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Luc 12.12

car le Saint-Esprit vous enseignera à ce moment-là ce que vous devez exprimer. »
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      Exode 4

      Matthieu 10

      Luc 21

      Actes 4

      Actes 6

      Actes 7

      17 Ne soyons pas découragés quand l’accomplissement des promesses divines semble tarder. Les temps d’épreuve sont souvent synonymes de croissance pour l'église. Dieu prépare la délivrance de Son peuple, même lorsque ce dernier, en pleine détresse, traverse les périodes les plus sombres.

      Moïse était très beau, « il était beau aux yeux de Dieu », verset Actes 7:20 ; il avait la beauté de la sainteté, ce qui est d'un grand prix aux yeux de Dieu. Il fut préservé d'une façon merveilleuse pendant son enfance ; Dieu, en effet, prend un soin particulier de ceux qu'Il prévoit d’utiliser. S'il a ainsi protégé l'enfant Moïse, combien plus devait-Il soutenir les intérêts de Son saint enfant, Jésus, devant des ennemis rassemblés contre Lui !

      Les Juifs persécutèrent Étienne car il prenait la défense de Christ et de Son évangile : pour contrer ses paroles, ils mentionnèrent Moïse et sa loi. Ces mêmes Juifs pouvaient encore comprendre, s'ils ne tournaient pas obstinément le dos à la Lumière, que Dieu, par l’intermédiaire de Jésus, pouvait les délivrer d'un esclavage bien pire que celui de l'Égypte.

      Bien que les hommes soient capables d’errer dans leur misère spirituelle, le Seigneur prendra cependant toujours soin de Ses serviteurs, en agissant envers eux avec Miséricorde !

      30 Les hommes se trompent, s'ils pensent que Dieu n’est pas capable de faire ce que bon Lui semble, où Il le désire ; Il peut très bien amener Ses serviteurs dans le désert, et en cet endroit calme, leur parler sereinement.

      L’Éternel apparut à Moïse dans un buisson en feu, cependant, ce dernier ne se consumait pas ; ceci représentait l'état du peuple d’Israël en Égypte : bien qu'il ait été opprimé, dans le « feu de la détresse », il n'a pas pour autant été consumé. Ce fait peut nous rappeler Christ, revêtant ici-bas la forme humaine et servant par là d’union entre les hommes et Dieu.

      La mort d'Abraham, d’Isaac, et de Jacob, n’allait pas rompre l'alliance entre Dieu et ces patriarches. Notre Sauveur prouve en cela ce qui nous attend, Matthieu 22:31. Abraham est mort, mais il faisait une entière confiance à Dieu durant son vivant ; désormais, par voie de conséquence, le patriarche est auprès de Lui ! Aujourd’hui, ce sont cette vie et cette immortalité qui sont amenées à la lumière par l'évangile.

      Dans ce texte, Étienne dit que Moïse était une figure éminente de Christ, du fait qu’il était le libérateur d'Israël. Dieu éprouve de la compassion quand Son église est persécutée et que Son peuple gémit ; sa délivrance découle de la Miséricorde divine.

      Ce type de délivrance s’est aussi manifesté quand Christ est descendu du ciel pour nous, pour notre salut. Ce Jésus, que les Juifs ont refusé, tout comme leurs pères à l’égard de Moïse, était Celui que Dieu a envoyé, en tant que Prince et Sauveur.

      On n’abaisse pas Moïse en affirmant qu'il n'était qu'un « instrument de Dieu », et qu'il ait été infiniment éclipsé par Jésus. En affirmant que ce Dernier devait changer les coutumes de la loi, Étienne était donc loin d’outrager Moïse : en réalité il l'honorait, en exposant comment sa prophétie relative au futur Sauveur (Jésus) s’est accomplie de façon si évidente. Dieu, qui a donné la loi au peuple juif, par Son serviteur Moïse, est capable, sans aucun doute, de « l’accomplir », par son Fils Jésus !

      Mais Israël a repoussé Moïse, préférant revenir à son esclavage en Égypte. En général, de la même manière, les hommes ne veulent pas obéir à Jésus, parce qu'ils aiment trop ce présent monde mauvais, se réjouissant de leurs propres œuvres et divers projets douteux...

      42 Dans ce texte, nous voyons, Étienne reprocher aux Juifs l'idolâtrie de leurs pères, ce qui poussa Dieu a les punir. C’était un honneur pour Dieu, de voir le tabernacle prendre le chemin du temple ; ainsi en est-il aujourd’hui : le temple terrestre conduit vers l’adoration, vers « le temple spirituel » ; pour finir, ce dernier laissera la place à celui qui sera éternel.

      Le monde entier est en quelque sorte, « le temple de Dieu », dans lequel le Seigneur est omniprésent, le remplissant de Sa gloire. Ses ouvrages révèlent Sa puissance éternelle et Sa Divinité. Mais le ciel étant Son trône et la terre Son marchepied, que pourrions-nous lui offrir qu’Il n’ait déjà, Il est Celui qui a créé toutes choses ?

