Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Luc 2.34

Siméon les bénit et dit à Marie, sa mère : Voici : cet enfant est là pour la chute et le relèvement de beaucoup en Israël, et comme un signe qui provoquera la contradiction,
Siméon les bénit et il dit à Marie, la mère de Jésus : « À cause de ton enfant, beaucoup en Israël vont tomber ou se relever. Il sera un signe de Dieu, mais les gens le rejetteront.
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Genèse 14

      Genèse 47

      7 Jacob, avec la solennité que confère son âge, la piété d'un vrai croyant, et l'autorité d'un patriarche en même temps que prophète, a sollicité le Seigneur de bien vouloir accorder Sa bénédiction sur Pharaon. Il a agi sans avoir honte de sa religion ; de plus, il voulait exprimer sa gratitude au bienfaiteur de sa famille. Nous sommes ici en présence d'une réponse très particulière donnée à une question tout à fait commune. Jacob estime que sa vie a été un véritable pèlerinage ; il a séjourné, en tant qu'étranger, dans de nombreux endroits, même dans son pays d'origine. Sa véritable maison n'était pas ici-bas ; sa demeure, son héritage, ses trésors se trouvaient en réalité dans les cieux ! Il comptait avec attention tous les jours de sa vie ; tous les jours de notre vie sont comptés, et nous ne sommes pas sûrs du lendemain... Sachons donc bien en saisir toute la valeur.

      Les jours du patriarche furent peu nombreux. Bien qu'il ait vécu cent trente an, ils ne représentèrent que peu de temps, en comparaison avec l'éternité. Ces années furent mauvaises ; il en est de même pour tout homme. Il n'est que peu de jours sur terre et de plus il est souvent soumis à l'épreuve ; la vie de Jacob n'a pas été facile. La vieillesse l'a surpris plus tôt que la majorité de ses pères. De même que le jeune homme ne devrait pas être fier de sa force ou de sa beauté, le vieillard ne devrait pas l'être davantage, de son âge et de ses cheveux blancs, malgré le respect qu'il est en droit de demander ; de nos jours, les vieillards n'atteignent pas forcément l'âge des patriarches des temps bibliques. Les cheveux blancs ne sont qu'une couronne de gloire, lorsqu'ils sont toutefois portés par une personne cheminant dans la droiture.

      Dans notre texte, le propos de Jacob ne pouvait que faire réfléchir Pharaon, en lui rappelant que la prospérité et le bonheur dans ce monde ne peuvent durer bien longtemps ni satisfaire le cœur des hommes indéfiniment.

      Après une vie de vanité et de vexations, l'homme finit dans la tombe, qu'il descende d'un trône ou d'une modeste maison. Rien ne peut nous rendre plus heureux que de discerner la perspective d'une maison éternelle dans le ciel, après notre court et souvent pénible pèlerinage sur terre.

      Exode 39

      Lévitique 9

      22 Quand les sacrifices solennels et la bénédiction finale furent achevés, Dieu manifesta Son approbation. C'est alors que le feu, envoyé par l'Éternel consuma le sacrifice, manifestant ainsi la présence divine. Ce feu jaillit devant le peuple rassemblé : cela signifiait qu'il consumait les sacrifices pour l'ensemble des péchés commis ; cela manifestait également l'approbation divine, quant à l'expiation du pécheur.

      C'était une image de toutes les choses merveilleuses qui devaient s'accomplir plus tard, au temps de l'évangile. Le Saint-Esprit descendit sur les apôtres sous la forme d'une flamme de feu. La descente de ce feu dans nos âmes, illumine notre piété et notre affection pour notre Père céleste. Cela nous donne également du zèle pour nous détourner de la chair et de ses convoitises ; cette action céleste est le témoignage de l'approbation divine quant à notre repentance. Nous ne pouvons rien offrir à Dieu ; par contre, tout ce que nous détenons vient de Lui. Nous devons posséder la grâce, ce merveilleux feu venant de Dieu, sinon, nous ne pouvons le servir convenablement, Heb 12:28.

