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Matthieu 13.23

Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c'est celui qui entend la parole et la comprend ; il porte du fruit avec un rapport de 100, 60 ou 30 pour 1. »

La bonne terre, ce sont les gens qui entendent la Parole et qui comprennent. Ils donnent des fruits : les uns 100, d’autres 60, d’autres 30. »
Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c’est celui qui entend la parole et la comprend ; il porte du fruit et un (grain) en donne cent, un autre soixante et un autre trente.
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Le semeur

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Jean-Claude Guillaume
Matthieu 13.18-23
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Matthieu 13.1-58
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NOEL

Luc 2 /1-20 Matthieu 2/1-12. 1) UN PEU D'HISTOIRE. Noël représente selon la tradition chrétienne la naissance de Jésus. Cependant, 


Philippe Landrevie
Matthieu 13.1-58 Matthieu 1.1-39 Matthieu 13.1-58

Segond 21 Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c'est celui qui entend la parole et la comprend ; il porte du fruit avec un rapport de 100, 60 ou 30 pour 1. »

Segond 1910 Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c'est celui qui entend la parole et la comprend ; il porte du fruit, et un grain en donne cent, un autre soixante, un autre trente.

Segond 1978 (Colombe) © Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c’est celui qui entend la parole et la comprend ; il porte du fruit et un (grain) en donne cent, un autre soixante et un autre trente.

Parole de Vie © La bonne terre, ce sont les gens qui entendent la Parole et qui comprennent. Ils donnent des fruits : les uns 100, d’autres 60, d’autres 30. »

Français Courant © D’autres, enfin, reçoivent la semence dans de la bonne terre : ils entendent la parole et la comprennent ; ils portent alors des fruits, les uns cent, d’autres soixante et d’autres trente. »

Semeur © Un autre enfin a reçu la semence « sur la bonne terre ». C’est celui qui Ă©coute la Parole et la comprend. Alors il porte du fruit : chez l’un, un grain en rapporte cent, chez un autre soixante, chez un autre trente.

Parole Vivante © D’autres, enfin, ont reçu la semence « dans la bonne terre ». Ce sont ceux qui Ă©coutent la parole et s’en pĂ©nĂštrent. Ceux-lĂ  portent du fruit : chez l’un, un grain en rapporte cent, chez un autre soixante, chez un troisiĂšme trente.

Darby Et celui qui a été semé sur la bonne terre, c'est celui qui entend et comprend la parole, qui aussi porte du fruit, et produit l'un cent, l'autre soixante, l'autre trente.

Martin Mais celui qui a reçu la semence dans une bonne terre, c'est celui qui écoute la parole, et qui la comprend ; et porte du fruit, et produit, l'un cent, l'autre soixante, et l'autre trente.

Ostervald Mais celui qui a reçu la semence dans une bonne terre, c'est celui qui entend la parole, et qui la comprend, et qui porte du fruit ; en sorte qu'un grain en produit cent, un autre soixante, et un autre trente.

HĂ©breu / Grec - Texte original © ᜁ ÎŽáœČ ጐπ᜶ τᜎΜ ÎșαλᜎΜ Îłáż†Îœ ÏƒÏ€Î±ÏÎ”ÎŻÏ‚, Îżáœ—Ï„ÏŒÏ‚ ጐστÎčÎœ ᜁ τ᜞Μ Î»ÏŒÎłÎżÎœ ጀÎșÎżÏÏ‰Îœ Îșα᜶ συΜÎčÎ”ÎŻÏ‚, ᜃς Ύᜎ ÎșÎ±ÏÏ€ÎżÏ†ÎżÏÎ”áż– Îșα᜶ Ï€ÎżÎčΔῖ ᜃ ÎŒáœČÎœ ጑Îșατ᜞Μ ᜃ ÎŽáœČ áŒ‘ÎŸÎźÎșÎżÎœÏ„Î± ᜃ ÎŽáœČ τρÎčÎŹÎșÎżÎœÏ„Î±.

World English Bible What was sown on the good ground, this is he who hears the word, and understands it, who most certainly bears fruit, and brings forth, some one hundred times as much, some sixty, and some thirty."

La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
La bonne terre n'est ici caractérisée que par les résultats, comme les autres espÚces de terrain qui précÚdent.

D'aprĂšs Luc, JĂ©sus l'aurait interprĂ©tĂ©e par un cƓur honnĂȘte et bon, qui retient la parole et la rend fructueuse.

Matthieu indique les mĂȘmes effets par ces trois degrĂ©s : entendre, comprendre, porter du fruit.

Ce dernier rĂ©sultat montre assez que comprendre n'est pas une action purement intellectuelle, mais que, puisqu'il y a du fruit dans la vie morale, la parole a du pĂ©nĂ©trer dans la conscience, oĂč elle produit la repentance, et dans le cƓur, oĂč elle crĂ©e l'amour.

C'est ce qui est finement indiquĂ© dans le texte original par une particule que nos versions ordinaires, mĂȘme celle de Lausanne, ne traduisent pas du tout, mais que Rilliet n'a pas nĂ©gligĂ©e. Celui qui entend et comprend comme il faut porte du fruit par une consĂ©quence toute naturelle, en porte certainement.

Quant Ă  l'abondance de ce fruit, elle est exprimĂ©e simplement par ces termes employĂ©s dans l'image (verset 8) et qui n'ont pas besoin d'explication : cent, soixante, trente. Et ainsi la fin de l'interprĂ©tation se confond, d'une maniĂšre gracieuse, avec la fin de la parabole mĂȘme.

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Matthew Henry © traduction Dominique Osché
1161 Celui qui a reçu la semence 4687 5651 dans 1909 la bonne 2570 terre 1093, c’est 2076 5748 celui 3778 qui entend 191 5723 la parole 3056 et 2532 la comprend 4920 5723 ; 3739 1211 il porte du fruit 2592 5719, et 2532 un grain 3303 en donne 4160 5719 cent 1540, un autre 1161 soixante 1835, un autre 1161 trente 5144.

191 - akouoĂȘtre dotĂ© de la facultĂ© d'entendre, non sourd entendre considĂ©rer ce qui est ou a 


1093 - geterre arable le sol, la terre oĂč l'on se trouve le terrain, le sol, en 


1161 - demais, de plus, et, etc.

1211 - demaintenant, alors, véritablement, en vérité, vraiment, sûrement, certainement sur-le-champ, tout de suite

1540 - hekatonune centaine, cent

1835 - hexekontasoixante, soixantaine

1909 - episur, à, par, avant de position: sur, à par, au dessus, contre à travers, au 


2076 - estitroisiĂšme personne du singulier du verbe « ĂȘtre »

2532 - kaiet, aussi, mĂȘme, en effet, mais

2570 - kalosbeau, belle, excellent, éminent, de choix, qui surpasse, précieux, utile, convenable, louable, admirable beau à 


2592 - karpophoreoporter du fruit porter, apporter porter le fruit de soi-mĂȘme

3056 - logosparole parole, émise de vive voix, implique conception ou idée ce que quelqu'un a dit 


3303 - menvraiment, certainement, sûrement, en effet

3739 - hosqui, lequel, ce que, que

3778 - houtosce, cet, cette, ces ...

