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Exode 18.1

Jéthro est prêtre de Madian et beau-père de Moïse. Il entend parler de tout ce que Dieu a fait pour Moïse et pour Israël, son peuple. Il apprend comment le SEIGNEUR les a fait sortir d’Égypte.

Jéthro, accompagné de la femme et des deux fils de Moïse, rencontre ce dernier. (Exode 18:1-6)
Moïse partage un repas avec Jéthro. (Exode 18:7-12)
Jéthro conseille Moïse. (Exode 18:13-27)

Jéthro, accompagné de la femme et des enfants de Moïse, rencontre ce dernier et partage sa joie, concernant les dernières nouvelles du peuple d'Israël. Moïse devait garder sa famille à ses côtés, en vue d'être un bon exemple aux yeux du peuple, quant à la conduite de sa maison, 1Ti 3:5.

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      Exode 2

      16 Moïse, au pays de Madian, rencontra des bergers. Malgré son rang, à la cour d'Égypte, il était prêt à aider les filles de Réuel, pour faire boire les troupeaux. Moïse aimait que la justice soit rendue, il cherchait à défendre ceux qui étaient injuriés ; c'est d'ailleurs ce que devrait faire chacun de nous, dans la mesure du possible. Moïse aimait faire le bien.

      Quel que soit l'endroit où la Providence nous place, nous devrions désirer et chercher à être utiles. Si nous ne pouvons pas réaliser tout le bien que nous voudrions, soyons au moins prêts à accomplir ce qu'il nous est possible de faire. Moïse salua le prince de Madian ; le patriarche épousa une de ses filles et eut un fils, Guerschom, nom qui signifie « j'habite un pays étranger », se souvenant qu'il n'était qu'un étranger dans ce pays.

      Exode 3

      1

      Dieu apparaît à Moïse dans un buisson ardent. (Exode 3:1-6)
      Dieu envoie Moïse pour délivrer Israël. (Exode 3:7-10)
      Le nom de Jéhovah. (Exode 3:11-15)
      La délivrance promise aux Israélites. (Exode 3:16-22)

      Les années de la vie de Moïse sont réparties en trois périodes de quarante ans ; la première partie s'est passée à la cour de Pharaon, la deuxième en tant que berger, au pays de Madian et la troisième pendant laquelle il fut un grand dirigeant. Remarquez à quel point la destinée d'un homme peut changer au cours de sa vie ! La première fois que Dieu apparut à Moïse, ce dernier s'occupait des moutons. Cela peut sembler être une bien modeste occupation, pour un homme possédant une telle éducation, mais il s'en accommodait apparemment ; ce travail lui a appris l'humilité et le contentement de peu, qualités qui sont mentionnées plus loin dans la Parole. Satan aime nous voir paresser ; Dieu, quant à Lui, aime que nous soyons actifs. Le fait de nous retrouver seul, nous permet d'entrer vraiment en communion avec Dieu. À sa grande surprise, Moïse vit un buisson ardent, sans avoir vu comment ce dernier avait été allumé. Ce buisson était en feu et ne se consumait pas ; c'est un peu une image du peuple de Dieu en Égypte. Cela nous rappelle également l'Église à travers les âges, persécutée sévèrement, mais préservée de la destruction, par la présence de Dieu.

      Dans l'Écriture, le feu est l'emblème de la Sainteté et de la Justice divines ; il caractérise également les afflictions et les épreuves que Dieu envoie pour purifier Son peuple ; le feu représente aussi le baptême du Saint Esprit, par lequel les affections du péché sont consumées et qui transforme l'âme en une image conforme à la nature divine.

      Dieu, dans Sa miséricorde, appela Moïse ; ce dernier répondit aussitôt. Ceux qui désirent entrer en communion avec Dieu, doivent se plier à Ses ordonnances, par lesquelles Il se manifeste, Lui et Sa gloire ; Moïse a vu cette gloire, même au sein de ce buisson. Le fait d'ôter ses chaussures fut pour le patriarche un signe de respect et de soumission.

      Nous devrions nous approcher de Dieu dans la solennité, avec des cœurs préparés, cherchant à éviter tout propos léger ou grossier et tout service peu convenable.

