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Jean 14.28

Vous avez entendu que je vous ai dit : ‘Je m'en vais et je reviens vers vous.’Si vous m'aimiez, vous vous rĂ©jouiriez de ce que je vais auprĂšs du PĂšre, car mon PĂšre est plus grand que moi.
Vous m’avez entendu dire que je pars, mais j’ai dit (aussi) que je reviendrai auprùs de vous. Si vous m’aimiez vraiment, vous seriez tout heureux de savoir que je retourne auprùs de mon Pùre, car le Pùre est bien plus grand que moi.
Vous avez entendu que je vous ai dit : ‘Je m'en vais et je reviens vers vous.’Si vous m'aimiez, vous vous rĂ©jouiriez de ce que je vais auprĂšs du PĂšre, car mon PĂšre est plus grand que moi.
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Ascension

Ascension : du latin ‘ascendere’ monter, s’élever L’ascension est un mot de ‘bon ton’ dans l’échelle sociale. Il fait rĂȘver. 


Lerdami .
Jean 14.1-31 Jean 14.1-31

Segond 21 Vous avez entendu que je vous ai dit : ‘Je m'en vais et je reviens vers vous.’Si vous m'aimiez, vous vous rĂ©jouiriez de ce que je vais auprĂšs du PĂšre, car mon PĂšre est plus grand que moi.

Segond 1910 Vous avez entendu que je vous ai dit : Je m'en vais, et je reviens vers vous. Si vous m'aimiez, vous vous réjouiriez de ce que je vais au PÚre ; car le PÚre est plus grand que moi.

Segond 1978 (Colombe) © Vous avez entendu que je vous ai dit : Je m’en vais et je reviendrai vers vous. Si vous m’aimiez, vous vous rĂ©jouiriez de ce que je vais vers le PĂšre, car le PĂšre est plus grand que moi.

Parole de Vie © Vous avez entendu, je vous ai dit : “Je m’en vais, mais je reviendrai auprĂšs de vous.” Est-ce que vous m’aimez vraiment ? Alors, soyez joyeux de savoir que je vais auprĂšs du PĂšre ! En effet, le PĂšre est plus important que moi.

Français Courant © Vous m’avez entendu dire : “Je m’en vais, mais je reviendrai auprĂšs de vous.” Si vous m’aimiez, vous vous rĂ©jouiriez de savoir que je vais auprĂšs du PĂšre, parce que le PĂšre est plus grand que moi.

Semeur © Vous m’avez entendu dire que je pars, mais aussi que je reviendrai auprĂšs de vous. Si vous m’aimiez, vous seriez heureux de savoir que je vais au PĂšre, car le PĂšre est plus grand que moi.

Parole Vivante © Vous m’avez entendu dire que je pars, mais j’ai dit (aussi) que je reviendrai auprĂšs de vous. Si vous m’aimiez vraiment, vous seriez tout heureux de savoir que je retourne auprĂšs de mon PĂšre, car le PĂšre est bien plus grand que moi.

Darby avez entendu que moi je vous ai dit : Je m'en vais, et je viens à vous. Si vous m'aviez aimé, vous vous seriez réjouis de ce que je m'en vais au PÚre, car mon PÚre est plus grand que moi.

Martin Vous avez entendu que je vous ai dit : je m'en vais, et je reviens à vous ; si vous m'aimiez, vous seriez certes joyeux de ce que j'ai dit : je m'en vais au PÚre : car le PÚre est plus grand que moi.

Ostervald Vous avez entendu que je vous ai dit : Je m'en vais, et je reviens à vous. Si vous m'aimiez, vous vous réjouiriez de ce que j'ai dit : Je vais au PÚre ; car mon PÚre est plus grand que moi.

HĂ©breu / Grec - Texte original © ጠÎșÎżÏÏƒÎ±Ï„Î” ᜅτÎč áŒÎłáœŒ Î”áŒ¶Ï€ÎżÎœ áœ‘ÎŒáż–ÎœÎ‡ áœ™Ï€ÎŹÎłÏ‰ Îșα᜶ áŒ”ÏÏ‡ÎżÎŒÎ±Îč πρ᜞ς ᜑΌ៶ς. Δጰ áŒ ÎłÎ±Ï€áŸ¶Ï„Î­ ΌΔ áŒÏ‡ÎŹÏÎ·Ï„Î” ጄΜ, ᜅτÎč Ï€ÎżÏÎ”ÏÎżÎŒÎ±Îč πρ᜞ς τ᜞Μ πατέρα, ᜅτÎč ᜁ πατᜎρ ÎŒÎ”ÎŻÎ¶Ï‰Îœ ÎŒÎżÏ ጐστÎčÎœ.

World English Bible You heard how I told you, 'I go away, and I come to you.' If you loved me, you would have rejoiced, because I said 'I am going to my Father;' for the Father is greater than I.

La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Les pauvres disciples n'avaient que trop bien entendu cette parole : je m'en vais, (versets 2,12) mais ils avaient moins bien saisi celle-ci : je reviens à vous ; (versets 3,18) de là leur tristesse et leur trouble.

C'est pourquoi JĂ©sus, plongeant un regard dans leur cƓur, voudrait leur faire sentir que leur amour pour lui devrait leur faire de son Ă©lĂ©vation auprĂšs du PĂšre un motif de joie. Ils prendraient part Ă  la joie qu'il Ă©prouve lui-mĂȘme de quitter ce monde de pĂ©chĂ© et de souffrance pour retourner auprĂšs du PĂšre et partager sa fĂ©licitĂ© et sa gloire.

C'est ici peut-ĂȘtre le seul passage des Ă©vangiles oĂč JĂ©sus pense Ă  lui-mĂȘme, et tire de son propre repos le motif d'une exhortation.

Mais "les mots : si vous m'aimiez, sont d'une exquise dĂ©licatesse. Par lĂ  JĂ©sus trouve le moyen de leur faire de la joie un devoir de tendresse. Il n'Ă©nonce pas ici l'idĂ©e de l'activitĂ© plus puissante dont cette Ă©lĂ©vation sera pour lui le moyen. (Jean 17.12) Il en appelle uniquement Ă  leur cƓur d'amis." Godet.

C'est ainsi Ă©galement que Tholuck, R. Stier, MM. Luthardt, Weiss et d'autres exĂ©gĂštes comprennent cette belle pensĂ©e. Ceux qui (de Wette, Meyer) pensent que JĂ©sus invite ses disciples Ă  considĂ©rer l'intĂ©rĂȘt qu'ils ont Ă  son Ă©lĂ©vation, qui lui permettra de leur assurer une protection plus puissante, (comparez Jean 16.7) ne tiennent pas compte de cette parole : si vous m'aimiez.

Parce que : il faut remarquer avant tout cette particule importante, car elle nous montre que Jésus, dans cette parole : le PÚre est plus grand que moi, donne simplement la raison pour laquelle ses disciples doivent se réjouir de son retour auprÚs de son PÚre.

