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Matthieu 25.40

Et le roi leur rĂ©pondra : ‘Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, toutes les fois que vous avez fait cela Ă  l'un de ces plus petits de mes frĂšres, c'est Ă  moi que vous l'avez fait.’
Et le roi leur rĂ©pondra : En vĂ©ritĂ©, je vous le dis, dans la mesure oĂč vous avez fait cela Ă  l’un de ces plus petits de mes frĂšres, c’est Ă  moi que vous l’avez fait.

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      2 Samuel 9

      1

      David envoie chercher Mephibosheth. (2 Samuel 9:1-8)
      Il pourvoit Ă  ses besoins. (2 Samuel 9:9-13)

      Parmi les nombreuses affaires que nous traitons, nous sommes susceptibles d'oublier la gratitude dont nous sommes redevables, et les engagements auxquels nous sommes soumis, non seulement envers nos amis, mais envers Dieu Lui-mĂȘme.

      Certaines personnes, vĂ©ritablement pieuses, ne connaĂźtront aucun repos avant qu'elles n'aient accompli ce devoir. Les « cibles » les plus appropriĂ©es Ă  l'exercice de la bontĂ© et de la charitĂ©, ne seront jamais trouvĂ©es sans enquĂȘte prĂ©alable.

      Jonathan était l'ami auquel David avait juré fidélité : ce dernier montra donc sa bonté envers le fils de son ami, Mephibosheth. Dieu nous est toujours fidÚle ; ne soyons donc pas infidÚles les uns envers les autres ! Si la Providence nous a élevés dans les rangs de la société, alors que nos amis et leurs familles sont restés dans l'ombre, sachons saisir l'opportunité de leur prodiguer du bien !

      Proverbes 14

      Proverbes 19

      Proverbes 25

      Matthieu 10

      Matthieu 12

      Matthieu 18

      Matthieu 25

      Matthieu 28

      Marc 3

      Marc 9

      41 Il est dit de maniĂšre rĂ©pĂ©tĂ©e aux mĂ©chants, que « leur ver ne meurt pas », de mĂȘme que, « leur feu ne s'Ă©teint pas ».

      Sans aucun doute, les remords de la conscience, avec l’image profonde qui en dĂ©coule, sont ce « ver » qui ne meurt pas. Il est absolument certain qu’il vaut mieux subir toutes les souffrances possibles, les Ă©preuves et l'humiliation dĂ©crites dans ce texte, et ĂȘtre ensuite Ă©ternellement heureux, plutĂŽt que de prendre plaisir Ă  toutes sortes de joies temporaires ici-bas, et ĂȘtre misĂ©rable Ă  jamais ensuite.

      Comme des sacrifices, nous devons ĂȘtre « assaisonnĂ©s de sel » : nos affections corrompues doivent ĂȘtre domptĂ©es et mortifiĂ©es par le Saint-Esprit. Ceux qui possĂšdent le « sel de la GrĂące », doivent montrer qu'ils appliquent de tels prĂ©ceptes, Ă©tablis dans leur cƓur, inhibant les diverses corruptions de l’ñme, qui ne peuvent qu’offenser Dieu, et blesser notre conscience.

      Jean 19

      Jean 20

      Jean 21

      15 Notre Seigneur s'adressa Ă  Pierre par son nom d'origine, (Simon, fils de Jonas), comme s'il avait perdu celui de Pierre, Ă  cause de son reniement. L’apĂŽtre rĂ©pond alors au Seigneur : « Tu sais que je t'aime », mais sans professer L’aimer plus que quiconque.

      Ne soyons pas surpris de voir notre sincĂ©ritĂ© remise en question, quand nous elle a Ă©tĂ© Ă©branlĂ©e par nos actes. Chaque souvenir des pĂ©chĂ©s passĂ©s, mĂȘme pardonnĂ©s, rĂ©active la peine d'un vĂ©ritable repentant.

      Soucieux d'intĂ©gritĂ©, Pierre fit solennellement appel Ă  Christ, Celui qui connait tout, mĂȘme les pensĂ©es secrĂštes du cƓur. Il est bĂ©nĂ©fique de voir nos chutes et nos erreurs nous pousser Ă  l’humilitĂ© et Ă  la vigilance. La vĂ©racitĂ© de notre amour envers le Seigneur doit ĂȘtre Ă©prouvĂ©e de temps en temps ; il nous appartient alors de rester sincĂšre avec nous-mĂȘmes, en adressant une priĂšre fervente Ă  Dieu, et en nous examinant, de façon Ă  voir si nous sommes capables de supporter cet examen.