      Dieu n'a pas dit : « J'étais le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob », mais, « Je suis... ». Les patriarches vivent encore, malgré le fait que leur corps soit dans la tombe depuis de nombreuses années. Aucun laps de temps ne peut séparer l'âme des justes, du Créateur. Par ce témoignage, Dieu instruisit Moïse, sur l'existence d'un autre monde ; Il a ainsi affermi sa foi sur cet état futur. C'est ce qu'annonce aussi notre Seigneur Jésus, à propos de la résurrection des morts, dans Luc 20:37. Moïse cacha son visage, comme s'il était à la fois effrayé et honteux de voir Dieu.

      Plus nous discernons Dieu, Sa Grâce et Son Amour, plus nous sommes amenés à l'adorer avec révérence, sous une crainte respectueuse de Sa Personne.

      Exode 4

      18 Dieu, après s'être révélé dans le buisson, continua souvent à dialoguer avec Moïse. Pharaon endurcit son cœur lorsqu'il entendit les gémissements et les cris des Israélites et dès lors, Dieu, dans Sa Justice parfaite, le rendit encore plus rebelle aux miracles et à la terreur des plaies. Quel que soit le choix de Pharaon : avoir l'intention d'écouter Moise ou au contraire le contrer, le patriarche se devait de lui annoncer la volonté du peuple de partir, conformément à ce qu'avait demandé l'Éternel. Moïse devait dire, au nom d'Israël : « Laisse aller mon fils ; non pas mes serviteurs, que tu n'a pas le droit de détenir, mais mon fils ; je te dis, laisse aller mon fils pour qu'il me serve. Si tu refuses de le laisser aller, voici je ferai périr ton fils, ton premier né ».

      Si les hommes osent exploiter le peuple de Dieu, qu'ils acceptent d'en subir les conséquences !

      Exode 7

      1

      Moïse et Aaron sont encouragés. (Exode 7:1-7)
      La verge transformée en serpent, Le cœur de Pharaon s'endurcit. (Exode 7:8-13)
      L'eau du fleuve changée en sang, La détresse des Égyptiens. (Exode 7:14-25)

      Dieu manifeste Sa gloire. Il révèle au peuple qu'Il est vraiment Jéhovah : Israël, d'une part, devait le constater par tous les prodiges qui devaient s'accomplir, les Égyptiens, d'autre part, avec la manifestation de la colère divine à leur égard. Moïse, en tant qu'ambassadeur de Jéhovah, parlant en Son Nom, expose sa requête auprès de Pharaon, dénonçant par là même, les souffrances du peuple maltraité et les jugements qui devaient en découler. Pharaon, malgré sa puissance orgueilleuse, n'aurait pas dû résister. Moïse se devait de n'éprouver aucune crainte devant lui, mais seulement chercher à le déstabiliser. Cela semble se révéler dans les paroles de ce texte : « Vois, je te fais Dieu pour Pharaon ». Petit à petit, Moïse est délivré de ses craintes. Il ne fait plus d'objections, mais étant fortifié dans sa foi, il se met à l'ouvrage avec courage et persévérance !
      8 Il est difficile de persuader les hommes par des propos qui ne les motivent pas, en particulier, quand ces derniers s'opposent à leur convoitise et à leur fierté ; par contre, il est très facile de les convaincre sur des sujets dont ils connaissent la véracité. Dieu exprime toujours dans Sa Parole les preuves de Sa divine autorité ; mais quand les hommes sont portés à désobéir et à contester, Il les place souvent dans des pièges où ils se retrouvent enchevêtrés.

      Les magiciens étaient des tricheurs, essayant, par leurs divers tours de magie secrets, de copier les miracles de Moïse ; ils parvenaient ainsi, pendant un certain temps, à décourager Moïse et Aaron ; mais en fin de compte, ils durent avouer qu'ils étaient incapables d'imiter les effets de la Puissance divine.

      Rien ne peut conduire davantage les pécheurs à la destruction, que de vouloir ainsi résister à la vérité, en amusant les hommes avec des artifices ressemblant à cette dernière. Satan devient vraiment redoutable quand il se transforme en ange de lumière !

      14 Voici la première des dix plaies : le changement de l'eau en sang. Ce fut une plaie épouvantable. La vue de ces flots de sang ne pouvait qu'engendrer l'horreur.

      Il n'y a rien de plus commun que l'eau : la Providence divine, dans Sa Sagesse et Sa Bonté, a permis de trouver ce liquide, si indispensable à la vie, pratiquement partout, pour un prix relativement modique ; mais maintenant, les Égyptiens étaient réduits, soit à boire du sang, soit à mourir de soif. L'Égypte était une contrée agréable, mais les poissons morts, baignant dans le sang en ont ôté tout agrément. Cette plaie était pertinente pour les Égyptiens : le Nil, le « fleuve d'Égypte », était l'idole du peuple.