En isolant cette dĂ©claration de son contexte, on l'a sollicitĂ©e en sens divers pour Ă©clairer par son moyen le mystĂšre des relations du Fils avec son PĂšre. Mais quel sujet de joie les disciples auraient-ils bien trouvĂ© dans une thĂ©orie abstraite Ă  laquelle ils n'auraient rien compris ? JĂ©sus s'exprime ainsi, en ayant conscience qu'il est le Fils de Dieu, celui qui "a reçu du PĂšre d'avoir la vie en lui-mĂȘme," (Jean 5.26) et en mĂȘme temps qu'il est "la Parole faite chair,"

Celui qui, "existant en forme de Dieu, s'est dĂ©pouillĂ© lui-mĂȘme en prenant une forme de serviteur fait Ă  la ressemblance des hommes," et qui allait "s'abaisser encore en devenant obĂ©issant jusqu'Ă  la mort, mĂȘme jusqu'Ă  la mort de la croix." (Philippiens 2.6-8) Dans cette position qui Ă©tait alors la sienne, il Ă©prouvait en son Ăąme sainte, comme l'observe Bengel, un sentiment profond de son humiliation qu'il ne pouvait s'empĂȘcher d'exprimer parfois (Marc 10.18 ; 13.32, voir la note) et qui le faisait soupirer aprĂšs le terme de l'Ă©preuve. (Luc 12.50)

Comment donc n'aurait-il pas éprouvé une joie profonde et sainte à l'aspect si prochain de son élévation auprÚs du PÚre ? C'était pour lui rentrer en possession de la gloire éternelle, objet de sa derniÚre priÚre ; (Jean 17.5) c'était sa réintégration dans toutes les prérogatives divines dont il allait jouir dans une pleine communion d'essence et d'amour avec Dieu, son PÚre. Cette joie il invite ses disciples à la partager avec lui.

Obéissant à son invitation, l'apÎtre Paul, aprÚs avoir décrit, dans les paroles que nous venons de rappeler, le profond abaissement du Sauveur, célÚbre son élévation avec amour, (Philippiens 2.9-11) et la joie qu'il exprime dans ce chant de triomphe est celle de l'Eglise tout entiÚre. (Ephésiens 1.20-23)

C'est Ă  ce point de vue que Luther, Calvin, MM. Luthardt et Godet envisagent ce passage. "Christ, dit Calvin, ne compare point ici la divinitĂ© du PĂšre avec la sienne, ni sa nature humaine avec l'essence divine du PĂšre ; mais plutĂŽt son Ă©tat prĂ©sent avec la gloire cĂ©leste dans laquelle il allait ĂȘtre reçu bientĂŽt. C'est comme s'il disait : Vous dĂ©sirez de me retenir dans le monde ; mais il vaut mieux que je monte au ciel."

Quant Ă  la divinitĂ© de JĂ©sus-Christ, cette parole la proclame hautement ; car si un homme, un ange du ciel disait : Dieu est plus grand que moi, il Ă©mettrait une affirmation que son Ă©vidence mĂȘme rendrait oiseuse. Il ne faut pas, quand JĂ©sus nous parle de sa joie, que l'exĂ©gĂšse transforme cette joie en dogmatique.

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Christ prolonge les attentes de Ses disciples au-delĂ  de ce qu'ils pensaient ĂȘtre le bonheur parfait. Le temps de JĂ©sus ici-bas, Ă©tait dĂ©sormais compté : aussi les enseignaient-ils abondamment.

Quand nous tombons malades et que nous sommes proches de la mort, nous ne sommes guÚre capables de parler à ceux qui nous entourent ; alors, si nous avons un bon conseil à proposer, faisons-le quand nous sommes encore en bonne santé !

Remarquez la perspective de conflit que Christ avait, non seulement avec les hommes, mais aussi avec les puissances des tĂ©nĂšbres. Satan cherche toujours Ă  nous culpabiliser par notre pĂ©ché ; il a voulu troubler le Seigneur, mais il n'a rien trouvĂ© qui puisse L’accuser.

La meilleure preuve de notre amour pour le PÚre est d'obéir à Ses commandements. Réjouissons-nous des victoires du Sauveur sur Satan, le prince de ce monde. Prenons exemple sur Son amour et sur Son obéissance envers Dieu !

Matthew Henry © traduction Dominique Osché
Vous avez entendu 191 5656 que 3754 je 1473 vous 5213 ai dit 2036 5627 : Je m’en vais 5217 5719, et 2532 je reviens 2064 5736 vers 4314 vous 5209. Si 1487 vous m 3165’aimiez 25 5707, 302 vous vous rĂ©jouiriez 5463 5644 de ce que 3754 je vais 4198 5736 au 4314 PĂšre 3962 ; car 3754 le PĂšre 3962 est 2076 5748 plus grand que 3187 moi 3450.

25 - agapaodes personnes accueillir, recevoir, aimer chĂšrement des choses en avoir plaisir, ĂȘtre content d'une chose, 


191 - akouoĂȘtre dotĂ© de la facultĂ© d'entendre, non sourd entendre considĂ©rer ce qui est ou a 


302 - anpas de définition en Français rigoureusement équivalente

1473 - egoJe, moi, mon, ma, mes ...

1487 - eisi, soit que

2036 - epoparler, dire

2064 - erchomaivenir de personnes arriver d'un lieu vers un autre, utilisé aussi pour les arrivants apparaßtre, 


2076 - estitroisiĂšme personne du singulier du verbe « ĂȘtre »

2532 - kaiet, aussi, mĂȘme, en effet, mais

3165 - meJe, moi, mon, ma, etc.

3187 - meizonplus grand, plus large, plus vieux, plus fort

3450 - mouJe, moi, mon, de moi

3754 - hotique, parce que, puisque

3962 - patergĂ©niteur ou ancĂȘtre mĂąle soit le plus proche parent: pĂšre de la nature corporelle, les 


4198 - poreuomaialler, se transporter, transférer poursuivre le voyage qui un été commencé, continuer son voyage quitter 


4314 - prosà l'avantage de à, prÚs de, par vers, envers, avec, en considération de

5209 - humasvous

5213 - huminvous

5217 - hupagomener, conduire sous, apporter au-dessous se retirer, s'en aller, partir

5463 - chairose rĂ©jouir, ĂȘtre heureux ĂȘtre extrĂȘmement rĂ©joui ĂȘtre bien, prospĂ©rer dans des salutations: salut! au 


5627Temps - Aoriste Second 5780 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 


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5748Temps - Présent 5774 Voix - Pas de Voix indiquée 5799 Mode - Indicatif 5791 


© Éditions CLÉ, avec autorisation

AMENMot hébr., que l'usage liturgique a fait passer en grec, et qui a subsisté dans tous les cultes chrétiens. La 


AMI« Quelque rare que soit le vĂ©ritable amour, il l'est encore moins que la vĂ©ritable amitiĂ©. » Cette parole de 


ASCENSIONLe fait ultime de la vie historique du Christ, désigné généralement sous ce nom, est beaucoup moins fortement attesté que 


COMMUNIONGrec koïnînia, de koïnos, adj. qui signifie : commun à plusieurs personnes. 1. Koïnînia, comme le subst. koïnînos, a d'abord 


DÉCALOGUEDu grec dĂ©ka logoĂŻ =dix paroles, (cf. Ex 34:28 ) appelĂ©es habituellement, d'aprĂšs De 4:13 : les dix commandements (cf. 