      Personne ne peut ĂȘtre apte Ă  nourrir spirituellement les brebis et les agneaux de Christ s'il n'aime pas le bon Berger plus que tout. Quelle que soit la maniĂšre d’entrer dans l’au delĂ , un enfant de Dieu doit Le glorifier, lors de ce « passage » ; notre consĂ©cration ultime, n'est-elle pas de mourir pour le Seigneur, pour Sa Parole ?

      Actes 9

      Romains 8

      1 Corinthiens 16

      2 Corinthiens 4

      2 Corinthiens 5

      2 Corinthiens 8

      7 La foi est une « racine » ; comme il est impossible de plaire Ă  Dieu sans la foi, Heb 11:6, ceux qui abondent dans cette derniĂšre abonderont de mĂȘme, en misĂ©ricorde et en toute bonne Ɠuvre ; cela produira du fruit et se rĂ©vĂ©lera automatiquement par l'amour qui en Ă©mane.

      Les personnes douĂ©es d’une grande Ă©loquence ne sont pas toujours celles qui Ɠuvrent le mieux ; les Corinthiens s’appliquaient Ă  cultiver leur savoir, comme Ă  prononcer de belles paroles. À ceci, l'apĂŽtre dĂ©sire qu'ils ajoutent Ă©galement cette grĂące : abonder en charitĂ© envers les pauvres.

      Les meilleures facettes des devoirs chrĂ©tiens, proviennent de la GrĂące et de l'Amour de Christ : malgrĂ© Sa grandeur, Ă©tant Dieu Lui-mĂȘme, Ă©gal en pouvoir et en gloire avec le PĂšre, Il est venu Ă  nous en tant que simple ĂȘtre humain, bien plus, Il a demeurĂ© dans la pauvretĂ©. En fin de compte, Il s'est dĂ©pouillĂ© Lui-mĂȘme, pour se donner en rançon, au bĂ©nĂ©fice de nos Ăąmes, par Son sacrifice Ă  la croix.

      De quel niveau de gloire, Seigneur béni, es-Tu descendu, pour atteindre un tel état de pauvreté, pour nous ! Et quelle richesse nous as-Tu fait partager, à travers Ta pauvreté, ici-bas ! Nous éprouvons vraiment un grand bonheur, en étant totalement voués à Ton service !

      Galates 5

      13 L'Évangile est une « doctrine » conforme Ă  la piĂ©tĂ©, 1Ti 6:3 ; Il est si opposĂ© Ă  la tolĂ©rance du moindre pĂ©chĂ©, qu'Il nous exhorte expressĂ©ment Ă  Ă©viter toute dĂ©rive en ce domaine et Ă  en rester maĂźtre.

      L'apĂŽtre insiste sur le fait que toute la loi est accomplie par l’obĂ©issance Ă  cette seule directive : « tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme ». Si des chrĂ©tiens, qui normalement, doivent s'entre-aider et se rĂ©jouir mutuellement dans le Seigneur, se querellent, ils ne peuvent s’attendre qu’à voir le Dieu d'amour et le Saint-Esprit quitter leur cƓur, et ĂȘtre remplacĂ©s par de vaines pensĂ©es, qui ne les mĂšneront qu’à leur destruction.

      Quel bonheur, si les chrĂ©tiens, au lieu de se quereller mutuellement, sous des prĂ©textes d'opinions diffĂ©rentes, pouvaient « s'associer » contre le pĂ©chĂ© qui rĂ©side en eux-mĂȘmes et dans les communautĂ©s qu’ils reprĂ©sentent !

      Ephésiens 5

      1 Thessaloniciens 4

      9 Nous devons distinguer chez les autres, leurs bons cĂŽtĂ©s, dignes d’ĂȘtre honorĂ©s, pour que nous puissions les exhorter Ă  y abonder de plus en plus.

      Tous ceux qui suivent les prĂ©ceptes divins doivent s'aimer les uns les autres. L'enseignement de l'Esprit surpasse celui des hommes ; ce dernier est souvent vain et inutile, s’il n'est pas « cadré » par celui de Dieu.

