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Matthieu 13.45

« Le Royaume des cieux ressemble encore à un marchand qui cherche de belles perles.

» Le royaume des cieux ressemble encore à un marchand qui cherche de belles perles.
"Again, the Kingdom of Heaven is like a man who is a merchant seeking fine pearls,
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      Job 28

      Psaumes 4

      6 Les gens du monde sont à la recherche de tout ce qui est bon, mais pas nécessairement dans la bonne direction. Tout ce qu'ils désirent n'est bon qu'extérieurement : bon au présent, bon dans ce qui les arrange, la bonne chÚre, les bons emplois, une belle propriété.

      Mais à quoi bon tout cela ? Toutes ces choses servent la cause de la plupart de ce genre de personne, mais une ùme pleine de grùce ne sera pas satisfaite. Seigneur, puissions-nous recevoir ta faveur et fais-nous connaßtre cette plénitude, nous ne voulons rien de plus ; soyons satisfaits par ton tendre amour.

      Beaucoup sont Ă  la recherche du bonheur. David, pour sa part, l'a trouvĂ©. Quand Dieu le dĂ©livre, par la grĂące inondant son cƓur, il y place Ă©galement la fĂ©licitĂ©. Il est conscient d'un tel pouvoir, Il est Ă©mu de compassion et ne recule pas devant la situation du pire des pĂ©cheurs. David remet son sort Ă  Dieu et est ainsi prĂȘt Ă  recevoir l'Esprit-Saint. Mais le salut est en Christ seul ; oĂč sont ceux qui Le considĂšrent comme n'Ă©tant qu'un MĂ©diateur ou qui Le mĂ©prisent en tant que disciple ? Qu'ils soient terrorisĂ©s par leur Ă©tat et qu'ils ne se dressent plus dans leur pĂ©chĂ© contre le seul remĂšde possible.

      Psaumes 39

      7 Il n'y a aucune rĂ©elle satisfaction Ă  n'ĂȘtre simplement qu'une crĂ©ature ; la seule chose qui importe, c'est d'ĂȘtre avec le Seigneur et en communion avec Lui ; le monde ne vit que dans la vanité ; que Dieu puisse nous dĂ©livrer de cĂ©der Ă  cette tentation. Quand la confiance en la crĂ©ature s'effondre, quel rĂ©confort de savoir que nous avons un Dieu auquel nous pouvons nous adresser et en qui nous pouvons placer toute notre confiance ! Nous pouvons voir un Dieu bon, maĂźtre de toutes choses et rĂ©gissant tous les Ă©vĂ©nements qui nous concernent ; et un homme bon ne peut rien dire contre cela. Il dĂ©sire le pardon de son pĂ©chĂ© et l'effacement de sa honte. Nous devons Ă  la fois rester vigilants et prier, face au pĂ©chĂ©.

      Quand nous sommes sous la main correctrice du Seigneur, nous devons tourner notre regard vers Dieu lui-mĂȘme, qui ne gĂšre toutes choses qu'en vue de notre bien. Nos voies et nos actes nous confrontent Ă  diffĂ©rents problĂšmes et nous sommes frappĂ©s en retour par nos propres pratiques. Quelle bien piĂštre chose que la beauté ! Et quelle folie d'en ĂȘtre fier, alors qu'en fait, elle sera certainement et mĂȘme rapidement bien vite flĂ©trie !

      Le corps de l'homme est, en quelque sorte, un sarment de l'Ăąme. Le pĂ©chĂ© s'est infiltrĂ© dans ce sarment pour en extraire en premier lieu la beautĂ©, puis la force, et finalement toute substance vitale. Celui qui a observĂ© la progression lente d'une douleur ou celle de la solitude humaine ressentira bien vite la vĂ©racitĂ© d'une telle comparaison et verra bien que tout n'est que vanitĂ©. Les afflictions sont envoyĂ©es pour stimuler la priĂšre. Si elles nous affectent rĂ©ellement, nous pouvons vraiment espĂ©rer que Dieu Ă©coutera nos cris. Le croyant, dans sa route vers le ciel, espĂšre ne pas traverser la maladie ou l'Ă©preuve ; il ne restera pas trĂšs longtemps dans cette illusion : marchant avec Dieu, par la foi, il va de l'avant sur sa route, n'Ă©tant ni dĂ©viĂ© de sa course ni brisĂ© par les difficultĂ©s qu'il pourrait rencontrer. Quelle bĂ©nĂ©diction de ne pas prendre Ă  cƓur les choses de ce monde ; tandis que nous nous dirigeons vers la maison du PĂšre, usons des choses d'ici-bas sans toutefois en abuser ! Puissions-nous toujours porter notre regard vers cette citĂ©, créée et construite par Dieu.