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      Psaumes 47

      5 Ś™ÖŽŚ‘Ö°Ś—Ö·ŚšÖŸŚœÖžÖ„Ś Ś•ÖŒ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ Ö·Ś—ÖČŚœÖžŚȘÖ”Ö‘Ś Ś•ÖŒ ŚÖ¶Ö„ŚȘ Ś’֌ְŚÖšŚ•Ö覟 Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֖Ś‘ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚÖžŚ”Ö”ÖŁŚ‘ ŚĄÖ¶ÖœŚœÖžŚ”Śƒ
      6 ŚąÖžŚœÖžÖŁŚ” ŚÖ±Ö­ŚœÖ覔֮Ś™Ś Ś‘֌֎ŚȘÖ°ŚšŚ•ÖŒŚąÖžÖ‘Ś” Ś™Ö°ÖŚ”Ö覕־֗Ś” Ś‘֌ְŚ§ÖŁŚ•Ö覜 Ś©ŚŚ•ÖčŚ€ÖžÖœŚšŚƒ
      7 Ś–Ö·ŚžÖŒÖ°ŚšÖŁŚ•ÖŒ ŚÖ±ŚœÖ覔֣֮Ś™Ś Ś–Ö·ŚžÖŒÖ”֑ŚšŚ•ÖŒ Ś–Ö·ŚžÖŒÖ°ŚšÖ–Ś•ÖŒ ŚœÖ°ŚžÖ·ŚœÖ°Ś›ÖŒÖ”ÖŁŚ Ś•ÖŒ Ś–Ö·ŚžÖŒÖ”ÖœŚšŚ•ÖŒŚƒ

      Psaumes 68

      9 ŚÖ¶Ö€ŚšÖ¶Ś„ ŚšÖžŚąÖžÖšŚ©ŚÖžŚ” Ś€ ŚÖ·ŚŁÖŸŚ©ŚÖžŚžÖ·ÖŁŚ™ÖŽŚ Ś ÖžŚ˜Ö°Ś€Ś•ÖŒÖź ŚžÖŽŚ€ÖŒÖ°Ś Ö”ÖȘŚ™ ŚÖ±ŚœÖčÖ«Ś”ÖŽÖ„Ś™Ś Ś–Ö¶Ö„Ś” ŚĄÖŽŚ™Ś Ö·Ö‘Ś™ ŚžÖŽŚ€ÖŒÖ°Ś Ö”Ö„Ś™ ŚÖ±ÖŚœÖ覔֮֗Ś™Ś ŚÖ±ŚœÖ茔֔քŚ™ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”ÖœŚœŚƒ
      18 ŚšÖ¶Ö€Ś›Ö¶Ś‘ ŚÖ±ŚœÖ覔֮֗Ś™Ś ŚšÖŽŚ‘ÖŒÖčŚȘÖ·ÖŁŚ™ÖŽŚ ŚÖ·ŚœÖ°Ś€Ö”ÖŁŚ™ Ś©ŚÖŽŚ Ö°ŚÖžÖ‘ŚŸ ŚÖČŚ“Ö茠֞քŚ™ Ś‘֞֝֗Ś ŚĄÖŽŚ™Ś Ö·Ö„Ś™ Ś‘֌ַŚ§ÖŒÖčÖœŚ“Ö¶Ś©ŚŚƒ

      EsaĂŻe 42

      1 Ś”Ö”Ö€ŚŸ ŚąÖ·Ś‘Ö°Ś“֌֎Ś™Ö™ ŚÖ¶ŚȘÖ°ŚžÖžŚšÖ°ÖŸŚ‘֌֔Ś•Öč Ś‘֌ְŚ—ÖŽŚ™ŚšÖŽÖ–Ś™ ŚšÖžŚŠÖ°ŚȘÖžÖŁŚ” Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚÖŽÖ‘Ś™ Ś ÖžŚȘÖ·Ö€ŚȘ֌֎Ś™ ŚšŚ•ÖŒŚ—ÖŽŚ™Ö™ ŚąÖžŚœÖžÖ”Ś™Ś• ŚžÖŽŚ©ŚÖ°Ś€ÖŒÖžÖ–Ś˜ ŚœÖ·Ś’ÖŒŚ•Ö茙֎քŚ Ś™Ś•ÖčŚŠÖŽÖœŚ™ŚŚƒ

      EsaĂŻe 49

      5 Ś•Ö°ŚąÖ·ŚȘÖŒÖžÖŁŚ” Ś€ ŚÖžŚžÖ·ÖŁŚš Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ—Ś” Ś™Ö茊ְŚšÖŽÖ€Ś™ ŚžÖŽŚ‘֌ֶ֙Ś˜Ö¶ŚŸÖ™ ŚœÖ°ŚąÖ¶ÖŁŚ‘Ö¶Ś“ ŚœÖ”Ś•Öč ŚœÖ°Ś©ŚŚ•Ö茑֔րŚ‘ Ś™Ö·ÖœŚąÖČŚ§Ö覑֙ ŚÖ”ŚœÖžÖ”Ś™Ś• Ś•Ö°Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֖Śœ *ŚœŚ **ŚœÖŁŚ•Öč Ś™Ö”ŚÖžŚĄÖ”֑ŚŁ Ś•Ö°ŚÖ¶Ś›ÖŒÖžŚ‘Ö”Ś“Ö™ Ś‘֌ְŚąÖ”Ś™Ś Ö”ÖŁŚ™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” Ś•Ö”ŚŚœÖ茔ַ֖Ś™ Ś”ÖžŚ™ÖžÖ„Ś” ŚąÖ»Ś–֌֎֜Ś™Śƒ
      6 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖč֗ŚŚžÖ¶Śš Ś ÖžŚ§Ö”ÖšŚœ ŚžÖŽÖœŚ”Ö°Ś™Ś•ÖčŚȘÖ°ŚšÖžÖ„ ŚœÖŽŚ™Ö™ ŚąÖ¶Ö”Ś‘Ö¶Ś“ ŚœÖ°Ś”ÖžŚ§ÖŽŚ™ŚÖ™ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ©ŚÖŽŚ‘Ö°Ś˜Ö”ÖŁŚ™ Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֔Ś‘ *Ś•Ś ŚŠŚ™ŚšŚ™ **Ś•ÖŒŚ Ö°ŚŠŚ•ÖŒŚšÖ”Ö„Ś™ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֖Śœ ŚœÖ°Ś”ÖžŚ©ŚÖŽÖ‘Ś™Ś‘ Ś•ÖŒŚ Ö°ŚȘÖ·ŚȘ֌֎֙Ś™ŚšÖžÖ™ ŚœÖ°ŚÖŁŚ•Ö茚 Ś’ÖŒŚ•Ö覙֮֔Ś ŚœÖŽÖœŚ”Ö°Ś™Ö„Ś•ÖčŚȘ Ś™Ö°Ś©ŚŚ•ÖŒŚąÖžŚȘ֖֮Ś™ ŚąÖ·Ś“ÖŸŚ§Ö°ŚŠÖ”Ö„Ś” Ś”ÖžŚÖžÖœŚšÖ¶Ś„Śƒ
      7 Ś›ÖŒÖčÖŁŚ” ŚÖžÖœŚžÖ·ŚšÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö© Ś’ÖŒÖ茐֚֔Śœ Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֜Śœ Ś§Ö°Ś“Ś•Ö茩ŚÖ—Ś•Öč ŚœÖŽŚ‘Ö°Ś–ÖčŚ”ÖŸŚ Ö¶ÖœŚ€Ö¶Ś©Ś ŚœÖŽŚžÖ°ŚȘÖžÖ€ŚąÖ”ÖœŚ‘ Ś’ÖŒŚ•Ö覙֙ ŚœÖ°ŚąÖ¶ÖŁŚ‘Ö¶Ś“ ŚžÖ茩ŚÖ°ŚœÖŽÖ”Ś™Ś ŚžÖ°ŚœÖžŚ›ÖŽŚ™ŚÖ™ Ś™ÖŽŚšÖ°ŚÖŁŚ•ÖŒ Ś•ÖžŚ§ÖžÖ”ŚžŚ•ÖŒ Ś©Ś‚ÖžŚšÖŽÖ–Ś™Ś Ś•Ö°Ś™ÖŽÖœŚ©ŚÖ°ŚȘ֌ַŚ—ÖČŚ•ÖŒÖ‘Ś•ÖŒ ŚœÖ°ŚžÖ·Ö€ŚąÖ·ŚŸ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš Ś Ö¶ŚÖ±ŚžÖžÖ”ŚŸ Ś§Ö°Ś“ÖčÖ„Ś©Ś Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°ŚšÖžŚÖ”֖Śœ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ‘Ö°Ś—ÖžŚšÖ¶ÖœŚšÖŒÖžŚƒ

