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Un nouveau plan de lecture à découvrir : L'identité en Christ

Lévitique 3.6

"'If his offering for a sacrifice of peace offerings to Yahweh is from the flock; male or female, he shall offer it without blemish.
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      Lévitique 1

      10 Ceux qui ne pouvaient offrir un taureau, pouvaient apporter un mouton ou une chèvre ; quant à ceux qui ne pouvaient offrir aucun de ces animaux, ils avaient l'agrément divin s'ils amenaient une tourterelle ou un pigeon. Ces créatures n'étaient sélectionnées pour être sacrifiées, que si leur caractère était doux, calme et inoffensif ; cela nous rappelle l'innocence et l'humilité que l'on rencontrait dans la personne de Christ, ici-bas et qui devrait se trouver également chez les chrétiens.

      L'offrande du pauvre était également une image de l'expiation faite par Jésus-Christ, elle avait autant de valeur que la plus coûteuse : elle exprimait une réelle repentance, la foi et le dévouement à Dieu. Nous n'avons aucune excuse si nous négligeons notre devoir dans le service divin. De même qu'un Israélite pouvait offrir un taureau ou une chèvre, nous pouvons offrir à Dieu, qui Le premier, nous a déjà donné, le sacrifice de notre cœur brisé, ou celui de notre louange et de nos remerciements. Plus nous nous consacrons au service divin, plus nous nous engageons pour Lui, cherchant toute occasion pour accomplir de notre mieux, Sa volonté. En toutes choses Dieu pourvoit aux éléments nécessaires pour Son service, que ce soit le temps ou les moyens ; là où la providence divine a donné à l'homme une opulence de richesse, Dieu n'acceptera pas d'offrande qui ne soit faite avec un cœur contrit.

      Consacrons-nous, corps et âme, à Son service, quelle qu'en soit la difficulté requise ; entreprenons, accomplissons et souffrons pour notre Seigneur !

      Lévitique 3

      1

      Les sacrifices d'actions de grâce, pour le gros bétail. (Lévitique 3:1-5)
      Les sacrifices d'actions de grâce, pour le menu bétail. (Lévitique 3:6-17)

      Les sacrifices d'actions de grâce font référence à Dieu, Celui qui donne toutes choses. Ces sacrifices, faits sur l'autel, engageaient à la fois les sacrificateurs et celui qui apportait l'offrande. On les appelait « sacrifices d'actions de grâce » car en eux, Dieu et Son peuple se réjouissaient ensemble, en témoignage de leur communion mutuelle. Ces sacrifices étaient offerts dans un esprit de supplication. Si un homme était en instance d'une demande de grâce, il devait ajouter à sa prière le type de sacrifice mentionné dans ce texte. Christ est notre « Paix », notre « Offrande de Paix » ; nous ne pouvons être exaucés dans nos prières, avec en plus la paix dans le cœur, que par Son intermédiaire. Ces sacrifices d'actions de grâce étaient aussi offerts à titre de reconnaissance pour les bienfaits accordés par l'Éternel. Nous devons continuellement offrir à Dieu des sacrifices de louange, par l'intermédiaire de Christ, notre « Paix » ; et cela sera plus agréable à l'Éternel que l'offrande d'un taureau ou d'un bœuf !
      6 Nous sommes ici en présence d'un texte interdisant toute consommation de graisse ou de sang par les Israélites. Tout comme la graisse, les rognons ne devaient pas non plus être mangés. Il était interdit de consommer du sang, car c'était la part réservée à Dieu, à chaque sacrifice. Ce Dernier ne voulait pas que le sang qui avait servi à l'expiation des péchés, soit utilisé à titre de mets commun, Heb 10:29 ; ceci s'applique également à nous, malgré le fait que notre péché ait été expié parfaitement par notre Sauveur. Cela permettait aux Juifs de bien faire la distinction entre les choses communes et celles qui étaient sacrées ; cela permettait aussi de les préserver de toute déviation idolâtre.

      Le peuple était ainsi bien imprégné par la solennité que représentaient le sang versé et la graisse brûlée des sacrifices. Christ, le Prince de Paix, nous donne cette paix par le sang de la croix. En Lui, le croyant est réconcilié avec Dieu ; et ayant cette paix de Dieu en son cœur, le racheté est tout disposé à la partager avec les hommes. Que le Seigneur fasse abonder Sa grâce, Sa Miséricorde et Sa paix à quiconque désire porter le nom de chrétien !

      Esaïe 60

      Actes 4

      Romains 12

      1

      Les croyants doivent se consacrer à Dieu. (Romains 12:1,2)
      Ils doivent être humbles, et utiliser fidèlement leurs dons spirituels, à leur place respective. (Romains 12:3-8)
      Exhortations à divers devoirs. (Romains 12:9-16)
      Exhortations à une conduite paisible envers tous les hommes, avec indulgence et bienveillance. (Romains 12:17-21)

      L'apôtre, ayant terminé la partie de son épître, dans laquelle il exposait et expliquait diverses doctrines couramment appliquées, insiste, dans ce texte, sur les devoirs importants dictés par l'Évangile.

      Il a imploré les Romains, ses frères en Christ, par la miséricorde divine, à présenter à Dieu, leur corps, comme un sacrifice vivant. C’est en fait un appel puissant. Nous recevons tous les jours du Seigneur les fruits de Sa Miséricorde ! Offrons-Lui tout notre être en retour, tout ce que nous avons, tout ce que nous pouvons faire : d’ailleurs, que cela peut-il représenter, par rapport à toutes les grandes richesses spirituelles qu’Il nous accorde ?

