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20
Lorsqu’il vit quelle confiance ils avaient en lui, Jésus dit au paralysé : — Mon ami, tes péchés te sont pardonnés.
14
Mais Jésus lui répondit : — Mon ami, qui m’a chargé d’être votre juge ou votre arbitre en matière d’héritage ?
58
Peu après, quelqu’un d’autre, en apercevant Pierre, l’interpella : — Toi aussi, tu fais partie de cette bande ! — Mais non ! déclara Pierre, je n’ai rien à voir avec eux !
15
Mais Jésus, pressentant qu’ils viendraient l’enlever de force pour le proclamer roi, se retire de nouveau, tout seul, plus loin dans la montagne.
11
Personne, Seigneur, lui répond-elle. Alors, Jésus lui dit : — Je ne te condamne pas non plus. Tu peux partir. À l’avenir, garde-toi de pécher.
35
Est-ce que je suis juif, moi ? répliqua Pilate. Ce sont ceux de ton propre peuple et les chefs des prêtres qui t’ont livré à moi. Qu’est-ce que tu as fait ?
36
Jésus lui répondit : — Ma royauté ne provient pas de ce monde et n’appartient pas à cette terre. Si mon royaume appartenait à ce monde, mes sujets se seraient battus pour que je ne tombe pas aux mains des chefs des Juifs. Mais ma royauté, maintenant, n’est pas d’ici-bas. —
1
( « Oui, quel abîme de méchanceté », diras-tu peut-être.) Mais qui que tu sois, toi, mon ami qui t’ériges en juge, sais-tu qu’en parlant ainsi, tu prononces ta propre condamnation ? Car, tout en jugeant les autres, au fond, tu te conduis comme eux !
3
T’imaginerais-tu peut-être, toi qui t’arroges cette fonction de juge (et qui te comportes comme tout le monde), que le simple fait de condamner autrui te fera échapper à la sentence divine ?
20
Mais, pauvre mortel, qui es-tu donc pour critiquer Dieu, pour discuter avec lui ou lui demander des comptes ? Le vase demandera-t-il au potier : « Pourquoi m’as-tu façonné ainsi ? »
Cette réponse de Jésus signifie : "Mon règne n'est pas de ce monde." Il s'agit d'une question de droit ; or, pour cela, il y a des juges.
Jésus refuse de compromettre son ministère tout spirituel dans des contestations de cette nature. Il aurait agi autrement, si on lui avait demandé de réconcilier ensemble deux frères divisés.
Au reste, la parole du Sauveur (verset 15) prouve que cet homme n'était pas mu par le désir désintéressé de la justice.