      Lorsque nous adorons quelque chose ici-bas, il arrive que Dieu, dans Sa justice, nous l'enlève, pour nous le rendre ensuite ayant un goût amer. Les Égyptiens avaient pollué le fleuve avec le sang des enfants Hébreux, mais maintenant Dieu changea l'eau du Nil entièrement avec cette plaie. Quiconque est assoiffé de sang, finit tôt ou tard par en être dégoûté. Ce fléau était significatif ; la vie de l'Égypte dépendait en grande partie de ce fleuve, Zacharie 14:18 ; ainsi, par cette eau polluée, ce peuple a été mis en garde de la destruction qui risquait de s'abattre sur tous les produits du pays. L'amour de Christ pour ses disciples change tous les avantages pratiques de cette terre, en bénédictions spirituelles ; la colère de Dieu envers Ses ennemis a transformé les richesses abondantes du Nil, en une malédiction misérable. Il a été demandé à Aaron d'envoyer cette plaie, en frappant le fleuve avec sa verge. Cela a été fait devant le Pharaon et ses serviteurs, pour leur montrer la nature miraculeuse et divine de cette plaie, face aux impostures de magie accomplies par Satan. La vérité passe par aucun détour. Remarquez au passage, la Toute Puissance divine !

      Chaque élément que nous côtoyons est symboliquement constitué d'eau ou de sang. Observez la différence de constitution que nous pouvons rencontrer dans les choses de ce monde : ce qui est vain devient vite un sujet de vexation. Les œuvres du péché sont toutes mauvaises. Si les activités que nous pratiquons sont en accord avec les préceptes divins, alors tout est pour le mieux ! C'est le péché qui change notre « eau » en « sang ».

      Les plaies d'Égypte se sont déroulées en sept jours ; pendant tout ce temps, le cœur vaniteux de Pharaon n'a pas voulu laisser partir Moïse ni le peuple Hébreux, pour aller prier l'Éternel. Une telle attitude n'a pu qu'engendrer la colère divine. On ne doit pas se réjouir de voir cette colère nous épargner, mais plutôt constater que la main de Dieu est toujours là pour nous protéger !

      Exode 18

      1

      Jéthro, accompagné de la femme et des deux fils de Moïse, rencontre ce dernier. (Exode 18:1-6)
      Moïse partage un repas avec Jéthro. (Exode 18:7-12)
      Jéthro conseille Moïse. (Exode 18:13-27)

      Jéthro, accompagné de la femme et des enfants de Moïse, rencontre ce dernier et partage sa joie, concernant les dernières nouvelles du peuple d'Israël. Moïse devait garder sa famille à ses côtés, en vue d'être un bon exemple aux yeux du peuple, quant à la conduite de sa maison, 1Ti 3:5.

      Nombres 10

      29 Moïse invite sa famille à aller en Canaan. Ceux dont le but est le « Canaan céleste », devraient inviter et encourager leurs amis à les suivre : ces derniers pourraient ainsi partager leur joie céleste avec tous les rachetés ! Il est bon d'avoir des relations avec ceux qui connaissent Dieu. Mais les choses de ce monde, les choses visibles, nous détournent activement de la poursuite de celles qui sont invisibles et qui appartiennent à l'autre monde.

      Moïse incite Hobab à le suivre, car ce dernier pouvait rendre service au peuple : non pas en montrant les futurs emplacements du camp, ou l'itinéraire que les enfants d'Israël devaient suivre, c'était le rôle de la nuée, mais pour l'organisation de la marche et du nouvel établissement du peuple.

      Si nous voulons être en accord avec la Providence divine, sachons accepter l'aide que pourraient nous proposer nos amis chrétiens !

      Josué 2

      Josué 9

      Juges 4

      Néhémie 9

      Psaumes 34

      Psaumes 44

      1

      Une prière pour le secours et le soulagement.

