Bertrand Huetz - Ne négocie pas avec le diable
Dieu a mis dans nos coeur des rêves, des objectifs à atteindre. Le diable va essayer de négocier avec nous …
Le mécontentement de Pharaon ;
Il augmente la charge des enfants d'Israël. (Exode 5:1-9)
La souffrance des enfants d'Israël ;
La complainte de Moïse envers Dieu. (Exode 5:10-23)
Il en va de même dans notre conduite chrétienne : nous devons réserver du temps pour offrir nos sacrifices spirituels au Seigneur, notre Dieu.
Le raisonnement de Pharaon, qui soutenait que les enfants d'Israël étaient paresseux et qu'en conséquence, il n'était pas pensable de les laisser partir pour offrir des sacrifices, était un raisonnement absurde. Il se méprenait complètement en voulant par ce fait, augmenter leur charge de travail.
De nos jours, il est fréquent de rencontrer des personnes plus disposées à formuler des reproches envers leurs voisins qui consacrent quelques heures au service de Dieu, plutôt que de blâmer les autres, qui s'adonnent aux plaisirs iniques de ce monde.
Ce refus de Pharaon était vraiment inhumain. Moïse et Aaron,
dans cette lutte, en portaient indirectement les conséquences.
Les persécuteurs prennent un certain plaisir à mépriser et à
éprouver les serviteurs de Dieu. Le quota habituel de
production de briques devait être atteint, malgré le manque de
fourniture de paille nécessaire à leur fabrication. Une telle
augmentation de charge de travail devait finalement être
annoncée au peuple : elle ne pouvait que lui briser les reins,
ou en cas de non accomplissement, provoquer la punition.
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1 à 14 L'intervention de Moïse et d'Aaron a pour effet l'aggravation de la condition du peuple.
Pour qu'il célèbre une fête. Le refus de cette demande si simple constatera d'autant mieux le mauvais vouloir de Pharaon. Voir la note sur 3.18
Le mécontentement de Pharaon ; Il augmente la charge des enfants d'Israël. (Exode 5:1-9)
Malgré l'état misérable du peuple d'Israël, Dieu désire le sauver au temps marqué, par l'intervention de Moïse. Pharaon méprisait toutes les requêtes de délivrance qui lui étaient adressées par le patriarche. Il ne connaissait pas Jéhovah, il ne le craignait nullement, ni ne l'aimait, ce qui le conduisait à refuser de lui obéir. Un tel orgueil de Pharaon, une telle cupidité et une si grande ambition politique ne pouvaient que le conduire à sa perte. Ce que Moïse et Aaron demandaient, était tout à fait raisonnable : ils n'ont fait que transmettre une demande pour laisser aller le peuple trois jours dans le désert.La souffrance des enfants d'Israël ; La complainte de Moïse envers Dieu. (Exode 5:10-23)
Il en va de même dans notre conduite chrétienne : nous devons réserver du temps pour offrir nos sacrifices spirituels au Seigneur, notre Dieu.
Le raisonnement de Pharaon, qui soutenait que les enfants d'Israël étaient paresseux et qu'en conséquence, il n'était pas pensable de les laisser partir pour offrir des sacrifices, était un raisonnement absurde. Il se méprenait complètement en voulant par ce fait, augmenter leur charge de travail.
De nos jours, il est fréquent de rencontrer des personnes plus disposées à formuler des reproches envers leurs voisins qui consacrent quelques heures au service de Dieu, plutôt que de blâmer les autres, qui s'adonnent aux plaisirs iniques de ce monde.
Ce refus de Pharaon était vraiment inhumain. Moïse et Aaron, dans cette lutte, en portaient indirectement les conséquences. Les persécuteurs prennent un certain plaisir à mépriser et à éprouver les serviteurs de Dieu. Le quota habituel de production de briques devait être atteint, malgré le manque de fourniture de paille nécessaire à leur fabrication. Une telle augmentation de charge de travail devait finalement être annoncée au peuple : elle ne pouvait que lui briser les reins, ou en cas de non accomplissement, provoquer la punition.