PULSE Online "Connecté à Dieu"
2éme soirée PULSE Online. On aborde la relation avec Dieu. Timothée Paton apporte le message et 6 groupes et artistes …
Le sépulcre trouvé vide. (Jean 20:1-10)
Christ apparaît à Marie. (Jean 20:11-18)
Il apparaît aux disciples. (Jean 20:19-25)
L'incrédulité de Thomas. (Jean 20:26-29)
Conclusion. (Jean 20:30,31)
La disparition du corps de Jésus était une grande épreuve pour Marie. Les croyants ébranlés dans leur foi se plaignent souvent au sujet de ce qui, en réalité, devrait être pour eux un fondement d'espérance et un sujet de joie. Ceux qui sont plus honorés que d'autres, dans l’exercice de leur ministère spirituel, doivent être vraiment actifs et convaincants dans ce domaine : ils doivent en effet être plus disposés que d’autres à se donner de la peine, et à courir certains risques dans leur activité pour le Seigneur.
Dans notre ministère pour Christ, nous devons faire de notre mieux, ne pas envier ceux qui sont plus performants que nous, ni mépriser ceux qui, tout en faisant leur possible, restent derrière...
Le disciple que Jésus aimait particulièrement, et qui L’aimait réciproquement, arriva le premier au sépulcre. L'amour de Christ nous fera abonder dans notre devoir, plus que toute autre chose. Le deuxième disciple, celui qui était derrière, était Pierre, celui qui avait renié le Seigneur.
Le poids de nos fautes nous entrave dans le service de Dieu. Les disciples n'avaient pas encore compris l'Écriture ; ils ne La prenaient pas vraiment en considération et ne La mettaient pas en pratique : Christ devait ressusciter des morts !
Si nous « voyons » spirituellement des anges, avec toute leur affection à notre égard, cela ne suffit pas, si nous ne voyons pas Jésus, avec tout l’Amour de Dieu en lui. Nul ne connaît, si ce n'est celui qui les a supportées, les détresses que peut connaître une âme abandonnée, une âme qui a goûté manifestement au réconfort que procure l'Amour de Dieu en Christ, qui a goûté à l'espérance céleste, mais qui maintenant l’a perdue et qui marche dans les ténèbres ; qui peut supporter une telle blessure ?
Christ, en se manifestant Lui-même à ceux qui le recherchent, surpasse souvent leur attente. On peut voir à quel point le cœur de Marie était résolu à trouver Jésus. Le chemin de Christ, pour se faire connaître à Son peuple, est Sa Parole : Elle s’adresse à leur âme, Elle leur parle en particulier. En lisant cette Parole, on peut se demander : est Il réellement mon Maître ? Voyez avec quel plaisir ceux qui aiment Jésus parlent de Son autorité sur eux !
Jésus défendit à Marie de Le toucher : Il ne faisait déjà plus partie de ce monde ; en fait, elle devait regarder plus haut, plus loin que le temps présent !
Observons la relation avec Dieu, l'union avec Christ : pour nous, « participants de la nature divine », le Père de Jésus-Christ est notre Père ; Jésus a revêtu la nature humaine ; notre Dieu est Dieu le Père. L'ascension de Christ au ciel, Celui qui plaide pour nous, est une ineffable consolation.
Que personne ne puisse considérer cette terre comme une demeure, définitive, un lieu de repos ; nos regards et notre espérance doivent se diriger vers un autre endroit : le ciel ; cette pensée devrait être toujours en notre esprit : j’élève mes yeux, donc je dois rechercher ce qui est « au-dessus ».
Que ceux qui connaissent la Parole de Dieu, s'efforcent de La faire découvrir aux autres, pour leur bien !
Les disciples avaient fermé les portes de la maison, par peur des Juifs ; alors qu'ils ne s’attendaient pas à voir Jésus, ce Dernier apparu Lui-même au milieu d'eux, ayant miraculeusement et silencieusement ouvert les portes. Quel réconfort pour les disciples de Christ qui se réunissent en privé dans les assemblées, de savoir que nulle porte fermée ne pourra empêcher la venue du Seigneur ! Quand Il manifeste Son amour aux croyants, par le réconfort de son Esprit, Il leur donne l’assurance qu’ils vivront éternellement « en Lui ». Le fait de voir spirituellement Christ réjouit le cœur d'un disciple, quel que soit le moment ; plus nous verrons Jésus, plus nous nous réjouirons !
Jésus dit à Ses disciples : « Recevez le Saint-Esprit » ; Il leur montrait ainsi que leur vie spirituelle, aussi bien que leurs tâches ici-bas, dépendraient de l'Esprit. Chaque parole de Christ reçue dans le cœur, par la foi, est accompagnée par ce souffle divin ; sans ce souffle, il n'y a ni lumière ni vie. Rien ne peut être discerné ni ressenti spirituellement, si ce n'est au travers de cette pensée.