      Dans notre texte, nous lisons que le peuple était impressionné en voyant la Grâce et la Gloire de l'Éternel. Les Israélites exprimaient alors une joie extrême : ils possédaient l'assurance triomphante que Dieu se trouvait parmi eux ; ils tombèrent avec humilité sur leur face : ils adorèrent la majesté de ce Dieu qui daignait se manifester en personne. C'est l'attitude typique du pécheur qui a la crainte de Dieu, seul sentiment qui permette de s'approcher de Lui. La crainte respectueuse de Dieu ne peut que nous inciter à nous incliner devant Lui !

      Psaumes 22

      Psaumes 69

      Esaïe 8

      Osée 14

      9 Qui profite des vérités et des délivrances annoncées par les prophètes ? Ceux qui se sont préparés à connaître et à comprendre de telles choses. Les voies de la Providence divine sont droites ; Dieu fait toutes choses bien. Christ est la Pierre angulaire pour certains, mais une Pierre d'achoppement et le Rocher du mépris pour les autres.

      Les ordonnances divines de la vie sont devenues, au travers de tous leurs abus, une condamnation pour les autres. Le soleil amollit la cire en même temps qu'il durcit l'argile.

      Tous les transgresseurs connaîtront certainement les chutes les plus fatales, les plus dangereuses, celles qui les feront tomber entre les mains de Dieu, qui seul est capable de fendre les rochers. Que les pécheurs, en Sion, puissent en avoir la crainte. Apprenons à marcher dans les voies droites de Dieu, comme des serviteurs vertueux ; qu'aucun, parmi nous ne soit désobéissant ou incrédule, qu'il ne trébuche pas, devant les commandements de Sa Parole.

      Matthieu 11

      Matthieu 12

      46 La prédication de Christ ici-bas était claire, simple et évidente, elle convenait parfaitement à ceux qui l’écoutaient. La mère et les frères de Jésus étaient dehors, près de Lui, désirant Lui parler, alors qu'ils auraient pu le faire tranquillement dans la maison familiale.

      On constate souvent que ceux qui sont au plus près de la connaissance du Salut et de la Grâce, sont des plus négligents sur ces sujets. Nous avons tendance à négliger assez vite ce que nous pensons pouvoir posséder un jour, oubliant que le lendemain ne nous appartient pas. Nous sommes souvent confrontés à des obstacles dans notre travail, certains proviennent même de nos amis ; ceci peut nous préoccuper au point d’oublier l’essentiel : ce qui concerne nos âmes.

      Christ était si soucieux de Son ministère ici-bas, qu'aucun autre devoir, fut-il légitime, ne pouvait l'en écarter. L’exercice de la piété ne doit pas nous rendre irrespectueux envers nos parents, ou malveillants envers nos proches, mais ceci ne doit pas constituer une priorité, quand notre devoir plus important, le spirituel, doit être accompli.

      Éloignons-nous des hommes, attachons-nous à Christ ! Considérons chaque chrétien, quelle que soit sa condition, comme étant le « frère », la « sœur », ou la « mère » du Seigneur de Gloire ; ayons pour ces chrétiens de l'amour, du respect, de la gentillesse, par égard pour Christ et selon Son exemple !

      Matthieu 21

      Matthieu 26

      Matthieu 27

      45 Durant les trois heures où il y eut des ténèbres sur toute la terre, Jésus était à l’agonie, luttant contre les puissances des ténèbres, et souffrant de la haine de son Père, à l’encontre du péché de l'homme : pour cette iniquité, l’âme du Seigneur était alors une véritable « offrande ». Jamais on ne connut une telle période de trois heures d’atroces souffrances, depuis le jour où Dieu créa l'homme sur la terre, jamais une scène aussi sombre et affreuse ne se déroula ici-bas. Le but ultime de la croix consiste en la rédemption de l'homme et son salut. Jésus émit une plainte, celle qui est décrite dans le Psaume 22:1. En cela, Il nous enseigne à utiliser la Parole de Dieu lorsque nous prions, en nous recommandant d’utiliser les expressions qui y figurent. Dans son existence, le croyant peut avoir goûté des moments d'amertume, mais ils sont bien pâles devant la profondeur des souffrances endurées par Christ. Il apprend cependant par là, la grandeur de l'Amour du Sauveur pour les pécheurs et il est convaincu de l’horreur extrême du mal et du péché. Il doit à Christ la délivrance de la colère divine à venir, pour ceux qui se repentent !

