et bon.
      13 Est-il donc possible que quelque chose de bon en soi ait des conséquences si néfastes ? Le bien peut-il me faire mourir ? Évidemment non ! L’auteur de ce crime, c’est le péché. Sa véritable nature devait être démasquée. Or, en me donnant la mort par une bonne chose, il a montré son vrai visage : grâce au commandement, il est apparu dans toute sa virulence. Sa nature foncièrement maléfique a donc paru au grand jour.
      14 Nous savons que la loi a été inspirée par l’Esprit de Dieu. Elle est donc spirituelle, mais moi, je ne le suis pas. Je préfère laisser mes propres pensées me diriger. Et voilà pourquoi je suis comme un homme livré à lui-même, à la merci du péché, comme un esclave entre ses mains.
      15 Vraiment, je ne me comprends pas moi-même : mon comportement me désoriente et je ne reconnais pas mes propres actes : ma façon d’agir me paraît étrangère à moi-même. Je fais, non ce que ma volonté a décidé, mais ce que je déteste et que mon sens moral réprouve.
      16 Par mes convictions intimes, je rends hommage à la loi, mon être profond l’approuve et en reconnaît l’excellence. Mais c’est plus fort que moi. Je ne puis faire autrement.
      17 Le véritable acteur, ce n’est donc plus moi, mais le péché qui s’est installé en moi. C’est lui qui me pousse irrésistiblement à de mauvaises actions.
      18 Par expérience, je sais qu’en moi, c’est-à-dire dans mon être naturel, n’habite rien de bon. Ce n’est pas la bonne volonté qui me manque, mais plutôt la force de réaliser mes bonnes intentions.
      19 Je n’arrive pas à accomplir le bien que je me propose et je commets, malgré moi, le mal que j’étais pourtant décidé à éviter.
      20 Si donc je fais ce que je ne veux pas, je ne suis pas vraiment maître de moi-même. Celui qui me gouverne et me fait agir, ce n’est plus mon moi, c’est le péché qui a élu domicile en moi.
      21 Je vis en constante contradiction avec moi-même : je voudrais faire le bien, mais je constate que seul le mal est à ma portée, et je ne puis résister à ses sollicitations.
      22 Mon être intérieur adhère de tout cœur à la loi divine, il en approuve joyeusement les exigences.
      23 Cependant, je suis bien obligé de constater, en mon corps, l’empreinte d’une autre loi. Mes facultés humaines sont régies par un principe opposé à celui de ma raison et qui me met sans cesse en conflit avec la loi de ma conscience. Et cette force mauvaise me domine si bien que je me retrouve prisonnier sous la férule du péché qui est à l’œuvre dans mes membres.
      24 Quel déchirement terrible ! Infortuné que je suis ! Qui me libérera de l’emprise de ma nature pécheresse ? Qui affranchira mon corps de l’esclavage des mauvais instincts ?

      Apocalypse 3

      17 Tu prétends : « Je suis riche ! J’ai fait des affaires ! J’ai amassé des trésors ! Je suis arrivé ! J’ai tout ce qu’il me faut », mais tu ne te rends pas compte à quel point tu es misérable et pitoyable : s’il y a quelqu’un qui est pauvre, aveugle et nu, c’est bien toi !
      18 C’est pourquoi je te donne un conseil : achète chez moi de l’or purifié au feu pour devenir réellement riche, des vêtements blancs pour te couvrir afin de ne pas laisser apparaître ton indécente nudité, et un collyre pour oindre tes yeux afin que tu voies clair.

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