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Jacob dit : « Mon fils ne descendra pas avec vous, car son frère est mort et il ne reste que lui. S'il lui arrivait un malheur pendant le voyage que vous allez faire, vous feriez descendre avec douleur mes cheveux blancs dans le séjour des morts. »
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Si vous me prenez encore celui-ci et qu'il lui arrive un malheur, vous ferez descendre avec douleur mes cheveux blancs dans le séjour des morts.’
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il mourra en voyant qu’il n'est pas là. Quant à tes serviteurs, ils feraient descendre avec douleur les cheveux blancs de ton serviteur notre père dans le séjour des morts.
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Ce furent 40 jours qui passèrent ainsi et furent employés à l'embaumer. Les Egyptiens le pleurèrent 70 jours.
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Quand les jours de deuil furent passés, Joseph s'adressa aux membres de l’entourage du pharaon en disant : « Si j'ai trouvé grâce à vos yeux, rapportez au pharaon ce que je vous dis.
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Mon père m'a fait prêter serment en disant : ‘Je vais mourir. Tu m'enterreras dans le tombeau que je me suis préparé dans le pays de Canaan.’Je voudrais donc monter là-bas pour enterrer mon père et revenir. »
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Le pharaon répondit : « Montes-y et enterre ton père conformément au serment qu’il t’a fait faire. »
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Joseph monta enterrer son père. Il fut accompagné de tous les serviteurs du pharaon, des responsables du palais, de tous les responsables de l'Egypte,
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de tout son propre entourage, de ses frères et de la famille de son père. On ne laissa dans la région de Gosen que les enfants ainsi que le petit et le gros bétail.
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Il y avait encore avec Joseph des chars et des cavaliers, de sorte que le cortège était très nombreux.
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Arrivés à l'aire de battage d'Athad qui se trouve de l'autre côté du Jourdain, ils firent entendre de grandes et très profondes lamentations. Joseph fit un deuil de sept jours en l'honneur de son père.
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» Tu te lèveras devant la personne aux cheveux blancs et tu traiteras le vieillard avec honneur. Tu craindras ton Dieu. Je suis l'Eternel.
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Il y a parmi nous des hommes aux cheveux blancs, des vieillards plus riches de jours que ton père.
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» Qu’ai-je à espérer ? Le séjour des morts sera mon domicile, c'est dans les ténèbres que je prépare mon lit.
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En effet, je le sais, c’est à la mort que tu me conduis, au rendez-vous de tous les êtres vivants.
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Ils ne vivront pas toujours, ils n’éviteront pas la tombe,
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car ils le verront bien : les sages meurent, l’homme stupide et l’idiot disparaissent aussi, et ils laissent leurs biens à d’autres.
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Ils s’imaginent que leurs maisons seront éternelles, que leurs résidences dureront toujours, eux qui avaient donné leur propre nom à leurs terres.
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Mais l’homme qui est honoré ne dure pas : il ressemble aux bêtes qu’on extermine.
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Telle est leur voie, telle est leur folie, et ceux qui les suivent se plaisent à leurs discours. – Pause.
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Ne m’abandonne pas, ô Dieu, malgré ma vieillesse et mes cheveux blancs, afin que j’annonce ta force à la génération présente, ta puissance à tous ceux qui viendront !
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Les cheveux blancs sont une couronne d'honneur : c'est sur le chemin de la justice qu'on la trouve.
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La force est la gloire des jeunes gens, et les cheveux blancs sont l'ornement des vieillards.
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Tout ce que tu trouves à faire, fais-le avec la force que tu as, car il n'y a ni activité, ni réflexion, ni connaissance, ni sagesse dans le séjour des morts, là où tu vas.
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C’est l’époque où l'on redoute ce qui est haut, où l'on a des terreurs en chemin, où l'amandier fleurit, où la sauterelle devient lourde et où la câpre n'a plus d'effet, car l'homme s'en va vers son habitation éternelle et les pleureurs parcourent les rues.
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Jusqu'à votre vieillesse je serai le même, jusqu'à vos cheveux blancs je vous soutiendrai. Comme je l'ai déjà fait, je veux encore vous porter, vous soutenir et vous préserver.
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La parole de l'Eternel m’a été adressée : « Que vois-tu, Jérémie ? » J’ai répondu : « Je vois une branche d'amandier. »
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« Qu'elles se dépêchent de se lamenter sur nous ! Que nos yeux versent des larmes et que de nos paupières coule de l'eau !
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En effet, le cri d’une lamentation se fait entendre de Sion : ‘Ah ! nous voici décimés, nous sommes couverts de honte parce que nous avons abandonné le pays, parce qu’ils ont démoli nos habitations !’
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» Oui, femmes, écoutez la parole de l'Eternel ! Que votre oreille fasse bon accueil à la parole qui sort de sa bouche ! Enseignez à vos filles à se lamenter, enseignez-vous des complaintes les unes aux autres :
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‘Oui, la mort est montée par nos fenêtres, elle a pénétré dans nos palais, elle fauche les enfants dans la rue, les jeunes gens sur les places.’ »
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Ils arrivèrent à la maison du chef de la synagogue où Jésus vit du tumulte, des gens qui pleuraient et poussaient de grands cris.
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Il entra et leur dit : « Pourquoi faites-vous ce tumulte et pourquoi pleurez-vous ? L'enfant n'est pas morte, mais elle dort. »
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Il est réservé aux êtres humains de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement.
5 à 7 Affaiblissement physique du vieillard, dont les membres, les uns après les autres, deviennent impropres à leur destination naturelle. Le corps est comparé à une maison (Job 4.19 ; 2Corinthiens 5.1 et suivants) dont le service commence à laisser à désirer et dont les diverses parties menacent ruine.
Les gardiens : les bras et les mains, qui servent à détourner de la personne ce qui pourrait lui nuire et à lui procurer ce dont elle a besoin.
Les hommes forts : les jambes, colonnes qui supportent tout l'édifice.
Les meunières : les dents. Nous parlons aussi de dents molaires ; l'auteur dit : meunières, et non pas meuniers, parce que le soin de moudre le grain incombait le plus souvent aux femmes (Exode 11.5 ; Job 31.10 ; Esaïe 47.2 ; Matthieu 24.41 ; Luc 17.35). Ajoutons qu'il n'y avait pas de moulins publics, en sorte que l'Ecclésiaste peut mentionner ce travail comme faisant partie des occupations ordinaires de chaque ménage.
Celles qui regardent par les fenêtres : les yeux par lesquels l'âme contemple le monde extérieur. Ce mot est en hébreu du genre féminin. Les paupières, avec leurs cils, sont comme les fenêtres, ou, plus exactement, les treillis à travers lesquels on regarde.
Se voilent : manière très poétique d'indiquer le déclin de la vue.