      Les ennemis de Jésus tournèrent méchamment Sa plainte en dérision. Les nombreux reproches lancés contre la Parole de Dieu et Son peuple, résultent en fait d'erreurs grossières commises par les ennemis du Seigneur.

      Christ, avant d’expirer, a parlé avec force, pour montrer qu’Il était encore bien en vie et qu’Il se livrait volontairement entre les mains de Son Père. Il a eu la force de lancer un défi aux puissances de la mort : Il voulait montrer que par l'Esprit éternel, Il s'offrait Lui-même, étant en même temps le Sacrificateur et le Sacrifice ; Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l'esprit.

      Sur la croix, le Fils de Dieu est mort par la violence de la peine qui lui a été infligée. Son âme a quitté Son corps : ce dernier était réellement mort. Il est certain que Christ est passé par la mort, c’était nécessaire. Il entreprit d’être Lui-même une « offrande » pour le péché, et Il le fit en donnant volontairement Sa vie.

      Jean 3

      Jean 5

      Jean 8

      48 Remarquons l'indifférence de Christ aux acclamations des hommes ! Ceux qui restent insensibles aux flatteries, sont capables de supporter également le mépris. Dieu honorera tous ceux qui ne cherchent pas à s’honorer personnellement.

      Nous avons dans ce texte la « doctrine » du bonheur éternel, celle des justes. Nous y trouvons tout ce qui caractérise le croyant : il est celui qui garde les paroles du Seigneur Jésus. Tel est son privilège : il ne connaîtra jamais la mort éternelle !

      Bien que les enfants de Dieu ne puissent se soustraire à la mort, ils résideront bientôt en un lieu où elle n’existera plus, Exode 14:13.

      Jean 9

      24 Les bénédictions de Christ sont davantage perçues par ceux qui en éprouvent vraiment le besoin : ceux qui étaient

      spirituellement aveugles, peuvent désormais voir ! Il en est de même pour nos affections les plus ferventes et les plus durables pour Christ : elles croissent parallèlement à une réelle connaissance de Sa personne.

      Dans l'œuvre de la Grâce opérée dans l'âme, bien que nous ne puissions pas dire exactement quand et comment ce changement béni a eu lieu, nous pouvons nous exclamer : « je sais une chose, c'est que j'étais aveugle et que maintenant je vois ! Je vivais une vie basée sur les plaisirs de ce monde, mais, grâces soient rendues à Dieu, il en est maintenant autrement », Eph 5:8.

      Il est étonnant de constater l'incrédulité de certains, face à la joie de ceux qui jouissent de la connaissance et de la communion avec le Seigneur. Tous ceux qui ont ressenti la Puissance et la Grâce du Seigneur Jésus, s'étonnent de l'obstination de ceux qui Le rejettent.

      Dans ce texte, nous voyons cet aveugle guéri, discuter vivement avec les pharisiens et assurer que non seulement Jésus n'était pas un pécheur, mais Il était Dieu en personne !

      Chacun de nous, au regard de ce texte, doit savoir s'il est pour ou contre Dieu. Que faisons-nous pour Lui ? Que faisons-nous pour notre âme ? Avons-nous plus que les autres, du zèle pour le Seigneur ?

      Actes 2

      37 Dès la première prédication de Pierre, poussé par le Saint-Esprit, la puissance divine se manifesta ; des milliers d’âmes furent amenées à la foi.

      Ni les paroles de Pierre, ni le miracle dont tous furent témoins, n'auraient pu produire de tels effets, si le Saint-Esprit n'avait pas été présent.