      EsaĂŻe 53

      11 ŚžÖ”ŚąÖČŚžÖ·Ö€Śœ Ś Ö·Ś€Ö°Ś©ŚŚ•Öč֙ Ś™ÖŽŚšÖ°ŚÖ¶ÖŁŚ” Ś™ÖŽŚ©Ś‚Ö°Ś‘֌֞֔Śą Ś‘֌ְŚ“Ö·ŚąÖ°ŚȘ֌֗Ś•Öč Ś™Ö·ŚŠÖ°Ś“֌֎քŚ™Ś§ ŚŠÖ·Ś“֌֎֛Ś™Ś§ ŚąÖ·Ś‘Ö°Ś“֌֎֖Ś™ ŚœÖžÖœŚšÖ·Ś‘֌֎֑Ś™Ś Ś•Ö·ŚąÖČŚ•ÖșŚ ÖčŚȘ־֖Ś Ś”Ö„Ś•ÖŒŚ Ś™ÖŽŚĄÖ°Ś‘ÖŒÖčÖœŚœŚƒ

      Matthieu 12

      18 áŒžÎŽÎżáœș ᜁ Ï€Î±áż–Ï‚ ÎŒÎżÏ… ᜃΜ ៑ρέτÎčσα, ᜁ áŒ€ÎłÎ±Ï€Î·Ï„ÏŒÏ‚ ÎŒÎżÏ… Δጰς ᜃΜ ΔᜐΎόÎșησΔΜ áŒĄ ÏˆÏ…Ï‡Îź ÎŒÎżÏ…Î‡ ÎžÎźÏƒÏ‰ τ᜞ Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎŹ ÎŒÎżÏ… ጐπ’ αᜐτόΜ, Îșα᜶ ÎșÏÎŻÏƒÎčÎœ Ï„Îżáż–Ï‚ ጔΞΜΔσÎčÎœ áŒ€Ï€Î±ÎłÎłÎ”Î»Î”áż–.

      Luc 24

      51 Îșα᜶ áŒÎłÎ­ÎœÎ”Ï„Îż ጐΜ Ï„áż· Î”áœÎ»ÎżÎłÎ”áż–Îœ αᜐτ᜞Μ Î±áœÏ„Îżáœșς ÎŽÎčέστη ጀπ’ Î±áœÏ„áż¶Îœ [Îșα᜶ áŒ€ÎœÎ”Ï†Î­ÏÎ”Ï„Îż Δጰς τ᜞Μ ÎżáœÏÎ±ÎœÏŒÎœ].
      52 Îșα᜶ Î±áœÏ„Îżáœ¶ [Ï€ÏÎżÏƒÎșÏ…ÎœÎźÏƒÎ±ÎœÏ„Î”Ï‚ αᜐτ᜞Μ] ᜑπέστρΔψαΜ Δጰς áŒžÎ”ÏÎżÏ…ÏƒÎ±Î»áœŽÎŒ ΌΔτᜰ χαρ៶ς ÎŒÎ”ÎłÎŹÎ»Î·Ï‚,
      53 Îșα᜶ ጊσαΜ ÎŽÎčᜰ παΜτ᜞ς ጐΜ Ï„áż· áŒ±Î”Ïáż· Î”áœÎ»ÎżÎłÎżáżŠÎœÏ„Î”Ï‚ τ᜞Μ ΞΔόΜ.

      Jean 5

      18 ÎŽÎčᜰ Ï„ÎżáżŠÏ„Îż Îżáœ–Îœ ÎŒáŸ¶Î»Î»ÎżÎœ áŒÎ¶ÎźÏ„ÎżÏ…Îœ αᜐτ᜞Μ ÎżáŒ± áŒžÎżÏ…ÎŽÎ±áż–ÎżÎč áŒ€Ï€ÎżÎșÏ„Î”áż–ÎœÎ±Îč ᜅτÎč Îżáœ ÎŒÏŒÎœÎżÎœ ጔλυΔ τ᜞ ÏƒÎŹÎČÎČÎ±Ï„ÎżÎœ, ጀλλᜰ Îșα᜶ πατέρα ጎΎÎčÎżÎœ áŒ”Î»Î”ÎłÎ” τ᜞Μ ΞΔόΜ, áŒŽÏƒÎżÎœ ጑αυτ᜞Μ Ï€ÎżÎčáż¶Îœ Ï„áż· ΞΔῷ.

      Jean 10

      29 ᜁ Ï€Î±Ï„ÎźÏ ÎŒÎżÏ… ᜃ ΎέΎωÎșέΜ ÎŒÎżÎč Ï€ÎŹÎœÏ„Ï‰Îœ ÎŒÎ”áż–Î¶Ï‰Îœ ጐστÎčÎœ, Îșα᜶ ÎżáœÎŽÎ”áœ¶Ï‚ ΎύΜαταÎč áŒÏÏ€ÎŹÎ¶Î”ÎčÎœ ጐÎș Ï„áż†Ï‚ χΔÎčρ᜞ς Ï„ÎżáżŠ πατρός.
      30 áŒÎłáœŒ Îșα᜶ ᜁ πατᜎρ ጕΜ ጐσΌΔΜ.
      38 Δጰ ÎŽáœČ Ï€ÎżÎčῶ, ÎșጂΜ áŒÎŒÎżáœ¶ Όᜎ πÎčστΔύητΔ Ï„Îżáż–Ï‚ áŒ”ÏÎłÎżÎčς πÎčστΔύΔτΔ, ጔΜα ÎłÎœáż¶Ï„Î” Îșα᜶ ÎłÎčΜώσÎșητΔ ᜅτÎč ጐΜ áŒÎŒÎżáœ¶ ᜁ πατᜎρ ÎșáŒ€ÎłáœŒ ጐΜ Ï„áż· Ï€Î±Ï„ÏÎŻ.

      Jean 13

      16 ጀΌᜎΜ ጀΌᜎΜ Î»Î­ÎłÏ‰ áœ‘ÎŒáż–Îœ, ÎżáœÎș ጔστÎčÎœ ÎŽÎżáżŠÎ»ÎżÏ‚ ÎŒÎ”ÎŻÎ¶Ï‰Îœ Ï„ÎżáżŠ ÎșÏ…ÏÎŻÎżÏ… Î±áœÏ„ÎżáżŠ ÎżáœÎŽáœČ áŒ€Ï€ÏŒÏƒÏ„ÎżÎ»ÎżÏ‚ ÎŒÎ”ÎŻÎ¶Ï‰Îœ Ï„ÎżáżŠ Ï€Î­ÎŒÏˆÎ±ÎœÏ„ÎżÏ‚ αᜐτόΜ.