4160 - poieofaire avec les noms des choses faites, produire, construire, former, façonner, etc. ĂȘtre les auteurs, 


4687 - speirosemer, éparpiller, semence, graine métaph. de dires proverbiaux

4920 - suniemimettre ou amener ensemble dans un sens hostile: de combattants adapter la perception avec la 


5144 - triakontatrente

5651Temps - Aoriste Second 5780 Voix - Passive 5786 Mode - Participe 5796 Nombre - 


5719Temps - Présent 5774 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 3019

5723Temps - Présent 5774 Voix - Active 5784 Mode - Participe 5796 Nombre - 2549

5748Temps - Présent 5774 Voix - Pas de Voix indiquée 5799 Mode - Indicatif 5791 


© Éditions CLÉ, avec autorisation

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      Psaumes 1

      1 ŚÖ·Ö„Ś©ŚÖ°ÖœŚšÖ”Ś™ÖŸŚ”ÖžŚÖŽÖ—Ś™Ś©Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš Ś€ ŚœÖčÖ„Ś Ś”ÖžŚœÖ·ŚšÖ°Öź Ś‘֌ַŚąÖČŚŠÖ·ÖȘŚȘ ŚšÖ°Ś©ŚÖžÖ«ŚąÖŽÖ„Ś™Ś Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś“Ö¶ÖŁŚšÖ¶ŚšÖ° Ś—Ö·Ö­Ś˜ÖŒÖžŚÖŽŚ™Ś ŚœÖčÖ„Ś ŚąÖžŚžÖžÖ‘Ś“ Ś•ÖŒŚ‘Ö°ŚžŚ•Ö茩ŚÖ·Ö„Ś‘ ŚœÖ”֝ŚŠÖŽÖ—Ś™Ś ŚœÖčÖŁŚ Ś™ÖžŚ©ŚÖžÖœŚ‘Śƒ
      2 Ś›ÖŒÖŽÖ€Ś™ ŚÖŽÖ„Ś Ś‘֌ְŚȘŚ•Ö茚ַքŚȘ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ—Ś” Ś—Ö¶Ö«Ś€Ö°ŚŠÖ„Ś•Öč Ś•ÖŒÖœŚ‘Ö°ŚȘŚ•Ö茚֞ŚȘÖ„Ś•Öč Ś™Ö¶Ś”Ö°Ś’֌ֶ֗Ś” Ś™Ś•Ö茞֞քŚ Ś•ÖžŚœÖžÖœŚ™Ö°ŚœÖžŚ”Śƒ
      3 Ś•Ö°ÖœŚ”ÖžŚ™ÖžÖ—Ś” Ś›ÖŒÖ°ŚąÖ”Ś„Öź Ś©ŚÖžŚȘÖȘŚ•ÖŒŚœ ŚąÖ·ÖœŚœÖŸŚ€ÖŒÖ·ŚœÖ°Ś’Ö”Ö«Ś™ ŚžÖžÖ„Ś™ÖŽŚ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö€Śš Ś€ÖŒÖŽŚšÖ°Ś™ÖšŚ•Öč Ś€ Ś™ÖŽŚȘÖŒÖ”ÖŹŚŸ Ś‘֌ְŚąÖŽŚȘ֌֗Ś•Öč Ś•Ö°ŚąÖžŚœÖ”Ö„Ś”Ś•ÖŒ ŚœÖčÖœŚÖŸŚ™ÖŽŚ‘֌֑Ś•Ö覜 Ś•Ö°Ś›Öč֖Śœ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ™Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö¶ÖŁŚ” Ś™Ö·ŚŠÖ°ŚœÖŽÖœŚ™Ś—Ö·Śƒ

      Psaumes 92

      13 ŚŠÖ·Ö­Ś“֌֎Ś™Ś§ Ś›ÖŒÖ·ŚȘ֌֞ŚžÖžÖŁŚš Ś™ÖŽŚ€Ö°ŚšÖžÖ‘Ś— Ś›ÖŒÖ°ŚÖ¶Ö–ŚšÖ¶Ś– Ś‘֌ַŚœÖŒÖ°Ś‘ÖžŚ ÖŁŚ•Ö覟 Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°Ś’֌ֶ֜Ś”Śƒ
      14 Ś©ŚÖ°Ö­ŚȘŚ•ÖŒŚœÖŽŚ™Ś Ś‘֌ְŚ‘Ö”ÖŁŚ™ŚȘ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ‘Ś” Ś‘֌ְŚ—Ö·ŚŠÖ°ŚšÖ–Ś•ÖčŚȘ ŚÖ±ŚœÖ茔֣֔Ś™Ś Ś•ÖŒ Ś™Ö·Ś€Ö°ŚšÖŽÖœŚ™Ś—Ś•ÖŒŚƒ
      15 ŚąÖ­Ś•Ö覓 Ś™Ö°Ś Ś•ÖŒŚ‘ÖŁŚ•ÖŒŚŸ Ś‘֌ְŚ©Ś‚Ö”Ś™Ś‘ÖžÖ‘Ś” Ś“֌ְŚ©ŚÖ”Ś ÖŽÖ–Ś™Ś Ś•Ö°ŚšÖ·ÖœŚąÖČŚ Ö·Ś ÖŒÖŽÖŁŚ™Ś Ś™ÖŽŚ”Ö°Ś™ÖœŚ•ÖŒŚƒ

      Proverbes 1

      5 Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖ·ÖŁŚą Ś—ÖžÖ­Ś›ÖžŚ Ś•Ö°Ś™ÖŁŚ•Ö茥ֶŚŁ ŚœÖ¶Ö‘Ś§Ö·Ś— Ś•Ö°ÖŚ ÖžŚ‘Ö—Ś•Ö覟 ŚȘ֌ַŚ—Ö°Ś‘֌ֻŚœÖ„Ś•ÖčŚȘ Ś™ÖŽŚ§Ö°Ś Ö¶ÖœŚ”Śƒ
      6 ŚœÖ°Ś”ÖžŚ‘ÖŽÖŁŚ™ŚŸ ŚžÖžÖ­Ś©ŚÖžŚœ Ś•ÖŒŚžÖ°ŚœÖŽŚ™ŚŠÖžÖ‘Ś” Ś“֌֎Ś‘Ö°ŚšÖ”Ö„Ś™ Ś—ÖČ֝Ś›ÖžŚžÖŽÖ—Ś™Ś Ś•Ö°Ś—ÖŽŚ™Ś“ÖčŚȘÖžÖœŚŚƒ

      Proverbes 2

      2 ŚœÖ°Ś”Ö·Ś§Ö°Ś©ŚÖŽÖŁŚ™Ś‘ ŚœÖ·ÖœŚ—ÖžŚ›Ö°ŚžÖžÖŁŚ” ŚÖžŚ–Ö°Ś Ö¶Ö‘ŚšÖž ŚȘ֌ַŚ˜ÖŒÖ¶Ö„Ś” ŚœÖŽÖŚ‘֌ְŚšÖžÖ— ŚœÖ·ŚȘ֌ְŚ‘Ś•ÖŒŚ ÖžÖœŚ”Śƒ
      3 Ś›ÖŒÖŽÖ€Ś™ ŚÖŽÖŁŚ ŚœÖ·Ś‘֌֎Ś™Ś ÖžÖŁŚ” ŚȘÖŽŚ§Ö°ŚšÖžÖ‘Ś ŚœÖ·ÖŚȘ֌ְŚ‘Ś•ÖŒŚ ÖžÖ—Ś” ŚȘ֌֎ŚȘ֌֔քŚŸ Ś§Ś•ÖčŚœÖ¶ÖœŚšÖžŚƒ
      4 ŚÖŽŚÖŸŚȘ֌ְŚ‘Ö·Ś§Ö°Ś©ŚÖ¶Ö„Ś ÖŒÖžŚ” Ś›Ö·Ś›ÖŒÖžÖ‘ŚĄÖ¶ŚŁ Ś•Ö°ÖœŚ›Ö·ŚžÖŒÖ·Ś˜Ö°ŚžŚ•Ö茠֎քŚ™Ś ŚȘ֌ַŚ—Ö°Ś€ÖŒÖ°Ś©Ś‚Ö¶ÖœŚ ÖŒÖžŚ”Śƒ
      5 ŚÖžÖ—Ś– ŚȘ֌֭֞Ś‘ÖŽŚ™ŚŸ Ś™ÖŽŚšÖ°ŚÖ·ÖŁŚȘ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ‘Ś” Ś•Ö°Ś“Ö·Ö–ŚąÖ·ŚȘ ŚÖ±ŚœÖ覔֣֮Ś™Ś ŚȘ֌֎ŚžÖ°ŚŠÖžÖœŚŚƒ
      6 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ™Ö°Ö­Ś”Ś•ÖžŚ” Ś™ÖŽŚȘÖŒÖ”ÖŁŚŸ Ś—ÖžŚ›Ö°ŚžÖžÖ‘Ś” ŚžÖŽÖŚ€ÖŒÖŽÖ—Ś™Ś• Ś“ÖŒÖ·ÖŁŚąÖ·ŚȘ Ś•ÖŒŚȘÖ°Ś‘Ś•ÖŒŚ ÖžÖœŚ”Śƒ