      Lorsque les « yeux spirituels » des pécheurs sont ouverts, ces derniers ont dès lors le cœur meurtri par leur iniquité, ils ne peuvent ressentir qu'un véritable malaise. L'apôtre exhorta ses auditeurs à se repentir de leurs péchés, et à témoigner ouvertement de leur foi en Jésus, le Messie, en se faisant baptiser en Son Nom. Professant ainsi leur obéissance envers Lui, ces âmes recevront alors la rémission de leurs péchés, et deviendront participantes des dons et grâces du Saint-Esprit.

      En se séparant des méchants, on échappe à leur emprise. Ceux qui se repentent de leurs péchés, et qui « s'abandonnent » à Jésus-Christ, doivent prouver la véracité de cette repentance en rompant tout lien avec le mal. Nous devons nous écarter des méchants, et nous efforcer, avec une sainte peur, de les éviter.

      Par la grâce de Dieu trois mille personnes acceptèrent le message de l'évangile. Il ne fait aucun doute que le don du Saint-Esprit, reçu par tous, (aucun véritable croyant ne sera oublié), était bien cet Esprit d'adoption et cette Grâce qui convertit, qui dirige, qui sanctifie, qui est donnée à tous les membres de la « famille spirituelle » de notre Père céleste. La repentance et la rémission des fautes sont toujours prêchées aux pécheurs, au Nom du Rédempteur ; le Saint-Esprit scelle Sa bénédiction dans le cœur du croyant repentant ; de nombreuses promesses spirituelles lui sont alors adressées, ainsi qu’à ses enfants ; des bénédictions sont ensuite accordées à tous ceux qui s’éloignent du mal !

      Actes 3

      19 Dans ce texte, l’absolue nécessité de se repentir est citée solennellement à tous ceux qui désirent que leurs péchés soient effacés, afin qu'ils puissent bénéficier du « rafraîchissement spirituel » que rien d’autre que l'Amour du Rédempteur, ne peut offrir. Bénis soient ceux qui sont conscients de cette vérité !

      Il n'était pas nécessaire pour le Saint-Esprit de faire connaître les temps des promesses des dispensations futures. Ces sujets restent encore obscurs... Mais lorsque les pécheurs sont convaincus de leur culpabilité, ils s’adressent au Seigneur pour obtenir Son pardon ; l’âme perdue qui se convertit et qui croit à la rédemption offerte par Christ, reçoit, par Sa présence spirituelle, un rafraîchissement de Sa part. Au temps de l'épreuve, le Rédempteur peut demeurer « invisible spirituellement » : nous devons alors vivre par la foi, en Lui !

      Actes 4

      Actes 6

      Actes 9

      1

      La conversion de Saul. (Actes 9:1-9)
      Saul converti, prêche Christ. (Actes 9:10-22)
      Saul est persécuté à Damas, et va à Jérusalem. (Actes 9:23-31)
      Guérison d'Énée. (Actes 9:32-35)
      Dorcas ramené à la vie. (Actes 9:36-43)

      Saul était si mal informé au sujet de l’Évangile, qu'il pensait devoir faire tout son possible pour dénigrer Christ, accomplissant ainsi le service de Dieu, il était persuadé de faire son devoir.

      Ne désespérons pas de la Grâce divine toujours présente, pour la conversion des plus grands pécheurs ; ne doutons pas non plus de la Miséricorde divine, pour le pardon du plus grand péché ! C'est un signe de la faveur de Dieu, si, par Sa Grâce ou Sa Providence, Il nous empêche de poursuivre ou d'exécuter des actes condamnables.

      Sur son chemin, Saul a vu le « Juste » \\#22:14;26:13\\. Le monde invisible nous côtoie vraiment de près ! Il suffit que Dieu soulève le voile qui nous aveugle, et nous pourrons voir alors que tout ce qui nous paraissait admirable sur terre est vil et méprisable en réalité.