      Jean 14

      2 ጐΜ Ï„áż‡ ÎżáŒ°ÎșÎŻáŸł Ï„ÎżáżŠ πατρός ÎŒÎżÏ… ÎŒÎżÎœÎ±áœ¶ Ï€ÎżÎ»Î»Î±ÎŻ ΔጰσÎčΜ· Δጰ ÎŽáœČ ÎŒÎź, Î”áŒ¶Ï€ÎżÎœ ጂΜ áœ‘ÎŒáż–Îœ ᜅτÎč Ï€ÎżÏÎ”ÏÎżÎŒÎ±Îč áŒ‘Ï„ÎżÎčÎŒÎŹÏƒÎ±Îč Ï„ÏŒÏ€ÎżÎœ áœ‘ÎŒáż–ÎœÎ‡
      3 Îșα᜶ ጐᜰΜ Ï€ÎżÏÎ”Ï…Îžáż¶ Îșα᜶ áŒ‘Ï„ÎżÎčÎŒÎŹÏƒÏ‰ Ï„ÏŒÏ€ÎżÎœ áœ‘ÎŒáż–Îœ, Ï€ÎŹÎ»ÎčÎœ áŒ”ÏÏ‡ÎżÎŒÎ±Îč Îșα᜶ Ï€Î±ÏÎ±Î»ÎźÎŒÏˆÎżÎŒÎ±Îč ᜑΌ៶ς πρ᜞ς ጐΌαυτόΜ, ጔΜα áœ…Ï€ÎżÏ… ΔጰΌ᜶ áŒÎłáœŒ Îșα᜶ áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ ጊτΔ.
      4 Îșα᜶ áœ…Ï€ÎżÏ… áŒÎłáœŒ áœ‘Ï€ÎŹÎłÏ‰ ÎżáŒŽÎŽÎ±Ï„Î” τᜎΜ ᜁΎόΜ.
      12 ጀΌᜎΜ ጀΌᜎΜ Î»Î­ÎłÏ‰ áœ‘ÎŒáż–Îœ, ᜁ πÎčστΔύωΜ Δጰς ጐΌáœČ τᜰ áŒ”ÏÎłÎ± ጃ áŒÎłáœŒ Ï€ÎżÎčῶ ÎșጀÎșÎ”áż–ÎœÎżÏ‚ Ï€ÎżÎčÎźÏƒÎ”Îč, Îșα᜶ ÎŒÎ”ÎŻÎ¶ÎżÎœÎ± Ï„ÎżÏÏ„Ï‰Îœ Ï€ÎżÎčÎźÏƒÎ”Îč, ᜅτÎč áŒÎłáœŒ πρ᜞ς τ᜞Μ πατέρα Ï€ÎżÏÎ”ÏÎżÎŒÎ±Îč·
      18 ΟᜐÎș áŒ€Ï†ÎźÏƒÏ‰ ᜑΌ៶ς áœ€ÏÏ†Î±ÎœÎżÏÏ‚, áŒ”ÏÏ‡ÎżÎŒÎ±Îč πρ᜞ς ᜑΌ៶ς.

      Jean 16

      7 ጀλλ’ áŒÎłáœŒ τᜎΜ áŒ€Î»ÎźÎžÎ”ÎčαΜ Î»Î­ÎłÏ‰ áœ‘ÎŒáż–Îœ, συΌφέρΔÎč áœ‘ÎŒáż–Îœ ጔΜα áŒÎłáœŒ ጀπέλΞω. ጐᜰΜ Îłáœ°Ï Όᜎ ጀπέλΞω, ᜁ Ï€Î±ÏÎŹÎșÎ»Î·Ï„ÎżÏ‚ Îżáœ Όᜎ áŒ”Î»Îžáżƒ πρ᜞ς ᜑΌ៶ς· ጐᜰΜ ÎŽáœČ Ï€ÎżÏÎ”Ï…Îžáż¶, πέΌψω αᜐτ᜞Μ πρ᜞ς ᜑΌ៶ς.
      16 ΜÎčÎșρ᜞Μ Îșα᜶ ÎżáœÎșέτÎč ÎžÎ”Ï‰ÏÎ”áż–Ï„Î­ ΌΔ, Îșα᜶ Ï€ÎŹÎ»ÎčÎœ ÎŒÎčÎșρ᜞Μ Îșα᜶ ᜄψΔσΞέ ΌΔ.
      17 ΔጶπαΜ Îżáœ–Îœ ጐÎș Ï„áż¶Îœ ÎŒÎ±ÎžÎ·Ï„áż¶Îœ Î±áœÏ„ÎżáżŠ πρ᜞ς áŒ€Î»Î»ÎźÎ»ÎżÏ…Ï‚Î‡ ΀ί ጐστÎčÎœ Ï„ÎżáżŠÏ„Îż ᜃ λέγΔÎč áŒĄÎŒáż–ÎœÎ‡ ΜÎčÎșρ᜞Μ Îșα᜶ Îżáœ ÎžÎ”Ï‰ÏÎ”áż–Ï„Î­ ΌΔ, Îșα᜶ Ï€ÎŹÎ»ÎčÎœ ÎŒÎčÎșρ᜞Μ Îșα᜶ ᜄψΔσΞέ ΌΔ; Îșαί· ᜍτÎč áœ‘Ï€ÎŹÎłÏ‰ πρ᜞ς τ᜞Μ πατέρα;
      18 áŒ”Î»Î”ÎłÎżÎœ Îżáœ–ÎœÎ‡ ΀ί ጐστÎčÎœ Ï„ÎżáżŠÏ„Îż ᜃ λέγΔÎč ÎŒÎčÎșρόΜ; ÎżáœÎș ÎżáŒŽÎŽÎ±ÎŒÎ”Îœ Ï„ÎŻ λαλΔῖ.
      19 áŒ”ÎłÎœÏ‰ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚ ᜅτÎč áŒ€ÎžÎ”Î»ÎżÎœ αᜐτ᜞Μ ጐρωτ៶Μ, Îșα᜶ ΔጶπΔΜ Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚Î‡ ΠΔρ᜶ Ï„ÎżÏÏ„ÎżÏ… Î¶Î·Ï„Î”áż–Ï„Î” ΌΔτ’ áŒ€Î»Î»ÎźÎ»Ï‰Îœ ᜅτÎč Î”áŒ¶Ï€ÎżÎœÎ‡ ΜÎčÎșρ᜞Μ Îșα᜶ Îżáœ ÎžÎ”Ï‰ÏÎ”áż–Ï„Î­ ΌΔ, Îșα᜶ Ï€ÎŹÎ»ÎčÎœ ÎŒÎčÎșρ᜞Μ Îșα᜶ ᜄψΔσΞέ ΌΔ;
      20 ጀΌᜎΜ ጀΌᜎΜ Î»Î­ÎłÏ‰ áœ‘ÎŒáż–Îœ ᜅτÎč ÎșλαύσΔτΔ Îșα᜶ ÎžÏÎ·ÎœÎźÏƒÎ”Ï„Î” áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚, ᜁ ÎŽáœČ ÎșÏŒÏƒÎŒÎżÏ‚ Ï‡Î±ÏÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč· áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ Î»Ï…Ï€Î·ÎžÎźÏƒÎ”ÏƒÎžÎ”, ጀλλ’ áŒĄ λύπη áœ‘ÎŒáż¶Îœ Δጰς χαρᜰΜ ÎłÎ”ÎœÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč.
      21 áŒĄ ÎłÏ…ÎœáœŽ ᜅταΜ Ï„ÎŻÎșÏ„áżƒ λύπηΜ ጔχΔÎč, ᜅτÎč ጊλΞΔΜ áŒĄ ᜄρα Î±áœÏ„áż†Ï‚Î‡ ᜅταΜ ÎŽáœČ ÎłÎ”ÎœÎœÎźÏƒáżƒ τ᜞ παÎčÎŽÎŻÎżÎœ, ÎżáœÎșέτÎč ÎŒÎœÎ·ÎŒÎżÎœÎ”ÏÎ”Îč Ï„áż†Ï‚ ÎžÎ»ÎŻÏˆÎ”Ï‰Ï‚ ÎŽÎčᜰ τᜎΜ χαρᜰΜ ᜅτÎč áŒÎłÎ”ÎœÎœÎźÎžÎ· áŒ„ÎœÎžÏÏ‰Ï€ÎżÏ‚ Δጰς τ᜞Μ ÎșÏŒÏƒÎŒÎżÎœ.
      22 Îșα᜶ áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚ Îżáœ–Îœ ÎœáżŠÎœ ÎŒáœČÎœ λύπηΜ ጔχΔτΔ· Ï€ÎŹÎ»ÎčÎœ ÎŽáœČ áœ„ÏˆÎżÎŒÎ±Îč ᜑΌ៶ς, Îșα᜶ Ï‡Î±ÏÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč áœ‘ÎŒáż¶Îœ áŒĄ ÎșÎ±ÏÎŽÎŻÎ±, Îșα᜶ τᜎΜ χαρᜰΜ áœ‘ÎŒáż¶Îœ ÎżáœÎŽÎ”áœ¶Ï‚ αጎρΔÎč ጀφ’ áœ‘ÎŒáż¶Îœ.

