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Esaïe 41.8


Écoute, Israël, mon serviteur, peuple de Jacob que j’ai choisi, race de mon ami Abraham ;
Mais toi, Israël, tu es mon serviteur. Jacob, tu es celui que j'ai choisi, le descendant de mon ami Abraham.
Mais toi, Israël, mon serviteur ; toi Jacob, que j'ai élu ; race d'Abraham, qui m'a aimé ;
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      Exode 19

      Lévitique 25

      Deutéronome 7

      Deutéronome 10

      Deutéronome 14

      2 Chroniques 20

      Psaumes 33

      12 Toutes les initiatives et les opérations que les hommes pensent bien maîtriser, sont en réalité beaucoup mieux contrôlées par Dieu. Leur cœur, aussi bien que leur temps, sont dans Sa main ; Il forme l'esprit de chaque homme en lui-même. Toutes les forces de Sa créature sont sous Sa dépendance, Lui sont dues, et ne sont pas disponibles sans Lui. Si nous sommes certains d'avoir l'aval de Dieu dans nos entreprises, nous n'avons pas à craindre quoi que ce soit. Nous devons Lui rendre gloire pour toute Sa grâce. Tous les moyens que l'homme propose pour sauver son âme sont vains ; mais l'œil vigilant du Seigneur est sur ceux qui craignent vraiment Son nom, pour ceux qui espèrent en Sa grâce. Dans les difficultés, ils seront aidés ; dans les dangers, ils ne seront pas touchés.

      Ceux qui craignent Dieu et Sa colère doivent espérer en Lui, en Sa miséricorde ; il ne faut pas s'éloigner de Lui mais au contraire aller vers Lui. Que Ta miséricorde, Seigneur, repose sur nous ; puissions-nous recevoir le réconfort et tout le bénéfice de Ta personne, non pas par nos propres mérites, mais selon la promesse que Tu nous as faite par ta Parole, selon la foi que tu as façonnée en nous par Ton Esprit et par Ta grâce.

      Psaumes 105

      Psaumes 135

      Esaïe 29

      Esaïe 41

      Esaïe 43

      1

      L'amour immuable de Dieu, envers Son peuple. (Esaïe 43:1-7)
      Les idolâtres et les apostats sont dénoncés. (Esaïe 43:8-13)
      La délivrance de Babylone, et la conversion des Gentils. (Esaïe 43:14-21)
      Avertissement à se repentir du péché. (Esaïe 43:22-28)

      La faveur et les bonnes résolutions de l'Éternel envers Son peuple sont de précieux réconforts pour tous les croyants. Toute âme spirituellement régénérée, « n'existe » que grâce à Dieu. Tous ceux qui sont rachetés par le sang de Son Fils, sont « mis à part ». Ceux qui sont sous le bénéfice de la faveur divine n'on aucune raison de craindre qui ou quoi que ce soit.

      Que peuvent représenter tous les délices et tous les trésors égyptiens et éthiopiens, comparés au sang de Christ ? Les véritables croyants sont précieux aux yeux de Dieu ; Son plaisir est en eux, plus qu'en importe quelle autre personne. Bien que les Siens puissent traverser moult épreuves, ils ne craignent, malgré tout, aucun mal, sachant que Dieu est avec eux ; pour cela, ils doivent être « nés de nouveau », « mis à part ». L'Éternel sauve les âmes des « quatre coins » de la terre.

      Le prophète, devant cette vision merveilleuse, est de nouveau encouragé, étant prêt à faire face à toute crainte ou anxiété.

      Esaïe 44

      1

      Promesses relatives à l'influence du Saint-Esprit. (Esaïe 44:1-8)
      Exposé sur les folies de l'idolâtrie. (Esaïe 44:9-20)
      Délivrance du peuple de Dieu. (Esaïe 44:21-28)

      Israël est appelé ici Jeshurun, (Verset Esaïe 44:2, version Darby*), ce qui signifie « bien-aimé, celui qui se tient droit ». Tel est vraiment le caractère des Israélites, en qui l'on ne trouve aucune perfidie.

      Ceux qui servent Dieu font partie de Son peuple. Il les aidera dans leurs difficultés, et dans l'exercice de leur devoir.

      L'eau est l'emblème du Saint-Esprit ; de même que l'eau régénère, nettoie, et fait fructifier le grain, l'Esprit agit de manière similaire envers l'âme. Ce don du Saint-Esprit est une grande grâce, que l'Éternel avait prévu de répandre aux « derniers jours ». Quand Dieu répand Son Esprit, Il accorde, en fait, toutes sortes de bénédictions. La naissance et la croissance de l'église en sont un exemple ; ses serviteurs répandent la bonne nouvelle jusqu'aux confins les plus éloignés de la terre.

