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Exode 7.19

L'Eternel dit Ă  MoĂŻse : « Ordonne Ă  Aaron : ‘Prends ton bĂąton et tends ta main sur l’eau des Egyptiens, sur leurs riviĂšres, leurs ruisseaux, leurs Ă©tangs et tous leurs rĂ©servoirs d'eau.’Elle deviendra du sang. Ainsi il y aura du sang dans toute l'Egypte, mĂȘme dans les rĂ©cipients en bois et en pierre. »
Le SEIGNEUR dit encore Ă  MoĂŻse : « Commande Ă  Aaron de prendre son bĂąton. Qu’il tende le bras en direction de tous les cours d’eau d’Égypte, vers les riviĂšres, les canaux, et mĂȘme vers les lacs. Alors cette eau deviendra du sang. Ainsi, il y aura du sang dans tout le pays, jusque dans les rĂ©cipients en bois ou en pierre. »
Yahweh said to Moses, "Tell Aaron, 'Take your rod, and stretch out your hand over the waters of Egypt, over their rivers, over their streams, and over their pools, and over all their ponds of water, that they may become blood; and there shall be blood throughout all the land of Egypt, both in vessels of wood and in vessels of stone.'"
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      GenĂšse 1

      Exode 7

      Exode 8

      16 Le texte nous dit que les poux provenaient de la transformation de la poussiĂšre de la terre ; en quelque lieu que ce soit, Dieu peut envoyer un flĂ©au, en vue de corriger ceux qui se rebellent contre Lui. MĂȘme la poussiĂšre de la terre Lui obĂ©it ! Ces poux Ă©taient vraiment gĂȘnants et rendaient les Égyptiens honteux : les magiciens Ă©taient obligĂ©s d'admettre qu'aucune vermine de ce type n'avait Ă©tĂ© encore trouvĂ©e en Égypte. Toutes les plaies infligĂ©es aux Égyptiens Ă©taient en rapport avec l'horreur de leurs crimes, vis Ă  vis des esclaves Ă©trangers qui travaillaient pour eux. Les magiciens tentĂšrent bien d'imiter ce flĂ©au, mais ils en Ă©taient incapables. Cela les a forcĂ©s Ă  confesser « c'est le doigt de Dieu » ! Cette incapacitĂ© restrictive venait probablement de la Puissance divine.

      TÎt ou tard, Dieu forcera Ses ennemis à reconnaßtre Sa toute Puissance. Pharaon, quant à lui, en dépit de ces faits, s'obstinait de plus en plus...

      Exode 9

      22 Que de ravages cette grĂȘle a pu occasionner ! Elle a tuĂ© Ă  la fois les hommes et le bĂ©tail. Les cĂ©rĂ©ales des champs furent dĂ©truites et seuls les plants encore sous terre furent Ă©pargnĂ©s. Le Pays de Gossen fut prĂ©servĂ©. Dieu, en effet, est tout Ă  fait capable d'envoyer la pluie et la grĂȘle sur une ville, tout en en Ă©pargnant une autre, selon Son bon vouloir ou Son jugement. Pharaon s'est humiliĂ© devant MoĂŻse. Nulle autre personne n'aurait pu mieux l'avertir : il reconnut sa mĂ©chancetĂ© tout en avouant que l'Éternel est juste.

      Dieu parle toujours, en toute Justice, bien qu'Il s'exprime parfois au moyen de tonnerre et d'Ă©clairs. Mais le cƓur de Pharaon s'endurcit une fois de plus. MoĂŻse s'adressa Ă  Dieu ; le patriarche avait des raisons de penser que Pharaon se repentirait de sa conduite : il Ă©tait tentĂ© de faire un pacte avec lui. MoĂŻse sortit de la ville, Ă©tendant ses mains vers l'Éternel, pour que la pluie et la grĂȘle s'arrĂȘtent et ainsi libĂ©rer Pharaon et ses serviteurs.

      La paix avec Dieu protĂšge les hommes de la colĂšre des Ă©lĂ©ments cĂ©lestes. Pharaon fut effrayĂ© par ce jugement terrible, mais une fois la calamitĂ© passĂ©e, il oublia sa promesse. Ceux qui n'amĂ©liorent pas leur cƓur quand ils sont confrontĂ©s aux jugements tombent dans une situation qui ne fait qu'empirer.

      Exode 10

      12 Dieu demanda Ă  MoĂŻse d'Ă©tendre ses mains : Les sauterelles surgirent. Aucune armĂ©e n'aurait pu occasionner autant de ravages que cette horde d'insectes. Qui peut prĂ©tendre pouvoir rĂ©sister devant ce Dieu si grand ? Ces sauterelles couvrirent tout le pays et en mangĂšrent tous les fruits. La croissance de toute plante est au service des hommes ; il plut Ă  Dieu de laisser piller cette richesse par les insectes et d'ĂŽter ainsi, le pain de la bouche des Égyptiens.