      Jean 20

      17 λέγΔÎč Î±áœÏ„áż‡ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚Î‡ Μμ ÎŒÎżÏ… áŒ…Ï€Ï„ÎżÏ…, Îżáœ”Ï€Ï‰ Îłáœ°Ï ጀΜαÎČέÎČηÎșα πρ᜞ς τ᜞Μ πατέρα· Ï€ÎżÏÎ”ÏÎżÏ… ÎŽáœČ πρ᜞ς Ï„Îżáœșς áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†ÎżÏÏ‚ ÎŒÎżÏ… Îșα᜶ ΔጰπáœČ Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚Î‡ ገΜαÎČÎ±ÎŻÎœÏ‰ πρ᜞ς τ᜞Μ πατέρα ÎŒÎżÏ… Îșα᜶ πατέρα áœ‘ÎŒáż¶Îœ Îșα᜶ ΞΔόΜ ÎŒÎżÏ… Îșα᜶ ΞΔ᜞Μ áœ‘ÎŒáż¶Îœ.
      21 ΔጶπΔΜ Îżáœ–Îœ Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚ ᜁ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚ Ï€ÎŹÎ»ÎčΜ· Î•áŒ°ÏÎźÎœÎ· áœ‘ÎŒáż–ÎœÎ‡ ÎșαΞᜌς ጀπέσταλÎșέΜ ΌΔ ᜁ Ï€Î±Ï„ÎźÏ, ÎșáŒ€ÎłáœŒ πέΌπω ᜑΌ៶ς.

      1 Corinthiens 11

      3 Ξέλω ÎŽáœČ ᜑΌ៶ς ΔጰΎέΜαÎč ᜅτÎč παΜτ᜞ς ጀΜΎρ᜞ς áŒĄ ÎșΔφαλᜎ ᜁ ΧρÎčστός ጐστÎčÎœ, ÎșΔφαλᜎ ÎŽáœČ ÎłÏ…ÎœÎ±ÎčÎș᜞ς ᜁ áŒ€ÎœÎźÏ, ÎșΔφαλᜎ ÎŽáœČ Ï„ÎżáżŠ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ ᜁ ΞΔός.

      1 Corinthiens 15

      24 Δጶτα τ᜞ Ï„Î­Î»ÎżÏ‚, ᜅταΜ παραΎÎčÎŽáż· τᜎΜ ÎČασÎčÎ»Î”ÎŻÎ±Îœ Ï„áż· ΞΔῷ Îșα᜶ Ï€Î±Ï„ÏÎŻ, ᜅταΜ ÎșÎ±Ï„Î±ÏÎłÎźÏƒáżƒ π៶σαΜ ጀρχᜎΜ Îșα᜶ π៶σαΜ áŒÎŸÎżÏ…ÏƒÎŻÎ±Îœ Îșα᜶ ΎύΜαΌÎčÎœ,
      25 ΎΔῖ Îłáœ°Ï αᜐτ᜞Μ ÎČασÎčλΔύΔÎčÎœ ጄχρÎč Îżáœ— ξῇ Ï€ÎŹÎœÏ„Î±Ï‚ Ï„Îżáœșς áŒÏ‡ÎžÏÎżáœșς ᜑπ᜞ Ï„Îżáœșς πόΎας Î±áœÏ„ÎżáżŠ.
      26 áŒ”ÏƒÏ‡Î±Ï„ÎżÏ‚ ጐχΞρ᜞ς ÎșÎ±Ï„Î±ÏÎłÎ”áż–Ï„Î±Îč ᜁ ÎžÎŹÎœÎ±Ï„ÎżÏ‚,
      27 Ï€ÎŹÎœÏ„Î± Îłáœ°Ï ᜑπέταΟΔΜ ᜑπ᜞ Ï„Îżáœșς πόΎας Î±áœÏ„ÎżáżŠ. ᜅταΜ ÎŽáœČ Î”áŒŽÏ€áżƒ ᜅτÎč Ï€ÎŹÎœÏ„Î± áœ‘Ï€ÎżÏ„Î­Ï„Î±ÎșταÎč, ÎŽáż†Î»ÎżÎœ ᜅτÎč ጐÎșτ᜞ς Ï„ÎżáżŠ áœ‘Ï€ÎżÏ„ÎŹÎŸÎ±ÎœÏ„ÎżÏ‚ Î±áœÏ„áż· τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î±.
      28 ᜅταΜ ÎŽáœČ áœ‘Ï€ÎżÏ„Î±Îłáż‡ Î±áœÏ„áż· τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î±, τότΔ αᜐτ᜞ς ᜁ υጱ᜞ς áœ‘Ï€ÎżÏ„Î±ÎłÎźÏƒÎ”Ï„Î±Îč Ï„áż· áœ‘Ï€ÎżÏ„ÎŹÎŸÎ±ÎœÏ„Îč Î±áœÏ„áż· τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î±, ጔΜα ៖ ᜁ ΞΔ᜞ς Ï€ÎŹÎœÏ„Î± ጐΜ π៶σÎčÎœ.