      Proverbes 3

      13 Il n'y a aucun bijou prĂ©cieux, ni trĂ©sors en ce monde, qui puissent ĂȘtre comparĂ©s Ă  la vĂ©ritable sagesse, face Ă  l'Ă©ternitĂ©. La sagesse doit ĂȘtre notre but ; nous devons ĂȘtre disposĂ©s Ă  renoncer Ă  tout, Ă  tout risquer pour elle. Cette Sagesse est le Seigneur JĂ©sus-Christ et Son salut, cherchĂ©s et obtenus par la foi et la priĂšre.

      Si nous n’étions pas sujets Ă  notre incrĂ©dulitĂ© ou une certaine culpabilitĂ©, voire l’insouciance, nous devrions trouver toutes nos voies agrĂ©ables, et nos sentiers paisibles : telles sont ceux du Seigneur. Mais nous nous Ă©cartons trop souvent de notre chemin, pour notre propre peine et notre malheur.

      Christ est cette Sagesse, par Laquelle tout a Ă©tĂ© créé, et que tout existe ; heureux ceux, pour qui Il est cette Sagesse divine. Il dispose de toutes les ressources pour accomplir l’ensemble de Ses promesses !

      Proverbes 8

      Ecclésiaste 2

      12 Salomon découvre que la connaissance et la prudence sont préférables à l'ignorance et à la folie, bien que la sagesse humaine et la science ne pourront jamais rendre un homme vraiment heureux.

      Le plus grand des savants, qui meurt sans avoir connu JĂ©sus-Christ, pĂ©rira de la mĂȘme maniĂšre que l’homme le plus ignare ; quels bĂ©nĂ©fices peuvent apporter les encouragements de ce monde Ă  celui qui est dans la tombe, ou Ă  une Ăąme en enfer ? Ceux qui ont Ă©tĂ© justifiĂ©s en JĂ©sus-Christ, les « saints », n'en ont pas besoin !

      Si tout Ă©tait basĂ© uniquement sur la connaissance intellectuelle, nous pourrions ĂȘtre amenĂ©s Ă  abhorrer notre parcours ici-bas, puisque tout n’est que vanitĂ© et contraire au monde spirituel.

      Ecclésiaste 12

      8 Salomon rĂ©pĂšte souvent cette expression : « VanitĂ© des vanitĂ©s ; tout est vanitĂ©. » Ces paroles rĂ©vĂšlent le triste constat de ce monde : rien ne peut ĂȘtre fait ici-bas pour libĂ©rer les hommes du fardeau de leurs pĂ©chĂ©s.

      Du fait que Salomon sondait la pleine valeur des ùmes, il pesait avec attention la portée de ses propos ; il est relativement facile de faire accepter la vérité : les vérités de Dieu sont semblables à des aiguillons, qui « dérangent » les inactifs ou ceux qui reculent, elles ressemblent à des « clous » qui blessent ceux qui errent ça et là, sans prendre le bon chemin, celui du devoir.

      Le « Berger d'IsraĂ«l » accorde spirituellement la sagesse : tous ceux qui enseignent les Ɠuvres de piĂ©tĂ© reçoivent leur Ă©dification prĂ©alable, du Seigneur. Ce titre de « Berger, » s’applique dans l'Écriture au Seigneur JĂ©sus Christ, le Fils de Dieu. Les prophĂštes ont diligemment cherchĂ© ce que « l'Esprit de Christ » pouvait signifier, quand Il tĂ©moignait par avance des souffrances de Christ, et de la gloire qui devait en rĂ©sulter.

      Le fait de rĂ©diger de si nombreuses prophĂ©ties par une seule personne, n’était pas vraiment compatible avec la briĂšvetĂ© de la vie humaine : cela ne pouvait engendrer que lassitude, pour l’écrivain comme pour le lecteur ; c'Ă©tait davantage le cas Ă  cette Ă©poque, que de nos jours, oĂč les livres Ă©taient encore peu rĂ©pandus.