      Le cœur brisé d’un pécheur repentant aux pieds de Christ, est « le temple » que Dieu préfère le plus !

      51 Étienne continua son témoignage, semble-t-il, pour bien montrer que le temple et le service de la loi allaient toucher à leur fin, pour faire place à l'adoration du Père, en Esprit et en vérité ; il perçut toutefois que les Juifs n’allaient pas supporter ce genre d’annonce : il a donc cessé de témoigner sur ce sujet et poussé par l'Esprit de sagesse, avec courage et détermination, il réprimanda avec douceur ses persécuteurs.

      Quand des arguments clairs et des vérités accablantes provoquent les opposants de l'Évangile, on doit leur prouver leur culpabilité et le danger qu’ils courent. Ces Juifs, comme leurs pères, étaient têtus et opiniâtres. Il y a toujours dans le cœur coupable des impies, des éléments qui résistent au Saint-Esprit, la « chair » qui s'élève contre l'Esprit, et lutte contre Ses actions divines ; mais dans le cœur de l'élu de Dieu, règne la plénitude et ce genre d’opposition spirituelle est vaincue.

      Après la mort de Christ, l'Évangile était désormais « offert », non par les anges, mais par le Saint-Esprit ; malgré cela, les Juifs de cette époque ne l'ont pas reçu, refusant de se soumettre à Dieu, que ce soit et Sa loi et Son évangile. Leur culpabilité les piqua à vif et ils cherchèrent à nier ce sentiment en lapidant Étienne, leur détracteur, au lieu de pleurer et de supplier Dieu pour obtenir Sa Miséricorde.

      Actes 26

      1

      La défense de Paul, devant Agrippa. (Actes 26:1-11)
      Sa conversion et sa prédication aux Païens. (Actes 26:12-23)
      Festus et Agrippa sont convaincus de l'innocence de Paul. (Actes 26:24-32)

      Le christianisme nous apprend à donner une raison de l'espérance qui est en nous, et d'honorer Celui à qui l'honneur est dû, sans crainte de qui que ce soit et loin des influences néfastes des hommes.

      Agrippa connaissait bien l'Ancien Testament ; il pouvait donc être à même de juger toute controverse relative à Jésus, le Messie. On peut espérer que les serviteurs de Dieu qui prêchent la foi en Christ, peuvent s'attendre à être entendus avec patience. Paul professa qu'il avait gardé toute l’instruction qu’il reçut en premier lieu ; il est même devenu compétent en la matière. Nous voyons dans ce texte, ce que sa religion représentait pour lui. L’apôtre était un moraliste, un homme de vertu, il n’était pas sujet à la malice et à l’avidité des pharisiens ; on ne pouvait l’accuser ni de vice ni d’irrévérence relatifs à sa religion. Il avait une foi saine. Il avait toujours eu un saint respect pour les promesses que Dieu avait adressées aux pères d’Israël, et avait bâti son espérance sur elles.

      L'apôtre savait très bien que tous ces éléments étaient incapables de le justifier devant Dieu, mais il savait cependant qu’ils étaient propices à sa réputation parmi les Juifs, tout en tendant à leur démontrer qu'il n'était pas l’homme qu'ils pensaient. Bien que le récit de sa « rencontre » avec Christ pouvait provoquer sa perte, il le fit pour servir l'honneur de son Sauveur.

      Remarquez, dans ce texte, la véritable nature de la religion de Paul : il ne manifestait plus le même zèle, qu’au temps de sa jeunesse, pour la loi et les cérémonies de l’ancienne alliance ; les sacrifices et les offrandes, de l’époque de l’Ancien Testament, ont été annulés par le grand Sacrifice de notre Seigneur, dont ils n'étaient que l’image. Le sacerdoce lévitique était désormais remplacé par celui de Christ ; toutefois, Paul restait toujours aussi zélé pour sa religion.

      Christ et le ciel sont les deux grandes doctrines de l'évangile ; Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est en Son Fils. Telle est la base de la promesse qui a été faite aux patriarches d’Israël. Le service du temple, ou les les cérémonies religieuses, ont été perpétrés sans interruption, dans l’attente de cette promesse de la vie éternelle. Cette perspective du salut en Jésus-Christ, doit nous engager à être assidus et sincères dans toutes nos dévotions.

      Les sadducéens détestaient Paul car ce dernier prêchait la résurrection ; le reste des Juifs se joignirent à eux, parce que l’apôtre affirmait que Jésus était ressuscité et qu'Il était le Rédempteur promis d'Israël.

      Les nombreuses convictions qui peuvent découler de la nature infinie, des perfections de Celui qui les a révélées et des promesses qu’Il a faites, ne sont hélas pas prises en considération par beaucoup de personnes. Paul reconnaissait que du temps où il était encore pharisien, il était un ennemi acharné du christianisme. Tels étaient son caractère et sa manière de vivre au début de sa vie ; toute sa conduite, avant qu’il ne rencontre Christ, ne pouvait que l'empêcher de devenir chrétien...