      Ezéchiel 18

      31 Ś”Ö·Ś©ŚÖ°ŚœÖŽÖŁŚ™Ś›Ś•ÖŒ ŚžÖ”ŚąÖČŚœÖ”Ś™Ś›Ö¶Ö—Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ›ÖŒÖžŚœÖŸŚ€ÖŒÖŽŚ©ŚÖ°ŚąÖ”Ś™Ś›Ö¶ŚÖ™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš Ś€ÖŒÖ°Ś©ŚÖ·ŚąÖ°ŚȘÖŒÖ¶ÖŁŚ Ś‘֌֞֔Ś Ś•Ö·ŚąÖČŚ©Ś‚Ö„Ś•ÖŒ ŚœÖžŚ›Ö¶Ö›Ś ŚœÖ”Ö„Ś‘ Ś—ÖžŚ“ÖžÖ–Ś©Ś Ś•Ö°ŚšÖŁŚ•ÖŒŚ—Ö· Ś—ÖČŚ“ÖžŚ©ŚÖžÖ‘Ś” Ś•Ö°ŚœÖžÖ„ŚžÖŒÖžŚ” ŚȘÖžŚžÖ»Ö–ŚȘŚ•ÖŒ Ś‘֌֔քŚ™ŚȘ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”ÖœŚœŚƒ

      Ezéchiel 36

      26 Ś•Ö°Ś ÖžŚȘÖ·ŚȘ֌֎րŚ™ ŚœÖžŚ›Ö¶ŚÖ™ ŚœÖ”ÖŁŚ‘ Ś—ÖžŚ“ÖžÖ”Ś©Ś Ś•Ö°ŚšÖ„Ś•ÖŒŚ—Ö· Ś—ÖČŚ“ÖžŚ©ŚÖžÖ–Ś” ŚÖ¶ŚȘÖŒÖ”ÖŁŚŸ Ś‘֌ְŚ§ÖŽŚšÖ°Ś‘֌ְŚ›Ö¶Ö‘Ś Ś•Ö·Ś”ÖČŚĄÖŽÖšŚšÖčŚȘ֮֜Ś™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚœÖ”Ö€Ś‘ Ś”ÖžŚÖ¶Ö™Ś‘Ö¶ŚŸÖ™ ŚžÖŽŚ‘֌ְŚ©Ś‚Ö·ŚšÖ°Ś›Ö¶Ö”Ś Ś•Ö°Ś ÖžŚȘÖ·ŚȘ֌֎քŚ™ ŚœÖžŚ›Ö¶Ö–Ś ŚœÖ”Ö„Ś‘ Ś‘֌֞Ś©Ś‚ÖžÖœŚšŚƒ

      Matthieu 3

      8 Ï€ÎżÎčÎźÏƒÎ±Ï„Î” Îżáœ–Îœ Îșαρπ᜞Μ ጄΟÎčÎżÎœ Ï„áż†Ï‚ ÎŒÎ”Ï„Î±ÎœÎżÎŻÎ±Ï‚
      10 ጀΎη ÎŽáœČ áŒĄ áŒ€ÎŸÎŻÎœÎ· πρ᜞ς τᜎΜ áż„ÎŻÎ¶Î±Îœ Ï„áż¶Îœ ΎέΜΎρωΜ ÎșÎ”áż–Ï„Î±Îč· π៶Μ Îżáœ–Îœ ÎŽÎ­ÎœÎŽÏÎżÎœ Όᜎ Ï€ÎżÎčÎżáżŠÎœ Îșαρπ᜞Μ Îșαλ᜞Μ ጐÎșÎșόπτΔταÎč Îșα᜶ Δጰς Ï€áżŠÏ ÎČÎŹÎ»Î»Î”Ï„Î±Îč.

      Matthieu 12

      33 áŒȘ Ï€ÎżÎčÎźÏƒÎ±Ï„Î” τ᜞ ÎŽÎ­ÎœÎŽÏÎżÎœ Îșαλ᜞Μ Îșα᜶ τ᜞Μ Îșαρπ᜞Μ Î±áœÏ„ÎżáżŠ ÎșαλόΜ, áŒą Ï€ÎżÎčÎźÏƒÎ±Ï„Î” τ᜞ ÎŽÎ­ÎœÎŽÏÎżÎœ σαπρ᜞Μ Îșα᜶ τ᜞Μ Îșαρπ᜞Μ Î±áœÏ„ÎżáżŠ σαπρόΜ· ጐÎș Îłáœ°Ï Ï„ÎżáżŠ ÎșÎ±ÏÏ€ÎżáżŠ τ᜞ ÎŽÎ­ÎœÎŽÏÎżÎœ ÎłÎčΜώσÎșΔταÎč.

      Matthieu 13

      8 ጄλλα ÎŽáœČ ጔπΔσΔΜ ጐπ᜶ τᜎΜ Îłáż†Îœ τᜎΜ ÎșαλᜎΜ Îșα᜶ áŒÎŽÎŻÎŽÎżÏ… ÎșαρπόΜ, ᜃ ÎŒáœČÎœ ጑Îșατ᜞Μ ᜃ ÎŽáœČ áŒ‘ÎŸÎźÎșÎżÎœÏ„Î± ᜃ ÎŽáœČ τρÎčÎŹÎșÎżÎœÏ„Î±.
      23 ᜁ ÎŽáœČ ጐπ᜶ τᜎΜ ÎșαλᜎΜ Îłáż†Îœ ÏƒÏ€Î±ÏÎ”ÎŻÏ‚, Îżáœ—Ï„ÏŒÏ‚ ጐστÎčÎœ ᜁ τ᜞Μ Î»ÏŒÎłÎżÎœ ጀÎșÎżÏÏ‰Îœ Îșα᜶ συΜÎčÎ”ÎŻÏ‚, ᜃς Ύᜎ ÎșÎ±ÏÏ€ÎżÏ†ÎżÏÎ”áż– Îșα᜶ Ï€ÎżÎčΔῖ ᜃ ÎŒáœČÎœ ጑Îșατ᜞Μ ᜃ ÎŽáœČ áŒ‘ÎŸÎźÎșÎżÎœÏ„Î± ᜃ ÎŽáœČ τρÎčÎŹÎșÎżÎœÏ„Î±.

