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Matthieu 9.12

Et Jésus, l'ayant entendu, leur dit : Ceux qui sont en bonne santé n'ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal.
Ce que Jésus ayant entendu, il dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades.
Mais Jésus, qui avait entendu, leur dit : « Ce ne sont pas les bien portants qui ont besoin de médecin, mais les malades.
When Jesus heard it, he said to them, "Those who are healthy have no need for a physician, but those who are sick do.
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      Psaumes 6

      Psaumes 41

      Psaumes 147

      Jérémie 17

      Jérémie 30

      Jérémie 33

      Osée 14

      4 IsraĂ«l recherche la face de Dieu ; cette quĂȘte ne sera jamais vaine. La colĂšre de l'Éternel s'est Ă©loignĂ©e de Son peuple.

      Dieu aime Sa créature en toute liberté ; non à cause du mérite de celle-ci, mais uniquement selon Son bon plaisir. Dieu est pour les siens la solution à tous leurs besoins. Les grùces de l'Esprit sont une manne cachée, cachée dans la rosée ; cette grùce, librement accordée, ne sera pas vaine. Elle se traduira par une croissance florissante du peuple, comparable à la beauté du lys. Le lys, quand il est parvenu à maturité, est une fleur merveilleuse Matthieu 6:28,29.

      Cette croissance s'affermira. En plus du charme de cette fleur, se trouvera la force, comparable Ă  la racine des cĂšdres du Liban. La croissance spirituelle est basĂ©e surtout dans les parties de la racine, hors de portĂ©e de la vue. Le peuple s'Ă©pandra, telle une vigne dont les branches s'Ă©panouissent de tous cĂŽtĂ©s. Quand les croyants ont Ă  leur actif quantitĂ© de bonnes Ɠuvres, leurs rameaux s'Ă©talent de tous cĂŽtĂ©s. Ils seront acceptĂ©s Ă  la fois par les hommes et par Dieu.

      La sainteté est la beauté d'une ùme. L'église est comparée à la vigne et à l'olivier, qui tous deux, donnent des fruits trÚs appréciés. Les promesses de Dieu s'adressent uniquement à ceux qui suivent Ses ordonnances ; elles ne sont pas destinées à ceux qui, dans l'ombre, suivent de loin la lampe du Berger, mais à ceux qui demeurent vraiment sous Son aile.

      Quand un homme s'approche de Dieu, tout son ĂȘtre se rĂ©fugie Ă  l'ombre divine, pour son plus grand bien. Des fruits sanctifiĂ©s apparaĂźtront alors, dans sa vie. De tels croyants croĂźtront dans l'expĂ©rience fructueuse de l'Ă©vangile.

      ÉphraĂŻm dira que Dieu a placĂ© ces paroles en son cƓur : « Qu'ai-je Ă  faire encore avec les idoles » ? Les promesses de Dieu Ă  notre Ă©gard sont davantage notre sĂ©curitĂ© et notre force dans le combat contre le pĂ©chĂ©, bien plus que les promesses que nous Lui adressons. Contemplez la puissance de la grĂące divine. Dieu a transformĂ© le cƓur d'ÉphraĂŻm au point qu'il a maintenant les idoles en horreur. Observez quels sont les bĂ©nĂ©fices des saintes afflictions. ÉphraĂŻm, au dĂ©but, se vouait avec empressement Ă  l'idolĂątrie ; il rejette dĂ©sormais le pĂ©chĂ©, manifestant ainsi le fruit spirituel acquis Esa 27:9.

      Regardez la nature de la repentance : c'est une ferme résolution de ne plus avoir à faire avec le péché. Le Seigneur, dans Sa grùce, vient à la rencontre de l'ùme repentante, tel le pÚre voyant au loin revenir son fils prodigue. Dieu sera pour tous ceux qui se tournent vers Lui, à la fois un objet de délices et de défense ; les siens pourront se blottir sous Son ombre, dans la joie. C'est comme la racine de l'arbre, de là découle le fruit, ; de Lui nous recevons la grùce et la force qui peuvent nous rendre capables d'effectuer notre devoir.

      Matthieu 9

      Marc 2

      Luc 5

      Luc 8

      Luc 9

      Luc 18

      Romains 7

      14 ComparĂ© Ă  la sainte rĂšgle de conduite de la loi, inhĂ©rente Ă  la Parole de Dieu, l'apĂŽtre constate son propre Ă©loignement de la perfection spirituelle : il lui semblait ĂȘtre complĂštement charnel ; il pensait n’ĂȘtre qu’un homme, vendu contre son grĂ© Ă  un « maĂźtre dĂ©testé », duquel il ne pouvait obtenir la libertĂ©.

      Un vĂ©ritable chrĂ©tien sert involontairement ce maĂźtre honni ; il ne peut se dĂ©barrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de GrĂące, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le dĂ©livrer. Le mal qui subsiste en son cƓur est une rĂ©elle et humiliante entrave Ă  son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte tĂ©moignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du pĂ©chĂ©.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de saintetĂ© de l’apĂŽtre, de sa connaissance de la spiritualitĂ© de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent rĂ©sider en notre cƓur. De nombreux croyants ont adoptĂ© ces principes de l'apĂŽtre, montrant qu'ils conviennent Ă  leur aversion profonde du pĂ©chĂ©, et Ă  l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'Ă©tend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causĂ© par la dĂ©pravation de son ancienne nature. Il Ă©tait confrontĂ© frĂ©quemment Ă  de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa vĂ©ritable identitĂ© spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le pĂ©chĂ© qui demeurait en lui, l'apĂŽtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le cĂŽtĂ© nĂ©gatif de leurs iniquitĂ©s, mĂȘme celles condamnĂ©es par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y rÚgne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      18 Plus le cƓur est pur et saint, plus il pourra rapidement se rendre compte du pĂ©chĂ© qui rĂ©side en lui. Le croyant est le mieux placĂ© pour Ă©valuer la beautĂ© de la saintetĂ© et l'excellence de la loi divine. Plus il grandit dans la connaissance de la GrĂące, plus il dĂ©sire obĂ©ir au Seigneur.