      Ceux qui abondent dans la GrĂące, ont toujours besoin de La faire croĂźtre et de persĂ©vĂ©rer ainsi jusqu'Ă  la fin. Il est trĂšs dĂ©sirable de possĂ©der un tempĂ©rament calme et serein, d'avoir un comportement doux et paisible. Le but de Satan est de nous dĂ©stabiliser et nous avons, par nature, toutes les prĂ©dispositions pour ĂȘtre inquiets ; attachons-nous donc Ă  rester sereins en toutes occasions !

      Ceux qui sont toujours agitĂ©s et qui s’occupent sans cesse des affaires des autres, ont finalement peu de paix au cƓur ; ils causent bien souvent de grands problĂšmes Ă  leur prochain. Ils suivent rarement l'exhortation donnĂ©e dans ce texte : ĂȘtre appliquĂ©s dans l’exercice de leur devoir et travailler de leurs propres mains.

      Le christianisme n’est pas incompatible avec le travail ni avec l’exercice de notre devoir, il nous apprend Ă  nous appliquer dans ce sens. Les dĂ©chĂ©ances des civilisations sont souvent dues Ă  l’oisivetĂ©, elles sont responsables de nombreux dĂ©sordres ; ceux, par contre, qui sont appliquĂ©s, dans l’exercice de leur devoir, gagnent leur propre pain, en Ă©prouvant ainsi un rĂ©el bonheur !

      HĂ©breux 2

      14 Il existe des anges dĂ©chus, qui restent sans espĂ©rance, ni aide. Christ n'a jamais Ă©tĂ© dĂ©signĂ© pour ĂȘtre le Sauveur de tels ĂȘtres, donc n'a pas revĂȘtu leur nature ; cette derniĂšre ne peut pas servir de sacrifice d'expiation pour le pĂ©chĂ© de l'homme.

      Un prix a Ă©tĂ© payĂ© Ă  la croix, suffisant et convenant pour tous : Christ a en effet revĂȘtu notre propre nature. Ceci rĂ©vĂšle l'amour merveilleux de Dieu, car lorsque Christ a su qu'Il devait souffrir ici-bas Ă  la croix, Il s’est soumis dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă  la volontĂ© du PĂšre car cette expiation traçait un chemin pour la dĂ©livrance de Son peuple, qui par la foi, allait ĂȘtre dĂ©livrĂ© de l'esclavage de Satan, et ĂȘtre pardonnĂ© de ses pĂ©chĂ©s.

      Que ceux qui redoutent la mort, et luttent pour surmonter leurs terreurs, ne tentent pas davantage de les vaincre ni de les Ă©touffer ; que la dĂ©tresse qu’ils peuvent Ă©prouver ne les rende pas insouciants ni mĂ©chants. Qu'ils n'attendent pas de l'aide du monde, mais qu'ils cherchent le pardon, la Paix, la GrĂące, et une espĂ©rance vivante du ciel, par la foi en Celui qui est mort et ressuscitĂ©, de façon Ă  ne pas succomber aux craintes de la mort.

      Christ, en se souvenant de Ses propres souffrances et de Ses tentations, reste attentif aux Ă©preuves de son peuple, qu'Il est prĂȘt Ă  aider. Il est Ă  mĂȘme de secourir ceux qui sont tentĂ©s, et qui Le cherchent. Il est devenu homme, et a Ă©tĂ© tentĂ©, afin d’ĂȘtre apte Ă  secourir Son peuple, Ă©tant Lui-mĂȘme passĂ© Ă  travers les mĂȘmes tentations, sans toutefois donner prise au pĂ©chĂ©.

      Que l'affligĂ© et celui qui est tentĂ© ne se dĂ©couragent pas, ni ne laissent de prise Ă  Satan ; les diverses tentations ne peuvent les empĂȘcher de venir au Seigneur, par la priĂšre. Nulle Ăąme n'a jamais pĂ©ri sous la tentation, surtout lorsqu'elle a criĂ© au Seigneur avec foi, dans l'attente d'une dĂ©livrance.

      Lorsque nous sommes surpris par la tentation, il est sage de vouloir arrĂȘter sa progression...

