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Matthieu 18.10

Prenez garde de ne pas mépriser un de ces petits ; car je vous dis que, dans les cieux, leurs anges voient continuellement la face de mon PÚre qui est dans les cieux.
» Faites bien attention de ne pas mépriser un seul de ces petits, car je vous dis que leurs anges dans le ciel sont continuellement en présence de mon PÚre céleste.

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      GenĂšse 32

      1

      La vision de Jacob Ă  MahanaĂŻm, sa crainte d'ÉsaĂŒ. (GenĂšse 32:1-8)
      La priĂšre fervente de Jacob pour sa dĂ©livrance, Il prĂ©pare un prĂ©sent Ă  ÉsaĂŒ. (GenĂšse 32:9-23)
      Il lutte avec l'Ange. (GenĂšse 32:24-32)

      Les anges de Dieu sont apparus Ă  Jacob, pour l'encourager et lui donner l'assurance de la protection divine. Quand Dieu destine des personnes Ă  des Ă©preuves, Il les prĂ©pare d'abord, par de grands rĂ©conforts. Tandis que d'un cĂŽtĂ© se trouvait Jacob, Ă  qui Ă©tait faite la promesse divine et qui avait servi durement Laban, ÉsaĂŒ, de l'autre cĂŽtĂ©, Ă©tait un vĂ©ritable prince. Jacob a envoyĂ© un message, disant qu'il n'exigeait rien de son droit de naissance. La douceur est source de paix, \\#Ecc 10:4\\.

      Nous ne devons pas refuser de parler respectueusement, mĂȘme Ă  ceux, qui injustement, sont fĂąchĂ©s contre nous. Jacob a eu des Ă©chos des intentions guerriĂšres d'ÉsaĂŒ, contre lui, et de ce fait, Ă©tait vraiment effrayĂ©. Un sens aigu du danger, et la crainte qui en rĂ©sulte rapidement, peuvent nous conduire vers une humble confiance en la Puissance et dans les Promesses divines.

      2 Samuel 14

      28 Par sa conduite provocatrice envers Joab, Absalom poussa Joab Ă  parler en sa faveur, devant David. Par le message insolent qu'il adressa au roi, Absalom eut gain de cause. Quand les parents ou les dirigeants encouragent de tels caractĂšres, ils finissent par en subir tĂŽt ou tard les effets pervers.

      Mais la compassion d'un pÚre peut-elle tendre à le réconcilier avec un fils impénitent ? Les pécheurs coupables pourront-ils remettre en cause la Compassion du PÚre de Miséricorde ?

      1 Rois 22

      2 Rois 6

      Esther 1

      Psaumes 15

      Psaumes 17

      Psaumes 34

      Psaumes 91

      Zacharie 4

      Zacharie 13

      7 Nous voyons dans ce texte une prophĂ©tie relative aux souffrances de Christ : au verset sept, nous voyons Dieu le PĂšre donner des ordres « à l'Ă©pĂ©e de Sa Justice », afin qu’elle se dresse contre Son Fils, qui allait, de plein grĂ©, se donner en offrande Ă  la croix, pour le pĂ©chĂ© de l’humanitĂ©.

      Christ, Dieu en personne, est appelĂ© « mon compagnon. ». En fait, Christ et le PĂšre ne sont « qu’une seule Personne ». JĂ©sus est le Berger qui allait donner Sa vie pour Ses brebis. Il devait subir ce sacrifice, car « sans effusion du sang, il ne peut y avoir de rĂ©mission des pĂ©chĂ©s, » (Heb 9:22)*.

      L’épĂ©e mentionnĂ©e au dĂ©but de ce texte allait se lever contre Christ, malgrĂ© le fait qu’Il n’ait aucun pĂ©chĂ© Ă  se faire pardonner. C’est peut-ĂȘtre une allusion Ă  toutes les souffrances du Seigneur, en particulier lors de la terrible agonie qu'Il a connue dans le jardin de GethsĂ©manĂ© et surtout au supplice de la croix, jusqu'Ă  ce que la justice divine soit complĂštement satisfaite.