      Marc 4

      20 Îșα᜶ ጐÎșÎ”áż–ÎœÎżÎŻ ΔጰσÎčÎœ ÎżáŒ± ጐπ᜶ τᜎΜ Îłáż†Îœ τᜎΜ ÎșαλᜎΜ σπαρέΜτΔς, ÎżáŒ”Ï„ÎčΜΔς ጀÎșÎżÏÎżÏ…ÏƒÎčÎœ τ᜞Μ Î»ÏŒÎłÎżÎœ Îșα᜶ Ï€Î±ÏÎ±ÎŽÎ­Ï‡ÎżÎœÏ„Î±Îč Îșα᜶ ÎșÎ±ÏÏ€ÎżÏ†ÎżÏÎżáżŠÏƒÎčÎœ ጓΜ τρÎčÎŹÎșÎżÎœÏ„Î± Îșα᜶ ጓΜ áŒ‘ÎŸÎźÎșÎżÎœÏ„Î± Îșα᜶ ጓΜ ጑ÎșατόΜ.

      Marc 10

      15 ጀΌᜎΜ Î»Î­ÎłÏ‰ áœ‘ÎŒáż–Îœ, ᜃς ጂΜ Όᜎ ΎέΟηταÎč τᜎΜ ÎČασÎčÎ»Î”ÎŻÎ±Îœ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ áœĄÏ‚ παÎčÎŽÎŻÎżÎœ, Îżáœ Όᜎ Î”áŒ°ÏƒÎ­Î»Îžáżƒ Δጰς Î±áœÏ„ÎźÎœ.

      Luc 6

      43 Οᜐ ÎłÎŹÏ ጐστÎčÎœ ÎŽÎ­ÎœÎŽÏÎżÎœ Îșαλ᜞Μ Ï€ÎżÎčÎżáżŠÎœ Îșαρπ᜞Μ σαπρόΜ, ÎżáœÎŽáœČ Ï€ÎŹÎ»ÎčÎœ ÎŽÎ­ÎœÎŽÏÎżÎœ σαπρ᜞Μ Ï€ÎżÎčÎżáżŠÎœ Îșαρπ᜞Μ ÎșαλόΜ.
      44 ጕÎșÎ±ÏƒÏ„ÎżÎœ Îłáœ°Ï ÎŽÎ­ÎœÎŽÏÎżÎœ ጐÎș Ï„ÎżáżŠ áŒ°ÎŽÎŻÎżÏ… ÎșÎ±ÏÏ€ÎżáżŠ ÎłÎčΜώσÎșΔταÎč· Îżáœ Îłáœ°Ï ጐΟ ጀÎșÎ±ÎœÎžáż¶Îœ ÏƒÏ…Î»Î»Î­ÎłÎżÏ…ÏƒÎčÎœ ÏƒáżŠÎșα, ÎżáœÎŽáœČ ጐÎș ÎČÎŹÏ„ÎżÏ… σταφυλᜎΜ Ï„ÏÏ…Îłáż¶ÏƒÎčÎœ.

      Luc 8

      15 τ᜞ ÎŽáœČ ጐΜ Ï„áż‡ Îșαλῇ γῇ, Îżáœ—Ï„ÎżÎŻ ΔጰσÎčÎœ ÎżáŒ”Ï„ÎčΜΔς ጐΜ ÎșÎ±ÏÎŽÎŻáŸł Îșαλῇ Îșα᜶ áŒ€ÎłÎ±Îžáż‡ ጀÎșÎżÏÏƒÎ±ÎœÏ„Î”Ï‚ τ᜞Μ Î»ÏŒÎłÎżÎœ ÎșÎ±Ï„Î­Ï‡ÎżÏ…ÏƒÎčÎœ Îșα᜶ ÎșÎ±ÏÏ€ÎżÏ†ÎżÏÎżáżŠÏƒÎčÎœ ጐΜ áœ‘Ï€ÎżÎŒÎżÎœáż‡.

      Luc 13

      9 ÎșጂΜ ÎŒáœČÎœ Ï€ÎżÎčÎźÏƒáżƒ Îșαρπ᜞Μ Δጰς τ᜞ ÎŒÎ­Î»Î»ÎżÎœâ€” Δጰ ÎŽáœČ ÎŒÎźÎłÎ”, ጐÎșÎșόψΔÎčς Î±áœÏ„ÎźÎœ.

      Jean 1

      11 Δጰς τᜰ ጎΎÎčα ጊλΞΔΜ, Îșα᜶ ÎżáŒ± ጎΎÎčÎżÎč αᜐτ᜞Μ Îżáœ παρέλαÎČÎżÎœ.
      12 áœ…ÏƒÎżÎč ÎŽáœČ ጔλαÎČÎżÎœ αᜐτόΜ, ጔΎωÎșΔΜ Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚ áŒÎŸÎżÏ…ÏƒÎŻÎ±Îœ τέÎșΜα ΞΔοῊ ÎłÎ”ÎœÎ­ÏƒÎžÎ±Îč, Ï„Îżáż–Ï‚ πÎčÏƒÏ„Î”ÏÎżÏ…ÏƒÎčÎœ Δጰς τ᜞ áœ„ÎœÎżÎŒÎ± Î±áœÏ„ÎżáżŠ,
      13 ÎżáŒł ÎżáœÎș ጐΟ Î±áŒ±ÎŒÎŹÏ„Ï‰Îœ ÎżáœÎŽáœČ ጐÎș ÎžÎ”Î»ÎźÎŒÎ±Ï„ÎżÏ‚ σαρÎș᜞ς ÎżáœÎŽáœČ ጐÎș ÎžÎ”Î»ÎźÎŒÎ±Ï„ÎżÏ‚ ጀΜΎρ᜞ς ጀλλ’ ጐÎș ΞΔοῊ áŒÎłÎ”ÎœÎœÎźÎžÎ·ÏƒÎ±Îœ.

      Jean 8

      47 ᜁ áœąÎœ ጐÎș Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ τᜰ áż„ÎźÎŒÎ±Ï„Î± Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ ጀÎșÎżÏÎ”Îč· ÎŽÎčᜰ Ï„ÎżáżŠÏ„Îż áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ ÎżáœÎș ጀÎșÎżÏÎ”Ï„Î” ᜅτÎč ጐÎș Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ ÎżáœÎș ጐστέ.

      Jean 10

      26 ጀλλᜰ áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ Îżáœ πÎčστΔύΔτΔ, ᜅτÎč ÎżáœÎș ጐστáœČ ጐÎș Ï„áż¶Îœ Ï€ÏÎżÎČÎŹÏ„Ï‰Îœ Ï„áż¶Îœ áŒÎŒáż¶Îœ.
      27 τᜰ πρόÎČατα τᜰ ጐΌᜰ Ï„áż†Ï‚ Ï†Ï‰Îœáż†Ï‚ ÎŒÎżÏ… ጀÎșÎżÏÎżÏ…ÏƒÎčÎœ, ÎșáŒ€ÎłáœŒ ÎłÎčΜώσÎșω Î±áœÏ„ÎŹ, Îșα᜶ ጀÎșÎżÎ»ÎżÏ…ÎžÎżáżŠÏƒÎŻÎœ ÎŒÎżÎč,