      Que notre travail ne soit pas exclusivement consacrĂ© Ă  l'habitat et Ă  la nourriture, qui ne sont que des Ă©lĂ©ments pĂ©rissables, mais plutĂŽt Ă  des valeurs Ă©ternelles ! Pharaon a demandĂ© Ă  MoĂŻse et Aaron de supplier l'Éternel pour qu'Il arrĂȘte cette plaie. Certaines personnes en pleine dĂ©tresse sont incapables de prier pour leur propre compte : elles recherchent l'appui de la priĂšre des autres. Elles montrent ainsi qu'elles n'ont aucun amour pour Dieu, et n'espĂšrent aucune joie qui pourrait rĂ©sulter de la communion avec Lui. Pharaon voulait seulement que ce flĂ©au s'arrĂȘte, sans toutefois se prĂ©occuper de ses pĂ©chĂ©s. Il voulait ĂȘtre libĂ©rĂ© de cette Ă©preuve des sauterelles et non pas de la duretĂ© de son cƓur, ce dernier Ă©tat Ă©tant le plus dangereux ! Un vent d'Est apporta les insectes, puis un vent d'Ouest les balaya. Le vent, quelle que soit son orientation, ne fait qu'obĂ©ir aux ordres divins, selon le bon vouloir du CrĂ©ateur. Ce vent soufflait lĂ  oĂč il Ă©tait prĂ©vu. Il respectait la volontĂ© de Dieu, ce qu'hĂ©las, nous ne faisons pas toujours ! Cette Ă©preuve des sauterelles Ă©tait un bon moyen pour provoquer la repentance des Égyptiens ; il faut savoir que dans de telles situations, Dieu est toujours prĂȘt Ă  pardonner et prompt Ă  la MisĂ©ricorde. S'il accorde ces dons devant une attitude d'humiliation, combien ce serait encore meilleur s'Il rencontrait, en plus, un cƓur sincĂšrement contrit.

      Oh ! Que la bontĂ© de Dieu nous pousse Ă  la repentance ! Pharaon revint sur sa premiĂšre rĂ©solution : ne pas laisser aller le peuple. Ceux qui souvent Ă©touffent leurs convictions de repentance, finissent par vouer leur vie entiĂšrement Ă  la convoitise de leur cƓur.

      21 La plaie des tĂ©nĂšbres, qui s'abattit sur l'Égypte Ă©tait terrible. Il s'agissait d'une obscuritĂ© « qu'on pouvait toucher », aussi dense qu'un Ă©pais brouillard. C'Ă©tait Ă  la fois Ă©tonnant et terrifiant, pendant trois jours : au total cela a reprĂ©sentĂ© une durĂ©e de six nuits continues. Les palais les plus luxueux n'Ă©taient que de lugubres donjons ! Maintenant, Pharaon avait tout le temps nĂ©cessaire pour essayer d'amĂ©liorer son sort.

      L'obscuritĂ© spirituelle est un vĂ©ritable esclavage ; tant que Satan aveugle les hommes, ceux-ci ne peuvent rien voir ; Il lie ainsi leurs mains et leurs pieds, afin qu'ils ne puissent servir Dieu, ni se diriger vers le ciel. Ils siĂšgent dans l'obscuritĂ©. Il est donc juste que Dieu les punisse. L'aveuglement de leur esprit les conduit dans les tĂ©nĂšbres ; aucune Ăąme n'Ă©tait aussi aveugle que celle de Pharaon, aucune atmosphĂšre n'Ă©tait aussi sombre que celle de l'Égypte en ces jours.

      Sachons redouter les conséquences du péché : si trois jours d'obscurité totale furent aussi terrifiants, comment seront alors les ténÚbres éternelles ? Les enfants d'Israël, quant à eux, bénéficiaient de la lumiÚre dans leurs demeures.

      Il ne faut pas penser que nous partageons systĂ©matiquement toutes les bĂ©nĂ©dictions octroyĂ©es par le ciel : nous devons donc, Ă  chaque fois que nous sommes bĂ©nis, savoir remercier Dieu. Nous voyons dans ce texte, la faveur particuliĂšre qui a Ă©tĂ© faite au peuple d'IsraĂ«l. Quel que soit l'endroit oĂč se trouve un IsraĂ©lite en ce monde de tĂ©nĂšbres, on rencontre de la lumiĂšre. Quand on voit Dieu faire ainsi le distinguo entre les enfants d'IsraĂ«l et les Égyptiens, qui ne prĂ©fĂšrerait le modeste pays de Gossen, aux somptueux palais Ă©gyptiens ? Il y a une rĂ©elle diffĂ©rence entre la maison du « mĂ©chant », sujette Ă  la malĂ©diction, et celle du « juste », qui elle, est bĂ©nie.