      Les expériences d'autrefois qui ont démontré la puissance et la bonté de Dieu sont de réels encouragements pour la foi et aussi de puissants arguments de prière lors de l'épreuve. Les nombreuses victoires qu'Israël a remportées ne furent pas obtenues par la force ni le mérite, mais uniquement par la faveur et la grâce de Dieu. La moindre prière adressée à Dieu nous réconforte beaucoup et nous pouvons par là nous rendre compte que tout provient de Sa Grâce. Il a combattu pour Israël, car autrement les Israélites auraient combattu en vain.

      Cela est applicable à l'implantation de l'église dans le monde qui s'est déroulée sans le secours ou la puissance humaine. Christ, par Son Esprit, est venu en tant que conquérant et il a vaincu ; et Celui, qui a fondé l'église dans le monde, la soutiendra par la même puissance et avec la même bonté.

      Israël a triomphé en Lui et par Lui. Il Lui a rendu gloire à ce sujet. Si nous sommes réconfortés en Son nom, rendons-Lui également toute la gloire qui Lui est due !

      Psaumes 77

      Psaumes 78

      Psaumes 105

      Psaumes 106

      Psaumes 136

      10 Les grandes choses faites par Dieu à l'égard d'Israël, quand Il le tira hors d'Égypte, n'étaient qu'une manifestation de sa bonté incessante ; c'est, en quelque sorte, une image de notre rédemption en Christ, une rédemption éternelle. Il est bon d'entrer dans la faveur divine et de constater qu'à chaque occasion, Sa bonté dure à toujours. Il a placé Son peuple dans un pays merveilleux ; c'est une image de la Miséricorde que nous avons en Jésus-Christ.

      Esaïe 63

      Jérémie 33

      Zacharie 8

      Actes 7

      Actes 14

      Actes 15

      Actes 21

      19 Paul attribuait toute l’éloquence et la qualité de ses prédications à Dieu : tous les frères louèrent alors le Seigneur. Dieu avait jusqu’à présent vraiment honoré Paul, plus que tous les autres apôtres ; cependant personne ne l’enviait, par jalousie, tous, au contraire, glorifiaient le Seigneur. Ils ne pouvaient pas mieux faire que d'encourager Paul à continuer son œuvre dans la joie.

      Jacques et les anciens de l'église de Jérusalem demandèrent à Paul de satisfaire les Juifs croyants, en se conformant en certains points, aux lois de cérémonie. Ils pensaient qu'il était prudent pour lui de respecter encore certaines coutumes juives. Il était toutefois assez ténébreux de tenter toute démarche d’indulgence à ce sujet, vis-à-vis de ces frères, tous étant désormais sous le régime de la Grâce. L’enseignement prêché par Paul n'avait pas pour but d’éradiquer la loi, mais de l'accomplir. L’apôtre prêcha Christ, et la fin de la dispensation de la loi, pour le bénéfice de la Justice rédemptrice, par la repentance et la foi, en lesquelles nous ne faisons, sur ce point, qu’accomplir la loi.

      La faiblesse et le mal qui animent le cœur humain se manifestent vraiment quand nous voyons à quel point ces disciples de Christ, marquaient une confiance quelque peu limitée envers Paul, le serviteur de Dieu le plus éminent qui ait jamais vécu. D’après ce texte, nous pouvons constater que ni l'excellence de son tempérament, ni le succès avec lequel Dieu bénit son travail ne purent gagner l’estime et l’affection complète des disciples envers l’apôtre.

      Combien devons-nous rester vigilants quant à nos jugements ! Les apôtres, dans l’exercice de leurs fonctions, n'étaient pas à l’abri de toute chute éventuelle ; il serait difficile d'accuser Paul d’avoir voulu trop ouvrir toute polémique relative à la discorde dans ce texte. Il est vain d'entreprendre de « courtiser » la faveur des zélotes ou des bigots. Cet accord de Paul n'a pas reçu la bonne réponse escomptée, car tout ce qu'il faisait, dans l'espoir de pacifier les Juifs, ne faisait que les exciter, et ne lui provoquait en fait que des ennuis.

      Mais Dieu, dans Sa Sagesse, a utilisé à la fois les conseils de ces disciples et l'acquiescement de Paul pour servir un meilleur but que celui qui était initialement prévu. Il était vain de penser satisfaire des hommes qui n’éprouvaient du plaisir qu’hors des racines du christianisme.

      L'intégrité et la droiture nous guideront plus sainement que l’hypocrisie. Ce texte nous avertit qu’il ne faut pas pousser les hommes à agir contre leur gré, de façon à satisfaire simplement nos désirs personnels.

      Romains 15

      Galates 1

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