AHIMAN1. Un des trois fils d'Anak, qui habitaient Hébron et furent battus et chassés par Caleb et les hommes de …
CALEB(=chien). Ce nom est porté : 1. Par un homme que la tradition décrit comme ayant joué, aux côtés de …
EGYPTE (1)Pays. Toute la partie Est de l'Afrique septentrionale n'est qu'un immense désert de sable, de rochers, voire de montagnes, et …
GÉANTL'A. T, parle plusieurs fois d'hommes auxquels les versions donnent le nom de géants, traduction qui représente divers termes hébreux. …
GUERREI Considérations générales. La Bible nous apprend que la guerre est fille de la Chute (voir ce mot). Sitôt que …
HÉBRON(=association). 1. Aujourd'hui el-Khâlil (=l'ami, en mémoire d'Abraham, « ami de Dieu », Esa 41:8 , Jas 2:23 ), à …
JOSUÉÉcrit tantôt Yehôchoua, tantôt Hôchea ou Yéchoua ou encore Ièsous (LXX et N.T.), d'où Jésus, ce nom signifie, semble-t-il : …
NÉGEB(=aride). Ce mot hébreu (prononcer négueb) se trouve 112 fois dans l'A. T, et y est employé dans deux sens …
NOMBRES (livre des)Titre. Comme les trois premiers livres du Pent., celui-ci tire son nom de la traduction grecque des LXX, d'où il …
PENTATEUQUE1. Introduction. Le mot Pentateuque (dérivé du gr. pente =cinq, et teukhos =rouleau de papyrus), qu'on lit déjà dans Origène, …
REFUGE (villes de)1. Emplacement et noms. D'après Jos 20:7-9 six villes de Palestine ont été consacrées comme cités de refuge, trois à …
SAMSONHéros israélite ( Jug 13-16 ), dont la tradition a fait un juge en Israël ( Jug 15:20 16:31 ), …
SÉSAÏUn des trois fils d'Anak (clans cananéens, descendants des Anakim), qui occupaient Hébron ( No 13:22 ), et qui en …
TALMAÏ ou THALMAÏ1. Un des « enfants d'Anak » habitant Hébron, lors de la conquête de Canaan ; voir ( No 13:22 …
TRIBU, TRIBUSDans l'A. T, ce terme est la traduction des deux mots hébreux chébèt ou mattèh ; et dans le N.T. …
TSOANGrande ville d'Egypte, la Tanis des Grecs ; très antique et fort importante cité ( No 13:22 , Esa 19:11-13 …
22 à 26 Le voyage des espions.
Ce texte est une combinaison des deux documents.
Le désert de Tsin. Dans ce verset sont indiqués les deux points extrêmes du voyage d'exploration : le point le plus méridional, qui est le point de départ, le désert de Tsin (qu'il ne faut pas confondre avec celui de Sin, près du Sinaï, Exode 16.1), c'est l'extrémité septentrionale du désert de Paran et le commencement du Négueb ; et le point le plus septentrional, Réhob ou Beth-Réhob (Juges 18.28), qui appartint plus tard à la tribu d'Asser. Cette ville était située dans le Liban, plus au nord que Dan, qui est d'ordinaire citée comme l'extrémité septentrionale du pays.
Sur le chemin de Hamath (voir Esaïe 10.9, note). L'auteur fait observer ce fait parce que le nom de la ville de Hamath, située plus au nord dans la Célésyrie, était beaucoup plus connu que celui de Réhob.
On a vu dans cette donnée de notre verset une contradiction avec le récit suivant, tiré du jéhoviste, qui semble donner comme terme à la visite des espions la vallée de Hébron, située tout au sud de la Palestine. Mais, en raisonnant ainsi, on suppose une chose impossible, c'est que ces hommes aient accompli tous ensemble leur voyage d'espions. Une mission de cette nature ne comportait, certainement pas la marche réunie d'une douzaine d'hommes ; comparez Josué 2.1-24, où dans une circonstance analogue il n'est parlé que de deux espions. Il faut donc admettre que, comme cela est dans la nature des choses, les douze espions se divisèrent en plusieurs petites troupes, probablement six (voir Josué 2.1-24), qui se répartirent les différentes contrées du pays à explorer et se donnèrent rendez-vous pour le retour. La mission détaillée donnée, versets 18 à 21, exigeait la visite du pays tout entier dont la vallée d'Hébron n'était que l'entrée. Enfin, le chiffre de quarante jours indiqué verset 26 ne s'expliquerait pas du tout s'ils n'étaient parvenus que jusqu'à Hébron ; car cette ville n'est située qu'à une vingtaine de lieues au nord de Kadès.
Les versets 23 et suivants sont attribués au jéhoviste.