      Philippiens 2

      6 ᜃς ጐΜ ÎŒÎżÏÏ†áż‡ ΞΔοῊ áœ‘Ï€ÎŹÏÏ‡Ï‰Îœ ÎżáœÏ‡ áŒÏÏ€Î±ÎłÎŒáœžÎœ áŒĄÎłÎźÏƒÎ±Ï„Îż τ᜞ ΔጶΜαÎč ጎσα ΞΔῷ,
      7 ጀλλᜰ ጑αυτ᜞Μ ጐÎșέΜωσΔΜ ÎŒÎżÏÏ†áœŽÎœ ÎŽÎżÏÎ»ÎżÏ… λαÎČώΜ, ጐΜ áœÎŒÎżÎčώΌατÎč ጀΜΞρώπωΜ ÎłÎ”ÎœÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÏ‚Î‡ Îșα᜶ ÏƒÏ‡ÎźÎŒÎ±Ï„Îč ΔᜑρΔΞΔ᜶ς áœĄÏ‚ áŒ„ÎœÎžÏÏ‰Ï€ÎżÏ‚
      8 áŒÏ„Î±Ï€Î”ÎŻÎœÏ‰ÏƒÎ”Îœ ጑αυτ᜞Μ ÎłÎ”ÎœÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÏ‚ áœ‘Ï€ÎźÎșÎżÎżÏ‚ ΌέχρÎč ÎžÎ±ÎœÎŹÏ„ÎżÏ…, ÎžÎ±ÎœÎŹÏ„ÎżÏ… ÎŽáœČ ÏƒÏ„Î±Ï…ÏÎżáżŠÎ‡
      9 ÎŽÎč᜞ Îșα᜶ ᜁ ΞΔ᜞ς αᜐτ᜞Μ ᜑπΔρύψωσΔΜ, Îșα᜶ áŒÏ‡Î±ÏÎŻÏƒÎ±Ï„Îż Î±áœÏ„áż· τ᜞ áœ„ÎœÎżÎŒÎ± τ᜞ ᜑπáœČρ π៶Μ áœ„ÎœÎżÎŒÎ±,
      10 ጔΜα ጐΜ Ï„áż· ᜀΜόΌατÎč áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ π៶Μ ÎłÏŒÎœÏ… ÎșÎŹÎŒÏˆáżƒ áŒÏ€ÎżÏ…ÏÎ±ÎœÎŻÏ‰Îœ Îșα᜶ ጐπÎčÎłÎ”ÎŻÏ‰Îœ Îșα᜶ ÎșÎ±Ï„Î±Ï‡ÎžÎżÎœÎŻÏ‰Îœ,
      11 Îșα᜶ π៶σα ÎłÎ»áż¶ÏƒÏƒÎ± áŒÎŸÎżÎŒÎżÎ»ÎżÎłÎźÏƒÎ·Ï„Î±Îč ᜅτÎč ÎșύρÎčÎżÏ‚ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÏ‚ ΧρÎčστ᜞ς Δጰς ΎόΟαΜ ΞΔοῊ πατρός.

      HĂ©breux 1

      2 ጐπ’ áŒÏƒÏ‡ÎŹÏ„ÎżÏ… Ï„áż¶Îœ áŒĄÎŒÎ”Ïáż¶Îœ Ï„ÎżÏÏ„Ï‰Îœ áŒÎ»ÎŹÎ»Î·ÏƒÎ”Îœ áŒĄÎŒáż–Îœ ጐΜ Ï…áŒ±áż·, ᜃΜ ጔΞηÎșΔΜ ÎșÎ»Î·ÏÎżÎœÏŒÎŒÎżÎœ Ï€ÎŹÎœÏ„Ï‰Îœ, ÎŽÎč’ Îżáœ— Îșα᜶ áŒÏ€ÎżÎŻÎ·ÏƒÎ”Îœ Ï„Îżáœșς Î±áŒ°áż¶ÎœÎ±Ï‚Î‡
      3 ᜃς áœąÎœ áŒ€Ï€Î±ÏÎłÎ±ÏƒÎŒÎ± Ï„áż†Ï‚ ΎόΟης Îșα᜶ χαραÎșτᜎρ Ï„áż†Ï‚ áœ‘Ï€ÎżÏƒÏ„ÎŹÏƒÎ”Ï‰Ï‚ Î±áœÏ„ÎżáżŠ, φέρωΜ τΔ τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î± Ï„áż· áż„ÎźÎŒÎ±Ï„Îč Ï„áż†Ï‚ ÎŽÏ…ÎœÎŹÎŒÎ”Ï‰Ï‚, ÎŽÎč’ Î±áœ‘Ï„ÎżáżŠ ÎșαΞαρÎčσΌ᜞Μ Ï„áż¶Îœ ጁΌαρτÎčáż¶Îœ Ï€ÎżÎčÎ·ÏƒÎŹÎŒÎ”ÎœÎżÏ‚ ጐÎșΏΞÎčσΔΜ ጐΜ ΎΔΟÎč៷ Ï„áż†Ï‚ ÎŒÎ”ÎłÎ±Î»Ï‰ÏƒÏÎœÎ·Ï‚ ጐΜ áœ‘ÏˆÎ·Î»Îżáż–Ï‚,

      HĂ©breux 2

      9 τ᜞Μ ÎŽáœČ ÎČραχύ τÎč παρ’ áŒ€ÎłÎłÎ­Î»ÎżÏ…Ï‚ áŒ Î»Î±Ï„Ï„Ï‰ÎŒÎ­ÎœÎżÎœ ÎČÎ»Î­Ï€ÎżÎŒÎ”Îœ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÎœ ÎŽÎčᜰ τ᜞ Ï€ÎŹÎžÎ·ÎŒÎ± Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ±ÎœÎŹÏ„ÎżÏ… ÎŽÏŒÎŸáżƒ Îșα᜶ τÎčÎŒáż‡ áŒÏƒÏ„Î”Ï†Î±ÎœÏ‰ÎŒÎ­ÎœÎżÎœ, ᜅπως χωρ᜶ς ΞΔοῊ ᜑπáœČρ παΜτ᜞ς ÎłÎ”ÏÏƒÎ·Ï„Î±Îč ÎžÎ±ÎœÎŹÏ„ÎżÏ….
      10 ጜπρΔπΔΜ Îłáœ°Ï Î±áœÏ„áż·, ÎŽÎč’ ᜃΜ τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î± Îșα᜶ ÎŽÎč’ Îżáœ— τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î±, Ï€ÎżÎ»Î»Îżáœșς Ï…áŒ±Îżáœșς Δጰς ΎόΟαΜ áŒ€ÎłÎ±ÎłÏŒÎœÏ„Î± τ᜞Μ áŒ€ÏÏ‡Î·ÎłáœžÎœ Ï„áż†Ï‚ ÏƒÏ‰Ï„Î·ÏÎŻÎ±Ï‚ Î±áœÏ„áż¶Îœ ÎŽÎčᜰ Ï€Î±ÎžÎ·ÎŒÎŹÏ„Ï‰Îœ τΔλΔÎčáż¶ÏƒÎ±Îč.
      11 ᜅ τΔ Îłáœ°Ï áŒÎłÎčÎŹÎ¶Ï‰Îœ Îșα᜶ ÎżáŒ± áŒÎłÎčÎ±Î¶ÏŒÎŒÎ”ÎœÎżÎč ጐΟ ጑Μ᜞ς Ï€ÎŹÎœÏ„Î”Ï‚Î‡ ÎŽÎč’ áŒŁÎœ Î±áŒ°Ï„ÎŻÎ±Îœ ÎżáœÎș ጐπαÎčσχύΜΔταÎč áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†Îżáœșς Î±áœÏ„Îżáœșς ÎșÎ±Î»Î”áż–Îœ,
      12 Î»Î­ÎłÏ‰ÎœÎ‡ áŒˆÏ€Î±ÎłÎłÎ”Î»áż¶ τ᜞ áœ„ÎœÎżÎŒÎŹ ÏƒÎżÏ… Ï„Îżáż–Ï‚ áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†Îżáż–Ï‚ ÎŒÎżÏ…, ጐΜ ÎŒÎ­Ïƒáżł ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Ï‚ áœ‘ÎŒÎœÎźÏƒÏ‰ σΔ·
      13 Îșα᜶ Ï€ÎŹÎ»ÎčΜ· áŒ˜ÎłáœŒ áŒ”ÏƒÎżÎŒÎ±Îč Ï€Î”Ï€ÎżÎčΞᜌς ጐπ’ Î±áœÏ„áż·Î‡ Îșα᜶ Ï€ÎŹÎ»ÎčΜ· áŒžÎŽÎżáœș áŒÎłáœŒ Îșα᜶ τᜰ παÎčΎία ጅ ÎŒÎżÎč ጔΎωÎșΔΜ ᜁ ΞΔός.
      14 ጘπΔ᜶ Îżáœ–Îœ τᜰ παÎčΎία ÎșΔÎșÎżÎčΜώΜηÎșΔΜ Î±áŒ”ÎŒÎ±Ï„ÎżÏ‚ Îșα᜶ σαρÎșός, Îșα᜶ αᜐτ᜞ς Ï€Î±ÏÎ±Ï€Î»Î·ÏƒÎŻÏ‰Ï‚ ΌΔτέσχΔΜ Ï„áż¶Îœ Î±áœÏ„áż¶Îœ, ጔΜα ÎŽÎčᜰ Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ±ÎœÎŹÏ„ÎżÏ… ÎșÎ±Ï„Î±ÏÎłÎźÏƒáżƒ τ᜞Μ τ᜞ ÎșÏÎŹÏ„ÎżÏ‚ áŒ”Ï‡ÎżÎœÏ„Î± Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ±ÎœÎŹÏ„ÎżÏ…, Ï„ÎżáżŠÏ„â€™ ጔστÎč τ᜞Μ ÎŽÎčÎŹÎČÎżÎ»ÎżÎœ,
      15 Îșα᜶ áŒ€Ï€Î±Î»Î»ÎŹÎŸáżƒ Ï„ÎżÏÏ„ÎżÏ…Ï‚, áœ…ÏƒÎżÎč φόÎČáżł ÎžÎ±ÎœÎŹÏ„ÎżÏ… ÎŽÎčᜰ παΜτ᜞ς Ï„ÎżáżŠ Î¶áż†Îœ áŒ”ÎœÎżÏ‡ÎżÎč ጊσαΜ ÎŽÎżÏ…Î»Î”ÎŻÎ±Ï‚.