      HĂ©breux 6

      1 Pierre 1

      1 Jean 3

      16 Nous trouvons dans ce texte toute l’indulgence, le miracle et le mystĂšre de l'Amour divin : Dieu, en Son Fils JĂ©sus-Christ dĂ©sire racheter l'Ă©glise par Son propre sang.

      Il est certain que nous devons tĂ©moigner de l’amour envers ceux que Dieu a aimĂ©s, et mĂȘme tant aimĂ©s. Le Saint-Esprit, attristĂ© par l'Ă©gocentrisme de chacun, laissera un cƓur Ă©goĂŻste sans consolation, rempli de tĂ©nĂšbres et de terreur...

      Par quel moyen peut-on savoir qu'un homme distingue toute l’ampleur de l'Amour de Christ (rĂ©vĂ©lĂ© par le Saint-Esprit) envers les pĂ©cheurs qui pĂ©rissent, si l'attrait du monde surpasse sa compassion envers un frĂšre en pĂ©ril ? Chaque exemple d’un tel Ă©goĂŻsme doit contredire les preuves de la conversion d'un homme ; on doit tout entreprendre pour lutter contre un tel sentiment.

      Si notre conscience nous interpelle, face au pĂ©chĂ© ou Ă  une nĂ©gligence que nous avons pu commettre, Dieu nous le rappelle Ă©galement. Que les avertissements que nous adresse notre conscience puissent ĂȘtre bien perçus, et aussitĂŽt pris en compte !

      1 Jean 4

      7 L'Esprit de Dieu est l'Esprit de l’amour. Celui qui ne connaĂźt pas Dieu, descendu chez les Siens, ne peut connaĂźtre le salut qu’Il offre en Son Fils JĂ©sus-Christ. Dieu en effet, par Sa nature, est bon, et dĂ©sire accorder le bonheur Ă  Ses enfants. La banniĂšre de Dieu c’est l’amour ; tous pourraient ĂȘtre parfaitement heureux, s’ils obĂ©issaient vraiment Ă  Ses prĂ©ceptes !

      Tout ce qu’annonce l'Évangile, au sujet du pardon du pĂ©chĂ© et du salut, conformĂ©ment Ă  la gloire et Ă  la justice de Dieu, montre que ce Dernier est amour. Les tĂ©nĂšbres, avec tous leurs mystĂšres, sont hĂ©las jointes Ă  beaucoup de choses ici-bas...

      Dieu a montrĂ© qu'Il est amour, que nous ne pouvons pas manquer le bonheur Ă©ternel qu’Il propose, sauf par incrĂ©dulitĂ© et impĂ©nitence, alors qu'une justice impitoyable nous aurait condamnĂ©s Ă  une misĂšre dĂ©sespĂ©rĂ©e, par refus de la loi de notre CrĂ©ateur.

      Nulle parole, ni pensĂ©e, ne peut nous justifier, face Ă  l'amour gratuit et Ă©tonnant d'un Dieu saint, envers les pĂ©cheurs ; Dieu, dont le manque d'esprit de vengeance a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© par le salut qu’Il offre en Son Fils, pouvait trĂšs bien, par Sa toute-puissante, crĂ©er un autre monde, avec des ĂȘtres parfaits...

      Recherchons-nous comment bĂ©nĂ©ficier d’un tel univers entier d’Amour, dans ses manifestations les plus merveilleuses ? Cet Amour rĂ©side dans la Personne et la croix de Christ. Un lien d'amour rĂ©el existe-t-il entre Dieu et les pĂ©cheurs ? En fait, nous n’avons pas aimĂ© Dieu en premier, mais c’est Lui qui nous a d’abord aimĂ©s. Son amour ne peut ĂȘtre conçu comme infructueux envers nous ; quand il conduit le pĂ©cheur au salut, le but final et parfait est atteint.

      La foi est parachevĂ©e par les Ɠuvres de Dieu. Il est manifeste que Dieu demeure en nous par son Esprit de rĂ©gĂ©nĂ©ration. Un chrĂ©tien qui aime est un chrĂ©tien parfait ; qui s'attache Ă  exercer tout son devoir, Ă  la perfection.