      Saul s'est soumis sans réserve, désireux de savoir ce que le Seigneur Jésus attendait de lui. Lorsque Christ se manifeste aux âmes errantes, celles-ci sont humiliées, détrônées. Durant trois jours, Saul ne prit aucune nourriture, Dieu le maintenant pendant tout ce temps dans son incapacité. Ses péchés étaient devant lui : il était sombre, face à son triste état spirituel et blessé, à cause de ses fautes. Quand un pécheur est amené à constater véritablement son état et sa conduite, il doit s'en remettre entièrement à la Miséricorde du Sauveur, en Lui demandant ce qu'il doit faire. Dieu conduira alors cette âme, et même s’Il ne l'amène pas toujours directement à la joie et la paix de la foi, à cause de la détresse de sa conscience, celle-ci sera finalement heureuse : ceux qui sèment dans les larmes, récolteront dans la joie !

      10 Une bonne œuvre a commencé dans le cœur de Saul quand, venant aux pieds de Christ il s’exprima par ces paroles : « Seigneur, que veux-tu que je fasse » ? Jamais Christ n'a abandonné celui qui s'adresse à Lui de cette manière. Voilà désormais Paul qui prie, ce pharisien orgueilleux, cet oppresseur impitoyable, ce blasphémateur audacieux !

      Il peut en être encore ainsi, maintenant, avec l'incroyant orgueilleux, ou le pécheur abandonné. Quelle heureuse nouvelle pour tous ceux qui comprennent la nature et la puissance de la prière : le pécheur contrit peut recevoir les bénédictions du salut !

      Saul allait désormais commencer à prier d'une manière différente : auparavant il récitait ses prières, maintenant, il prie avec ferveur ! La Grâce régénératrice dispose l’âme à prier ; de même que l’on ne peut trouver un homme vivant qui ne respire pas, on ne peut rencontrer un véritable chrétien qui ne prie pas.

      Cependant, même des disciples éminents, tel Ananias, ont quelquefois affiché une allure hésitante, face aux ordres du Seigneur. Mais ce Dernier, dans Sa Gloire, nous permet de surpasser nos « attentes frileuses » : Il nous montre que certains peuvent devenir de véritables « vases de Sa Miséricorde », alors que nous aurions tendance à les considérer comme des objets de Sa vengeance...

      L'enseignement du Saint-Esprit pallie à notre ignorance et à notre mauvaise compréhension de tout ce qui touche le domaine spirituel ; le pécheur devient alors une nouvelle créature, et s'efforce de recommander le Sauveur, le Fils de Dieu, à ses anciens compagnons !

      Actes 13

      Actes 17

      Actes 24

      Actes 28

      Romains 9

      1 Corinthiens 1

      2 Corinthiens 2

      Hébreux 7

      1

      Comparaison entre le sacerdoce de Melchisédech et celui de Christ. (Hébreux 7:1-3)
      Démonstration de l'excellence du sacerdoce de Christ par rapport à celui du Lévitique. (Hébreux 7:4-10)
      Le sacerdoce appliqué à Christ. (Hébreux 7:11-25)
      La foi et l'espérance de l'église encouragées par ce sacerdoce. (Hébreux 7:26-28)

      Melchisédech rencontra Abraham, alors que ce dernier revenait de délivrer Lot. Ce nom, Melchisédech, signifiant « Roi de Justice », convient indubitablement au caractère de ce personnage, le désignant comme un modèle du Messie et de Son Royaume.

      Le nom de sa ville (Salem) signifie « Paix ; » en tant que « roi de paix », il a été un modèle de Christ, le Prince de Paix, le grand Réconciliateur entre Dieu et l'homme. Rien n'est rapporté dans les Écritures, sur Melchisédech, quant au commencement ou à la fin de sa vie ; il a ressemblé ainsi au Fils de Dieu, dont l'existence demeure, d'éternité en éternité ; il n’y avait aucun sacrificateur avant Melchisédech, et personne ne lui succéda, dans son sacerdoce.

      Chaque verset de l'Écriture honore le grand Roi de Justice et de Paix, notre « Souverain Sacrificateur » glorieux et notre Sauveur ; plus nous examinerons la Parole de Dieu, plus nous serons convaincus que le témoignage de Jésus est l'esprit de prophétie.