      Pharaon a repris le dialogue avec MoĂŻse et Aaron : il consentit Ă  laisser partir le peuple d'IsraĂ«l, avec ses enfants, sans toutefois qu'ils puissent prendre le bĂ©tail avec eux. Il est courant de voir des pĂ©cheurs marchander avec le Dieu Tout-Puissant ; ils ont alors tendance Ă  se moquer de Lui, et en finale se trouvent toujours déçus. Quand les termes de rĂ©conciliation entre Dieu et les hommes sont annoncĂ©s, ces derniers cherchent toujours Ă  en tirer quelques bĂ©nĂ©fices supplĂ©mentaires ; en fait, ils ne peuvent plus rien modifier, ni amĂ©liorer quoi que ce soit. Nous devons nous plier aux requĂȘtes de la volontĂ© divine ; n'espĂ©rons pas que Dieu puisse satisfaire les dĂ©sirs de notre convoitise. Nous devons, nous et nos enfants, consacrer tout ce que nous possĂ©dons ici-bas, au service de Dieu ; il ne nous appartient pas de connaĂźtre quel plan ce Dernier a prĂ©vu d'exĂ©cuter, par notre intermĂ©diaire.

      Pharaon dĂ©cida de rompre le dialogue brutalement et de cesser toute nĂ©gociation avec MoĂŻse. Avait-il oubliĂ© combien de fois il avait sollicitĂ© le patriarche pour que ce dernier intervienne auprĂšs de l'Éternel, en vue d'arrĂȘter les plaies prĂ©cĂ©dentes ? Que de vaine malice ! Menacer MoĂŻse de mort, alors que ce dernier avait montrĂ©, par l'intermĂ©diaire de Dieu, quelle Ă©tait sa puissance ! Que de dĂ©lices, au contraire peuvent procurer un cƓur contrit, tirant sa joie dans la lecture de la Parole de Dieu ! AprĂšs ces Ă©vĂ©nements, MoĂŻse ne devait plus se prĂ©senter devant Pharaon pour lui exposer ses requĂȘtes, Ă  moins qu'il n'y soit envoyĂ© par Dieu.

      Quand les hommes s'appuient sur la Parole de Dieu, ce dernier les garde de toute désillusion.

      Exode 14

      21 La division des eaux de la mer Rouge fut, plus tard, un sujet de terreur pour les habitants de Canaan, Jos 2:9 ; ce miracle fut par contre pour les IsraĂ©lites, un sujet de louange et de triomphe, Psaume 114:3;106:9;136:13. Ce prodige fut aussi une image du baptĂȘme, 1Corinthiens 10:1,2. Ce passage d'IsraĂ«l au travers de la mer, Ă©tait un symbole de la conversion des Ăąmes, Esa 11:15 ; quant Ă  la noyade des Égyptiens, elle reprĂ©sente la ruine finale des pĂ©cheurs incrĂ©dules. Dieu rĂ©vĂšle Sa Toute Puissance en ouvrant un passage de plusieurs kilomĂštres Ă  travers les eaux. Il peut conduire Son peuple Ă  travers les plus grandes difficultĂ©s, Il est capable de crĂ©er un chemin, lĂ  oĂč cela paraĂźt impossible. C'est un exemple de Son merveilleux Amour pour IsraĂ«l.

      Le peuple entra dans la mer : il marcha sur le sec, au milieu des flots ! Ce miracle eut lieu pour encourager le peuple de Dieu à Lui faire confiance d'ùge en ùge, lors des moments les plus difficiles. Quel acte serait impossible à Celui qui a accompli un tel prodige ? Que ne pourrait Il faire pour ceux qui L'aiment et qui Le craignent, au vu de ce qu'Il a déjà fait pour le peuple d'Israël, incrédule et toujours en train de murmurer ? Ce dernier n'a pu que se soumettre à la juste et Toute Puissante colÚre divine, contre ses ennemis égyptiens.

      La ruine des pĂ©cheurs n'arrive qu'Ă  cause de leur entĂȘtement et de leur prĂ©somption. Les Égyptiens auraient trĂšs bien pu laisser partir les enfants d'IsraĂ«l : ils tentĂšrent de les en empĂȘcher ; c'est alors qu'ils essayĂšrent d'Ă©chapper Ă  la noyade, mais il Ă©tait trop tard.

      Les hommes ne sont jamais convaincus, jusqu'au moment oĂč ils franchissent le point de non retour : ceux qui osent « toucher » au peuple de Dieu finissent par courir Ă  leur perte. L'ordre fut donnĂ© Ă  MoĂŻse d'Ă©tendre sa main sur la mer ; les eaux regagnĂšrent leur place et engloutirent tous les Égyptiens. Pharaon et ses serviteurs, le cƓur endurci par le pĂ©chĂ©, furent noyĂ©s tous ensemble : personne ne put s’échapper. Les enfants d'IsraĂ«l virent les Égyptiens, morts sur le sable. Ce tableau les impressionna vivement.

      Quand les hommes remarquent les Ɠuvres divines, quand ils en constatent les consĂ©quences, ils se mettent alors Ă  craindre Dieu et Lui accordent leur confiance. Qu'il serait bon, dans des cas semblables, de nous tenir dans un mĂȘme Ă©tat d'esprit !

      Contemplons avec espérance l'avenir qui est réservé au croyant : ses ennemis sont puissants et l'entourent ; mais s'il s'appuie sur Dieu, il pourra passer au travers des vagues, en toute sécurité, gardé par la Puissance de son Sauveur, qui combattra ses ennemis spirituels.

      Les ennemis de l'Ăąme, que le croyant voit aujourd'hui, disparaĂźtront Ă  jamais.

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