      Jean 15

      1 áŒ˜ÎłÏŽ ΔጰΌÎč áŒĄ áŒ„ÎŒÏ€Î”Î»ÎżÏ‚ áŒĄ ጀληΞÎčÎœÎź, Îșα᜶ ᜁ Ï€Î±Ï„ÎźÏ ÎŒÎżÏ… ᜁ ÎłÎ”Ï‰ÏÎłÏŒÏ‚ ጐστÎčΜ·
      2 π៶Μ ÎșÎ»áż†ÎŒÎ± ጐΜ áŒÎŒÎżáœ¶ Όᜎ Ï†Î­ÏÎżÎœ Îșαρπ᜞Μ αጎρΔÎč αᜐτό, Îșα᜶ π៶Μ τ᜞ Îșαρπ᜞Μ Ï†Î­ÏÎżÎœ ÎșÎ±ÎžÎ±ÎŻÏÎ”Îč αᜐτ᜞ ጔΜα Îșαρπ᜞Μ Ï€Î»Î”ÎŻÎżÎœÎ± Ï†Î­Ïáżƒ.
      3 ጀΎη áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ ÎșÎ±ÎžÎ±ÏÎżÎŻ ጐστΔ ÎŽÎčᜰ τ᜞Μ Î»ÏŒÎłÎżÎœ ᜃΜ λΔλΏληÎșα áœ‘ÎŒáż–ÎœÎ‡
      4 ÎŒÎ”ÎŻÎœÎ±Ï„Î” ጐΜ áŒÎŒÎżÎŻ, ÎșáŒ€ÎłáœŒ ጐΜ áœ‘ÎŒáż–Îœ. ÎșαΞᜌς τ᜞ ÎșÎ»áż†ÎŒÎ± Îżáœ ΎύΜαταÎč Îșαρπ᜞Μ φέρΔÎčÎœ ጀφ’ áŒ‘Î±Ï…Ï„ÎżáżŠ ጐᜰΜ Όᜎ ÎŒÎ­Îœáżƒ ጐΜ Ï„áż‡ áŒ€ÎŒÏ€Î­Î»áżł, Îżáœ•Ï„Ï‰Ï‚ ÎżáœÎŽáœČ áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ ጐᜰΜ Όᜎ ጐΜ áŒÎŒÎżáœ¶ ΌέΜητΔ.
      5 áŒÎłÏŽ ΔጰΌÎč áŒĄ áŒ„ÎŒÏ€Î”Î»ÎżÏ‚, áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ τᜰ ÎșÎ»ÎźÎŒÎ±Ï„Î±. ᜁ ΌέΜωΜ ጐΜ áŒÎŒÎżáœ¶ ÎșáŒ€ÎłáœŒ ጐΜ Î±áœÏ„áż· Îżáœ—Ï„ÎżÏ‚ φέρΔÎč Îșαρπ᜞Μ Ï€ÎżÎ»ÏÎœ, ᜅτÎč χωρ᜶ς áŒÎŒÎżáżŠ Îżáœ ΎύΜασΞΔ Ï€ÎżÎčÎ”áż–Îœ ÎżáœÎŽÎ­Îœ.
      6 ጐᜰΜ ÎŒÎź τÎčς ÎŒÎ­Îœáżƒ ጐΜ áŒÎŒÎżÎŻ, ጐÎČλΟΞη ጔΟω áœĄÏ‚ τ᜞ ÎșÎ»áż†ÎŒÎ± Îșα᜶ áŒÎŸÎ·ÏÎŹÎœÎžÎ·, Îșα᜶ ÏƒÏ…ÎœÎŹÎłÎżÏ…ÏƒÎčÎœ αᜐτᜰ Îșα᜶ Δጰς τ᜞ Ï€áżŠÏ ÎČÎŹÎ»Î»ÎżÏ…ÏƒÎčÎœ Îșα᜶ ÎșÎ±ÎŻÎ”Ï„Î±Îč.
      7 ጐᜰΜ ÎŒÎ”ÎŻÎœÎ·Ï„Î” ጐΜ áŒÎŒÎżáœ¶ Îșα᜶ τᜰ áż„ÎźÎŒÎ±Ï„ÎŹ ÎŒÎżÏ… ጐΜ áœ‘ÎŒáż–Îœ ÎŒÎ”ÎŻÎœáżƒ, ᜃ ጐᜰΜ ΞέλητΔ Î±áŒ°Ï„ÎźÏƒÎ±ÏƒÎžÎ” Îșα᜶ ÎłÎ”ÎœÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč áœ‘ÎŒáż–ÎœÎ‡
      8 ጐΜ Ï„ÎżÏÏ„áżł áŒÎŽÎżÎŸÎŹÏƒÎžÎ· ᜁ Ï€Î±Ï„ÎźÏ ÎŒÎżÏ… ጔΜα Îșαρπ᜞Μ Ï€ÎżÎ»áœșÎœ φέρητΔ Îșα᜶ ÎłÎ­ÎœÎ·ÏƒÎžÎ” áŒÎŒÎżáœ¶ ÎŒÎ±ÎžÎ·Ï„Î±ÎŻ.
      16 ÎżáœÏ‡ áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ ΌΔ ጐΟΔλέΟασΞΔ, ጀλλ’ áŒÎłáœŒ áŒÎŸÎ”Î»Î”ÎŸÎŹÎŒÎ·Îœ ᜑΌ៶ς, Îșα᜶ ጔΞηÎșα ᜑΌ៶ς ጔΜα áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ áœ‘Ï€ÎŹÎłÎ·Ï„Î” Îșα᜶ Îșαρπ᜞Μ φέρητΔ Îșα᜶ ᜁ Îșαρπ᜞ς áœ‘ÎŒáż¶Îœ ÎŒÎ­Îœáżƒ, ጔΜα ᜅ τÎč ጂΜ Î±áŒ°Ï„ÎźÏƒÎ·Ï„Î” τ᜞Μ πατέρα ጐΜ Ï„áż· áœ€ÎœÏŒÎŒÎ±Ï„ÎŻ ÎŒÎżÏ… ÎŽáż· áœ‘ÎŒáż–Îœ.

      Jean 17

      7 ÎœáżŠÎœ áŒ”ÎłÎœÏ‰ÎșαΜ ᜅτÎč Ï€ÎŹÎœÏ„Î± ᜅσα ΎέΎωÎșÎŹÏ‚ ÎŒÎżÎč παρᜰ ÏƒÎżáżŠ ΔጰσÎčΜ·
      8 ᜅτÎč τᜰ áż„ÎźÎŒÎ±Ï„Î± ጃ ጔΎωÎșÎŹÏ‚ ÎŒÎżÎč ΎέΎωÎșα Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚, Îșα᜶ Î±áœÏ„Îżáœ¶ ጔλαÎČÎżÎœ Îșα᜶ áŒ”ÎłÎœÏ‰ÏƒÎ±Îœ áŒ€Î»Î·Îžáż¶Ï‚ ᜅτÎč παρᜰ ÏƒÎżáżŠ áŒÎŸáż†Î»ÎžÎżÎœ, Îșα᜶ áŒÏ€ÎŻÏƒÏ„Î”Ï…ÏƒÎ±Îœ ᜅτÎč σύ ΌΔ ጀπέστΔÎčλας.

      Actes 16

      14 Îșαί τÎčς ÎłÏ…ÎœáœŽ ᜀΜόΌατÎč Î›Ï…ÎŽÎŻÎ±, Ï€ÎżÏÏ†Ï…ÏÏŒÏ€Ï‰Î»Îčς πόλΔως Î˜Ï…Î±Ï„Î”ÎŻÏÏ‰Îœ σΔÎČÎżÎŒÎ­ÎœÎ· τ᜞Μ ΞΔόΜ, ጀÎșÎżÏ…Î”Îœ, ጧς ᜁ ÎșύρÎčÎżÏ‚ ÎŽÎčÎźÎœÎżÎčΟΔΜ τᜎΜ ÎșÎ±ÏÎŽÎŻÎ±Îœ Ï€ÏÎżÏƒÎ­Ï‡Î”ÎčÎœ Ï„Îżáż–Ï‚ Î»Î±Î»ÎżÏ…ÎŒÎ­ÎœÎżÎčς ᜑπ᜞ Ï„ÎżáżŠ Î Î±ÏÎ»ÎżÏ….