      Il ne parvient pas, hélas, à accomplir tout le bien auquel il aspire ; le péché ressurgit toujours en lui, compte tenu de son ancienne nature, ce qui le pousse à pratiquer le mal, malgré la détermination de sa volonté.

      Cette pratique attristait l'apĂŽtre. Si par la lutte entre la chair et l'Esprit, Paul ne parvenait pas Ă  rĂ©aliser ce que ce Dernier lui suggĂ©rait, il ne voulait pas non plus accomplir ce que son ancienne nature l’incitait Ă  faire.

      Le cas de Paul était absolument différent de ceux qui s'abandonnent délibérément à leurs penchants iniques, qui continuent, hélas, malgré les avertissements de la Parole et de leur conscience, à pratiquer le mal, se dirigeant ainsi avec préméditation, vers le chemin de la perdition !

      Puisque le croyant est sous le régime de la grùce et désire croßtre dans la sainteté, il prend pleinement plaisir à obéir à la Parole de Dieu ; cette « nouvelle créature » homme est régénérée par Dieu dans la marche véritable vers la sainteté !

      23 Ce texte ne prĂ©sente pas l'apĂŽtre comme pratiquant les Ɠuvres de la chair, mais comme quelqu'un aspirant puissamment Ă  marcher selon l’Esprit.

      Si certaines personnes interprĂštent volontairement mal ce passage, (comme d’ailleurs d’autres textes de l’Écriture), courant ainsi Ă  leur propre destruction, les chrĂ©tiens vĂ©ritables, quant Ă  eux, y trouvent le motif de bĂ©nir Dieu, qui leur a apportĂ© le rĂ©confort et la consolation spirituels.

      Nous ne devons pas, contrairement Ă  ceux qui sont aveuglĂ©s par leurs propres convoitises, chercher des fautes Ă©ventuelles dans la Parole de Dieu ; recherchons uniquement l’interprĂ©tation correcte des textes. Celui qui n'est pas engagĂ© dans le conflit spirituel entre la chair et l’Esprit, ne peut comprendre clairement la signification de ce texte, ne pouvant juger exactement le conflit douloureux qui rongeait le cƓur de l'apĂŽtre, le conduisant Ă  pleurer, tel un misĂ©rable, contraint Ă  pratiquer encore le pĂ©chĂ©.

      Paul constatait qu’il Ă©tait incapable de se dĂ©livrer lui-mĂȘme de cette situation, ce qui le poussait Ă  remercier Dieu avec ferveur de lui avoir rĂ©vĂ©lĂ© le chemin du salut, par le biais de JĂ©sus-Christ, avec la promesse de dĂ©livrance de « l’ennemi » qui le poussait sans cesse Ă  commettre l‘iniquitĂ©. Alors, dit-il : « je suis moi-mĂȘme, par mon esprit, ma conscience, mes affections et mes buts, un homme rĂ©gĂ©nĂ©rĂ© par la GrĂące divine, qui sert la loi de Dieu et lui obĂ©it ; mais avec la chair, ma nature charnelle et les restes de sa dĂ©pravation, je sers la loi du pĂ©chĂ©, qui fait la guerre Ă  la loi de mon esprit ».

      L’apĂŽtre ne « servait » pas son ancienne nature en vivant dĂ©libĂ©rĂ©ment en elle, mais il Ă©tait incapable, mĂȘme avec la meilleure volontĂ©, de se libĂ©rer de cette servitude, Ă©prouvant nĂ©anmoins le besoin de chercher de l'aide et la dĂ©livrance du ciel. Il est Ă©vident qu'il remercie Dieu pour Christ, notre LibĂ©rateur, Celui qui a expiĂ© nos pĂ©chĂ©s, Celui qui est notre Justice. Paul, avant sa conversion, ne connaissait pas l’existence d’un tel salut et se sentait indigne d’y accĂ©der. Il Ă©tait disposĂ© Ă  agir en tous points selon la loi, avec une bonne conscience, mais il en Ă©tait empĂȘchĂ© par son pĂ©ché : il ne pouvait donc atteindre la perfection que la loi exige.

      Peut-il y avoir une dĂ©livrance, pour un homme toujours coupable, si ce n'est par la GrĂące de Dieu, offerte par JĂ©sus-Christ ? Le pouvoir de la GrĂące divine et du Saint-Esprit aurait pu autoritairement « dĂ©raciner » le pĂ©chĂ© de notre cƓur, mais la sagesse divine avait prĂ©vu d’agir autrement. Dieu a estimĂ© que les chrĂ©tiens doivent ressentir constamment l'Ă©tat misĂ©rable dans lequel ils se trouvent, sachant que seule la GrĂące divine est capable de les sauver ; les enfants de Dieu doivent se garder de leur confiance en eux-mĂȘmes ; ils doivent toujours tirer leur consolation et leur espĂ©rance dans la GrĂące merveilleuse et gratuite de Dieu, en Christ !

      Apocalypse 3

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