Après s’être présenté à Ses disciples, Christ leur a indiqué la seule méthode par laquelle le péché pouvait être pardonné. Ce pouvoir de pardonner ne leur était pas encore donné ; sans porter un jugement contre les autres, les disciples allaient seulement avoir le pouvoir de leur annoncer comment Dieu les accepterait ou les rejetterait au jour du Jugement, selon leur repentance. Les disciples ont ainsi clairement discerné ce qui caractérisait les véritables enfants de Dieu : ils ont su que le cas de chacun allait être examiné au jour du Jugement.
Quand nous nous rassemblons au Nom de Christ, en particulier le « premier jour de la semaine », Il nous rencontre, et nous communique Sa paix. Les disciples de Christ doivent s'efforcer de se fortifier mutuellement, par la foi, en répétant ce qu'ils ont reçu spirituellement à ceux qui étaient absents, et en leur faisant connaître ce qu'ils ont expérimenté.
Thomas sous estimait la Puissance du « Saint d'Israël », quand il ne voulait croire qu’après avoir vu les blessures de Christ. Il aurait pu être laissé dans son incrédulité, pour avoir repoussé de si nombreuses preuves de la résurrection de Jésus.
Les craintes et les peines des enfants de Dieu sont souvent prolongées à cause de leur incrédulité...
Le respect de ce jour est parvenu jusqu’à nous, tout au long du temps de l'église. Il n'y aucune parole incrédule que nous ayons prononcées, ni aucun pensée, qui ne soit connue du Seigneur Jésus ; Ce Dernier s’est penché sur le cas de Thomas, ne voulant pas le laisser dans son incrédulité.
Nous mêmes, devons aussi « porter l’infirmité des faibles », Romains 15:1,2. Ceci s'adresse à tous ! Si nous demeurons sans foi, nous sommes sans Christ, dépourvus de Sa Grâce, désespérés et sans joie...
Thomas eut honte de son incrédulité, et s’est écrié : « Mon Seigneur et mon Dieu » ! Son cœur s’est vraiment exprimé, voulant « saisir » Christ avec toute Sa Puissance ; Les véritables croyants, malgré leurs faiblesses, seront toujours acceptés par le Seigneur Jésus, dans toute Sa Grâce. Il est du devoir de ceux qui lisent et entendent l'évangile de croire, d'embrasser la doctrine de Christ, et de mémoriser Ses paroles, 1Jean 5:11 !
Puissions-nous vraiment croire que Jésus est le Christ, croire que nous avons la vie éternelle en Son Nom !
En cliquant sur le bouton « Accepter tous les cookies », vous acceptez que TopChrétien utilise des traceurs (comme des cookies ou l'identifiant unique de votre compte utilisateur) et traite vos données à caractère personnel (comme vos données de navigation et les informations renseignées dans votre compte utilisateur) dans les buts suivants :
1 à 18 Le tombeau vide. apparition à Marie-Magdelaine.
Voir sur Marie Magdelaine Luc 8.2 ; 7.37, notes.
Jean parle d'elle comme si elle était venue seule au sépulcre, tandis que les autres évangélistes mentionnent plusieurs femmes qui s'empressent également de visiter le tombeau, dans l'intention d'embaumer le corps du Seigneur. (Matthieu 28.1,2, note, Marc 16.1 ; Luc 24.1, note.)
Pour concilier cette différence, plusieurs exégètes admettent qu'elles y seraient allées toutes ensemble, mais que Jean ne mentionne que Marie Magdelaine sur laquelle se concentre tout son intérêt, à cause du rôle important qu'elle va remplir.
L'évangéliste n'ignorait pas, du reste, qu'elle avait des compagnes, puisqu'il la fait parler au pluriel et en leur nom. (verset 2)
D'autres interprètes pensent que Marie Magdelaine serait réellement allée au sépulcre seule et avant toutes les autres, ce que semblerait indiquer cette expression de Jean : Comme il faisait encore obscur. (Voir la note suivante.)
S'il en est ainsi, Jean aurait distingué cette course empressée de Marie Magdelaine de celle des autres femmes, tandis que les premiers évangélistes réunissent les deux faits dans un même récit.