      L'amour « lubrifie les rouages » des affections et dispose tout en faveur du bien des frĂšres en Christ. Un homme qui vaque Ă  ses affaires avec une mauvaise volontĂ©, accomplira toujours un travail mĂ©diocre... « Que Dieu demeure en nous, et nous en Lui ; » ces faits peuvent paraĂźtre vraiment inaccessibles pour les mortels que nous sommes, Ă  moins que Dieu ne les ait placĂ©s en notre cƓur. Comment le PĂšre peut-Il ĂȘtre vĂ©ritablement reconnu ? Par le tĂ©moignage qui procĂšde du Saint-Esprit ! Ceux qui sont vraiment persuadĂ©s qu’ils sont des enfants de Dieu, ne peuvent que l'appeler « Abba », PĂšre. Par amour pour Lui, ils dĂ©testent le pĂ©chĂ© et tout ce qui est en dĂ©saccord avec Sa sainte VolontĂ©, qu’ils ne dĂ©sirent qu’accomplir.

      Un tel témoignage est celui du Saint-Esprit !

      1 Jean 5

      1

      L'amour fraternel est le résultat de la nouvelle naissance, il rend agréable, l'obéissance à tous les commandements de Dieu. (1 Jean 5:1-5)
      Référence aux témoins, unis pour attester que Jésus, le Fils de Dieu, est le véritable Messie. (1 Jean 5:6-8)
      La satisfaction que le croyant éprouve au sujet de Christ, à la vie éternelle dont il bénéficie en Lui. (1 Jean 5:9-12)
      L'assurance que Dieu écoute et répond à la priÚre. (1 Jean 5:13-17)
      La condition heureuse des véritables croyants, et une exhortation à renoncer à toute idolùtrie. (1 Jean 5:18-21)

      L’amour vĂ©ritable envers les enfants de Dieu se distingue de l’affection naturelle ou de certaines estimes, car il est uni Ă  l'amour de Dieu et associĂ© Ă  l'obĂ©issance Ă  Ses commandements.

      Le Saint-Esprit qui professe l'amour fraternel, enseigne également l'obéissance ; celui qui, par habitude, commet le péché ou néglige la pratique de ses devoirs, ne peut pas aimer véritablement les enfants de Dieu.

      Du fait que les commandements de Dieu sont justes et saints, Ă©tant Ă©galement de bonnes « rĂšgles Ă  observer » pour la libertĂ© et la joie spirituelle, ceux qui sont « nĂ©s de nouveau » et qui les aiment, ne les trouvent pas pĂ©nibles, regrettant toutefois de ne pas pouvoir mieux servir le Seigneur. Être au service de Dieu exige le dĂ©sintĂ©ressement de soi ; les vĂ©ritables chrĂ©tiens appliquent des principes qui leur font surmonter l’épreuve. Bien que cette derniĂšre soit parfois Ă  l’origine d’un conflit intĂ©rieur acerbe, et que l’enfant de Dieu rĂ©gĂ©nĂ©rĂ© puisse chuter, il se relĂšvera et renouvellera son combat avec rĂ©solution.

      Tous, exceptĂ©s les croyants, sont asservis, d'une maniĂšre ou d'une autre, aux diverses coutumes, opinions, ou intĂ©rĂȘts de ce monde. La foi est Ă  l’origine de la victoire contre le monde, elle constitue le moyen, l'instrument, l'armure spirituelle par laquelle nous sommes vainqueurs. Dans la foi et par la foi, nous sommes unis Ă  Christ, dans le mĂ©pris des vains attraits de ce monde. La foi sanctifie le cƓur, et le purifie des convoitises sensuelles par lesquelles le monde attire les Ăąmes et domine sur elles.

      L’homme dans lequel demeure l'Esprit de GrĂące est plus grand que celui qui n’est attirĂ© que par le monde. Le vĂ©ritable chrĂ©tien est vainqueur du monde, par la foi ; il voit, par les diffĂ©rents exemples de la conduite du Seigneur JĂ©sus ici-bas, qu'il faut renoncer Ă  ce monde et qu'il faut chercher Ă  le vaincre. Un enfant de Dieu ne peut pas se satisfaire du monde, mais il regarde au-delĂ , ne cherchant qu’à accĂ©der au ciel. Nous devons tous, selon l'exemple de Christ, vaincre le monde, ou bien c'est ce dernier qui nous mĂšnera Ă  la ruine...

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