      Donc, selon Salomon, tout n’est que vanitĂ© et contrariĂ©tĂ© ici-bas ; la conclusion du livre devrait ĂȘtre le but de tout homme : elle exhorte Ă  craindre Dieu, et Ă  garder Ses commandements. La crainte de Dieu comprend l'ensemble des affections d’une Ăąme vers le CrĂ©ateur, le tout Ă©tant produit par l'Esprit-Saint.

      LĂ  oĂč l’amour est totalement absent, la haine peut s’installer et mĂȘme une certaine terreur. Cette derniĂšre est totalement diffĂ©rente de la crainte de Dieu, que l’on peut comparer aux sentiments affectueux et respectueux d'un enfant, vis Ă -vis de son pĂšre. La crainte de Dieu, est souvent l’unique reprĂ©sentation de la piĂ©tĂ© d’une Ăąme, elle se manifeste par un tĂ©moignage pratique d’une vie ici-bas.

      Saisissons-nous de cette crainte respectueuse, le seul sentiment qui soit nĂ©cessaire, et approchons-nous de Christ, le Sauveur misĂ©ricordieux ; Il vient bientĂŽt, tel un Juge tout-puissant, Il mettra en lumiĂšre les secrets des tĂ©nĂšbres, et dĂ©voilera les pensĂ©es de chaque cƓur.

      Pourquoi Dieu dit-il dans Sa Parole : « Tout est vanité », si ce n'est pour nous garder de nous tromper nous-mĂȘmes et d'aller ainsi Ă  notre perte ? C'est pour nous montrer que notre devoir est en mĂȘme temps notre intĂ©rĂȘt ! Puisse ces exhortations ĂȘtre gravĂ©es en notre cƓur ! Craindre Dieu, et garder Ses commandements, voilĂ  ce qui convient Ă  l'homme !

      Matthieu 13

      24 Cette parabole reprĂ©sente l'Ă©tat prĂ©sent et futur de l'Ă©glise : le soin que Christ prend pour cette derniĂšre, l'inimitiĂ© qu'Ă©prouve le diable contre elle, le mĂ©lange du bien et du mal qu'il y a ici-bas, et leur sĂ©paration dans l’au delĂ .

      Quand l'ennemi sĂšme de « l'ivraie », l'homme, toujours prompt Ă  succomber au pĂ©chĂ©, laisse pousser cette mauvaise herbe, qui va croĂźtre et lui faire du mal ; la « bonne semence », quant Ă  elle, une fois semĂ©e, doit ĂȘtre soignĂ©e, arrosĂ©e, et entretenue.

      Dans cette parabole, les serviteurs s’exprimĂšrent par cette remarque Ă  leur maĂźtre : « n'as-tu pas semĂ© de la bonne graine dans ton champ » ? Sans aucun doute, c'est ce que le maĂźtre avait fait !

      Quels que soient les problĂšmes et complications qui peuvent apparaĂźtre dans l'Ă©glise, nous pouvons ĂȘtre certains qu’ils ne proviennent pas de Christ. Bien que les grands transgresseurs et ceux qui s'opposent ouvertement Ă  l'Ă©vangile, doivent ĂȘtre sĂ©parĂ©s de la compagnie des fidĂšles, aucun homme n’est cependant capable de les dissocier avec prĂ©cision. Ceux qui s’opposent Ă  l’église ne doivent pas en ĂȘtre retranchĂ©s pour autant, mais instruits, et cela avec beaucoup de douceur.

      MĂȘme si le bien et le mal peuvent cohabiter en ce monde, ils seront cependant sĂ©parĂ©s au grand jour du Jugement ; le vertueux et le mĂ©chant seront alors ouvertement rĂ©vĂ©lĂ©s, bien qu'ici-bas il soit quelquefois difficile de faire la distinction entre les deux.

      Sachons craindre le Seigneur, ne commettons pas l'iniquitĂ©. À leur mort, les croyants resplendiront de leur lumiĂšre spirituelle ; au grand jour du Jugement, ils « brilleront » devant tous : cet Ă©clat proviendra du reflet de la « Fontaine » de LumiĂšre, Christ ! Leur sanctification sera parfaite, leur justification annoncĂ©e devant tous.

      Puissions-nous faire partie de cette heureuse assemblée !

      Matthieu 16

      Matthieu 22

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