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La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Ophir. Mentionné comme il l'est parmi les Joktanides, dont les limites sont indiquées au verset 30, ce pays ne peut être cherché qu'en Arabie. Il est vrai que d'autres données paraissent contredire cette manière de voir. D'après 1Rois 9.28 et 10.11-22, les flottes de Salomon, réunies à celles d'Hiram, roi de Tyr, entreprenaient des voyages de trois ans, pour aller chercher à Ophir de l'or, de l'argent, des pierres précieuses, de l'ivoire, du bois de santal, des singes et des paons.
Un voyage aussi long n'étant pas nécessaire pour atteindre l'Arabie, et les produits indiqués ne s'y trouvant pas tous, on a cherché Ophir dans des contrées plus éloignées ; quelques savants ont même pensé aux îles de la Sonde ou au Pérou. Les deux seuls pays en faveur desquels on ait donné des raisons valables sont l'Inde et la côte de Sofala en Afrique.
En faveur de l'Inde, on allègue que les objets rapportés par les flottes de Salomon proviennent en grande partie de ce pays, que leurs noms s'expliquent presque tous par le sanscrit et qu'enfin le nom de Soupara, mentionné par Ptolémée sur la côte de Malabar, et celui de Sophir, qui servait à désigner l'Inde chez les anciens Egyptiens, sont en rapport étroit avec le nom d'Ophir.
Pour la cote de Sofala, on ne peut guère invoquer que l'analogie assez éloignée du nom de cette contrée avec celui d'Ophir et le rapport d'un voyageur portugais, mentionnant dans ce pays une montagne d'Afura qui contenait des filons d'or. De plus, quelques-uns des produits cherchés au pays d'Ophir, l'ivoire et les singes en particulier, pouvaient certainement venir d'Afrique.
Mais le nom de Sofala est plutôt en rapport avec le mot schephéla, plaine maritime ; et les autres indices sont peu décisifs. Quant à l'Inde, ni la ressemblance des noms, ni les raisons tirées des produits du pays et de leurs noms, ne peuvent contrebalancer le sens clair de notre verset 30. Comme il y avait des relations très actives entre l'Inde et l'Arabie, les produits de la première pouvaient arriver par mer dans les ports de la seconde, et Ophir était sans doute l'un de ces ports servant d'entrepôts pour ce commerce. On comprend donc aisément que les produits de l'Inde fussent cherchés à Ophir.
Quant aux trois ans de traversée, on sait que la navigation était très lente chez les anciens. Au temps de Jérôme (5° siècle après JC), un navire employait encore six mois pour faire le trajet de l'isthme de Suez au détroit de Bab-el-Mandeb. A supposer donc, qu'un navire fût parti en juillet du port d'Ezion-Guéber, au fond de la mer Rouge, (c'était le moment le plus favorable pour s'embarquer sur cette mer), poussé par la mousson du Nord-Ouest, il arrivait à Ophir vers la fin de l'année. Là, il attendait les navires indiens, qui ne pouvaient arriver que vers la fin de juin, poussés par la mousson du Sud-Est, (de janvier à juin). Aussitôt, la mousson du Nord-Ouest recommençait à souffler, jusqu'en décembre, de sorte que ce n'est qu'en janvier de la troisième année qu'on pouvait se remettre en route, pour rentrer chez soi plus de six mois après.
Rien ne nous oblige donc à chercher Ophir en dehors de l'Arabie. Mais comme aucun nom analogue ne nous a été conservé, nous ne pouvons fixer exactement sa position.
Havila. Voir verset 7 et 2.11
Jobab est tout à fait inconnu.
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