      Actes 17

      11 Îżáœ—Ï„ÎżÎč ÎŽáœČ ጊσαΜ Î”áœÎłÎ”ÎœÎ­ÏƒÏ„Î”ÏÎżÎč Ï„áż¶Îœ ጐΜ Î˜Î”ÏƒÏƒÎ±Î»ÎżÎœÎŻÎșῃ, ÎżáŒ”Ï„ÎčΜΔς áŒÎŽÎ­ÎŸÎ±ÎœÏ„Îż τ᜞Μ Î»ÏŒÎłÎżÎœ ΌΔτᜰ Ï€ÎŹÏƒÎ·Ï‚ Ï€ÏÎżÎžÏ…ÎŒÎŻÎ±Ï‚, τ᜞ ÎșαΞ’ áŒĄÎŒÎ­ÏÎ±Îœ ጀΜαÎșÏÎŻÎœÎżÎœÏ„Î”Ï‚ τᜰς ÎłÏÎ±Ï†áœ°Ï‚ Δጰ áŒ”Ï‡ÎżÎč Ï„Î±áżŠÏ„Î± Îżáœ•Ï„Ï‰Ï‚.

      2 Corinthiens 8

      1 Î“ÎœÏ‰ÏÎŻÎ¶ÎżÎŒÎ”Îœ ÎŽáœČ áœ‘ÎŒáż–Îœ, áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†ÎżÎŻ, τᜎΜ Ï‡ÎŹÏÎčÎœ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ τᜎΜ ÎŽÎ”ÎŽÎżÎŒÎ­ÎœÎ·Îœ ጐΜ Ï„Î±áż–Ï‚ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Îčς Ï„áż†Ï‚ ΜαÎșÎ”ÎŽÎżÎœÎŻÎ±Ï‚,
      2 ᜅτÎč ጐΜ Ï€ÎżÎ»Î»áż‡ ÎŽÎżÎșÎčÎŒáż‡ ÎžÎ»ÎŻÏˆÎ”Ï‰Ï‚ áŒĄ πΔρÎčÏƒÏƒÎ”ÎŻÎ± Ï„áż†Ï‚ χαρ៶ς Î±áœÏ„áż¶Îœ Îșα᜶ áŒĄ Îșατᜰ ÎČÎŹÎžÎżÏ…Ï‚ Ï€Ï„Ï‰Ï‡Î”ÎŻÎ± Î±áœÏ„áż¶Îœ áŒÏ€Î”ÏÎŻÏƒÏƒÎ”Ï…ÏƒÎ”Îœ Δጰς τ᜞ Ï€Î»ÎżáżŠÏ„ÎżÏ‚ Ï„áż†Ï‚ áŒÏ€Î»ÏŒÏ„Î·Ï„ÎżÏ‚ Î±áœÏ„áż¶ÎœÎ‡

      2 Corinthiens 9

      10 ᜁ ÎŽáœČ ጐπÎčÏ‡ÎżÏÎ·Îłáż¶Îœ ÏƒÏ€ÏŒÏÎżÎœ Ï„áż· ÏƒÏ€Î”ÎŻÏÎżÎœÏ„Îč Îșα᜶ áŒ„ÏÏ„ÎżÎœ Δጰς ÎČÏáż¶ÏƒÎčÎœ Ï‡ÎżÏÎ·ÎłÎźÏƒÎ”Îč Îșα᜶ Ï€Î»Î·ÎžÏ…ÎœÎ”áż– τ᜞Μ ÏƒÏ€ÏŒÏÎżÎœ áœ‘ÎŒáż¶Îœ Îșα᜶ Î±áœÎŸÎźÏƒÎ”Îč τᜰ ÎłÎ”ÎœÎźÎŒÎ±Ï„Î± Ï„áż†Ï‚ ÎŽÎčÎșαÎčÎżÏƒÏÎœÎ·Ï‚ áœ‘ÎŒáż¶ÎœÎ‡)

      Galates 5

      22 ᜉ ÎŽáœČ Îșαρπ᜞ς Ï„ÎżáżŠ πΜΔύΌατός ጐστÎčÎœ áŒ€ÎłÎŹÏ€Î·, Ï‡Î±ÏÎŹ, Î”áŒ°ÏÎźÎœÎ·, ΌαÎșÏÎżÎžÏ…ÎŒÎŻÎ±, χρηστότης, áŒ€ÎłÎ±ÎžÏ‰ÏƒÏÎœÎ·, Ï€ÎŻÏƒÏ„Îčς,
      23 πραΰτης, áŒÎłÎșÏÎŹÏ„Î”Îčα· Îșατᜰ Ï„áż¶Îœ Ï„ÎżÎčÎżÏÏ„Ï‰Îœ ÎżáœÎș ጔστÎčÎœ ÎœÏŒÎŒÎżÏ‚.

      Philippiens 1

      11 Ï€Î”Ï€Î»Î·ÏÏ‰ÎŒÎ­ÎœÎżÎč Îșαρπ᜞Μ ÎŽÎčÎșαÎčÎżÏƒÏÎœÎ·Ï‚ τ᜞Μ ÎŽÎčᜰ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ Δጰς ΎόΟαΜ Îșα᜶ ጔπαÎčÎœÎżÎœ ΞΔοῊ.

      Philippiens 4

      17 ÎżáœÏ‡ ᜅτÎč ጐπÎčÎ¶Î·Ï„áż¶ τ᜞ ΎόΌα, ጀλλᜰ ጐπÎčÎ¶Î·Ï„áż¶ τ᜞Μ Îșαρπ᜞Μ τ᜞Μ Ï€Î»Î”ÎżÎœÎŹÎ¶ÎżÎœÏ„Î± Δጰς Î»ÏŒÎłÎżÎœ áœ‘ÎŒáż¶Îœ.

      Colossiens 1

      6 Ï„ÎżáżŠ Ï€Î±ÏÏŒÎœÏ„ÎżÏ‚ Δጰς ᜑΌ៶ς, ÎșαΞᜌς Îșα᜶ ጐΜ παΜτ᜶ Ï„áż· ÎșÏŒÏƒÎŒáżł ጐστ᜶Μ ÎșÎ±ÏÏ€ÎżÏ†ÎżÏÎżÏÎŒÎ”ÎœÎżÎœ Îșα᜶ Î±áœÎŸÎ±ÎœÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎœ ÎșαΞᜌς Îșα᜶ ጐΜ áœ‘ÎŒáż–Îœ, ጀφ’ ጧς áŒĄÎŒÎ­ÏÎ±Ï‚ ጠÎșÎżÏÏƒÎ±Ï„Î” Îșα᜶ áŒÏ€Î­ÎłÎœÏ‰Ï„Î” τᜎΜ Ï‡ÎŹÏÎčÎœ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ ጐΜ áŒ€Î»Î·ÎžÎ”ÎŻáŸłÎ‡
      10 πΔρÎčÏ€Î±Ï„áż†ÏƒÎ±Îč áŒ€ÎŸÎŻÏ‰Ï‚ Ï„ÎżáżŠ ÎșÏ…ÏÎŻÎżÏ… Δጰς π៶σαΜ ጀρΔσÎșÎ”ÎŻÎ±Îœ ጐΜ παΜτ᜶ áŒ”ÏÎłáżł áŒ€ÎłÎ±Îžáż· ÎșÎ±ÏÏ€ÎżÏ†ÎżÏÎżáżŠÎœÏ„Î”Ï‚ Îșα᜶ Î±áœÎŸÎ±ÎœÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎč Ï„áż‡ ጐπÎčÎłÎœÏŽÏƒÎ”Îč Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ,

      1 Thessaloniciens 4

      1 ΛοÎčπ᜞Μ Îżáœ–Îœ, áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†ÎżÎŻ, áŒÏÏ‰Ï„áż¶ÎŒÎ”Îœ ᜑΌ៶ς Îșα᜶ παραÎșÎ±Î»ÎżáżŠÎŒÎ”Îœ ጐΜ ÎșÏ…ÏÎŻáżł áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ, ጔΜα ÎșαΞᜌς Ï€Î±ÏÎ”Î»ÎŹÎČΔτΔ παρ’ áŒĄÎŒáż¶Îœ τ᜞ Ï€áż¶Ï‚ ΎΔῖ ᜑΌ៶ς πΔρÎčÏ€Î±Ï„Î”áż–Îœ Îșα᜶ ጀρέσÎșΔÎčÎœ ΞΔῷ, ÎșαΞᜌς Îșα᜶ πΔρÎčÏ€Î±Ï„Î”áż–Ï„Î”, ጔΜα πΔρÎčσσΔύητΔ ÎŒáŸ¶Î»Î»ÎżÎœ.