      « Frappe le Berger, et les brebis seront dispersĂ©es. » Cette prĂ©diction s’est accomplie quand notre Seigneur JĂ©sus fut abandonnĂ© par tous Ses disciples, la nuit oĂč il fut trahi : en effet, tous s’enfuirent. Nous pouvons Ă©galement faire de cette phrase un parallĂšle avec la dispersion d’une partie de l'Ă©glise, corrompue et hypocrite...

      Les Juifs ayant rejetĂ© et crucifiĂ© Christ, en s’opposant Ă  Son Évangile, furent persĂ©cutĂ©s par les Romains, qui dĂ©truisirent une grande partie du peuple. Toutefois, un « reste » sera sauvĂ© (verset huit). Si nous faisons partie de Son peuple, nous serons alors « affinĂ©s spirituellement, comme l'or ; » Il restera Ă©ternellement notre Dieu ! Lors de l'apparition de notre Seigneur JĂ©sus-Christ, nous connaĂźtrons la fin de toutes nos Ă©preuves et de nos souffrances ici-bas, et cela se traduira par des louanges, Ă  Sa gloire !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Matthieu 1

      Matthieu 2

      13 L'Égypte avait Ă©tĂ© auparavant une « maison » d'esclavage particuliĂšrement cruelle pour les enfants d'IsraĂ«l ; elle allait cependant devenir une terre de refuge pour le saint Enfant JĂ©sus.

      Dieu, selon Sa VolontĂ©, peut utiliser le pire des lieux pour servir Ses desseins. Cette fuite en Égypte allait mettre la foi de Joseph et Marie Ă  l’épreuve : elle ne pouvait que l’affermir.

      Si nous traversons l’épreuve, nous et nos enfants, souvenons-nous des diffĂ©rentes situations difficiles, que Christ a dĂ» subir dans son enfance.

      19 L'Égypte peut servir de terre d’asile ou de sĂ©jour pour un temps, mais pas de maniĂšre durable. Christ avait Ă©tĂ© envoyĂ© pour sauver les brebis perdues de la maison d'IsraĂ«l : c'est vers elles qu'Il devait revenir.

      Puissions-nous regarder le monde comme Ă©tant « l’Égypte spirituelle », le lieu de notre esclavage et de notre bannissement, et considĂ©rer que seul le ciel est notre « Canaan », notre maison, notre lieu de repos, afin que nous puissions nous lever promptement et partir lorsque nous y serons appelĂ©s, comme le fit Joseph quand il quitta l'Égypte.

      La famille de ce dernier devait s'installer en GalilĂ©e. Nazareth Ă©tait un lieu de mauvaise rĂ©putation ; Christ a d’ailleurs Ă©tĂ© crucifiĂ© sous cette accusation : JĂ©sus le NazarĂ©en.

      Quel que soit l'endroit oĂč la Providence fixera les limites de notre demeure, nous devons compter supporter l’opprobre de Christ ; cependant nous pouvons nous glorifier du fait d'ĂȘtre « associĂ©s » Ă  Son Nom, certains que si nous souffrons avec Lui, nous serons Ă©galement glorifiĂ©s avec Lui !

      Matthieu 12

      Matthieu 18

      Matthieu 24

      Luc 1

      Luc 10

      Luc 16

      Actes 5

      Actes 10

      Actes 12

      Actes 27

      Romains 14

      1

      Les Juifs convertis sont mis en garde contre le jugement, et les païens croyants, (les gentils), contre le mépris mutuel. (Romains 14:1-13)
      Les païens sont exhortés à ne pas offenser leur prochain, avec des éléments sans importance. (Romains 14:14-23)

      Au temps oĂč a Ă©tĂ© rĂ©digĂ© ce texte, diffĂ©rentes opinions ont prĂ©dominĂ©, mĂȘme parmi les partisans immĂ©diats de Christ et de leurs disciples. Paul n’entreprit pas de mettre fin Ă  ces divergences.

      Un assentiment par la contrainte, Ă  une doctrine, ou une recherche de conformitĂ© Ă  diffĂ©rentes tendances, sans rĂ©elle conviction, serait hypocrite et n’aurait guĂšre de crĂ©dibilitĂ©. Toute tentative de recherche d’unitĂ© d'esprit absolue, parmi les chrĂ©tiens est assez illusoire. Que la fraternitĂ© chrĂ©tienne ne soit pas remise en question, par de simples querelles verbales.