      Peut-on trouver ailleurs, un tel Rocher, ou un tel Protecteur, qui puisse défendre ainsi les siens ? Personne d'autre n'est capable, comme Dieu, par l'intermédiaire de Ses prophètes, de prévoir ainsi, les évènements futurs. Tout s'est exactement déroulé conformément aux prédictions de l'Éternel, selon Ses desseins.

      Qui pourrait en faire autant ? Qui peut oser rivaliser avec le Libérateur et le Roi d'Israël ?

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      21 « Reviens à moi ». Face à de tels propos, ceux qui récidivent dans leur péché contre Dieu ne peuvent qu'être inquiets : tel était le cas des Juifs de l'époque de rédaction, de ce texte, qui tentaient, néanmoins avec ferveur, de se rapprocher de l'Éternel.

      Par notre Rédemption en Christ, nous ne pouvons qu'être encouragés à jouir de toutes sortes de bénédictions de Sa part. Nos transgressions et nos péchés sont comme d'épais nuages qui séparent le ciel de la terre : ils nous séparent de Dieu ; ils ne peuvent engendrer qu'un orage de colère divine. Quand Dieu pardonne le péché, Il « nettoie », Il dissipe ces nuages épais, de sorte que le chemin vers le ciel devient libre de nouveau. Cette nébulosité se trouve dispersée par le soleil de la Grâce ; elle disparaît totalement. Quand le péché est pardonné, l'âme réconfortée, est semblable au ciel qui s'éclaircit, après le passage des nuages et de la pluie.

      Israël ne devait pas se décourager ; rien n'est insurmontable pour Dieu : après avoir tant accompli pour Son peuple, Il pouvait très bien agir en faveur des Siens, selon Sa volonté.

      Ceux qui apprennent à découvrir vraiment le Seigneur, peuvent rapidement savoir comment éviter de suivre les voies du péché, au profit de leur connaissance du Maître. Les ennemis de Christ seront confondus, face à leurs erreurs, et à leurs différentes ruses.

      Le parfait accomplissement des prophéties de l'Écriture, confirme la véracité de son ensemble, et démontre son origine divine. Les bénédictions particulières de l'Éternel, prévues en faveur de Son peuple, malgré sa captivité à Babylone, étaient prévues dans ce texte, bien avant qu'il soit entré sous cette servitude. Les enfants d'Israël allaient rencontrer de grandes difficultés, lors de leur libération ; mais il leur était promis que par la Puissance divine, ils devaient tous être délivrés.

      L'Éternel s'est révélé comme le Libérateur de Son peuple ; que les Siens et l'église puissent vraiment connaître Celui qui leur parle, afin qu'ils puissent bénéficier de la Rédemption qui leur est offerte, en Christ !

      Il n'y a rien de plus honorable pour un personnage important, tel Cyrus, qu'être « l'instrument » de la Faveur divine, à l'égard des enfants d'Israël. Dans de telles circonstances, quand les hommes sont au service de leur prochain, sans chercher leur propre intérêt, ils sont conduits par Dieu pour accomplir tous Ses desseins, selon Son bon plaisir.

      Le bon Berger, infiniment plus noble que Cyrus, fait également la volonté de Son Père, jusqu'à ce que toutes les œuvres de ce Dernier soient accomplies !

      Esaïe 48

      Esaïe 49

      Esaïe 51

      Esaïe 63

      Jérémie 33

      Matthieu 3

      Jean 8

      37 Notre Seigneur s'opposa à l'orgueil de ces Juifs et à leur vaine confiance en leur soi-disant appartenance à la descendance d'Abraham : cela ne pouvait être bénéfique à ceux dont l'esprit était contraire à celui du patriarche.

      Quand la Parole de Dieu est absente, on ne doit s'attendre à recevoir aucun bienfait : dans le cœur, toute la place est libre pour la méchanceté. Une personne malade, revenant de chez son médecin et ne voulant prendre ni remèdes, ni nourriture, ne peut espérer la guérison. La Vérité guérit et nourrit le cœur de ceux qui la reçoivent. La « pseudo vérité », enseignée par les philosophes, n'a pas ce pouvoir ni cet effet ; la seule qui soit efficace est Celle qui provient de Dieu !

