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18
Alors Abram déplaça son campement et vint se fixer près des chênes de Mamré aux environs d’Hébron, et il bâtit là un autel à l’Eternel.
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Elle mourut à Qiryath-Arba, c’est-à-dire Hébron, dans le pays de Canaan. Abraham célébra ses funérailles et la pleura.
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Moïse les envoya donc pour reconnaître le pays de Canaan, en leur disant :
—Passez par le *Néguev, gagnez la région montagneuse
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Nous y avons même vu des géants, des descendants d’Anaq, de cette race de géants ; à côté d’eux, nous avions l’impression d’être comme des sauterelles, et c’est bien l’effet que nous leur faisions.
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A la même époque, Josué alla éliminer les Anaqim qui vivaient dans les montagnes d’Hébron, de Debir, d’Anab, dans les monts de Juda et dans la montagne d’Israël. Il les extermina et détruisit totalement leurs villes pour les vouer à l’Eternel.
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Il ne resta plus d’Anaqim dans le pays des Israélites, sauf dans les villes de Gaza, Gath et Asdod.
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Josué bénit Caleb, fils de Yephounné, et lui donna la ville d’Hébron pour patrimoine.
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C’est pourquoi Hébron appartient encore aujourd’hui aux descendants de Caleb, fils de Yephounné le Qenizien, parce qu’il avait été pleinement fidèle à l’Eternel, le Dieu d’Israël.
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Autrefois, Hébron s’appelait Qiryath-Arba, du nom du plus grand des Anaqim. Alors la guerre cessa dans le pays.
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Caleb, fils de Yephounné, reçut une part du territoire de Juda, comme l’Eternel l’avait ordonné à Josué. On lui donna Hébron qui s’appelait Qiryath-Arba, du nom d’Arba, l’ancêtre d’Anaq.
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Caleb en déposséda les trois descendants d’Anaq : Chéchaï, Ahimân et Talmaï.
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On donna aux descendants du prêtre Aaron les villes suivantes, avec leurs terres attenantes : Hébron, la ville de refuge pour les meurtriers, Libna,
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Juda marcha aussi contre les Cananéens qui habitaient Hébron, dont le nom était autrefois Qiryath-Arba. Ils battirent Chéchaï, Ahimân et Talmaï.
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Après ces événements, David consulta l’Eternel et lui demanda s’il devait aller s’installer dans l’une des villes de Juda. L’Eternel lui répondit :
—Oui.
—Dans laquelle dois-je aller ?
—A Hébron.
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qui régna sept ans et six mois à Hébron sur cette tribu.
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Devant leurs pères, Dieu fit des prodiges
aux champs de Tsoân, au pays d’Egypte.
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en Egypte, il avait fait des miracles,
et, au pays de Tsoân, des prodiges,
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Les princes de Tsoân ont perdu la raison,
les sages qui conseillent le pharaon d’Egypte
forment un conseil d’*insensés.
Comment osez-vous dire au pharaon :
« Nous, nous sommes des sages, des disciples des anciens rois » ?
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Les princes de Tsoân sont dépourvus de sens
et les chefs de Memphis sont tous dans l’illusion.
Eux qui étaient chargés de diriger l’Egypte, ils la font chanceler.
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Oui, vos ministres sont déjà à Tsoân
et vos ambassadeurs parviennent à Hanès.
22 à 26 Le voyage des espions.
Ce texte est une combinaison des deux documents.
Le désert de Tsin. Dans ce verset sont indiqués les deux points extrêmes du voyage d'exploration : le point le plus méridional, qui est le point de départ, le désert de Tsin (qu'il ne faut pas confondre avec celui de Sin, près du Sinaï, Exode 16.1), c'est l'extrémité septentrionale du désert de Paran et le commencement du Négueb ; et le point le plus septentrional, Réhob ou Beth-Réhob (Juges 18.28), qui appartint plus tard à la tribu d'Asser. Cette ville était située dans le Liban, plus au nord que Dan, qui est d'ordinaire citée comme l'extrémité septentrionale du pays.
Sur le chemin de Hamath (voir Esaïe 10.9, note). L'auteur fait observer ce fait parce que le nom de la ville de Hamath, située plus au nord dans la Célésyrie, était beaucoup plus connu que celui de Réhob.
On a vu dans cette donnée de notre verset une contradiction avec le récit suivant, tiré du jéhoviste, qui semble donner comme terme à la visite des espions la vallée de Hébron, située tout au sud de la Palestine. Mais, en raisonnant ainsi, on suppose une chose impossible, c'est que ces hommes aient accompli tous ensemble leur voyage d'espions. Une mission de cette nature ne comportait, certainement pas la marche réunie d'une douzaine d'hommes ; comparez Josué 2.1-24, où dans une circonstance analogue il n'est parlé que de deux espions. Il faut donc admettre que, comme cela est dans la nature des choses, les douze espions se divisèrent en plusieurs petites troupes, probablement six (voir Josué 2.1-24), qui se répartirent les différentes contrées du pays à explorer et se donnèrent rendez-vous pour le retour. La mission détaillée donnée, versets 18 à 21, exigeait la visite du pays tout entier dont la vallée d'Hébron n'était que l'entrée. Enfin, le chiffre de quarante jours indiqué verset 26 ne s'expliquerait pas du tout s'ils n'étaient parvenus que jusqu'à Hébron ; car cette ville n'est située qu'à une vingtaine de lieues au nord de Kadès.
Les versets 23 et suivants sont attribués au jéhoviste.