      Il serait bon de nous demander, quand nous sommes tentĂ©s de dĂ©daigner et de blĂąmer nos frĂšres : « appartiennent-ils rĂ©ellement au Seigneur ? Dans l’affirmative, puis-je oser les dĂ©savouer » ?

      Que le chrétien qui se sent entiÚrement libre, ne méprise pas son frÚre, pour sa faiblesse, le considérant comme ignorant ou superstitieux. Que le croyant scrupuleux ne trouve pas de faute chez son frÚre, car Dieu l'a accepté en tant que tel, sans considération spéciale, ni distinction, quant au choix de sa nourriture.

      Quand nous jugeons ainsi les pensĂ©es et les intentions de ceux qui n’ont pas les mĂȘmes points de vue que les nĂŽtres, nous usurpons pour ainsi dire, la place de Dieu. Il en est de mĂȘme pour ceux qui prĂ©fĂšrent certains jours Ă  d’autres. Ceux qui savaient que tous les rites inhĂ©rents Ă  la loi Ă©taient caduques, par la venue de Christ, ne tenaient mĂȘme pas compte des fĂȘtes des Juifs.

      Il n'est pas suffisant que notre conscience soit en accord avec nos actes ; il est essentiel qu’ils soient aussi conformes Ă  ce que prescrit la Parole de Dieu. Veillons Ă  ce que toute action ne s'oppose pas Ă  ce que notre conscience nous dicte. Nous avons rapidement tendance Ă  faire de nos propres opinions, le standard de la vĂ©ritĂ©, en jugeant nĂ©gativement les actes de notre prochain. Souvent les chrĂ©tiens mĂ©prisent ou condamnent les autres sur des sujets douteux, sans rĂ©elle importance.

      Un regard reconnaissant vers Dieu, l'Auteur et le Donateur de toutes grñces, les sanctifie et nous pousse à reconnaütre qu’elles sont merveilleuses !

      14 Christ agit avec douceur envers ceux qui possĂšdent Sa GrĂące, mĂȘme s'ils sont encore faibles dans la foi. ConsidĂ©rez le but de la mort de Christ : ĂŽter d’une Ăąme le pĂ©chĂ© qui la menace de la destruction.

      Christ a-t-Il refusĂ© le salut Ă  nos frĂšres ? A-t-Il refusĂ© de mourir pour eux ? Les renierions-nous pour une cause quelconque, sans leur accorder quelque indulgence ? Nous ne pouvons pas empĂȘcher ceux qui ne maĂźtrisent pas leurs paroles de dire du mal des autres ; par contre, ne leur en donnons pas, la moindre occasion.

      Sachons nous blĂąmer nous-mĂȘmes, quand nos actes heurtent notre frĂšre. Le bien que nous cherchons Ă  faire peut parfois ĂȘtre considĂ©rĂ© comme du mal, parce que nous sommes en fait peu charitables, voire mĂȘme Ă©goĂŻstes. Lorsque nous Ă©valuons le bien que nous professons avoir accompli, nous ne devons trouver aucune critique des autres.

      Justice, paix, et joie, sont des termes vraiment significatifs. Nous devons chercher à paraßtre devant Dieu, justifiés par la mort de Christ, sanctifiés par l'Esprit de Sa Grùce ; le Seigneur est la Justice.

      Quant Ă  nos frĂšres, ils doivent vivre mutuellement en paix, dans l'amour et la charité ; il faut faire de mĂȘme avec tous les hommes. En ce qui nous concerne, vivons dans la plĂ©nitude du Saint-Esprit qui demeure en nous ! Ce Dernier apporte dans le cƓur du croyant, rĂ©conciliĂ© avec le PĂšre, la fĂ©licitĂ© spirituelle ; le ciel est la demeure qu'ils attendent.

      Regarder à Christ dans tout ce que nous entreprenons, est le seul moyen de nous faire accepter, dans le cadre de notre devoir. Ceux qui plaisent le plus à Dieu sont ceux qui éprouvent une joie profonde en Sa présence et qui abondent le plus dans la paix et la joie offertes par le Saint-Esprit. Ils sont approuvés par tous les hommes bons, quelle que soit l'opinion des autres !