      Hébreux 12

      1

      Exhortation à être constant dans nos voies et à persévérer. L'exemple de Christ ; le dessein de la Grâce de Dieu dans toutes les souffrances que les croyants ont endurées. (Hébreux 12:1-11)
      La paix et la sainteté sont recommandées, avec des mises en garde contre le mépris des bénédictions spirituelles. (Hébreux 12:12-17)
      La dispensation du Nouveau Testament est bien plus excellente que celle de l'Ancien. (Hébreux 12:18-29)

      L'obéissance et la persévérance dans la foi en Christ, voilà « la course » que devaient effectuer les Hébreux, course par laquelle il est possible de gagner la « couronne de gloire », ou la misère éternelle, en cas d’échec ; cette course nous concerne également.

      Dans l’expression, « le péché qui nous enveloppe si facilement », (premier verset de ce texte), nous devons comprendre : un péché auquel beaucoup d'entre nous sont prompts à succomber, ou à celui auquel nous sommes le plus exposés, que ce soit par habitude, par notre âge, ou suivant les circonstances. Ce texte nous adresse une exhortation très importante : tant qu’un péché reste enraciné dans le cœur d’un homme, sans être combattu ni subjugué, il empêchera celui-ci de « courir » dans sa course spirituelle chrétienne, en lui ôtant toute motivation pour vaincre, et en laissant place à tout découragement.

      Que ceux qui sont fatigués et faibles spirituellement, puissent se rappeler que Jésus, Celui qui est Saint, a souffert, pour les sauver de la ruine éternelle. Si de telles personnes portaient vraiment leur regard par Jésus, elles seraient fortifiées spirituellement, en toute sainteté, elles seraient gardées de toute chute provoquée leurs désirs charnels.

      Recherchons le plus fréquemment possible la présence de Jésus. Que sont nos petites épreuves par rapport à Son agonie à la croix ? Que sont nos « déserts spirituels », face à Ses souffrances ? Que représentent nos peines par rapport à celles de beaucoup d'autres personnes ? On rencontre parfois chez les croyants une tendance à défaillir dans leurs faiblesses, à succomber facilement sous les épreuves et les afflictions ; ceci est dû à l'imperfection de la grâce qui est en leur cœur et aux restes de la corruption qui subsistent en eux.

      Les chrétiens ne doivent pas faiblir, face à l’épreuve. Bien que leurs ennemis et leurs persécuteurs puissent leur infliger de dures souffrances, il s'agit cependant de châtiments que Dieu permet de leur voir supporter ; leur Père céleste « supervise » tout, et Sa Sagesse aura réponse à tout. Face à leurs afflictions, ces âmes ne doivent pas faillir, ni perdre courage, car elles demeurent, malgré leurs péchés, dans « la main de Dieu et sous Sa houlette ». Elles ne doivent pas se décourager ni « crouler » sous les épreuves, ni se tourmenter, mais doivent les supporter, avec foi et patience.

      Dieu peut permettre aux impies de rester dans l’iniquité, mais Il corrigera le péché de Ses propres enfants. En tant que tel, Il agit comme un Père. Nos parents ici-bas peuvent parfois nous châtier pour satisfaire un sentiment personnel plutôt que pour réformer nos manières. Mais notre Père céleste ne veut jamais nous faire souffrir par plaisir, ni affliger en vain Ses enfants : Il le fait toujours pour notre bien.

      Notre vie entière est en quelque sorte un long apprentissage, il reste bien imparfait quant à notre exercice spirituel ; à cause de notre état pécheur, nous devons donc nous soumettre à la discipline céleste. Quand nous serons parvenus à la perfection, nous serons alors complètement réconciliés avec le ciel et le châtiment que Dieu peut parfois nous faire encore endurer, disparaîtra. Le châtiment de Dieu n'est pas synonyme de condamnation ; il peut être supporté avec patience, pour nous conduire vers une sainteté croissante.

      Apprenons bien à considérer les afflictions que nous supportons ici-bas ; si elles semblent provenir des hommes, elles sont en fait des corrections envoyées par notre Père, plein de Grâce et de Sagesse, pour notre bien spirituel !

      1 Pierre 2

      1 Pierre 4

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.