      Ceux qui ont été les plus stricts quant à leur conduite, avant leur conversion, trouveront de nombreuses raisons de s'humilier, face à leurs erreurs passées, même celles qu'ils pensaient être alors légitimes.

      12 Paul devint chrétien par la puissance divine, par le biais d’une révélation de Christ, qui lui fut adressée, de manière visible, mais aussi dans son cœur, alors qu'il était au paroxysme de son œuvre de persécution et de son péché. Il a été fait serviteur de Dieu par l'autorité divine : Jésus lui est apparu dans cette lumière glorieuse, lui ordonnant de prêcher l'évangile aux Païens.

      Un monde qui git dans les ténèbres doit être éclairé ; on doit faire connaître à ceux qui sont encore « ignorants » la paix éternelle. Un monde qui demeure dans la méchanceté doit être sanctifié et réformé ; les impies ne doivent pas seulement avoir leurs « yeux » ouverts spirituellement, ils doivent avoir leur cœur renouvelé ; il n'est pas suffisant de les amener des ténèbres à la lumière, mais ils doivent être soustraits au pouvoir de Satan, pour être amenés à Dieu.

      Tous ceux qui se détournent du péché pour aller vers Dieu ne sont pas seulement pardonnés, mais ils sont assurés de bénéficier d'un riche héritage. Le pardon des péchés conduit à ce but. Nul ne peut être heureux s'il n'est saint ; avant d’être des saints dans le ciel, nous devons d'abord l’être ici-bas. Nous sommes rendus saints et sauvés par la foi en Christ ; avec cette foi, nous nous appuyons sur Christ, le Seigneur et notre Justice ; nous nous abandonnons à Lui, en tant que Maître et Souverain ; par cette foi nous recevons la rémission des péchés, le don du Saint-Esprit, et la vie éternelle !

      La croix de Christ était une pierre d'achoppement pour les Juifs, ils étaient furieux en entendant la prédication de Paul, relative à l'accomplissement des prédictions de l'Ancien Testament. Christ devait être le Premier qui devait ressusciter d’entre les morts : la Tête. Il a été aussi prédit par les prophètes, que les Païens devaient être amenés à la connaissance de Dieu, par le Messie ; pourquoi donc les Juifs étaient-ils si hostiles à la prédication de Paul ?

      C'est de cette manière, le témoignage de l’apôtre, que le véritable converti peut donner une raison de son espérance, et un bon témoignage du changement qui se manifeste en lui. Cependant, pour s'être mis en avant, afin d'appeler les hommes à se repentir et à se convertir, nombreux furent blâmés et persécutés...

      24 Il nous appartient, en toutes occasions difficiles, de nous exprimer sobrement, avec vérité ; nous serons alors sereins, face à l’injustice des hommes.

      Les fervents partisans de l'Évangile ont souvent été méprisés ; ils ont été traités de rêveurs ou de fous, pour leurs croyances à des doctrines et des faits si merveilleux ! Ils furent aussi méprisés pour leur témoignage sur leur foi et leur persévérance, annonçant qu’une telle expérience spirituelle était nécessaire pour le salut de tous les hommes, quel que soit leur rang. Les apôtres, les prophètes et le Fils de Dieu Lui-même, ont été exposés à un tel mépris ; nul ne doit s’inquiéter de ce genre de situation, la Grâce divine rendant sage à salut !

      Par le discours de Paul, Agrippa entendit de nombreux arguments en faveur du christianisme. Sur le moment, sa compréhension et son opinion étaient favorables au message de l’Évangile, mais son cœur n'a pas été changé pour autant. Sa conduite et son tempérament étaient bien distants de l'humilité et de la spiritualité prêchées par l'Évangile.

      Beaucoup de personnes sont persuadées d'avoir une certaine piété, mais en fait, elles sont loin de Dieu ; elles sont fortement convaincues du bien qu’elles doivent faire dans l’exercice de leur piété, et de l'excellence des voies divines, mais elles ne se soumettent pas à leurs convictions.

      Paul estimait que chacun devait chercher à devenir un véritable chrétien et qu'il y a suffisamment de disponibilité de la Grâce, en Christ, pour tous. Il exprimait sa totale conviction de la Vérité de l'Évangile et la nécessité absolue de la foi en Christ pour le salut. L'Évangile de Christ offre aux « Gentils » une réelle délivrance, les libérant de l’esclavage du péché. C'est cependant avec certaines difficultés que les âmes croient qu’elles ont besoin de l'œuvre de la Grâce : tel était le cas des « Gentils », au temps de l’apôtre.

      Méfions-nous de certaines de nos hésitations : elles peuvent nous être fatales ; rappelons-nous du danger qu’il y a d'être persuadé d'être « presque » chrétien ! Il y a dans ce genre d’attitude, une réelle différence avec le fait de l'être entièrement, comme l'est chaque véritable croyant !

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