      2 Thessaloniciens 2

      10 Îșα᜶ ጐΜ Ï€ÎŹÏƒáżƒ áŒ€Ï€ÎŹÏ„áżƒ ጀΎÎčÎșÎŻÎ±Ï‚ Ï„Îżáż–Ï‚ áŒ€Ï€ÎżÎ»Î»Ï…ÎŒÎ­ÎœÎżÎčς, ጀΜΞ’ ᜧΜ τᜎΜ áŒ€ÎłÎŹÏ€Î·Îœ Ï„áż†Ï‚ áŒ€Î»Î·ÎžÎ”ÎŻÎ±Ï‚ ÎżáœÎș áŒÎŽÎ­ÎŸÎ±ÎœÏ„Îż Δጰς τ᜞ ÏƒÏ‰Îžáż†ÎœÎ±Îč Î±áœÏ„ÎżÏÏ‚Î‡
      13 áŒ©ÎŒÎ”áż–Ï‚ ÎŽáœČ áœ€Ï†Î”ÎŻÎ»ÎżÎŒÎ”Îœ ΔᜐχαρÎčÏƒÏ„Î”áż–Îœ Ï„áż· ΞΔῷ Ï€ÎŹÎœÏ„ÎżÏ„Î” πΔρ᜶ áœ‘ÎŒáż¶Îœ, áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†Îżáœ¶ áŒ ÎłÎ±Ï€Î·ÎŒÎ­ÎœÎżÎč ᜑπ᜞ ÎșÏ…ÏÎŻÎżÏ…, ᜅτÎč Î”áŒ”Î»Î±Ï„Îż ᜑΌ៶ς ᜁ ΞΔ᜞ς ጀπαρχᜎΜ Δጰς ÏƒÏ‰Ï„Î·ÏÎŻÎ±Îœ ጐΜ áŒÎłÎčÎ±ÏƒÎŒáż· Ï€ÎœÎ”ÏÎŒÎ±Ï„ÎżÏ‚ Îșα᜶ Ï€ÎŻÏƒÏ„Î”Îč áŒ€Î»Î·ÎžÎ”ÎŻÎ±Ï‚,
      14 Δጰς ᜃ ጐÎșÎŹÎ»Î”ÏƒÎ”Îœ ᜑΌ៶ς ÎŽÎčᜰ Ï„ÎżáżŠ Î”áœÎ±ÎłÎłÎ”Î»ÎŻÎżÏ… áŒĄÎŒáż¶Îœ, Δጰς πΔρÎčÏ€ÎżÎŻÎ·ÏƒÎčÎœ ΎόΟης Ï„ÎżáżŠ ÎșÏ…ÏÎŻÎżÏ… áŒĄÎŒáż¶Îœ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ.

      HĂ©breux 4

      2 Îșα᜶ ÎłÎŹÏ ጐσΌΔΜ Î”áœÎ·ÎłÎłÎ”Î»ÎčÏƒÎŒÎ­ÎœÎżÎč ÎșÎ±ÎžÎŹÏ€Î”Ï ÎșጀÎșÎ”áż–ÎœÎżÎč, ጀλλ’ ÎżáœÎș ᜠφέλησΔΜ ᜁ Î»ÏŒÎłÎżÏ‚ Ï„áż†Ï‚ ጀÎșÎżáż†Ï‚ ጐÎșÎ”ÎŻÎœÎżÏ…Ï‚, Όᜎ ÏƒÏ…ÎłÎșΔÎșÎ”ÏÎ±ÏƒÎŒÎ­ÎœÎżÏ…Ï‚ Ï„áż‡ Ï€ÎŻÏƒÏ„Î”Îč Ï„Îżáż–Ï‚ ጀÎșÎżÏÏƒÎ±ÏƒÎčÎœ.

      HĂ©breux 6

      7 γῆ Îłáœ°Ï áŒĄ πÎčÎżáżŠÏƒÎ± τ᜞Μ ጐπ’ Î±áœÏ„áż†Ï‚ áŒÏÏ‡ÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎœ Ï€ÎżÎ»Î»ÎŹÎșÎčς ᜑΔτόΜ, Îșα᜶ Ï„ÎŻÎșÏ„ÎżÏ…ÏƒÎ± ÎČÎżÏ„ÎŹÎœÎ·Îœ Î”áœ”ÎžÎ”Ï„ÎżÎœ ጐÎșÎ”ÎŻÎœÎżÎčς ÎŽÎč’ Îżáœ“Ï‚ Îșα᜶ ÎłÎ”Ï‰ÏÎłÎ”áż–Ï„Î±Îč, ΌΔταλαΌÎČÎŹÎœÎ”Îč Î”áœÎ»ÎżÎłÎŻÎ±Ï‚ ጀπ᜞ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ·

      HĂ©breux 8

      10 ᜅτÎč α᜕τη áŒĄ ÎŽÎčαΞΟÎșη áŒŁÎœ ÎŽÎčÎ±ÎžÎźÏƒÎżÎŒÎ±Îč Ï„áż· ÎżáŒŽÎșáżł ጞσραᜎλ ΌΔτᜰ τᜰς áŒĄÎŒÎ­ÏÎ±Ï‚ ጐÎșÎ”ÎŻÎœÎ±Ï‚, λέγΔÎč ÎșύρÎčÎżÏ‚, ÎŽÎčÎŽÎżáœșς ÎœÏŒÎŒÎżÏ…Ï‚ ÎŒÎżÏ… Δጰς τᜎΜ ÎŽÎčÎŹÎœÎżÎčαΜ Î±áœÏ„áż¶Îœ, Îșα᜶ ጐπ᜶ ÎșÎ±ÏÎŽÎŻÎ±Ï‚ Î±áœÏ„áż¶Îœ ጐπÎčÎłÏÎŹÏˆÏ‰ Î±áœÏ„ÎżÏÏ‚, Îșα᜶ áŒ”ÏƒÎżÎŒÎ±Îč Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚ Δጰς ΞΔόΜ Îșα᜶ Î±áœÏ„Îżáœ¶ áŒ”ÏƒÎżÎœÏ„Î±ÎŻ ÎŒÎżÎč Δጰς λαόΜ.

      HĂ©breux 13

      15 ÎŽÎč’ Î±áœÏ„ÎżáżŠ Îżáœ–Îœ ጀΜαφέρωΌΔΜ ÎžÏ…ÏƒÎŻÎ±Îœ αጰΜέσΔως ÎŽÎčᜰ παΜτ᜞ς Ï„áż· ΞΔῷ, Ï„ÎżáżŠÏ„â€™ ጔστÎčÎœ Îșαρπ᜞Μ χΔÎčλέωΜ áœÎŒÎżÎ»ÎżÎłÎżÏÎœÏ„Ï‰Îœ Ï„áż· ᜀΜόΌατÎč Î±áœÏ„ÎżáżŠ.
      16 Ï„áż†Ï‚ ÎŽáœČ Î”áœÏ€ÎżÎčΐας Îșα᜶ ÎșÎżÎčÎœÏ‰ÎœÎŻÎ±Ï‚ Όᜎ ጐπÎčÎ»Î±ÎœÎžÎŹÎœÎ”ÏƒÎžÎ”, Ï„ÎżÎčαύταÎčς Îłáœ°Ï ÎžÏ…ÏƒÎŻÎ±Îčς Î”áœÎ±ÏÎ”ÏƒÏ„Î”áż–Ï„Î±Îč ᜁ ΞΔός.