      Romains 15

      1

      Directives pour bien se comporter envers le faible. (Romains 15:1-7)
      Tous doivent se recevoir comme des frĂšres. (Romains 15:8-13)
      Les écrits et la prédication de l'apÎtre. (Romains 15:14-21)
      Ses projets de voyage. (Romains 15:22-29)
      Il réclame les priÚres des frÚres. (Romains 15:30-33)

      La liberté chrétienne a été instaurée par le Seigneur, non pour notre plaisir, mais pour la Gloire de Dieu, et le bien de tous.

      Nous devons contenter notre prochain, pour le bien de son Ăąme, en Ă©vitant de servir ses mauvais desseins Ă©ventuels, sans le suivre dans un chemin douteux ; si nous cherchons Ă  plaire aux hommes, en suivant leurs mauvaises voies, nous ne sommes pas de bons serviteurs de Christ. La vie entiĂšre de ce Dernier Ă©tait un reniement de soi, une vie consacrĂ©e aux autres. Le chrĂ©tien le plus mature est celui qui se conforme le plus Ă  Christ. Étant donnĂ©es Sa puretĂ© sans tache et Sa saintetĂ©, rien n’était plus terrible pour Lui, que d'ĂȘtre « fait pĂ©chĂ© et malĂ©diction » pour nous, de se voir abandonnĂ© par Dieu, Ă  la croix ; Il a Ă©tĂ© le Juste pour les injustes. JĂ©sus a portĂ© la culpabilitĂ© et la malĂ©diction du pĂ©ché ; nous pouvons difficilement ressentir la portĂ©e d’une telle souffrance. À la croix, le Seigneur a portĂ© l’orgueil et les pĂ©chĂ©s des mĂ©chants, alors que nous ne sommes appelĂ©s qu’à porter les dĂ©faillances des faibles.

      Pourquoi ne resterions-nous pas humbles, enclins au reniement de nous-mĂȘmes, prĂȘts Ă  nous considĂ©rer l'un l'autre, nous qui partageons la mĂȘme fraternité ? Les Écritures ont Ă©tĂ© rĂ©digĂ©es pour notre enseignement et notre bien, autant que pour ceux qui ont d'abord besoin de connaĂźtre le salut.

      Les plus instruits sont ceux qui connaissent le mieux les Écritures. Le rĂ©confort qui jaillit de la Parole de Dieu est des plus sĂ»r, des plus doux, il reprĂ©sente le plus ferme appui de l'espĂ©rance spirituelle. L'Esprit, le Consolateur, est le gage de notre hĂ©ritage. Notre Ă©tat d'esprit doit ĂȘtre conforme aux prĂ©ceptes de Christ, Ă  Son modĂšle et Son exemple. Christ le don de Dieu : Il reprĂ©sente un don prĂ©cieux, que nous devons rechercher avec ferveur !

      Notre MaĂźtre Divin invite Ses disciples Ă  Le suivre, Il les encourage, tĂ©moignant de Son humilitĂ© et de Sa douceur d'esprit. Une mĂȘme conduite doit animer Ses serviteurs, vis-Ă -vis du fort, comme du faible.

      Le but suprĂȘme de tous nos actes doit ĂȘtre la Gloire de Dieu ; rien ne peut mieux y concourir que l'amour fraternel et la bontĂ© de ceux qui professent la piĂ©tĂ©. Ceux qui s'accordent en Christ doivent manifester leur fraternitĂ© mutuelle !

      1 Corinthiens 8

      1 Corinthiens 9

      1 Corinthiens 11

      1 Corinthiens 16

      2 Corinthiens 10

      1

      L'apÎtre affirme son autorité avec douceur et humilité. (2 Corinthiens 10:1-6)
      Il converse avec les Corinthiens. (2 Corinthiens 10:7-11)
      Il cherche la gloire de Dieu, et Son approbation. (2 Corinthiens 10:12-18)

      Pendant que plusieurs personnes avaient de mauvaises pensées, parlant avec dédain de l'apÎtre Paul, ce dernier gardait une certaine humilité.