      HĂ©breux 3

      1 ᜍΞΔΜ, áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†Îżáœ¶ áŒ…ÎłÎčÎżÎč, ÎșÎ»ÎźÏƒÎ”Ï‰Ï‚ áŒÏ€ÎżÏ…ÏÎ±ÎœÎŻÎżÏ… ÎŒÎ­Ï„ÎżÏ‡ÎżÎč, ÎșÎ±Ï„Î±ÎœÎżÎźÏƒÎ±Ï„Î” τ᜞Μ áŒ€Ï€ÏŒÏƒÏ„ÎżÎ»ÎżÎœ Îșα᜶ ጀρχÎčΔρέα Ï„áż†Ï‚ áœÎŒÎżÎ»ÎżÎłÎŻÎ±Ï‚ áŒĄÎŒáż¶Îœ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÎœ,
      2 πÎčστ᜞Μ ᜄΜτα Ï„áż· Ï€ÎżÎčÎźÏƒÎ±ÎœÏ„Îč αᜐτ᜞Μ áœĄÏ‚ Îșα᜶ ÎœÏ‰Ï‹Ïƒáż†Ï‚ ጐΜ Ï„áż· ÎżáŒŽÎșáżł Î±áœÏ„ÎżáżŠ.
      3 Ï€Î»Î”ÎŻÎżÎœÎżÏ‚ Îłáœ°Ï Îżáœ—Ï„ÎżÏ‚ ΎόΟης παρᜰ ÎœÏ‰Ï‹Ïƒáż†Îœ áŒ ÎŸÎŻÏ‰Ï„Î±Îč ÎșαΞ’ áœ…ÏƒÎżÎœ Ï€Î»Î”ÎŻÎżÎœÎ± τÎčΌᜎΜ ጔχΔÎč Ï„ÎżáżŠ ÎżáŒŽÎșÎżÏ… ᜁ ÎșατασÎșÎ”Ï…ÎŹÏƒÎ±Ï‚ αᜐτόΜ·
      4 π៶ς Îłáœ°Ï ÎżáŒ¶ÎșÎżÏ‚ ÎșατασÎșÎ”Ï…ÎŹÎ¶Î”Ï„Î±Îč ᜑπό τÎčÎœÎżÏ‚, ᜁ ÎŽáœČ Ï€ÎŹÎœÏ„Î± ÎșατασÎșÎ”Ï…ÎŹÏƒÎ±Ï‚ ΞΔός.

      1 Pierre 1

      8 ᜃΜ ÎżáœÎș ጰΎόΜτΔς áŒ€ÎłÎ±Ï€áŸ¶Ï„Î”, Δጰς ᜃΜ ጄρτÎč Όᜎ áœÏáż¶ÎœÏ„Î”Ï‚ πÎčÏƒÏ„Î”ÏÎżÎœÏ„Î”Ï‚ ÎŽáœČ áŒ€ÎłÎ±Î»Î»Îč៶σΞΔ χαρ៷ ጀΜΔÎșÎ»Î±Î»ÎźÏ„áżł Îșα᜶ ÎŽÎ”ÎŽÎżÎŸÎ±ÏƒÎŒÎ­Îœáżƒ,

      Apocalypse 1

      11 Î»Î”ÎłÎżÏÏƒÎ·Ï‚Î‡ ᜋ ÎČλέπΔÎčς ÎłÏÎŹÏˆÎżÎœ Δጰς ÎČÎčÎČÎ»ÎŻÎżÎœ Îșα᜶ Ï€Î­ÎŒÏˆÎżÎœ Ï„Î±áż–Ï‚ ጑πτᜰ ጐÎșÎșÎ»Î·ÏƒÎŻÎ±Îčς, Δጰς áŒœÏ†Î”ÏƒÎżÎœ Îșα᜶ Δጰς ÎŁÎŒÏÏÎœÎ±Îœ Îșα᜶ Δጰς Î Î­ÏÎłÎ±ÎŒÎżÎœ Îșα᜶ Δጰς Î˜Ï…ÎŹÏ„Î”Îčρα Îșα᜶ Δጰς ÎŁÎŹÏÎŽÎ”Îčς Îșα᜶ Δጰς ΊÎčλαΎέλφΔÎčαΜ Îșα᜶ Δጰς ΛαοΎίÎșΔÎčαΜ.
      17 Κα᜶ ᜅτΔ Î”áŒ¶ÎŽÎżÎœ αᜐτόΜ, ጔπΔσα πρ᜞ς Ï„Îżáœșς πόΎας Î±áœÏ„ÎżáżŠ áœĄÏ‚ ΜΔÎșρός· Îșα᜶ ጔΞηÎșΔΜ τᜎΜ ΎΔΟÎčᜰΜ Î±áœÏ„ÎżáżŠ ጐπ’ ጐΌáœČ Î»Î­ÎłÏ‰ÎœÎ‡ Μᜎ Ï†ÎżÎČοῩ· áŒÎłÏŽ ΔጰΌÎč ᜁ Ï€Ïáż¶Ï„ÎżÏ‚ Îșα᜶ ᜁ áŒ”ÏƒÏ‡Î±Ï„ÎżÏ‚,
      18 Îșα᜶ ᜁ Î¶áż¶Îœ — Îșα᜶ áŒÎłÎ”ÎœÏŒÎŒÎ·Îœ ΜΔÎșρ᜞ς Îșα᜶ áŒ°ÎŽÎżáœș Î¶áż¶Îœ ΔጰΌÎč Δጰς Ï„Îżáœșς Î±áŒ°áż¶ÎœÎ±Ï‚ Ï„áż¶Îœ αጰώΜωΜ — Îșα᜶ ጔχω τᜰς ÎșÎ»Î”áż–Ï‚ Ï„ÎżáżŠ ÎžÎ±ÎœÎŹÏ„ÎżÏ… Îșα᜶ Ï„ÎżáżŠ áŸ…ÎŽÎżÏ….
      Hébreu : © Westminster Leningrad Codex - tanach.us --- Grec : © 2010 by the Society of Biblical Literature and Logos Bible Software - sblgnt.com
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