      Jacques 1

      21 ÎŽÎč᜞ áŒ€Ï€ÎżÎžÎ­ÎŒÎ”ÎœÎżÎč π៶σαΜ áż„Ï…Ï€Î±ÏÎŻÎ±Îœ Îșα᜶ πΔρÎčÏƒÏƒÎ”ÎŻÎ±Îœ ÎșαÎșÎŻÎ±Ï‚ ጐΜ πραΰτητÎč ΎέΟασΞΔ τ᜞Μ áŒ”ÎŒÏ†Ï…Ï„ÎżÎœ Î»ÏŒÎłÎżÎœ τ᜞Μ ÎŽÏ…ÎœÎŹÎŒÎ”ÎœÎżÎœ Ïƒáż¶ÏƒÎ±Îč τᜰς ψυχᜰς áœ‘ÎŒáż¶Îœ.
      22 Î“ÎŻÎœÎ”ÏƒÎžÎ” ÎŽáœČ Ï€ÎżÎčητα᜶ Î»ÏŒÎłÎżÏ… Îșα᜶ Όᜎ ጀÎșÏÎżÎ±Ï„Î±áœ¶ ÎŒÏŒÎœÎżÎœ Ï€Î±ÏÎ±Î»ÎżÎłÎčÎ¶ÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎč áŒ‘Î±Ï…Ï„ÎżÏÏ‚.

      1 Pierre 2

      1 áŒˆÏ€ÎżÎžÎ­ÎŒÎ”ÎœÎżÎč Îżáœ–Îœ π៶σαΜ ÎșαÎșÎŻÎ±Îœ Îșα᜶ Ï€ÎŹÎœÏ„Î± ÎŽÏŒÎ»ÎżÎœ Îșα᜶ áœ‘Ï€ÎżÎșÏÎŻÏƒÎ”Îčς Îșα᜶ Ï†ÎžÏŒÎœÎżÏ…Ï‚ Îșα᜶ Ï€ÎŹÏƒÎ±Ï‚ ÎșαταλαλÎčÎŹÏ‚,
      2 áœĄÏ‚ ጀρτÎčÎłÎ­ÎœÎœÎ·Ï„Î± ÎČρέφη τ᜞ λογÎčÎș᜞Μ áŒ„ÎŽÎżÎ»ÎżÎœ γΏλα ጐπÎčÏ€ÎżÎžÎźÏƒÎ±Ï„Î”, ጔΜα ጐΜ Î±áœÏ„áż· Î±áœÎŸÎ·Îžáż†Ï„Î” Δጰς ÏƒÏ‰Ï„Î·ÏÎŻÎ±Îœ,

      2 Pierre 1

      5 Îșα᜶ αᜐτ᜞ Ï„ÎżáżŠÏ„Îż ÎŽáœČ ÏƒÏ€ÎżÏ…ÎŽáœŽÎœ π៶σαΜ παρΔÎčÏƒÎ”ÎœÎ­ÎłÎșαΜτΔς ጐπÎčÏ‡ÎżÏÎ·ÎłÎźÏƒÎ±Ï„Î” ጐΜ Ï„áż‡ Ï€ÎŻÏƒÏ„Î”Îč áœ‘ÎŒáż¶Îœ τᜎΜ áŒ€ÏÎ”Ï„ÎźÎœ, ጐΜ ÎŽáœČ Ï„áż‡ áŒ€ÏÎ”Ï„áż‡ τᜎΜ ÎłÎœáż¶ÏƒÎčÎœ,
      6 ጐΜ ÎŽáœČ Ï„áż‡ ÎłÎœÏŽÏƒÎ”Îč τᜎΜ áŒÎłÎșÏÎŹÏ„Î”ÎčαΜ, ጐΜ ÎŽáœČ Ï„áż‡ áŒÎłÎșÏÎ±Ï„Î”ÎŻáŸł τᜎΜ áœ‘Ï€ÎżÎŒÎżÎœÎźÎœ, ጐΜ ÎŽáœČ Ï„áż‡ áœ‘Ï€ÎżÎŒÎżÎœáż‡ τᜎΜ ΔᜐσέÎČΔÎčαΜ,
      7 ጐΜ ÎŽáœČ Ï„áż‡ ΔᜐσΔÎČÎ”ÎŻáŸł τᜎΜ φÎčÎ»Î±ÎŽÎ”Î»Ï†ÎŻÎ±Îœ, ጐΜ ÎŽáœČ Ï„áż‡ φÎčÎ»Î±ÎŽÎ”Î»Ï†ÎŻáŸł τᜎΜ áŒ€ÎłÎŹÏ€Î·ÎœÎ‡
      8 Ï„Î±áżŠÏ„Î± Îłáœ°Ï áœ‘ÎŒáż–Îœ áœ‘Ï€ÎŹÏÏ‡ÎżÎœÏ„Î± Îșα᜶ Ï€Î»Î”ÎżÎœÎŹÎ¶ÎżÎœÏ„Î± ÎżáœÎș áŒ€ÏÎłÎżáœșς ÎżáœÎŽáœČ ጀÎșÎŹÏÏ€ÎżÏ…Ï‚ ÎșÎ±ÎžÎŻÏƒÏ„Î·ÏƒÎčÎœ Δጰς τᜎΜ Ï„ÎżáżŠ ÎșÏ…ÏÎŻÎżÏ… áŒĄÎŒáż¶Îœ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ áŒÏ€ÎŻÎłÎœÏ‰ÏƒÎčΜ·

      2 Pierre 3

      18 Î±áœÎŸÎŹÎœÎ”Ï„Î” ÎŽáœČ ጐΜ Ï‡ÎŹÏÎčτÎč Îșα᜶ ÎłÎœÏŽÏƒÎ”Îč Ï„ÎżáżŠ ÎșÏ…ÏÎŻÎżÏ… áŒĄÎŒáż¶Îœ Îșα᜶ ÏƒÏ‰Ï„áż†ÏÎżÏ‚ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ. Î±áœÏ„áż· áŒĄ ΎόΟα Îșα᜶ ÎœáżŠÎœ Îșα᜶ Δጰς áŒĄÎŒÎ­ÏÎ±Îœ Î±áŒ°áż¶ÎœÎżÏ‚. áŒ€ÎŒÎźÎœ.

      1 Jean 5

      20 ÎżáŒŽÎŽÎ±ÎŒÎ”Îœ ÎŽáœČ ᜅτÎč ᜁ υጱ᜞ς Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ ጄÎșΔÎč, Îșα᜶ ΎέΎωÎșΔΜ áŒĄÎŒáż–Îœ ÎŽÎčÎŹÎœÎżÎčαΜ ጔΜα ÎłÎčΜώσÎșωΌΔΜ τ᜞Μ ጀληΞÎčΜόΜ· Îșα᜶ ጐσΌáœČÎœ ጐΜ Ï„áż· ጀληΞÎčÎœáż·, ጐΜ Ï„áż· Ï…áŒ±áż· Î±áœÏ„ÎżáżŠ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„áż·. Îżáœ—Ï„ÏŒÏ‚ ጐστÎčÎœ ᜁ ጀληΞÎčΜ᜞ς ΞΔ᜞ς Îșα᜶ ζωᜎ αጰώΜÎčÎżÏ‚.
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