      Nous devrions ĂȘtre conscients de nos propres infirmitĂ©s, et garder une humble opinion de nous-mĂȘmes, prĂ©cisĂ©ment quand les autres nous adressent des reproches.

      Le ministĂšre au service du Seigneur est souvent l’objet d’une guerre spirituelle, il comporte des opposants qui poursuivent des buts bien prĂ©cis. La force matĂ©rielle n'est pas la mĂ©thode employĂ©e par l'Évangile, qui utilise plutĂŽt la persuasion, par le biais de la VĂ©ritĂ© et la douceur de caractĂšre de ceux qui L’annoncent.

      Notre conscience n’est responsable que devant Dieu, devant Lui seul ; nous devons tous Ă©prouver de la crainte envers Dieu et accomplir notre devoir, sans y ĂȘtre forcĂ©s. Les armes spirituelles dont nous disposons sont trĂšs puissantes ; elles contribuent Ă  mettre en Ă©vidence la VĂ©ritĂ©.

      Que d'opposition rencontre-t-on contre l’Évangile, par les pouvoirs du pĂ©chĂ© et de Satan, agissant dans le cƓur de l’homme ! Observez par contre, la puissance de la Parole de Dieu ! Les moyens conventionnels, utilisĂ©s pour lutter contre le mal paraissent parfois bien faibles, aux yeux de certains ; en fait, ils peuvent ĂȘtre relativement puissants, grĂące Ă  la force divine !

      La prédication de la croix, par des hommes de foi et de priÚre, a toujours été fatale à l'idolùtrie, à l'impiété, et à la méchanceté.

      Galates 4

      Galates 6

      1

      Exhortations à la douceur, à la gentillesse, et à l'humilité. (Galates 6:1-5)
      La gentillesse envers tous les hommes, en particulier les croyants. (Galates 6:6-11)
      Les Galates mis en garde contre ceux qui professent du JudaĂŻsme. (Galates 6:12-15)
      Bénédiction solennelle. (Galates 6:16-18)

      Nous devons porter nos fardeaux mutuellement. Nous accomplirons ainsi la loi de Christ ! Ce type de conduite oblige à une indulgence et une compassion mutuelles, selon l’exemple de notre Seigneur. Il nous appartient de porter nos fardeaux ensemble, tels des compagnons de voyage.

      Il est trĂšs facile de se considĂ©rer sage et meilleur que les autres, et de ce fait, de leur dicter leur conduite. Celui qui agit ainsi se trompe lui-mĂȘme et cette fausse prĂ©tention, aura plus ou moins rapidement de tristes consĂ©quences. Cette haute opinion de soi-mĂȘme est toujours vaine, que ce soit dans nos rapports avec Dieu ou avec les autres. En fait, chacun est tenu de prouver la motivation de ses propres Ɠuvres : pour le Seigneur ou au service de notre Ă©goĂŻsme...

      Plus nous connaissons notre propre cƓur et les voies que nous empruntons, moins nous aurons tendance Ă  mĂ©priser les autres, et serons disposĂ©s Ă  les aider, dans leurs difficultĂ©s et leur dĂ©tresses.

      Qu’ils nous paraissent bien lĂ©gers les pĂ©chĂ©s que nous commettons, alors qu'ils sont en fait bien plus pesants lorsque nous les confessons devant Dieu ! Nul ne peut payer de rançon pour les pĂ©chĂ©s de son frĂšre ; l’iniquitĂ© est un fardeau spirituel pour l'Ăąme ; plus un homme y reste insensible, plus il doit s’examiner attentivement.

      La plupart des hommes sont morts dans leurs pĂ©chĂ©s, sans avoir ressenti le sens de ce fardeau spirituel. Quand nous sommes conscients du poids rĂ©el de nos pĂ©chĂ©s, nous devons chercher Ă  nous en allĂ©ger, par notre Sauveur, JĂ©sus-Christ ; prions pour qu’Il nous sensibilise, Ă  chaque fois que nous pratiquons l’iniquité !

      1 Thessaloniciens 4

      1 Timothée 4

      Hébreux 1

      Apocalypse 8

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