L'apparition de Jésus à Marie seule (versets 11-18) n'est du reste pas étrangère à la tradition apostolique des premiers évangiles. (Marc 16.9)
Les choses pourraient s'être passées ainsi : 1° Marie Magdelaine va au sépulcre, elle voit avec étonnement que la pierre qui le fermait a été ôtée, et elle court en avertir Pierre et Jean. (versets 1,2)
2° Pendant qu'elle rentre dans la ville, les autres femmes arrivent près du tombeau ouvert et voient un ange qui leur annonce que Jésus est ressuscité. Puis elles s'éloignent promptement et courent annoncer cette nouvelle aux disciples. (Matthieu 28.5-8)
3° Cependant Marie Magdelaine revient avec les deux disciples et quand ceux-ci, après avoir vu le tombeau vide, s'en retournent chez eux, Marie reste près du sépulcre en pleurant, et c'est alors qu'elle voit deux anges dans le sépulcre (versets 11-13) et que le Seigneur enfin lui apparaît. (versets 14-17)
Telle est l'interprétation d'Ebrard, d'Ewald, de M. Luthardt et d'autres. Ces deux moyens de concilier les récits évangéliques sont l'un et l'autre admissibles, et en tout cas, ils ne laissent à la critique négative aucune raison de voir entre ces récits une contradiction insoluble.
- Voici comment M. Godet accorde la seconde manière de concevoir la suite des événements avec la relation du premier évangile, d'après laquelle Jésus serait apparu à tout le groupe des femmes qui étaient venues au sépulcre : "Matthieu Matthieu 28.9,10, raconte qu'à leur retour du sépulcre ces femmes eurent une apparition de Jésus. Mais le récit de Marc (Marc 16.8) et surtout la parole des deux disciples d'Emmaüs : "Elles (Luc 24.22-23) ont eu une apparition d'anges disant qu'il est vivant," sont incompatibles avec ce fait. Cette apparition aux femmes n'est donc pas autre que l'apparition à Marie Magdelaine (qui va suivre chez Jean) généralisée. Tous les détails de l'apparition coïncident. Le premier évangile applique au groupe entier ce qui s'est passé pour l'un de ses membres. Comme Marie Magdelaine n'a vu le Seigneur qu'après que les autres femmes étant retournées à la ville, on comprend que les deux disciples d'Emmaüs aient pu partir de Jérusalem sans avoir entendu parler d'aucune apparition de Jésus. (Luc 24.24) Il n'y a donc eu, en réalité, d'autres apparitions, le matin de ce jour, que celle des anges aux femmes, puis à Marie Magdelaine et enfin celle de Jésus à cette dernière."
Tous les évangélistes s'attachent à marquer avec soin le moment précis où les femmes et les disciples allaient renaître à la foi et à la joie, en voyant le tombeau vide ou le Seigneur lui-même. Mais il y a quelque différence dans les termes dont ils se servent pour cela. Voir, à ce sujet Marc 16.2, note.
L'expression de Jean comme il faisait encore obscur, paraît indiquer que Marie Magdelaine précéda les autres femmes au sépulcre (voir la précédente note), car lorsque celles-ci y arrivèrent, Marc dit que "le soleil venait de se lever."
- Matthieu (Matthieu 28.2) raconte comment la pierre avait été ôtée de l'entrée du sépulcre. (Comparer Marc 16.3,4)
- Il faut remarquer ces verbes au présent : Marie Magdelaine vient, voit, court, vient, dit ; (versets 2,5,6) ils rendent la scène actuelle et vivante. La plupart de nos versions, sacrifiant à l'élégance du style, effacent ces nuances délicates et importantes.
Le sépulcre trouvé vide. (Jean 20:1-10)
Si Christ avait simplement donné Sa vie en rançon, sans ressusciter ensuite, le don de Sa vie n’aurait pas été satisfaisant.Christ apparaît à Marie. (Jean 20:11-18)
Il apparaît aux disciples. (Jean 20:19-25)
L'incrédulité de Thomas. (Jean 20:26-29)
Conclusion. (Jean 20:30,31)
La disparition du corps de Jésus était une grande épreuve pour Marie. Les croyants ébranlés dans leur foi se plaignent souvent au sujet de ce qui, en réalité, devrait être pour eux un fondement d'espérance et un sujet de joie. Ceux qui sont plus honorés que d'autres, dans l’exercice de leur ministère spirituel, doivent être vraiment actifs et convaincants dans ce domaine : ils doivent en effet être plus disposés que d’autres à se donner de la peine, et à courir certains risques dans leur activité pour le Seigneur.
Dans notre ministère pour Christ, nous devons faire de notre mieux, ne pas envier ceux qui sont plus performants que nous, ni mépriser ceux qui, tout en faisant leur possible, restent derrière...
Le disciple que Jésus aimait particulièrement, et qui L’aimait réciproquement, arriva le premier au sépulcre. L'amour de Christ nous fera abonder dans notre devoir, plus que toute autre chose. Le deuxième disciple, celui qui était derrière, était Pierre, celui qui avait renié le Seigneur.
Le poids de nos fautes nous entrave dans le service de Dieu. Les disciples n'avaient pas encore compris l'Écriture ; ils ne La prenaient pas vraiment en considération et ne La mettaient pas en pratique : Christ devait ressusciter des morts !