      Ceux qui se réclament de la descendance d'Abraham, doivent pratiquer les œuvres de ce dernier ; ils ne doivent être que des « étrangers » séjournant ici-bas ; ils doivent sans cesse adorer Dieu au sein de leur famille, et marcher continuellement avec le Seigneur !

      41 Satan incite les hommes à commettre des excès qui finissent par leur nuire gravement, à eux-mêmes et aux autres : tout ce qu’il accomplit dans l'esprit de l’homme tend à ruiner son âme.

      Le diable est le grand « promoteur » du mensonge en tous genres. C'est un menteur, toutes les tentations qu’il envoie sont fondées sur le fait qu'il appelle le mal, « bien », et le bien, « mal », ainsi que sur sa fausse promesse de liberté dans le péché. Il est l'auteur de tous les mensonges, celui à qui les menteurs ressemblent et obéissent, et avec qui ils auront leur part pour l'éternité.

      Les « spécialités du diable » sont la méchanceté spirituelle, la convoitise de l'esprit, les raisonnements corrompus, l’orgueil et l'envie, le courroux et la malice, l'inimitié envers le bien, et le pouvoir de pousser les autres à la faute.

      Dans le terme « Vérité », il faut comprendre la volonté de Dieu, révélée aux hommes, pour leur salut en Jésus-Christ ; c’est cette Vérité que Christ prêchait, et à laquelle les Juifs s'opposaient...

      Jean 15

      Romains 4

      13 La promesse que Dieu fit à Abraham, au sujet de sa postérité, fut faite au patriarche longtemps avant l’établissement de la loi. Cette promesse « pointe » sur Christ, de manière prophétique, elle se réfère au texte de Ge 12:3 : « Toutes les familles de la terre seront bénies en toi ».

      La colère divine est corollaire à la loi, puisque cette dernière montre que chaque transgresseur est exposé au mécontentement divin. Dieu ayant voulu donner aux hommes l'accès aux bénédictions promises, a déterminé que ce serait seulement pour les croyants, par pure Grâce, afin que cette promesse soit certaine pour tous ceux qui avaient la même foi qu'Abraham, qu'ils soient Juifs ou Gentils, en tous temps.

      La justification et le salut des pécheurs, accordés aux Gentils, qui ne formaient pas en fait un « peuple élu », sont des manifestations pleines de Grâce, « qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles l’étaient », Genèse 4:17*. En constatant une existence aux choses qui n'étaient pas, nous avons là une preuve du Pouvoir tout-puissant de Dieu.

      Ce texte nous rappelle la nature et la puissance de la foi d'Abraham. Il a cru au témoignage de Dieu, et a cherché la réalisation de Sa promesse, espérant fermement alors que tout paraissait impossible. La faiblesse de la foi fait trébucher l’homme devant les difficultés d’accomplissement d'une promesse. Abraham prit l’engagement divin à la lettre, engagement qui n'admettait ni discussion, ni débat.

      L'incrédulité est à la base de tous nos doutes, face aux promesses divines. La force de la foi se manifeste dans sa victoire sur les craintes. Dieu honore la foi, cette dernière L’honorant !

      La foi a été imputée à justice à Abraham. C’est une grâce qui rend plus que tout, gloire à Dieu. Elle est clairement le moyen par lequel nous recevons la Justice divine et la rédemption en Jésus-Christ ; elle est « l'instrument » par lequel nous prenons ou nous recevons spirituellement, elle n’est pas un don.

      La foi d'Abraham ne l'a pas justifié devant Dieu suivant son propre mérite ou sa valeur, mais en lui donnant une « part » en Jésus-Christ.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Romains 9

      6 Le rejet de l'Évangile par les Juifs, n'a pas empêché l’accomplissement de la promesse que Dieu a faite aux patriarches, au sujet de leur descendance.

      Les promesses de Dieu s’accomplissent toujours, comme d’ailleurs les manifestations de Sa colère, lorsqu’on méprise Ses avertissements. La Grâce ne se manifeste jamais dans la terreur ni le sang et on constate d’ailleurs, les bénédictions que peut apporter le salut, dans le cadre de l'église.

      On peut constater que certains descendants d’Abraham furent choisis par Dieu, alors que d'autres ne l'ont pas été : le Seigneur a œuvré selon Sa propre Volonté. Dieu avait prévu qu’Ésaü et Jacob devaient naître dans le péché, et qu’ils méritaient, par nature, de subir Sa colère, comme tout autre. S’ils avaient été livrés à eux-mêmes, ils auraient continué à vivre dans l’iniquité, tout au long de leur existence ; mais pour de sages et saintes raisons, (qui nous échappent d’ailleurs), Dieu a résolu de changer le cœur de Jacob, et de laisser Ésaü dans sa perversité. Cet exemple d'Ésaü et de Jacob fait la lumière sur la conduite divine envers la race humaine, qui a chuté.