      Que peut accepter Dieu, de notre part ? Un culte raisonnable, (un service intelligent) verset Romains 12:2*, auquel nous sommes capables de donner une raison, par la foi. La conversion et la sanctification sont le renouvellement de l'esprit ; elles consistent en un changement, non pas de la nature, mais des qualités de l'âme. Les progrès de la sanctification, conduisent de plus en plus à « la mort au péché », à une vie droite, éléments qui sont opérés dans un renouvellement spirituel, jusqu'à ce que tout cela soit parachevé dans la Gloire céleste.

      Le grand ennemi de ce renouvellement est l’attirance de notre être vers les attraits de ce monde. Soyons prudents, lorsque nous élaborons des plans, même soi disant positifs : veillons à ce que ces projets ne reposent pas sur les fondements éphémères de ce monde. Ne tombons pas dans les habitudes de ceux qui marchent selon les convoitises de la chair, et qui ont leur esprit braqué sur les désirs terrestres.

      L'œuvre du Saint Esprit commence d'abord par l’ouverture de la compréhension, puis elle opère sur la volonté, les affections et les conversations qui nous animent, jusqu'à ce qu'il y ait un changement dans l'ensemble de notre être, dans la recherche de la ressemblance avec Dieu, dans Sa connaissance, Sa justice et Sa véritable sainteté. Être pieux, c'est nous abandonner à Dieu !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Galates 3

      Galates 4

      Ephésiens 1

      Ephésiens 2

      14 Jésus-Christ a apporté la Paix, par son propre sacrifice ; dans tous les sens du terme, Christ était la Paix pour les Éphésiens : Il en était l'auteur, le centre, et la substance, Il unissait les Juifs croyants à l’Église.

      À travers la personne, le sacrifice, et la médiation de Christ, les pécheurs peuvent désormais s’approcher de Dieu, leur Père ; ils sont amenés en Sa présence, ils peuvent lui offrir leur adoration et se placer à Son service, sous l'enseignement du Saint-Esprit, qui ne fait « qu’un » avec le Père et le Fils.

      Christ, par Son sacrifice, nous a donné la possibilité de pouvoir venir à Dieu ; l'Esprit motive notre cœur pour nous approcher du Seigneur, Il nous donne la force pour venir à Lui, et donc la grâce de pouvoir ensuite servir notre Dieu !

      19 L'Église est comparée à une ville, dont chaque pécheur converti est le citoyen. Elle est également comparée à une maison, où chaque pécheur converti est un membre d’une même famille ; il est à la fois serviteur et enfant de Dieu, au sein de Sa maison. L'église est aussi comparée à un édifice, dont le fondement repose sur la doctrine de Christ ; il a été d’abord édifié par les prophètes de l'Ancien Testament, puis par les apôtres du Nouveau.

      Dieu demeure maintenant dans le cœur de tous les croyants ; ils deviennent ainsi le « temple » du Seigneur, par le biais de l'œuvre du Saint-Esprit béni.

      Demandons-nous si notre espérance repose réellement sur Christ, sur la doctrine de Sa Parole ? Sommes-nous consacrés à Dieu, composons-nous vraiment Son « saint temple », à travers Christ ? Sommes-nous une « habitation de Dieu », par l'Esprit, sommes-nous spirituellement disposés à Le servir, portons-nous avec puissance les fruits de l'Esprit ? Prenons bien soin de ne pas chagriner ce Dernier, le Consolateur. Désirons Sa présence pleine de Grâce, et l’influence qu’Il exerce en notre cœur.

      Cherchons à accomplir le devoir qu’Il nous dicte, à la gloire de Dieu !

      Tite 2

      11 La doctrine de la Grâce et du salut par l'Évangile, est destinée à tous les hommes, de tous rangs et de toutes conditions sociales. Elle enseigne à abandonner le péché, à y renoncer définitivement.

      Une conversation déplacée ne convient pas aux chrétiens, vu leur « vocation » céleste. L’exercice de la piété nous enseigne à prendre conscience de ce qui est bon. Nous devons regarder à Dieu, par le biais de Christ, car Il est l'objet de notre espérance et de notre adoration. Une conversation digne de l’Évangile doit être digne de la piété qui nous anime.

      La considération de notre devoir tient en peu de mots : renoncer à l'apostasie et aux convoitises mondaines, vivre sobrement, en toute droiture, dans la piété, en dépit de tous les pièges, des tentations, des corruptions, et de tous les obstacles qui favorisent le péché dans le cœur du croyant. Cette doctrine nous enseigne à regarder vers la gloire divine, dans les cieux. Dès que Christ sera de retour ici-bas, le bonheur des chrétiens sera alors complet, il les conduira vers une sainteté parfaite et la félicité ; telle était la finalité de la mort de Christ. Ce grand Dieu et notre Messie, descendu ici-bas pou nous sauver, a revêtu la nature humaine, dans sa divinité. Il nous a aimés et s'est livré Lui-même pour nous ; que pouvons-nous faire de mieux que de L'aimer et de nous placer à Son service ?

      La rédemption du péché et la sanctification de notre propre nature vont de pair, elles font de nous un « peuple à part », pour Dieu, libéré de toute culpabilité et de toute condamnation, purifié par le Saint Esprit. Toute Écriture est utile. Elle est la « source » du bon accomplissement, de notre devoir, en toute droiture.

      Puissions-nous nous interroger pour savoir si nous sommes entièrement dépendants de la Grâce, Celle qui sauve les perdus, pardonne leur culpabilité et sanctifie leur impureté. Plus nous nous éloignerons de la vanité et des glorioles des œuvres vaines, plus nous nous glorifierons en Christ, en Lui seul, et plus nous serons zélés pour abonder dans l’exercice de Sa volonté !

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