      Toute l'Écriture montre la différence entre celui qui professe, être chrétien sans réelle conviction, et celui qui l’est véritablement. Beaucoup de bénédictions sont octroyées par le ciel à des personnes qui ne veulent pas connaître Dieu. Il y a, cependant, un encouragement à jouir pleinement des bénéfices de la Grâce divine !

      Galates 3

      19 Si la promesse de la foi, mentionnée dans ce texte, est suffisante pour obtenir le salut, à quoi alors servait la loi ? Les Israélites, bien que peuple « élu » de Dieu, étaient pécheurs aussi bien que les autres hommes. La loi n'avait pas la prétention de faire découvrir un chemin de justification différent de celui qui était dévoilé par la promesse divine, mais de conduire les hommes à considérer quel était leur besoin, face à leur culpabilité du péché, en dirigeant leur regard vers Christ, le Seul grâce auquel ils peuvent être pardonnés et justifiés.

      La promesse du salut a été donnée par Dieu lui-même ; la loi a été donnée par le ministère des anges, et par un médiateur, Moïse. De ce fait, la loi ne peut pas être destinée à mettre de côté la promesse divine. Un médiateur, comme le signifie l’étymologie, est un ami qui intervient entre deux parties ; il ne doit pas favoriser l'une aux dépens de l’autre.

      Le but final de la loi résidait dans le fait que la promesse de la foi en Jésus-Christ puisse être accordée à ceux qui croient ; étant ainsi convaincus de leur culpabilité, et de l'insuffisance de la loi pour les justifier, ils sont ainsi persuadés de la nécessité de croire en Christ, dans le but d’obtenir les avantages de Sa promesse.

      Il n'est pas possible que la loi de Dieu, sainte et juste, le « standard du devoir pour tous », soit contraire à l'Évangile de Christ. Elle tend, de toutes les manières, à promouvoir ce dernier !

      Galates 4

      28 L'évènement historique retracé dans ce texte, relatif à Sara et Agar, sert désormais d’application : Paul annonce à ses frères dans la foi, qu’ils ne sont plus des enfants de la « femme esclave », mais de la « femme libre ».

      Les privilèges de tous les croyants de la nouvelle alliance sont si grands, qu’il serait vraiment absurde pour les « Gentils » qui se convertissent, de rester sous l’esclavage de la loi : cette dernière ne peut pas en effet délivrer les Juifs incrédules de la condamnation !

      Il ne fait aucun doute que nous n’aurions pu découvrir facilement l’histoire de Sara et d’Agar, si cela ne nous avait pas été révélé par le Saint-Esprit. Cela sert en effet à notre enseignement : les deux alliances, la loi et la Grâce, avec en « toile de fond », tout l’enseignement qui en résulte, sont ici manifestes !

      Les œuvres que peut accomplir un homme, avec les fruits qui en résultent, ne sont en fait que le résultat des commandements de la loi. Mais si ces œuvres sont accomplies avec la foi en Christ, elles le sont alors sous la doctrine de l’Évangile.

      L’esprit de la première alliance (la loi) réside en un esclavage, qui finit par mener au péché et à la mort. L’esprit de la deuxième alliance (l’Évangile) c’est la liberté ; non pas celle de pouvoir continuer à pratiquer l’iniquité, mais du devoir de s’en abstenir. La première alliance est un esprit de persécution ; la seconde, un esprit d'amour !

      Que ceux qui enseignent la Parole, n’imposent pas de telles servitudes sévères (la loi) envers le peuple de Dieu. Cependant, de même qu’Abraham se soit tourné vers Agar, il est également possible qu'un croyant puisse, sur certains points, se tourner vers la doctrine des œuvres, voulant, par son incrédulité et sa négligence de la promesse de l’Évangile, agir de ses propres forces ; on peut même constater certains accès de violence, et non d'amour, envers les frères... Ce n'est pas cependant un bon cheminement, qu’agir ainsi ; ce type de personne qui le pratique n'est alors jamais en paix, jusqu'à ce qu'elle se soumette de nouveau à sa dépendance à Christ.

      Reposons-nous sur les Écritures, basons notre espérance sur l'Évangile ; dans une joyeuse obéissance au Seigneur, montrons que notre espérance et notre trésor spirituel sont réellement dans le ciel !

      Jacques 2

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